Par La Rando

Avant c’était New York, maintenant c’est Dubaï !

Avant, New York était la ville des gratte-ciel et des buildings énormes. La Grosse Pomme représentait à elle seule le nouveau monde…

Mais ça, c’était avant ! Aujourd’hui, c’est un pays arabe qui lui a emboîté le pas. Il s’agit bien entendu des Emirats arabes unis, et plus précisément Dubaï, la ville devenue la référence-même de la démesure, du luxe et du tape-à-l’œil.
Dubaï est connue de par le monde pour ses gratte-ciel, les uns plus hauts que les autres, presque jouant au touche-touche avec le firmament. Pourtant, il y a à peine trente ans, la ville n’était qu’un quelconque désert, où les habitants se comptaient au compte-gouttes, et les habitations sur les doigts d’une seule main.

Aujourd’hui, l’émirat de Dubaï, fort de ses 2 millions d’habitants, est devenu une véritable métropole, qui n’a rien à envier à Shanghaï, Tokyo, Chicago ou New York. C’est devenu aussi une destination touristique incontournable, où rien que pour l’année 2013 l’émirat a compté pas moins de 10 millions de touristes. Rien que cela ! Les hôtels les plus luxueux atteignant les 7 étoiles y sont concentrés. Le plus célèbre est sans doute Burdj El Arabe, inauguré en 1999 et haut de 321 mètres. On l’aura compris, Dubaï est une ville de l’extravagance.

Quand on arrive à Dubaï, on est d’abord subjugué par l’aéroport international, le deuxième plus grand au monde, s’étalant sur plusieurs kilomètres et bouillonnant de monde à toute heure du jour ou de la nuit. Une fois dehors, après s’être acclimaté avec la température locale, on est tout de suite frappé par la verdure qui s’y étale tout le long de l’autoroute. Il faut bien dire ce qu’il en est : là-bas, les Emiratis ont réussi le tour de force de «verdir le sable du désert». Un désert certes «bétonné», mais néanmoins fleuri.

On ne peut que constater également que Dubaï, pareillement aux grandes villes du monde, est dotée de toutes les infrastructures à même de garantir à ses habitants ainsi qu’à ses touristes un certain bien-être. Pour l’exemple patent, à partir de l’aéroport on peut se rendre n’importe où grâce au métro qui lui est relié. Le métro de Dubaï a cette particularité d’être bien «pensé», parcourant d’est en ouest l’émirat et desservant absolument tous les principaux points de la ville. Tour à tour souterrain et aérien, le métro de Dubaï, conçu par les Japonais, est le plus long au monde et l’un des plus sophistiqués. Toutefois, dans l’une de ses voitures, celle du fond, on peut lire cette pancarte étonnante : «For ladies» (voiture réservée aux femmes).

Ce n’est que là, à ce détail, qu’on comprend qu’on est bel et bien dans un pays où la religion est prédominante. Il faut reconnaître néanmoins qu’il n’est pas pour autant interdit aux femmes de s’installer dans les autres voitures du métro, loin s’en faut. Elles peuvent s’asseoir où bon leur semble, sauf que pour les plus farouches d’entre elles, celles non désireuses de côtoyer des hommes, un wagon leur est réservé. A ce titre, il est bon de préciser aussi, contrairement à d’autres pays de la région, que le port du voile n’est pas une obligation à Dubaï. Si on trouve beaucoup d’Emiraties portant carrément la burqa, on en voit d’autres se balader avec leur longue «abaya» noire, et les cheveux à l’air.

Quant aux hommes, la majorité se promène en portant l’accoutrement local, c’est-à-dire la djellaba blanche, ainsi que le chèche sur la tête. Là est d’ailleurs, pour beaucoup, le point salutaire des Emiratis : le luxe prépondérant n’est pas parvenu à les éloigner de leur us et coutumes. Ces derniers sont restés, malgré l’opulence, bien ancrés dans la société. Outre les us et coutumes, l’islam est aussi très présent : le muezzin ne rate jamais une occasion de se faire entendre, et ce, même à l’intérieur des centres commerciaux.

C’est une vraie gymnastique qu’entreprend l’émirat en s’ouvrant au tourisme d’excellence tout en restant attaché aux principes de l’islam. Une combine certes délicate, qui se traduit, à titre d’exemple, par une prohibition de l’alcool en dehors des hôtels. Toutefois, du fait que les hôtels foisonnent et se trouvent dans chaque coin de rue,  l’alcool, de facto, est disponible partout, vraiment partout. Les bières de toutes les couleurs y sont proposées, et pas seulement pour les touristes : aux bars, espaces lounges et autres pubs (sis à l’intérieur des établissements hôteliers), on peut croiser, aux côtés des étrangers, des «autochtones», avec leur djellaba et leur chèche sur la tête venant prendre un verre en toute quiétude.

