Par La Rando

Al Hessa Falasi, créatrice de mode à Dubai

La créatrice émirati Al Hessa Falasi est reconnu pour ses innovations.
“Il semble que j’ai mis au point les tendances que les autres suivent,” explique la résidente de Dubaï âgé de 25 ans. “J’ai remarqué que certains designers avaient tendance à copier les modèles de collections que j’ai moi-même lancés.”
Al Falasi connaît le succès il y a sept ans, quand elle a commencé à ceinturer les traditionnelles et amples abayas. Ce simple changement dans la silhouette lui a permit de lancer son entreprise et de s’établir un nom sur le circuit de la mode dans la région.
« J’ai créé la première « abaya ceinturée », tenue à la taille par une ceinture » explique-t-elle.

” C’était ma première collection, inspirée par les années 1920. C’est devenu la tendance la plus à la mode de la saison et des sept dernières années. Même moi, je suis surprise de constater  que cela a duré autant !”.
La passion pour la mode d’Al Falasi a commencé lorsqu’elle était enfant et qu’elle confectionnait des robes pour ses poupées. La mère d’Al Falasi n’a pas tardé à reconnaître le talent de sa fille pour la conception et l’a encouragée à mettre ses idées sur papier.

Un dessin d’une tenue pour le mariage d’un ami a été transformé en une robe quand elle n’avait que 13 ans et cela a déclenché la passion de sa vie.
“Je l’ai conçue moi-même, acheté le tissu et ma mère et moi sommes l’avons fait faire par un couturier », dit-elle. « C’était une belle robe de mousseline de soie verte, avec deux types de tissus et une doublure couleur citron pâle. Tout le monde s’arrêtait et me demandant ce dont il s’agissait et, même si j’étais jeune, je savais que ma première création était un succès “.
Dans les années qui ont suivi, Al Falasi a suivi des cours en design de mode et de coupe de modèles, et a même fait appel à un designer pour l’accompagner au cours des premières étapes de sa carrière. En 2006, elle était s’apprête à lancer sa première collection d’abayas, une gamme principalement née d’un besoin de nécessité.


“Depuis que j’ai 15 ans, je n’ai jamais aimé ce qui était disponible sur le marché,” dit-elle. “Il n’y avait pas beaucoup de créateurs d’abayas et la plupart étaient très cher, avec des tarifs commençant à 3, 000 Dirhams E.A.U. Les modèles étaient très simples et très ennuyeux. Tout le monde portait les mêmes styles et je supportais mal de ne pas pouvoir y trouver ma propre personnalité “.
Il en a résulté une collection d’abayas inspirées par les années folles, une décennie incarnée par des femmes s’affranchissant des modes plus restrictives des époques précédentes. Drapage, tissus pliés et volants caractérisent les conceptions d’Al Falasi et, bien sûr, sans oublier l’humble ceinture.
« Les gens ont adoré les modèles, ils n’ont choqué personne. », dit-elle. « Je leur ai conseillé d’en acheter,  que ceinturer une abaya serait la tendance la plus à la mode de la saison. Mais j’ai été vraiment surprise de constater à quelle vitesse c’est devenu une coupe classique “.
Bien que la forme des abayas d’Al Falasi peut avoir repoussé les limites, elle s’est d’abord contentée de travailler avec le noir classique. Après avoir déposé officiellement son label en 2011 et avoir cumulé les voyages – qui lui ont permit d’élargi sa connaissance de l’art et de la musique – sa palette de couleurs et sa créativité ont pris vie.

Elle n’est pas seulement une grand fan de la musique arabe classique, mais  aussi des rythmes tribaux. Elle se rend aussi régulièrement en Europe pour étudier de près les peintures de ses artistes préférés, tels que Gustav Klimt. Elle a été tellement impressionnée par le travail de Klimt à Vienne qu’elle a personnalisé certains des tissus d’une collection passée, dont les détails imités les lignes et coups de pinceau léger comme une plume de ses dessins.

Même si elle n’a pas complètement renoncé au monochrome, les robes d’aujourd’hui d’Al Falasi sont dans les tons menthe verte et orange mandarine. Les kaftans, aussi, sont un mélange de couleurs pourpres et bleues, en passant par du roux automnal et des bruns.

