Par Hoceine

Cumalikizik en Turquie

CUMALIKIZIK: un village ottoman vivant ! Voyage dans le temps vers l’époque ottomane. Le village de Cumalıkızık, qui a su rester à l’écart des effets du monde moderne, qui facilitent certes la vie mais qui influencent les traditions et les cultures jusqu’à les faire disparaitre, est une localité où le temps donne l’impression de s’être arrêté. Avec sa trame historique et ses maisons en pierre, en bois et en pisé qui semblent avoir une âme et qui présentent tout le dynamisme de l’architecture civile ottomane. Lire la suite « Cumalikizik en Turquie »

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Par Hoceine

Randonnée Cappadoce (Turquie)

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Région la Cappadoce ( Anatolie centrale ) C’est au cours du mois de mars 2016 que j’ai effectué mon séjour de randonnée d’une semaine en Cappadoce en compagnie de mes amis Kader , Billal , Raymond et Rabia Nous avons pu visiter le caravansérail Sultanahani, les monastères de Yuksek church et Keslik Monasteri, les villes et villages de Goreme (et son musée de plein air), d’Urgup, de Sélime, de Guzelyurt, de Mustafapasa, d’Uçhisar, les vallées de Guzelyurt, d’Ihlara, de Gülludere, de Kizilçukur, Kiliçlar, de Soganli, de Pasabag, de Devrent. Lire la suite « Randonnée Cappadoce (Turquie) »

Par Randonnée

Randonnée en Turquie

La Turquie (en turc Türkiye), est un pays eurasiatique : elle est en effet située en Asie (Asie Mineure) à 97 % et en Europe (Trakya, soit la Thrace orientale) à 3 %. Toutefois, 17 % de sa population vit sur le sol européen et la plus grande ville turque, Istanbul, est en majeure partie sur le continent européen. La Turquie a des frontières avec la Grèce, la Bulgarie, la Géorgie, l’Arménie, l’Azerbaïdjan (Nakhitchevan), l’Iran, l’Irak et la Syrie. C’est une république parlementaire dont la langue officielle est le turc. La Turquie est bordée au nord par la Mer Noire, à l’ouest par la Mer Égée et au sud par la partie orientale de la mer Méditerranée : le bassin Levantin. La Thrace orientale (Europe) et l’Anatolie (Asie) sont séparés par la Mer de Marmara et les détroits du Bosphore à l’est et des Dardanelles à l’ouest. Découvrez les photos de cette randonnée citadine dans la capitale turque, Istanbul.

Par La Rando

Révolution en Turquie

Au troisième jour de leur mouvement, les manifestants turcs ont maintenu dimanche la pression sur le gouvernement de Recep Tayyip Erdogan en occupant la place Taksim d’Istanbul, tandis que de nouveaux incidents ont éclaté dans la capitale Ankara.

La police turque a interpellé plus de 1700 personnes dans les différentes manifestations, et la plupart ont été remises en liberté, a annoncé dimanche le ministre de l’Intérieur, Muammer Güler. 235 manifestations ont été recensées dans tout le pays depuis le 28 mai, a ajouté M. Güler, cité par l’agence de presse Anatolie.

Le ministre turc des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu, a appelé dimanche à la fin du mouvement: «La poursuite de ces manifestations (…) n’amènera aucun bénéfice mais va nuire à la réputation de notre pays, qui est admiré à la fois dans la région et dans le monde», a-t-il déclaré sur son compte Twitter.

Place Taksim : «Istanbul est à nous»

Des milliers de personnes ont envahi à partir de la mi-journée l’emblématique place du centre de la mégapole turque, désormais vide de toute présence policière après deux jours d’incidents violents qui ont fait plusieurs centaines de blessés et provoqué l’arrestation de près de mille manifestants dans toute la Turquie.