Autre point indiquant qu’on est là bel et bien dans un pays musulman, contrairement à partout ailleurs, les soirées dans les boîtes de nuit ne débutent pas à minuit, mais bien plus tôt : aux alentours de 21h. La raison ? Elles doivent prendre fin, au plus tard, à 3h, et non jusqu’au petit matin. «Il ne serait pas de bon goût en effet que des gens sortent des pubs éméchés, voire saouls et croisent sur leur chemin des Emiratis allant effectuer leur prière du sobh à la mosquée», nous expliquera un connaisseur.

Concernant ce genre d’établissements, il y a un point surprenant à relever : les mardis, dans le tout-Dubaï, le champagne est gratuit pour la gent féminine. Pas à dire, Dubaï se veut être un paradis sur terre. Elle ambitionne de devenir la destination au monde où il fait bon vivre, et où les gens oublient leurs tracas quotidiens pour ne se consacrer qu’à la détente et à la distraction. Pour cela, l’émirat n’hésite pas à lancer, tous azimuts, des projets faramineux. En 2010, le building le plus haut au monde, en l’occurrence Burdj El Khalifa, 828 mètres, a été inauguré. Pour l’anecdote, au départ, il était prévu que ce gratte-ciel, devant devenir le symbole de la ville, s’appelle «Burdj Dubaï».

Or, entre-temps, la crise économique a frappé de plein fouet l’émirat qui, par trop de démesure, n’a pas pu faire face au surendettement.
Il sombrait peu à peu dans des dettes colossales et n’a été sauvé que par la grâce des émirats voisins qui, pour sauver leur «vitrine internationale», lui sont venus à la rescousse. Aussi, histoire de renvoyer l’ascenseur, il a été décidé de nommer ce «joyau» du nom du sauveur de Dubaï, le cheikh Khalifa ben Zayed al-Nahyane, souverain d’Abu Dhabi.

A côté de Burj Khalifa se trouve l’un des centres commerciaux les plus gigantesques au monde : le Dubaï Mall. S’étalant sur 836 000 m2, cet énorme édifice pullule d’enseignes de marque, restaurants, boutiques luxueuses, et même un immense aquarium. La structure est tellement spacieuse que pour la visiter de fond en comble il faut pas moins de 3 jours. A côté, le centre commercial de Bab Ezzouar paraît minuscule, voire lilliputien. Comble de l’opulence, un autre centre commercial propose quant à lui une station de ski artificielle. Une station de ski en plein désert !

C’est cela Dubaï la démesure : station de ski artificielle, îles artificielles en forme de palmiers, et bientôt une séries d’îlots en pleine mer devant former la carte géographique mondiale. Autant de faste peut être perçu par certains de mauvais goût, mais d’autres soulèvent le fait que les Emiratis n’avaient pas le choix : du fait de ne pas avoir un patrimoine conséquent ni un passé chargé, il leur fallait bien se tourner résolument vers la modernité.

Quitte à en faire trop. «Au moins, les Emirats ont eu l’intelligence de comprendre bien assez tôt qu’il ne fallait pas compter éternellement sur le pétrole. Contrairement à nous (Algériens), chez eux les revenus du pétrole ne représentent pas grand-chose à côté du tourisme et de l’immobilier», nous expliqueront des Algériens rencontrés sur place. «Mais en même temps, cela ne s’est pas fait sans conséquences : ils se sont vendus au capitalisme sauvage», nous préciseront d’autres. Côté politique, il faut savoir que les partis n’ont pas droit de cité dans les émirats. Mohammad ben Rached Al-Maktoum, souverain de Dubaï, et vice-Premier ministre des émirats, a son portrait affiché partout.

Cela nous rappelle d’ailleurs la Tunisie de Ben Ali. Mais si les Emiratis s’en accommodent et ne se révoltent pas outre mesure, c’est pour une raison bien simple : ils sont tous incroyablement riches ! Aussi, s’occuper de politique est le cadet de leurs soucis. En revanche, ceux qui sont susceptibles de se révolter et d’exiger de meilleures conditions sont bien sûr les travailleurs.

