Le Koweït débloquera 10 millions de dollars pour soutenir la population de la bande de Gaza bombardée par les forces armées d’Israël, a annoncé l’agence koweïtienne KUNA, citant le ministre des Affaires étrangères, le cheikh Sabah Al Khaled Al Hamad Al Sabah.
Selon le ministre, cette décision fait suite à la demande de la Palestine de fournir une protection internationale aux Gazaouis. Les fonds accordés serviront à apporter des soins médicaux aux habitants de l’enclave.
Le Koweït soutiendra ses « frères palestiniens » sur les plans moral, politique et financier, a ajouté le cheikh.
Le Koweït – qui assure la présidence tournante de la Ligue arabe – a pris l’initiative de réunir d’urgence les chefs de diplomatie des pays membres de cette organisation pour évoquer la situation à Gaza.
L’Etat hébreu a lancé le 8 juillet une opération armée contre la bande de Gaza afin d’affaiblir le potentiel militaire du mouvement islamiste Hamas au pouvoir dans l’enclave et de mettre un terme aux tirs de roquettes palestiniennes contre le sud d’Israël.
L’opération baptisée Bordure protectrice se limite pour le moment à des frappes aériennes et navales, mais une intervention terrestre est également envisagée.
La nouvelle va faire le tour de la planète. Une inscription en arabe, datée du Ve siècle de l’ère chrétienne et qui pourrait être considérée comme la plus ancienne découverte en alphabet arabe, a été mise au jour par une mission archéologique franco-saoudienne dans l’extrême sud-ouest de l’Arabie saoudite, a annoncé jeudi le Quai d’Orsay qui parle d’une «découverte scientifique majeure».
«A une centaine de kilomètres au nord de Najran, en Arabie saoudite, à proximité du Yémen, l’épigraphiste du CNRS Frédéric Imbert, également professeur à l’Université Aix-Marseille, a mis au jour dans la zone des puits de Hima ce qui pourrait être considérée comme la plus ancienne inscription en alphabet arabe», a précisé Vincent Floréani, porte-parole adjoint du ministère des Affaires étrangères ors d’un point-presse.
Une découverte majeure pour comprendre l’arabe
Agrégé d’arabe, le professeur Imbert consacre ses recherches aux inscriptions arabes et particulièrement aux graffiti des deux premiers siècles de l’islam au Proche-Orient (VIIe – IXe siècles), indique l’universitaire, sur le site internet de l’Institut de recherches et d’études sur le monde arabe et musulman.
Selon le ministère qui finance la mission, le texte est écrit dans une graphie intermédiaire entre le nabatéen et l’arabe, le «nabatéo-arabe» étant le premier stade de l’écriture arabe. Cette écriture n’était attestée jusqu’alors que dans le nord du Hedjaz, dans le Sinaï et au Levant.
Une inscription du Ve siècle
«Le second intérêt de ces inscriptions est qu’elles sont datées. La période indiquée correspondant aux années 469-470 de l’ère chrétienne», a ajouté le ministère. «Il s’agit de la plus ancienne forme d’écriture arabe connue à ce jour, le chaînon manquant entre les écritures nabatéenne et arabe», a précisé le porte-parole.
«La mission archéologique franco-saoudienne de Najran vient de faire une découverte scientifique majeure», a-t-il souligné. Elle est «importante pour l’histoire de la péninsule arabique et de la langue arabe» et constitue «un excellent exemple de coopération entre l’Arabie saoudite et la France». En 2014, le Quai d’Orsay finance 148 projets de missions archéologiques dans le monde, répartis sur plus de 60 pays.
Le ministère de l’Economie bulgare a annoncé vendredi avoir demandé de l’aide au fonds public d’Oman, actionnaire à hauteur de 30% de la quatrième banque du pays Corporate Commercial Bank (CCB), afin d’assainir cet établissement au bord de la faillite.
Le ministre bulgare de l’Economie et l’Energie Petar Tchobanov et le directeur du Fonds de réserve du sultanat d’Oman, Abdoul Salam Al-Mourchidi se sont déclarés « prêts à déployer des efforts dans le sens d’une solution », au cours d’un entretien téléphonique, selon le ministère.
