Bien qu’Etihad Airways n’assure pas de vol depuis/vers Dubaï, elle y a installé une importante infrastructure pour vendre des billets : l’Etihad Travel Mall. Les voyageurs d’affaires pourront également s’y enregistrer. L’Etihad Travel Mall a été inauguré le 22 avril 2013. Il propose, dans une même structure, tout l’équipement nécessaire aux passagers, leur permettant ainsi de planifier, réserver et voyager avec la compagnie aérienne. Les clients peuvent acheter un billet, s’enregistrer pour un vol et déposer leurs bagages, avant d’emprunter la navette Etihad Express à destination de l’aéroport international d’Abu Dhabi. Après leur enregistrement à l’Etihad Travel Mall, les voyageurs pourront directement accéder aux postes d’immigration et de sécurité à leur arrivée à l’aéroport. Les installations d’enregistrement et de transport remplacent les précédentes installations d’Etihad de la Chelsea Tower sur Sheikh Zayed Road. Néanmoins, elle continuera de proposer un service de navettes Etihad Express depuis son actuel emplacement au Dubaï Marina Mall. Lire la suite sur deplacementspros.com…
C’est une bonne nouvelle pour les amateurs d’art, Qatar Museums Authority (AMQ) a lancé hier le service de bus navette Mathaf pour opérer entre le Musée d’Art Islamique (MIA) et Mathaf: Musée arabe d’art moderne, permettant aux touristes et aux résidents de se connecter entre les deux musées les plus importants de la région.
Parrainé par Occidental Petroleum Qatar (Qatar Oxy), cette navette vise à accroître la sensibilisation et le patronage de Mathaf, tout en ajoutant de la valeur à l’expérience MIA.
« Nous sommes ravis que Oxy a soutenu cette initiative unique», a déclaré Michelle Dezember, Mathaf directeur par intérim. «Le Paysage culturel du Qatar se développe à un rythme rapide et ce service gratuit facilitera la découverte de l’offre riche et diversifiée de la contribution de l’AMQ à cette croissance. »
« Ce bus emblématique reliera deux des plus grands points forts que les touristes et les résidents ont à leur portée. Nous sommes impatients d’accueillir de nouveaux visiteurs, ainsi que des clients réguliers « , a t-elle ajouté.
Stephen Kelly, président et directeur général de Oxy Qatar, a déclaré: «L’un des domaines prioritaires du programme de responsabilité sociale de l’Oxy est de promouvoir les arts et la culture ici au Qatar. Notre soutien du Service de navette Mathaf illustre cet engagement. Oxy est fière de jouer un rôle dans l’élargissement de l’accès aux collections et aux activités éducatives à la fois Mathaf et le Musée d’art islamique, et nous félicitons l’AMQ sur cette entreprise passionnante « .
Ce projet de service de navette complémentaire se compose de deux autobus légers de 25-35 places chacune qui va ramener les touristes, visiteurs, ainsi que le personnel aux musées. Ces bus fonctionnent dans les deux sens, de mercredi à dimanche 11 heures à 17 heures. Les écoles peuvent également bénéficier de ce service de navette.
Ce service gratuit mettra également en lumière et de connecter les incroyables développements culturels qui ont lieu au Qatar, de faciliter la découverte de deux sites culturels du pays, et d’encourager la participation du public.
«J’ai passé deux ans et demi en prison en Arabie saoudite. Je n’ai jamais su pourquoi» Le Français Hicham Matri pensait faire des affaires à Riyad. En mai 2010, il est jeté en prison. Il n’en ressortira qu’en octobre 2012, sans jamais avoir vu ni juge ni avocat. Son cas est emblématique des milliers de détentions arbitraires dans le pays, dénoncées par les ONG.
Hicham Matri était convaincu que la fortune était à portée de main au pays de l’or noir. Mais pour le jeune homme de 34 ans au collier de barbe fourni, l’aventure professionnelle a tourné au drame. «J’ai passé deux ans et demi en prison en Arabie saoudite. Aujourd’hui encore, je ne sais pas pourquoi», témoignait-il mercredi à Genève. Il était l’invité d’Alkarama, une ONG de défense des droits de l’homme active dans le monde arabe, à l’occasion de la présentation de son rapport annuel. «Quelques questions»
Avec son partenaire, Chérif al-Karoui, Franco-Tunisien comme lui, Hicham Matri peaufinait son projet depuis des années: ouvrir un restaurant français à Riyad. «Je savais que les gens, là-bas, voulaient apprendre à consommer à l’occidentale. Il y avait de l’argent à se faire.» Le Parisien connaissait bien le pays pour s’y être rendu une dizaine de fois en pèlerinage, notamment en encadrant des groupes de touristes pieux. Le 22 mai 2010, les deux hommes quittent Paris, munis de visas d’affaires réguliers pour la capitale saoudienne, afin d’y trouver le local idéal. Hicham doit encore faire un saut au Caire pour régler d’ultimes détails avec d’autres partenaires potentiels. Mais le 27 mai 2010, alors qu’il s’apprête à embarquer à Djeddah où il a fait escale, un officier de sécurité de l’aéroport l’interpelle: «Excusez-nous, nous avons besoin de vous posez quelques questions.»