Ceux ayant des besognes pénibles, comme travailler dans un chantier sous une canicule tapante et être sous-payé. Mais ceux-là, tous sans exception, sont des émigrés, et de facto n’ont le droit ni de constituer un syndicat, ni de faire grève, ni de se révolter. Ce sont pour la plupart des Iindiens, des Pakistanais et des philippins qui, en plus d’être sous-payés, sont surexploités.

Les autorités ont beau affirmer que ces émigrés ont choisi de travailler à Dubaï de leur propre chef, et que de toutes les façons malgré la pénibilité ils vivent dans de meilleures conditions que dans leur pays d’origine. Soit…, mais cela reste proprement scandaleux qu’au XXIe siècle des gens continuent à se faire exploiter de la sorte, pour que d’autres «se prélassent et se la coulent douce». C’est cela le point noir de Dubaï, un point dont il faut vaille que vaille y remédier !

Source: El Watan

Par La Rando

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Par La Rando

Marché automobile dans les Emirats Arabes Unis

Les ventes de voitures dans les Emirats Arabes Unis et le reste du Moyen-Orient, l’Afrique et le Pakistan sont susceptibles d’obtenir une impulsion majeure dans les deux prochaines années, alors que près de huit personnes sur 10 prévoient d’acheter un véhicule neuf ou d’occasion.
Selon une nouvelle étude menée par Nielsen, un fournisseur mondial d’informations, la demande d’automobiles dans la région, ainsi qu’en Amérique latine, sera la plus forte dans le monde, avec 75 pour cent des consommateurs affirmant l’intention d’acheter une voiture dans les deux prochaines années.
L’enquête mondiale sur la demande automobile de Nielsen a interrogé plus de 30 000 internautes dans 60 pays afin d’identifier la demande de véhicules.
La demande sera particulièrement forte en Asie-Pacifique, où 72 pour cent des répondants ont l’intention d’acheter une voiture. Plus de la moitié des Nord-Américains (56 pour cent) et la moitié des Européens (50 pour cent) s’attendent à acquérir une voiture neuve ou d’occasion au cours des 24 prochains mois. La demande sera la plus forte au Pakistan (78 pour cent), suivie par les Emirats, l’Egypte (74 pour cent) et l’Arabie Saoudite (72 pour cent).
La forte demande peut être attribuée à l’augmentation des niveaux de confiance des consommateurs et de la croissance de la population expatriée. L’environnement positif pour les entreprises, les taux d’intérêt compétitifs et le manque de transports publics efficaces contribuent aussi à la demande.
Au cours des dernières années, les ventes de voitures ont connu une reprise soutenue, avec des concessionnaires d’automobiles faisant état d’une croissance des ventes à deux chiffres. Porsche Moyen-Orient a récemment rapporté un saut de 26 pour cent du chiffre d’affaires entre 2012 et 2013 et le géant automobile allemand Audi Moyen-Orient a enregistré une croissance de 16,3 pour cent dans les pays du CCG et du Levant au cours de la même période.

Par La Rando

Bienvenue à Doha (vidéo)

« Bienvenue à Doha, » nous emmène dans un voyage spectaculaire à travers la ville remarquable de Doha, au Qatar.
Situé sur la côte du Golfe Persique, Doha attire notre curiosité et excite l’imagination.
Avec le paysage urbain toujours en pleine croissance, Doha continue d’attirer de plus en plus de monde.
« Bienvenue à Doha, » illustre la floraison persistante de cette merveilleuse métropole, l’évolution de son histoire et la culture des pays; tout cela en Timelapse.

Par La Rando

Abu Dhabi Ports Co ( ADPC )