La CCB a pour actionnaire majoritaire l’entrepreneur bulgare controversé et politiquement influent Tsvetan Vassilev qui en détient 50,66%. 30% sont aux mains du fonds omanais et 9,9% à la banque russe VTB, laquelle a déjà refusé d’intervenir pour assainir la banque.
Le Maroc et le Qatar ont signé le programme exécutif du mémorandum d’entente relatif à la mise en œuvre du don qatari au profit du Maroc pour un montant de 1,25 milliards de dollars. Cette somme sera remise au Royaume en deux tranches. La contribution qatarie s’étalera sur cinq ans, et un premier montant de 500 millions de dollars a déjà été versé.
Outre le fait que ce don inscrit dans la durée les bonnes relations entre le Maroc et le Qatar, il est d’une extrême importance pour le Royaume. Il devrait en effet lui permettre de financer quatorze projets dans divers domaines. Il devrait donc lui permettre de continuer son œuvre de modernisation des régions. Le Qatar a de son côté affirmé que « la volonté de l’Etat du Qatar de contribuer à la stabilité du Royaume et à son développement économique et social à travers le financement de plusieurs secteurs dont la santé, l’Agriculture et la pêche maritime, l’Habitat Social, l’enseignement supérieur et de l’Assainissement Liquide ».
Parmi les projets qui seront financés par ce don, on peut noter :
– Des projets relatifs au secteur de la santé : grâce à ce don, le Maroc va renforcer ses infrastructures hospitalières. Il prévoit notamment la construction de deux centres hospitaliers universitaires (CHU) et d’une quinzaine d’hôpitaux de campagne. C’est le secteur qui recevra la plus grosse subvention, avec environ 500 millions de dollars.
– Soutien à l’agriculture solidaire et à l’économie de l’eau d’irrigation : cette action se fera à travers quatre projets qui s’inscrivent dans le cadre du Plan Maroc Vert. Ils seront chacun de l’ordre de 202 millions de dollars.
– Deux projets à hauteur de 69 millions d’euros dans le secteur de la pêche. L’objectif sera ici de réhabiliter les villages de pêcheurs dans plusieurs villes marocaines et, de mettre à niveau les infrastructures nécessaires pour la pêche côtière et artisanale.
– Un projet visant à développer la capacité d’accueil des universités marocaines.
La mise en œuvre des projets devra se faire au cours des cinq années à venir. Elle sera contrôlée par un comité maroco-qatari.
La capoeira est un art martial afro-brésilien qui puiserait ses racines dans les méthodes de combat et les danses des peuples africains du temps de l’esclavage.
La compagnie des Émirats arabes unis dispose dans sa flotte de plus du tiers des A380 déjà livrés par Airbus dans le monde. Elle aspire à deveni le « premier transporteur aérien international ».
Et de 50. La compagnie Emirates de Dubaï, déjà premier opérateur de l’avion géant A380, a annoncé jeudi avoir réceptionné le 50ème exemplaire de cet appareil du constructeur européen Airbus. À ce jour, 136 A380 ont été livrés
« L’A380 a largement contribué à notre succès, confirmé par le vif intérêt manifesté par nos clients et le coefficient de remplissage élevé dans tous les aéroports accueillant cet appareil », a déclaré Sir Tim Clark, Président d’Emirates Airline, cité dans un communiqué.
Plus gros client de l’A380, Emirates a encore 90 appareils de ce type en commande. À ce jour, 136 ont été livrés dans le monde selon Airbus.
« Premier transporteur aérien international »
La compagnie aérienne des Émirats arabes unis a assuré dans le communiqué que cette nouvelle livraison, qui porte sa flotte d’avions à fuselage large à 224, allait renforcer son ambition de devenir le « premier transporteur aérien international ». Elle vient par ailleurs de finaliser une commande de 150 long-courriers Boeing 777X d’une valeur de 56 milliards de dollars.
Les perspectives à court terme de l’économie mondiale à travers la tendance baissière des prix du pétrole sur le marché international et les contre-performances des exportations d’hydrocarbures du pays n’ont pas été sans conséquence sur l’économie nationale.