Fers de lance du plus important mouvement de contestation populaire du gouvernement islamo-conservateur turc depuis son arrivée au pouvoir en 2002, les militants de la société civile turque ont largement cédé la place à la gauche et à l’extrême gauche qui ont célébré leur victoire après le retrait des forces de l’ordre samedi.

Noyée sous leurs bannières à dominante rouge des Partis communiste et socialiste ou de la cause kurde, la place Taksim a résonné pendant de longues heures sous les slogans tels que «gouvernement, démission !» et «Istanbul est à nous !».

De crainte d’un retour des forces de l’ordre, des barricades faites de planches ou de carcasses de voitures ont été érigées dans la plupart des rues avoisinantes, gardées par des manifestants bien décidés à en découdre encore avec les autorités.

«Tous les Turcs sont sous pression depuis dix ou onze ans», a confié à l’AFP Hallit Aral, «aujourd’hui, tout le monde veut que le Premier ministre s’en aille».

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Par La Rando

La Turquie et la crise syrienne

L’attentat du 11 mai, dans une région proche de la frontière syrienne, était-il un avertissement du régime alaouite à Ankara qui soutient depuis le début la résistance? Les autorités turques en sont convaincues.
La Turquie est-elle en train de payer son engagement dans la crise syrienne? Ankara a été la première capitale à dénoncer la répression sanglante du régime, dès le mois de juin 2011. Ankara en est aujourd’hui convaincu: Damas, qui veut lui faire payer son soutien à l’opposition, cherche à faire en sorte que la guerre déborde en Turquie. Le double attentat à la voiture piégée survenu samedi 11 mai dans la petite ville turque de Reyhanli, dans la province d’Hatay (Sud), a rapidement été interprété en ce sens. En février 2013 déjà, dans cette même localité, huit personnes avaient trouvé la mort dans l’explosion d’une voiture piégée. Le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan accuse Damas de vouloir entraîner la Turquie « dans un scénario catastrophe ».
En juin 2011, après avoir joué la carte de la diplomatie, Ankara hausse le ton. Le Premier ministre dénonce la répression effrénée du pouvoir baassiste. Un ton que le chercheur de l’Institut des relations internationales et stratégiques (IRIS) Didier Billion qualifie de « va-t-en guerre ». Depuis l’été 2011, la diplomatie turque condamne avec fermeté le régime alaouite, soutient les insurgés, offre une base arrière à la rébellion et accueille des centaines de milliers de réfugiés. Une position de franc-tireur dans le concert des nations.  Lire la suite sur Lexpress

Par La Rando

L’Arabie Saoudite aide les réfugiés syriens en Turquie

Samedi, l’Arabie Saoudite a envoyé 80 000 tonnes d’aide aux réfugiés syriens installés des camps de fortune situés à la frontière turque. L’aide comprend une variété de produits alimentaires, des générateurs d’électricité, ainsi que des équipements de cuisine. Samedi, l’Arabie Saoudite a envoyé 80 000 tonnes d’aide aux réfugiés syriens installés des camps de fortune situés à la frontière turque. L’aide comprend une variété de produits alimentaires, des générateurs d’électricité, ainsi que des équipements de cuisine. Lire la suite sur ajib.fr

Par La Rando

Gefco à Dubaï

Gefco, ancienne filiale logistique de PSA Peugeot Citroën, a annoncé le 27 février avoir ouvert une nouvelle filiale dans les Emirats arabes unis avec une plateforme à Dubaï, pour profiter de l’essor des échanges entre les marchés émergents, l’Europe et les Etats-Unis.
Le groupe a installé sa nouvelle filiale, Gefco Moyen-Orient Fze, dans la zone franche de Djebel Ali (Jafza). Il souligne que Dubaï dispose du plus grand port artificiel du monde, que l’activité fret aérien y est particulièrement développée, et que le pays est relié par la route aux pays de la région (Turquie, Arabie saoudite, Irak, Iran, Oman, Qatar, Koweït).
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