Abu Dhabi Ports Co ( ADPC ) s’attend à une forte augmentation du trafic maritime vers la fin de cette année en raison de l’accélération des travaux sur les grands projets d’infrastructure dans la capitale.
Le trafic de conteneurs au port Khalifa devrait augmenter à environ 1,1 millions d’unités équivalent 20 pieds (EVP) en 2014, en hausse de 22 pour cent en comparaison avec les 905.000 EVP en 2013, déclare Mohammad Juma Al Shamisi, CEO.
Le trafic général et marchandises en vrac dans les ports Zayed et Khalifa devrait dépasser les 12 millions de tonnes cette année, contre 9,3 millions de tonnes en 2013 et à peu près le même volume en 2012.
Khalifa Port, construit sur une île artificielle à peu près à mi-chemin entre Abou Dhabi et Dubaï, est ouvert depuis 2012 en complément du Port Zayed, en service depuis plus de 40 ans et tournant à sa pleine capacité.
Le nouveau port fait face à la concurrence d’autres structures en croissance rapide dans la région, y compris le port de Jebel Ali de Dubaï, situé à seulement 40 kilomètres. Les projections suggèrent néanmoins une croissance importante du trafic lié aux projets de construction d’Abou Dhabi.
Abou Dhabi investit des milliards de dollars dans les infrastructures, l’immobilier et le tourisme pour diversifier son économie. Les projets stratégiques en cours ou en préparation comprennent l’expansion de l’aéroport international d’Abou Dhabi, le musée du Louvre Abou Dhabi et la construction d’une centrale nucléaire.
ADPC est propriétaire, opérateur et développeur de ports civils d’Abou Dhabi et aussi de ses zones industrielles. On s’attend donc à bénéficier de plans d’expansion prévues pour les industries situées dans la zone industrielle adjacente Khalifa Abu Dhabi ( Kizad ), qui devrait fournir 15 pour cent du produit intérieur brut hors pétrole d’Abou Dhabi en 2030.
«Grâce à Khalifa Port, Emirates Aluminium ( Emal ) par exemple reçoit toutes ses matières premières et exporte son aluminium à travers le monde, » déclare Al Shamisi.
D’autres usines utilisant les ports d’Abou Dhabi comprennent Emirates Steel, qui devrait importer environ cinq millions de tonnes de matières premières en 2014, et Borouge, le spécialiste des matières plastiques et des polymères.
Khalifa Port dispose désormais d’une capacité annuelle de 2,5 millions EVP, ce qui pourrait être porté à cinq millions dans la première phase du développement du port en fonction de la demande. L’objectif à long terme est d’augmenter la capacité à 15 millions de conteneurs EVP et 35 millions de tonnes de marchandises en vrac en 2030.
Port Zayed focalise maintenant avant tout sur les navires de croisière. Quatre-vingt- deux navires de croisière arrivaient dans le port en 2013 avec plus de 160.000 touristes, et la construction d’un terminal permanent pour recevoir des navires de tourisme est en cours.

Source: Khaleej Times

Par La Rando

Dubai, dans les 25 meilleurs endroits du monde

Dubaï figure désormais dans la liste des 25 meilleurs endroits du monde à visiter selon les Choice Awards 2014 de TripAdvisor, le principal site web de voyages dans le monde.
L’entrée de Dubaï s’explique par un total de 646 activités à découvrir dans l’émirat, y compris le Centre Cheikh Mohammed pour la compréhension culturelle, la fontaine de Dubaï, Dubai Creek et diverses attractions et visites de la ville, du désert et le long de la côte.
Issam Kazim, CEO de Dubai Corporation for Tourism and Commerce Marketing, déclare : «Nous sommes honorés d’être choisis pour la première fois comme l’une des 25 meilleures destinations dans le cadre des Choice Awards de TripAdvisor. L’année 2013 était un grand succès pour l’émirat, avec l’ouverture d’hôtels et d’attractions, le lancement d’événements et l’annonce de notre vision pour le tourisme 2020, dans oublier la candidature gagnante de l’Expo 2020. »
“Cette année est déjà marquée par le lancement de Food Festival de Dubaï, et une série d’événements de classe mondiale dans le monde de la musique, de la culture et du sport.”
Choice Destinations des voyageurs honorent les destinations haut de gamme dans le monde entier sur base des millions de commentaires et d’avis des voyageurs de TripAdvisor.

Source: Khaleej Times

Par La Rando

Un dîner géant à Dubai pour les visiteurs chinois

Environ 7.500 dirigeants de la Chine ont fait la fête à Meydan Events Arena de Dubaï ce jeudi dernier, et un nombre égal est attendu à nouveau ce dimanche.
L’initiative fait partie d’un voyage de motivation présenté comme le plus grand jamais entrepris à Dubaï, au point d’être divisé en plusieurs lots.
Le société américaine Nu Skin organise ce voyage incentive pour les 16.000 meilleurs représentants de ces produits en Chine. Le premier groupe de participants est arrivé dans les Emirats pour un voyage de 10 jours jusqu’au 16 avril.
Plusieurs tonnes de nourriture ont été préparées et des dizaines de milliers de morceaux de pain et de mezze ont été servis ce jeudi.
L’événement a besoin d’une armée de travailleurs : 1.500 membres du personnel étaient sur place pour gérer les festivités et les préparatifs avaient commencés il y a deux mois.
Pendant l’événement, une vidéo a été jouée sur l’un des écrans géants montrant les faits saillants du voyage, encourageant une série de sites touristiques à Dubaï et Abou Dhabi.
Pour Sascha Bartz, vice-président hôtels et resorts à Meydan Group, estime que le voyage se révélera être une nouvelle plume pour Dubaï : «L’accueil d’un tel groupe place Dubaï dans une catégorie différente maintenant. C’est un coup de pouce pour le secteur MICE (Meetings , Incentives, Conferences , Expositions) et c’est bon pour l’ensemble du tourisme, des transports et de l’hospitalité. »

