Par La Rando

Le bureau Al Etihad Credit des Emirats Arabes Unis

Le nouveau bureau de crédit des E.A.U commencera ses activités le mois prochain pour aider les banques à évaluer la capacité des clients à rembourser leurs dettes. « La première phase, qui sera lancée en Septembre, permettra aux banques et institutions financières d’accéder et d’acheter par voie électronique les rapports de crédit des clients potentiels après le dépôt de tous les documents nécessaires», a déclaré Marwan Ahmed Lutfi, le chef de la direction du bureau. «Les clients auront également accès à leurs rapports de crédit par l’intermédiaire de nos centres de service à la clientèle, qui sera bientôt lancé.”

Le bureau Al Etihad Bureau Credit avait déjà commencé à demander aux banques de présenter des données financières et la collecte d’informations auprès des prêteurs.

Les banquiers disent que le bureau est susceptible d’être bon pour les consommateurs, les clients les plus solvables de la banque pourront obtenir de meilleurs taux d’intérêt. Le coût du financement dans les E.A.U stagne au bas de l’échelle depuis au moins huit ans. Ce contexte a favorisé une hausse de l’emprunt, et les compagnies sont désireuses de prévenir la croissance du crédit sans échapper au contrôle de ces initiatives.

Le bureau a l’intention de créer une base de données de l’historique du détail des crédits des emprunteurs pour permettre aux banques de construire une image précise de l’endettement d’un emprunteur potentiel, leur permettant d’évaluer sa capacité à honorer sa dette. À l’heure actuelle, les banques ne peuvent pas vérifier les antécédents de crédits des clients relatifs à d’autres sources prêteuses.

Les expériences d’autres pays montrent que les bureaux de crédit peuvent aider à stopper les individus avec un mauvais dossier de crédit dans leur comportement à amasser les dettes, tout en facilitant le flux de crédit à ceux qui sont capables de rembourser les prêts.

Une loi fédérale a été adoptée en 2010 pour établir le bureau, mais a changé pour créer l’institution qui ne s’est vraiment mise en place qu’au cours de ces derniers mois.

M. Lutfi, un ancien fonctionnaire du Centre financier international de Dubaï, a supervisé un audit de sécurité du système pour assurer le déploiement efficace des services du Bureau et la signature d’accords avec toutes les institutions financières qui les obligent à présenter des données de crédit au bureau.
Source: The National

Par La Rando

Le Roi du Bahreïn appelle à la coordination des politiques nationales

Le Roi Hamed Ben Issa Al Khalif du Bahreïn a plaidé, vendredi à Assilah, pour la coordination des politiques nationales et l’adoption d’orientations judicieuses en vue de relever les défis d’ordre politique, économique, environnemental et sécuritaire sur lesquels achoppe la création d’unions régionales.

Les risques politique, économique, sécuritaire et environnemental découlant des mutations que traverse le monde tiennent, pour l’essentiel, à la désintégration des États, à la divergence de leurs efforts et au caractère borné de leurs politiques nationales, a dit le Souverain bahreïni dans un message adressé aux participants au colloque inaugural du 36e Moussem international d’Assilah, sur le thème «l’État nation et les unions régionales dans les pays du Sud».

«Cet état de fait impose aux différents pays voisins de faire bloc en coordonnant les approches et unifiant les démarches judicieuses», a-t-il ajouté dans ce message dont lecture a été donnée par le vice-premier ministre bahreïni Sheikh Mohamad Ben Mubarak Al Khalifa. «Il ne serait pas judicieux de dupliquer les expériences d’autrui en intégralité, mais un effort de réajustement et d’amélioration s’impose afin de les adapter aux aspirations des peuples au progrès et à la prospérité», a souligné le Souverain bahreïni.

Contrairement aux pays du Sud, leurs homologues du Nord sont parvenus, à la faveur de la réflexion menée par leurs élites et du militantisme inlassable de leurs leaders, à mettre en branle des mécanismes de changement, avec à l’appui des objectifs communs fixés et des projets conjointement réalisables, a-t-il fait observer.
Pour lui, «Il est évident que l’éclosion d’unions “naturelles et logiques” entre les pays ayant besoin chacun de l’autre n’est pas un choix facile si l’on ne tient pas compte des composantes communes afin d’en faire une force motrice du développement et un catalyseur de la réalisation du développement».

Ériger le choix démocratique en un fondement de l’exercice du pouvoir est un prélude incontournable à la concrétisation des projets de complémentarité et d’association, a encore noté le Roi du Bahreïn. Le Royaume du Bahreïn est l’invité d’honneur de la 36e édition du Moussem international d’Assilah, dont les travaux se sont ouverts vendredi soir.