“Je peux porter une abaya pleine de couleurs, puis la recouvrir d’une couche de mousseline de soie », dit-elle. “J’utilise aussi souvent de la dentelle noire sur les tissus colorés.”
Bien que les couleurs de base et les morceaux de ses vêtements découpés au laser peuvent passer du bleu marine au jaune canar, Al Falasi s’attache toujours à certaines traditions.
“J’essaie d’utiliser des couleurs vives pour les collections automne/hiver, comme le rose chaud sous le velours, cela s’accorde vraiment bien », affirme-t-elle. “Mais les abayas colorées n’ont pas toujours besoin d’être aussi lumineuses, les couleurs doivent rester un peu discrètes  et donner une touche conservatrice. Je suis aussi persuadée de cela. ”

 

Traduit du site The National

Par La Rando

Le secteur hôtelier des Emirats Arabes Unis

Le secteur hôtelier des Emirats Arabes Unis continue à maintenir une performance robuste à l’aube du troisième trimestre de l’année. L’émirat de Dubaï rapporte un taux d’occupation massif suite à une pléthore d’événements qui attirent les visiteurs internationaux et propulsent les taux d’occupation dans les hôtels quatre et cinq étoiles. La forte demande a également permis aux hôteliers d’augmenter les rendements et les bénéfices d’exploitation bruts, selon un sondage récent. La plupart des chaînes hôtelières internationales dans les Emirats sont en train de créer de nouvelles branches ou de rénover des installations existantes pour fournir à leurs clients respectifs des services de qualité. Beaucoup de ces hôteliers se préparent déjà à faire face à la demande d’Expo2020 dans six ans.

Source: The Gulf Today

Par La Rando

Jean II Makoun aux Emirats arabes unis

L’avenir de Jean II Makoun au Stade Rennais s’assombrit sévèrement depuis ces derniers jours. Titulaire lors de la défaite à Lyon la semaine dernière (2-0), le Camerounais ne figure pas dans le groupe qui affrontera Evian Thonon Gaillard ce samedi.

Le milieu de terrain âgé de 31 ans pourrait néanmoins rapidement rebondir du côté des Émirats Arabes Unis. Selon L’Équipe, le joueur, à qui il reste un an de contrat, serait en discussions avec le club d’Al-FujaÏrah. La situation pourrait donc rapidement se décanter.

Source: footmercato.net

Par La Rando

Yebda aux Emirats arabes unis

Annoncé dans plusieurs clubs européens, notamment en Angleterre au sein de la formation de Sunderland (Premier League), l’international algérien, Hassa Yebda, libéré cet été par les Espagnols du FC Grenade, alors qu’il était prêté aux Italiens de l’Udinese, a officiellement opté, mardi soir, pour le club émirati d’Al Fujaïrah, rejoignant ainsi son coéquipier et capitaine de la sélection nationale, Madjid Bougherra, qui lui a rejoint la formation émiratie il y a quelques jours, en provenance de Lakhwiya (Qatar).

Il est ainsi le troisième mondialiste à rejoindre les pays du Golfe, après le transfert de l’autre défenseur central des Verts, Rafik Halliche, signataire au début du mois d’un contrat de trois ans au profit d’un autre club émirati, le SC Dubaï. Il faut dire que malgré le fait qu’il était annoncé dans plusieurs clubs européens, on avait fait état, il y a quelques jours dans ces mêmes colonnes, que Hassan Yebda devait opter pour un club émirati.

Un Yebda qui n’avait pas visiblement trop le choix en s’exilant dans l’un des pays du Golfe, lui qui n’avait plus la cote en Europe, notamment en raison de ses blessures à répétition et la baisse sensible de son niveau technique, poussant même de nombreux observateurs à s’interroger sur sa sélection avec les Verts par l’ex-coach national, Vahid Halilhodzic, pour le dernier Mondial brésilien.

Slimani, Cadamuro, Ghilas, Djabou et Kadir toujours en instance

Un transfert qui devrait toutefois permettre à l’ex-joueur de Grenade et d’Udinese d’avoir un temps de jeu plus conséquent, après une saison très difficile où il a très peu joué. Si la plupart de nos internationaux, notamment ceux qui composent la liste des 31 préconvoqués ont réglé la question de leur avenir professionnel en club, ce n’est pas le cas pour cinq joueurs qui ne sont toujours pas fixés sur leur prochaine destination et qui devront régler la question avant le 31 de ce mois, date butoir de la clôture des marchés des transferts d’été en Europe.

Il s’agit d’Islam Slimani en conflit avec le Sporting Lisbonne (Portugal), de Liassine Cadamuro (Real Sociedad), Foued Kadir (Olympique de Marseille) et Nabil Ghilas (FC Porto) qui ont été mis sur la liste des libérés de leur club respectif, et enfin de Djabou Abdelmoumène qui veut quitter le club tunisois du Club Africain pour d’autres cieux. Cinq éléments qui devraient en principe être fixés sur leur prochaine destination avant la fin du mois en cours.

Tarek Aït Sellamet

Source: El Watan

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Bientôt un vaccin contre la méningite pour aller à la Mecque en Arabie Saoudite ?