Source: Gulf News

Par La Rando

Les Emirats Arabes Unis attirent les jeunes des pays arabes

Les Emirats Arabes Unis émergent comme le pays le plus désiré au monde pour la jeunesse arabe, selon un nouveau sondage.
L’Enquête sur la jeunesse arabe de 2014, menée par Asdaá Burson-Marsteller, démontre également une première place pour les Emirats Arabes Unis parmi les pays à imiter pour les autres nations.
L’enquête auprès de 3.500 ressortissants arabes entre 18-24 ans a été menée dans 16 pays du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord, y compris la Palestine, le plus récent ajout à l’étude annuelle.
A la demande de nommer le pays dans lequel ils aimeraient vivre le plus sur une liste de 20 pays, dont les Etats-Unis d’Amérique, la Grande-Bretagne, la France et l’Allemagne, la jeunesse arabe cite à nouveau les Emirats Arabes Unis comme le premier choix, et ce pour la troisième année consécutive.
Sur les 3 500 ressortissants de pays choisis au hasard, 39 pour cent ou deux sur cinq répondants, choisissent les Emirats Arabes Unis comme le pays où ils voudraient vivre, en battant les Etats-Unis en deuxième place avec près de la moitié des répondants ou seulement 21 pour cent.
L’Arabie Saoudite est classés à la troisième place avec 14 pour cent, juste devant la France (13 pour cent). Les Emirats affichent une forte augmentation d’année en année, en hausse de 30 pour cent en 2013.
Sept sur 10 jeunes émiriens (69 pour cent) étaient d’accord avec l’énoncé « Je suis optimiste sur l’avenir pour mon pays », plus que tout autre groupe national et beaucoup plus que la moitié des répondants (55 pour cent) globalement.
Sunil John, directeur général d’Asdaa Burson-Marsteller, déclare : « La popularité des Emirats Arabes Unis est probablement le reflet des solides perspectives et du statut de valeur refuge dans la tourmente politique régionale. »
L’Enquête sur la jeunesse arabe, qui a commencé dès septembre 2013, a vu 300 ressortissants émiriens participant à l’étude, avec 40 pour cent des correspondants de Dubaï et d’Abou Dhabi et 20 pour cent de Sharjah.

Source: Emirates 24 │ 7

Par La Rando

Commerce de l’or à Dubaï

Dubaï renforce sa position comme centre mondial du commerce de l’or avec une valeur de l’or physique négociée à Dubaï s’élevant à 75 milliards de dollars et des volumes représentant 40 pour cent du total des échanges mondiaux en 2013, affirme Ahmed bin Sulayem, président exécutif de Dubai Multi Commodities Centre ( DMCC ).
” Dubaï a rapidement émergé comme le principal centre mondial pour le commerce des métaux précieux,’’ déclare Sulayem dans son discours lors de la 3e Conférence des métaux précieux de Dubaï.
En 2013, près de 40 pour cent du commerce physique de l’or dans le monde est passé à travers Dubaï et la valeur totale a augmenté à 75 milliards de dollars, contre 6 milliards de dollars en 2003 et 70 milliards de dollars en 2012.
Dubaï a également enregistré une augmentation annuelle du volume des échanges de 73 pour cent à 2250 tonnes d’or.
“Même sur une année où la demande mondiale totale a chuté de 15 pour cent, Dubaï a gagné de la croissance et ces chiffres représentent un changement significatif dans l’équilibre de la demande mondiale, positionnant Dubaï comme l’un des leaders mondiaux du marché.”
La Dubai Gold and Commodities Exchange ( DGCX ) prévoit entretemps de mettre en place un contrat de l’or au comptant en juin dans le cadre de sa croissance comme un centre commercial pour le métal précieux. La prospérité du commerce des bijoux à Dubaï et son expansion rapide dans l’industrie du raffinage de l’or jouent un rôle essentiel dans cette évolution.
Les derniers chiffres présentés par le DMCC soulignent également la réputation grandissante de Dubaï en tant que centre mondial de l’or, idéalement situé entre les pays producteurs et consommateurs.

Source: Khaleej Times