La compagnie aérienne nationale du sultanat d’Oman et Ethiopian Airlines ont signé un accord de partage de codes sur la ligne entre Mascate, capitale du sultanat d’Oman, et Addis Abeba, capitale d’Ethiopie.
Les vols entre Mascate et Addis Abeba sont opérés quatre fois par semaine par Ethiopian Airlines, mais Oman Air pourra les commercialiser et y apposer son code suite à l’accord conclu. « Nous sommes ravis de ce rapprochement avec Ethiopian Airlines qui permet davantage d’options de vols à nos passagers. Grâce à la mise en œuvre de cet accord, il est plus facile de se rendre en Ethiopie via Mascate au départ des nombreuses destinations desservies par Oman Air au Moyen-Orient, en Europe et en Asie. Le partage de code favorise également les Ethiopiens qui peuvent désormais voyager via Mascate vers l’une des 42 destinations desservies par Oman Air », s’est exprimé Wayne Pearce, PDG d’Oman Air. Lire la suite sur Air Journal
L’Algérie et le Bahreïn ont convenu lundi de relancer avant la fin de l’année la commission mixte exprimant leur volonté d’élargir la coopération bilatérale à d’autres domaines. Lors d’une conférence de presse animée conjointement avec le ministre des Affaires étrangères, M. Mourad Medelci, le chef de la diplomatie bahreïnie, Cheikh Khaled Ben Ahmed Ben Mohamed Al-Khalifa a déclaré que les deux parties ont convenu de relancer la commission mixte algéro-bahreïnie qui ne s’est réunie qu’une seule fois et qu’une réunion est prévue à Manama avant la fin de l’année.
Il a rappelé dans ce sens que les deux pays avaient signé dans la matinée un mémorandum d’entente sur la concertation politique « encadrant et assurant la poursuite de la concertation entre les deux pays » concernant les questions d’intérêt commun. Lire la suite sur LeTempsdz
L’Agence nationale pour l’emploi des jeunes (Anej) a remis, samedi, 16 titres de voyage à des chauffeurs de camions pour qu’ils se rendent à Dammam en Arabie Saoudite pour une durée de trois ans. L’initiative a été rendue possible grâce au partenariat noué avec la compagnie saoudienne de transport «Al Saïf transport Co». En effet, cette société avait testé 37 conducteurs sénégalais répondant au profil de l’emploi. Il fallait être âgé de 25 ans au moins et de 50 ans au plus, mais aussi avoir une expérience professionnelle de six années dans ce métier.
La collaboration est à renouveler, à en croire les autorités, si ce deuxième contingent (Ndlr : il y avait d’abord une première vague de 18 chauffeurs) donne satisfaction à la compagnie de transport. Lire la suite sur Le Soleil.sn
Dans le cadre d’échanges entre les Émirats Arabes Unis et les organisateurs de courses d’endurance équestres de Castelsagrat et de Nègrepelisse, Jean-Jacques Donzelli, organisateur du prochain championnat de France d’endurance à Castelsagrat (du 15 au 19 mai), et Gérard Aurel, organisateur du concours international de Nègrepelisse (du 26 au 29 septembre), ont répondu présent à l’invitation du cheikh sultan Bin Zayed Al Nahyan à l’occasion du septième festival équestre d’Al Khatem Abu Dhabi. Lire la suite sur La Depeche.fr
En tournée en Jordanie, aux Émirats arabes unis, au Qatar, à Bahreïn, à Chypre, en Israël et en Cisjordanie, du 29 mars au 10 avril 2013, le ministre canadien des Affaires étrangères, John Baird était ce mardi 2 avril à Abou Dhabi.
Le ministre et son homologue des Émirats arabes unis, le cheikh Abdullah bin Zayed Al Nahyan, ont présenté le plan stratégique de coopération entre les deux pays et Canada-Émirats et demandé à l’Iran de répondre aux inquiétudes que suscite son programme nucléaire.
«Il y a un peu plus d’un an, nous avons établi [avec les Émirats arabes unis] un plan d’action destiné à renforcer et revitaliser les relations entre le Canada et les Émirats arabes unis», souligne un communiqué du ministère canadien des Affaires étrangères. Lire la suite sur 45enord.ca
La Chambre algérienne de commerce et d’industrie (CACI) organise une mission économique aux Emirats arabes unis du 19 au 22 mai prochains, a appris l’APS hier, auprès de la chambre. Selon la même source, cette mission intervient dans le cadre du renforcement de la coopération économique et de partenariat entre l’Algérie et les Emirats arabes unis.
Elle se tiendra en marge de la conférence sur la promotion de l’investissement en Algérie prévue à Dubaï et à Abu Dhabi les 20 et 21 mai 2013 et qui sera animée par le ministre de l’Industrie, de la PME et de la promotion de l’investissement, M. Cherif Rahmani.
Une réunion du conseil d’affaires algéro-émirati sera également organisée à l’occasion, a-t-on ajouté. L’Algérie et les Emirats arabes unis avaient créé, fin avril 2012, une commission de suivi des dossiers de l’investissement en partenariat, à l’occasion de la tenue à Alger de la 10e commission mixte. Lire la suite sur El Moudjahid
Un cavalier seul de Jorge Lorenzo lui assure la première victoire de la saison. Mais le Grand Prix du Qatar aura été marqué par un superbe duel entre Valentino Rossi et Marc Marquez. A la veille de ce premier Grand Prix de la saison, on pouvait se poser au moins trois questions. Jorge Lorenzo allait-il immédiatement reconduire sa domination sur le circuit ? Valentino Rossi allait-il redevenir compétitif au guidon d’une Yamaha ? Marc Marquez allait-il se révéler le prodige annoncé dès ses premiers tours de circuits en MotoGP ? Les réponses n’ont pas tardé à se faire connaître. Oui. Trois fois oui.