Les autorités sanitaires saoudiennes renforcent la sécurité à l’approche du Hajj. Elles recommandent que toute personne en partance pour l’Arabie Saoudite se fasse vacciner contre la méningite.
Le ministère de la Santé informe les futurs « hajees » qu’un exercice de vaccination sera effectué dans les 5 hôpitaux régionaux du pays, le samedi 23 août de 8 h à midi. La validité du vaccin ACYW 135 est de trois ans.

Les pèlerins qui ne pourront se faire vaccinner le 23 août 2014 devront se rendre au Centre International de Vaccination à Port-Louis les lundis et mercredis.

Pour rappel, les musulmans des pays d’Afrique de l’ouest touchés par l’épidémie d’Ebola ne seront pas autorisés à accomplir le Hajj cette année.

Source: defimedia.info

Par La Rando

La culture du Bahreïn au festival d’Asilah

Découvrir les multiples facettes de la culture du Royaume de Bahreïn en deux semaines seulement, c’est possible. Le Festival international culturel d’Asilah dans sa version 2014 vous le promet. La participation du Royaume de Bahreïn se profile comme une invitation tout d’abord à la découverte, ensuite un voyage décoiffant au cœur de la culture de ce pays, et enfin une plateforme sérieuse pour le dialogue culturel qui réunit les nations. À travers cette participation, le Bahreïn vise à «exposer ses productions culturelles, artistiques, humanistes, historiques et à les transposer au Maroc. Pour cela, nous avons concocté un programme exceptionnel dont l’élaboration a nécessité plusieurs mois de travail», pour ne prendre les termes de la ministre de la Culture bahreïnie, Sheikha Mai bint Mohammad Al Khalifa. Par ces activités, l’invité d’honneur de cette édition entend promouvoir sa culture et ses traditions. Tous les ingrédients de la culture bahreïnie sont réunis au Moussem. La peinture à l’huile et la peinture murale, la gravure, la sculpture, la littérature, la musique, le documentaire, la gastronomie, et la mode, l’histoire et le patrimoine culturel de ce pays frère se révèlent à travers les créations authentiques des Bahreïnis.

Le pays est présent aussi aux colloques organisés dans le cadre de la vingt-neuvième session de l’Université d’été Al-Mouatamid Ibn Abbad à la Bibliothèque du Prince Bandar Bin Soltan. À cette occasion, des personnalités du monde de la diplomatie, de la culture et des arts s’attellent à promouvoir l’identité, l’histoire, la culture, le patrimoine et la civilisation bahreïnis. Il y a aussi le Jardin Ahmed Al Bakkali, qui accueille un salon du livre où sont exposées les dernières publications bahreïnies. «Le Royaume du Bahreïn est présent au Maroc avec son patrimoine et son héritage humain à travers un défilé des habits traditionnels bahreïnis qui transpose l’expérience du Festival annuel du patrimoine 2014, met en valeur le costume populaire et l’artisanat bahreïnis», ajoute la ministre de la Culture du Royaume de Bahreïn. Et pour découvrir la gastronomie bahreïnie, un café culturel bahreïni est organisé dans le but de permettre aux visiteurs de se déguster les plats traditionnels du pays.

Une source de fierté

Dans un article publié par le journal bahreïni «Al Watan», l’écrivaine et journaliste bahreïnie Fatima Abdallah Khalil souligne qu’au cœur d’Asilah, la civilisation bahreïnie va jaillir telle «une source d’eau douce». Une source de fierté qui offre aux festivaliers l’opportunité de découvrir l’histoire, le patrimoine, l’art, la littérature et les créations authentiques des Bahreïnis. À cette occasion, Fatima Abdallah Khalil explique que le Royaume de Bahreïn représente un modèle de pays du Golfe arabe unique, doté d’un patrimoine matériel et immatériel célébré lors du festival, reflétant son authenticité, sa profondeur culturelle, sa civilisation et les qualités humaines des Bahreïnis. L’écrivaine et journaliste s’est félicitée de la participation distinguée du Royaume de Bahreïn au Festival culturel international d’Asilah qui «draine des personnalités politiques, intellectuelles, arabes, africaines, internationales et qui est marqué par l’organisation de colloques et de différentes activités artistiques et culturelles. Le festival renforce l’identité et l’image de la petite ville marocaine d’Asilah en tant que pôle culturel et touristique important, la cité occupant, désormais, une place privilégiée sur la scène culturelle marocaine.»