En dépit de sa résilience à travers sa faible exposition financière extérieure, son niveau élevé des réserves de changes et la flexibilité du taux de change, l’économie algérienne n’arrive pas encore à se départir de sa vulnérabilité face aux chocs extérieurs. Cette fragilité a été confirmée par l’évolution de la balance des paiements extérieurs au 1er trimestre 2014, impactée par le recul dans les exportations du pétrole et du gaz et la baisse des prix de l’énergie.
C’est ce qui ressort de la note de conjoncture du 1er trimestre 2014 établie par la Banque d’Algérie (BA). Sur le marché international de l’énergie, le prix du baril de Brent s’est inscrit à la baisse au cours du 1er trimestre 2014, passant de 111,4 dollars début janvier à 107 dollars à fin mars. Cette évolution a été marquée beaucoup plus par des facteurs temporaires, à savoir l’hiver rude aux États-Unis… et la situation de dépréciation du dollar face à l’euro. En moyenne trimestrielle, le prix du pétrole algérien s’est établi à 109,55 dollars/baril au 1er trimestre 2014, en baisse de 2,6% par rapport au 1er trimestre 2013 où il a été évalué à 112,51 dollars/baril
Contraction des exportations d’hydrocarbures à 15,57 milliards de dollars
Parallèlement à cette situation, les importations de biens fob (Free On Board) ont légèrement reculé au 1er trimestre 2014 pour s’établir à 14,09 milliards de dollars par rapport à la même période de l’année passée (14,2 milliards de dollars) où le 2e trimestre avait enregistré un haut en la matière (15,09 milliards de dollars), précise la note de la Banque centrale. “Il s’agit là d’une tendance favorable, même si le montant des importations de biens au 1er trimestre 2014 est supérieur aux niveaux atteints aux 3e et 4e trimestres 2013”, commentent les rédacteurs de la note.
Pour ces derniers, la diminution des importations de biens au 1er trimestre 2014 relativement à la même période de l’année 2013 “est due à la contraction de celles des produits pétroliers et des biens de consommation non alimentaires, en situation de progression des importations des produits semi-finis et des biens d’équipements industriels. Ces derniers, qui occupent le premier rang avec une part de 28,13%, ont enregistré une hausse de 6,7% par rapport à leur niveau du 1er trimestre 2013”.
Quant aux produits semi-finis qui ont atteint 19,5% du total des importations, ils occupent le deuxième rang et se sont accrus de 4,6% au cours du trimestre sous revue comparativement à la même période de l’année dernière.
La contraction des exportations d’hydrocarbures a eu également un effet direct sur la balance commerciale. “Le 1er trimestre 2014 a enregistré un amenuisement de l’excédent de la balance commerciale à 1,84 milliard de dollars contre 3,78 milliards de dollars au titre de la même période de 2013, soit une moindre performance…”, souligne la BA.
Balance des paiements : un déficit de 470 millions de dollars
Cet amenuisement de l’excédent de la balance commerciale comparativement au 1er trimestre 2013 a influé directement sur le compte courant de la balance des paiements extérieurs qui, selon les tendances monétaires et financières de la Banque d’Algérie, affiche un déficit de 470 millions de dollars, et ce, malgré l’“augmentation des transferts nets et la diminution du déficit des revenus des facteurs au 1er trimestre 2013”.
La Banque des banques enregistre avec satisfaction, cependant, la progression de près d’un milliard de dollars de l’encours des réserves de changes, sans l’or, qui est évalué à 194,961 milliards de dollars contre 194,012 milliards de dollars à fin décembre dernier. “L’augmentation des réserves de changes est plus significative comparativement à leur niveau de fin mars 2013 (189,768 milliards de dollars)”, affirment les analystes de l’institution que dirige Mohamed Laksaci.
Pour ces experts, la poursuite de la progression des réserves de changes au cours du 1er trimestre 2014 contribue à consolider la position financière extérieure nette de l’Algérie, appuyée par un niveau historiquement bas de la dette extérieure qui se situe à 3,561 milliards de dollars à fin mars 2014 contre 3,396 milliards de dollars à fin décembre 2013 et 3,451 milliards de dollars à fin mars 2013.