Dans la nuit devenue froide du Qatar, Jorge Lorenzo (Yamaha) a réalisé le départ parfait. Et la course parfaite puisqu’il ne lui aura fallu que quelques tours pour commencer à creuser un écart qui ne se réduira jamais, au contraire, sur ses adversaires. Lire la suite sur LEquipe.fr
Au deuxième et dernier jour d’une conférence internationale sur le développement au Darfour, dévasté par dix ans de guerre civile, le Qatar annonce, lundi 8 avril, qu’il s’engage à aider cette région de l’ouest du Soudan. « J’annonce l’engagement du Qatar à apporter 500 millions de dollars de dons et de contributions au développement du Darfour », a annoncé devant la conférence Ahmad Ben Abdallah Al-Mahmoud, ministre d’Etat aux affaires du conseil des ministres, selon l’agence officielle d’information Qatar News Agency.
Le ministre a rappelé à cette occasion la promesse faite en février 2010 par le Qatar de créer une banque dotée d’un capital de un milliard de dollars pour développer le Darfour. Lire la suite sur Le Monde…
Après le PSG, David Beckham et Zlatan Ibrahimovic, les différents palaces, le rachat du Printemps par les investisseurs en provenance du Qatar s’inscrit en droite ligne de ce soft power qui dicte ses actions à l’international, et notamment en France. Il repose sur trois dimensions : 1. Dimension symbolique
Ce rachat à 100% du Printemps relève d’une stratégie de communication qui voit le Qatar tout faire pour que son nom soit accolé à des endroits, des institutions, des images prestigieuses. Le Printemps, c’est une enseigne de marque qui symbolise le luxe propre à Paris, la capitale de la mode, des arts et de la culture.
La « ville-lumière » dispose d’une charge symbolique unique au monde et c’est un atout qui pèse aux yeux des investisseurs du Qatar. D’autres cités occidentales sont dans le viseur.
À Londres, les investissements dans l’emblématique magasin Harrod’s ou le financement de la construction de la tour Shard (la plus haute d’Europe) s’inscrivent dans la même optique. Adepte de la diplomatie d’influence, les autorités qataries sont friands d’investissements à forte rentabilité symbolique afin d’en capter les dividendes médiatiques. 2. Dimension diplomatique
Cela fait maintenant plusieurs années que le Qatar investit régulièrement en France. Pour eux, plus qu’une cible, c’est une destination privilégiée. Cela tient essentiellement à l’influence dont dispose encore la France dans le concert des nations. Membre permanent du conseil de sécurité, interlocuteur privilégié au Moyen-Orient… La voix de la France pèse encore dans les relations internationales.
Le Qatar, qui a une conscience aigue de ses faiblesses intrinsèques, a besoin de soutiens de poids. Parmi ceux-ci, on trouve naturellement les Etats-Unis où l’émir doit se rendre en visite officielle dans deux semaines. En dehors de Washington, les capitales qui comptent sont Londres et Paris.
L’investissement dans l’immobilier, les palaces ou les grandes enseignes de marque sont ainsi perçues comme le support de liens économiques et diplomatiques qui permettront de densifier une relation stratégique. La diplomatie d’influence du Qatar se déploie ainsi sur plusieurs échelles : la pluralité des liens tissés permet d’installer des intérêts combinés.
Avec la France, l’histoire avait commencé sous Nicolas Sarkozy, lequel avait facilité l’arrivée de Qatar Sports Investments à la tête du PSG, et appuyé la candidature du pays pour l’organisation de la coupe du monde 2022. L’arrivée de François Hollande au pouvoir a pu changer la donne et instiller une certaine tension entre les deux pays. Tension qu’on a pu retrouver pendant quelques temps alors que le Qatar était soupçonné d’aider les jihadistes du Nord-Mali, que la France combattait.
Ce nouvel investissement peut être perçu comme une volonté des Qataris de s’installer sur la durée dans notre pays. C’est un signe d’apaisement, une communication très claire pour dire : « la France est un allié ».
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La France et le Qatar ont établi de longue date des relations étroites dans les domaines politique, culturel et économique. Mehdi Lazar décrypte la complexe relation franco-qatarie. Cette relation s’inscrit également dans le cadre des relations énergétiques, du déplacement du centre de gravité militaire et économique du monde vers le Moyen-Orient et l’Asie, et de la bonne entente entre les dirigeants des deux pays. Outre les échanges commerciaux qui évoluent depuis quelques années autour de un à deux milliards d’euros par an, la soixantaine de filiales françaises présentes au Qatar sont très actives, notamment autour des nombreux grands contrats inhérents au développement rapide du pays. De même, la France est devenue l’une des destinations de choix des fonds d’investissements qataris, avec plusieurs prises de participation dans les grands groupes, des investissements dans l’immobilier, le sport et la communication.Lire la suite sur Atlantico.fr