L’affaire de quelques minutes, pense alors Hicham. Il se trompe lourdement. Sans la moindre explication, il atterrit dans une cellule d’isolement de la prison d’Al Hayr, le plus grand pénitencier saoudien, situé à quelques kilomètres de Riyad. «Au début, je comptais les heures, puis les jours et les nuits. J’ai passé 197 jours dans ce trou», relate-t-il. Il est alors coupé du monde extérieur, privé de télévision et de contacts avec sa famille. Au bout de six mois, le décor change. Hicham rejoint une cellule collective. «Il nous arrivait d’être jusqu’à 12, parfois 14, tous des étrangers. Certains parlaient hindi, d’autre ourdou, on ne se comprenait pas. Il y avait des matelas partout. Les uns partaient, d’autres arrivaient.» Du jour au lendemain, Hicham Matri est à son tour transféré dans une autre prison, au sud du pays. «Ils font ça pour donner l’impression que certains finissent par sortir. Mais pour certains détenus, cela ne se termine jamais. Un jour, l’un d’entre eux m’a dit: «Cela fait dix ans que je suis là; j’ai passé plus de temps avec toi qu’avec ma femme.» Relâché dans le désert
Pour Hicham Matri, le dénouement se profile enfin en octobre 2012. Il est envoyé chez un psychologue qui lui conseille «d’oublier», puis il est relâché avec son passeport, dans le désert, à une quarantaine de kilomètres de Riyad. Au cours de ses deux années et demie d’incarcération, il n’a jamais rencontré ni juge, ni avocat. A aucun moment, les autorités saoudiennes n’informent le jeune homme, au casier vierge en France, des motifs qui l’ont conduit en prison. «Comme 90% des détenus que j’ai croisés. Tous se disaient innocents, aucun n’avait été jugé. Il y avait des travailleurs pauvres, d’autres qui n’avaient fait que passer la frontière. Nous étions dans une catégorie différente de celle des prisonniers politiques saoudiens, condamnés pour avoir critiqué le roi.» Tout au plus lui aura-t-on laissé allusivement entendre, en 2011, qu’il avait été soupçonné de connivences terroristes.
Avec le recul, Hicham Matri est incapable de dire quelles ressources lui ont permis de résister à l’arbitraire et à l’absence d’intimité, de survivre à une grève de la faim et à ses 37 kilos perdus. Et d’endurer la séparation d’avec sa femme, ses quatre enfants, et son père, mort durant sa détention. Il sait que sa nationalité française l’a préservé des pires traitements et de la torture. Il a reçu régulièrement les visites du consul de France qui s’est mobilisé pour son dossier, avant de lui avouer un jour: «Je sais que vous êtes innocent. Mais nous ne pouvons rien pour vous. Il y a des intérêts entre les pays.»
Pour Alkarama, qui a plaidé activement sa cause, l’infortune d’Hicham Matri est emblématique de celle de milliers d’hommes et de femmes arbitrairement emprisonnés dans ce pays dépourvu de Code pénal. C’est précisément pour avoir transmis des informations sur les détentions arbitraires aux instances onusiennes que deux militants saoudiens, Mohammad al-Qahtani et Abdullah al-Hamid, ont été condamnés le mois passé à 10 et 11 ans de prison. Hicham Matri se fait un devoir de témoigner, pour tous ces gens-là, «dont on ne connaît pas l’histoire et qui ne peuvent pas parler». Il envisage de se lancer, en France, dans l’agriculture. Pour travailler au grand air, ce dont il a tant manqué durant deux ans et demi.
Source : LETEMPS.ch
Moez Boujmil, président directeur général de la société des services nationaux et séjours, a présenté lors d’un congrès de presse tenu samedi 20 avril 2013, les difficultés auxquelles la société a fait face durant ses négociations avec les agences de voyage de l’Arabie Saoudite. La plus importante étant celle concernant les pèlerins tunisiens qui ratent volontairement leur voyage pour rester jusqu’à la saison du Hadj.