Réserves de changes : 194,961 milliards de dollars
“Le niveau des réserves de changes ainsi accumulées dépasse les seuils d’adéquation habituels pour les pays émergents, ce qui permet à l’Algérie de faire face à d’éventuels chocs externes et de préserver la stabilité extérieure”, rassure, en revanche, la Banque d’Algérie qui, mentionne-t-on dans le document trimestriel, a poursuivi au 1er trimestre 2014 la gestion prudente des réserves officielles de changes en mettant de plus en plus en avant le suivi rigoureux et la gestion des risques, au moyen notamment de mesures de prudence appropriées pour préserver le capital des investissements de toute perte, tout en atteignant “un niveau de rendement acceptable” compte tenu de la persistance de l’environnement de faibles taux d’intérêt mondiaux. À fin mars dernier, les emprunts publics à 10 ans aux États-Unis affichaient, précisent les statistiques de la BA, un rendement de 2,72% contre 1,55% pour les titres publics allemands de même maturité, pour ne citer que cet exemple.
Par ailleurs, le 1er trimestre 2014 a subi une appréciation du dinar contre le dollar américain (0,7%) par rapport au même trimestre de l’année 2013. Parallèlement, le cours de change moyen du dinar contre l’euro s’est déprécié de 3,38% au 1er trimestre 2014 (106,7062 euros/DA) par rapport au même trimestre de l’année passée (103,213 euros/DA). Une chose est certaine, le taux de change effectif réel du dinar s’est en définitive déprécié de 1,81% au 1er trimestre 2014 par rapport à la même période de 2013.
Sur un autre registre, les crédits bancaires à l’économie ont atteint 5 314 milliards de dinars à fin mars 2014 dont 74,25% au titre des crédits à moyen et long terme contre 72,4% à fin 2013. Les prêts aux entreprises privées atteignent plus de 2 427 milliards de dinars contre 2 367 milliards de dinars en 2013 et progressent ainsi de 19,50%. Quant aux crédits aux ménages, ils ont augmenté de 4% à un rythme proche de celui des crédits à l’économie. Concernant la liquidité bancaire, elle s’est légèrement améliorée et a atteint plus de 2 978 milliards de dinars à fin mars dernier contre plus de 2 865 milliards de dinars à la même période de l’année 2013.
En ce qui concerne l’inflation des prix à la consommation, elle a enregistré, en glissement annuel, note la BA, une baisse de 3,55 points de pourcentage par rapport à mars 2013. Cette tendance baissière est générée par la faible baisse de l’inflation en glissement de l’ensemble des groupes, à l’exception de celui de l’éducation-culture et loisirs. Estimée à 1,98% en moyenne annuelle, l’inflation est descendue en dessous de 2% pour la première fois depuis octobre 2006.
Africains…parlons un peu différemment de cette Afrique dont les médias de merde ne nous parle jamais en bien.
Les autres sont champions pour parler de nos malheurs alors soyons champions pour parler de qui va bien chez nous.
Comme d’habitude, je souhaiterais que chaque africain qui regarde cette vidéo la partage. Il faut que la planète entière sache que nous sommes là, et que nous ne laisserons pas faire!
Hassan Yebda file aux Emirats où une signature imminente l’attend à Al Fujairah. En effet, selon lebuteur.com qui cite le journal Emirati « Al Bayan », Hassan Yebda serait sur le point de s’engager pour le club Emirati. Le même journal rapporte des déclarations du manager de l’international algérien qui aurait signifié que l’ancien joueur de Naples était tout près du club d’Al Fujairah. Hassan Yebda, qui a aussi quelques touches au Qatar, pourrait bien rejoindre son camarade et capitaine d’équipe en sélection Madjid Bougherra, rapporte la même source d’information.
Ancien joueur de Naples, Hassan Yebda était revenu en Italie en janvier dernier. Le milieu algérien de 29 ans, formé par Auxerre, avait été prêté pour six mois à l’Udinese par Grenade.
Notamment courtisé par Cardiff, Madjid Bougherra devrait finalement s’engager très rapidement pour deux saisons avec Fujeirah aux Emirats. Libre après trois saisons passées à Lekhiwya où il a tout gagné avec Djamel Belmadi puis Eric Gerets, l’international algérien présent lors de la Coupe du monde 2014 avait été aussi approché par la franchise de MLS de Philadelphia Union, et le Besiktas au mercato d’hiver dernier.– N.D.