Source: Lematin.ma

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Finance: le « AA » du Koweït

Standard & Poor’s a confirmé la notation souveraine « AA » long terme du Koweït, assortie d’une perspective « stable ». La solidité de la notation du pays repose sur ses ressources pétrolières et gazières, qui continuent de soutenir ses balances commerciale et externe. Jusqu’à présent, cela suffit à compenser les risques liés à une économie peu diversifiée, une organisation politique imprévisible et aux tensions géopolitiques régionales.

Source: fortuneo.fr

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Impôts: accord entre Oman et le Japon

Entrée en vigueur de l’accord entre le Japon et le Sultanat d’Oman en vue d’éviter les doubles impositions et de prévenir l’évasion fiscale en matière d’impôts sur le revenu, le 1er septembre 2014.

Le 17 août 2014, le Japon a envoyé au Sultanat d’Oman une notification de l’achèvement de ses procédures internes pour l’entrée en vigueur de l’accord entre le japon et le Sultanat d’Oman en vue d’éviter les doubles impositions et de prévenir l’évasion fiscale en matière d’impôts sur le revenu, signé le 9 janvier 2014.

La Convention contre les doubles imposition (CDI) entrera en vigueur le 1er septembre 2014.

Cet accord règle les droits d’imposition entre le Japon et le Sultanat d’Oman en évitant la double imposition internationale provenant des échanges économiques et humains.
Il précise la limite de taux des retenues fiscales imposées par l’Etat de la source sur les dividendes, intérêts et redevances.

Source: lemondedudroit.fr

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Qatar donne 1000 dollars par maison détruite en Palestine

Toutes les familles palestiniennes dont la maison a été détruite se verront verser par le Qatar une aide de 1.000 dollars, selon des informations publiées dimanche par le journal israélien The Jerusalem Post. Depuis le début de l’opération “Bordure Protectrice”, 797 habitations auraient subi des dommages suite aux bombardements dans la bande de Gaza.

D’après les informations du Jerusalem Post, le Qatar souhaiterait venir en aide aux familles palestiniennes, dont la maison a été détruite dans les bombardements du conflit opposant Gaza à Israël, en leur versant 1.000 dollars, soit 750 euros environ, par habitation.

Omar al-Dari, le vice-ministre palestinien des Affaires sociales, a indiqué à l’agence de presse Safa que “le comité du gouvernement de Gaza supervisera la distribution de cette aide et que le Ministère des Affaires sociales distribuera l’argent à travers ses succursales dans la bande de Gaza ».

D’après le quotidien israélien, le Qatar aurait versé 5 millions de dollars à la Palestine au début du conflit.

Depuis le début de l’opération “Bordure Protectrice” le 8 juillet dernier, 797 maisons palestiniennes auraient été détruites par les forces israéliennes.

Source: directmatin.fr

Par La Rando

Yas Marina: la destination santé d’Abu Dhabi

Avec un ensemble impressionnant d’installations de classe mondiale qui offrent la beauté, les sports, les options de mise en forme de la santé, Yas Marina se développe rapidement comme une destination de remise en forme à Abu Dhabi.
La vogue remise en forme,Nu You Spa, Water cooled Bounce back sont quelques-uns des noms qui donnent de la crédibilité à cette affirmation.
Yas Marina dispose en effet d’une panoplie d’activités telles que le wake board, le ski nautique, le yoga, le kayak, ainsi que des cours de ski et d’exercices qui promettent des séances d’entraînement de haute intensité.
Emma Thompson, un expatrié britannique et mère de deux enfants, affirme que sa famille aime les installations de Yas Marina. Nous sommes des habitués de l’île. C’est une destination familiale idéale pour nous parce que nos enfants ont des tas d’activités amusantes, alors que mon mari se concentre sur la formation de remise en forme,” déclare Mme Thompson.
Les physiothérapeutes sur l’ile ont une vaste expérience et sont formés pour fournir une variété de traitements tels que la méthode McKenzie et les soins de la douleur au cou, les blessures sportives, et les douleurs post-natals, pour n’en nommer que quelques-uns. Il y a aussi des spécialistes pour traiter les blessures liées au golf.
Yas Marina a également retapé son quotient de beauté avec l’introduction de NUYU, un centre spa, minceur et bronzage de rajeunissement.
Cedric Le Rest, directeur général de Yas Marina, déclare que le lancement de nouveaux équipements de conditionnement physique arrive à un moment où la remise en forme est à la pointe de l’esprit de tout le monde.«Depuis la réouverture de la Marina en octobre 2013 avec les restaurants, installations et activités, Yas Marina est également devenue une destination de restauration et de divertissement populaire. Dans cet esprit, je suis heureux d’annoncer que la deuxième phase, qui consiste à positionner Yas Marina comme un mode de vie véritablement intégrée représente une destination de remise en forme. »

Source traduite de GulfNews.com