Il a précisé qu’une agence de voyage a fermé ses portes l’année dernières à cause du ratage de près de 500 pèlerins de leur voyage et dont la majorité est de nationalité tunisienne. Lire la suite sur Mosaiquefm.net…
Khaled Juffali Company (KJC) et Soitec annoncent la signature d’un protocole d’accord. Leur coopération a pour objectif de favoriser la croissance de l’industrie solaire en Arabie Saoudite et au Moyen-Orient.
Les deux sociétés vont créer une co-entreprise pour assurer la commercialisation et la vente de modules photovoltaïques à concentration (CPV) dans le royaume saoudien. Soitec fournira son expertise technique et commerciale dans le domaine du solaire. De son côté, KJC facilitera l’accès aux principaux interlocuteurs locaux et régionaux. Lire la suite sur BFMTV (Cercle Finance.com)…
Le tremblement de terre qui a secoué le district de Lushan dans la province du Sichuan (Sud-Ouest de la Chine) a touché 1,5 million de personnes et a provoqué 186 morts, 21 disparus et 11 393 blessés, selon un dernier bilan publié dimanche 21 avril à 14h. Quelques 171 000 habitants sinistrés ont déjà été réinstallés. Source: http://french.cri.cn/
Le Festival des courses de chameaux Qasr Al Hosn commence au hippodrome Al Wathba, conformément aux directives du Président Son Altesse Cheikh Khalifa bin Zayed Al Nahyan, et sous le patronage de Son Altesse Général Cheikh Mohamed bin Zayed Al Nahyan, Prince héritier d’Abou Dhabi et Commandant en Chef adjoint des Forces armées des Emirats.
L’événement s’inscrit dans le prolongement du Festival Qasr Al Hosn qui a eu lieu en février dernier pour célébrer les 250 ans d’histoire prestigieuse du fort Qasr al Hosn et pour donner vie aux traditions uniques des Emirats Arabes Unis, mettant en exergue les talents, les compétences et la culture de son peuple. Lire la suite sur WAM…
Cheikh Nahyan bin Mubarak Al Nahyan, Ministre de la Culture, de la Jeunesse et du Développement communautaire, a ouvert la première édition du Festival international du film environnemental d’Abou Dhabi (ADIEFF) au Théâtre National, Corniche d’Abou Dhabi.
La cérémonie d’ouverture s’est déroulée en présence de Mohammed Al Hamadi, membre du Conseil d’administration d’ADIEFF, Dr Iyad Abumoghli, Directeur et Représentant régional du Programme environnemental des Nations Unies pour l’Asie occidentale (PNUE), Mohammed Monier, directeur exécutif d’ADIEFF, Deborah Young, spécialiste du cinéma des Etats-Unis, et un certain nombre de célébrités arabes et étrangers.
Le festival programme 50 films de 32 pays dans trois catégories de la compétition: longs métrages, courts métrages et films émiriens. Lire la suite sur WAM…
Air Arabia, la première et principale compagnie à bas prix (LCC) au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, annonce un nombre record de 1.445.783 passagers au premier trimestre 2013, une hausse de 17,5 pour cent par rapport au premier trimestre 2012.
La forte croissance du nombre de passagers s’explique par le développement du réseau de la compagnie et de la valeur attrayante de son offre. Durant le premier trimestre de 2013, la compagnie a lancé des vols à partir de son hub principal à Sharjah vers Sialkot au Pakistan, Bagdad en Irak et Mattala au Sri Lanka. La compagnie aérienne a également augmenté les fréquences de nombreuses routes. Air Arabia dessert actuellement 85 routes mondiales à partir de ses hubs dans les Emirats, le Maroc et l’Egypte. Lire la suite sur WAM…
Son Altesse Général Cheikh Mohamed bin Zayed Al Nahyan, Prince héritier d’Abou Dhabi et Commandant en Chef adjoint des Forces armées des Emirats, a assisté en présence de Sa Majesté le Roi Hamad bin Isa Al Khalifa du Royaume de Bahreïn, au Grand Prix Formule 1 Gulf Air de Bahreïn 2013.
La compétition était suivie également par le Prince héritier du Bahreïn, Salman bin Hamad al-Khalifa, SA Lt. General Cheikh Saif bin Zayed Al Nahyan, Vice-Premier Ministre et Ministre de l’Intérieur des Emirats et un certain nombre de hauts responsables.
SA Général Cheikh Mohammed a également assisté au banquet en l’honneur des invités et offert par le roi du Bahreïn à Sakhir Tour.
Source: Agence de Presse des Emirats, WAM