Source : Lematin.ma

Par La Rando

Le Koweït offre 5M$ à l’OMS pour combattre le virus Ebola

Le Koweït, riche pays pétrolier du Golfe, a annoncé aujourd’hui l’octroi de 5 millions de dollars à l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) pour l’aider à contenir la propagation du virus Ebola, qui frappe l’Afrique de l’Ouest. Dans un communiqué, le Conseil des ministres koweïtien a indiqué que cette donation à l’OMS avait été décidée par l’émir, cheikh Sabah al-Ahmad Al-Sabah, pour « faire face à la propagation de cette grave épidémie ». L’OMS discutait aujourd’hui à Genève à huis clos avec des experts en éthique médicale de l’éventualité d’une utilisation de traitements expérimentaux contre l’épidémie actuelle, la plus grave depuis la découverte du virus Ebola en 1976.

Jusqu’à la semaine dernière, cette fièvre hémorragique hautement contagieuse a causé la mort de 961 personnes sur 1.779 cas confirmés, suspects ou probables, d’après le dernier bilan diffusé le 8 août par l’OMS. Cette épidémie, qui se transmet par contact direct avec le sang et des liquides biologiques de personnes ou d’animaux infectés, a poussé lundi le Liberia à mettre en quarantaine une troisième province affectée. L’état d’urgence est également en vigueur en Sierra Leone et au Nigeria. La Guinée a quant à elle annoncé avoir pris des « mesures contraignantes visant à mieux contrôler les mouvements transfrontaliers ».

Source: Lefigaro avec AFP

Par La Rando

Une dent a poussé dans le nez de ce jeune homme en Arabie saoudite

Un fait extrêmement rare a été perçu en Arabie Saoudite. Un jeune homme s’est vu pousser une dent… en plein nez.

Le cas de ce jeune Saoudien âgé de 22 ans est peu banal. Alors qu’il souffrait de saignements de nez abondants, celui-ci est allé consulter un médecin pour comprendre la raison de ses douleurs. Le choc a été général quand ils avaient découvert qu’une dent avait poussé à l’intérieur de la narine. Cette dent nasale est un fait extrêmement rare et était à l’origine des écoulements de sang du jeune homme.

D’après le diagnostic des dentistes, une excroissance en ivoire a été découverte du côté de la narine gauche du garçon. La dent mesurait environ un centimètre et était confirmée comme une incisive supplémentaire retrouvée dans le nez. Le corps médical a tout de suite procédé à l’extraction de la dent et le saignement s’est tout de suite arrêté.

Un cas similaire avait été enregistré en Chine, Feng Fujia avait subi une opération pour une molaire retrouvée dans sa narine. Il était venu pour une consultation suite à des problèmes respiratoires. Il souffrait de problèmes de nez depuis cinq ans et n’a pu trouver de réponse satisfaisante par rapport à son cas en raison du manque d’infrastructure médicale dans son village.

Selon le docteur de l’Université de l’Iowa, on peut voir plusieurs dents supplémentaires dans une bouche mais très rarement dans le nez. «  C’est un cas inhabituel, a-t-il expliqué au site Livescience. Nous voyons plusieurs cas chaque année, mais que la dent ait poussé dans la cavité nasale est très inhabituel.  »

Source: linfo.re

Par La Rando

Oman Air suspend le survol de l’Irak

La compagnie Oman Air a annoncé lundi avoir décidé de ne plus survoler l’Irak en raison de la situation dans ce pays où les jihadistes de l’Etat islamique (EI) sont visés par des frappes américaines. « Cette mesure est préventive en raison des événements que connaît la région », a précisé la compagnie dans un communiqué publié par l’agence officielle ONA.

Oman Air, qui assure des liaisons notamment avec plusieurs villes en Europe, rappelle avoir déjà suspendu en avril le survol de l’Ukraine et depuis un an le survol de la Syrie en raison de l’insécurité dans ces deux pays. Oman Air emboîte ainsi le pas à d’autres compagnies aériennes arabes du Golfe qui évitent désormais le survol de l’Irak, à l’instar de Kuwait Airways qui a annoncé dimanche des routes alternatives passant par les espaces aériens iranien, saoudien et égyptien. Aux Emirats arabes unis, Etihad Airlines a dérouté samedi ses vols au dessus de l’Irak tout en continuant à desservir Bagdad et Bassora. La compagnie avait déjà suspendu jeudi ses vols sur Erbil, la capitale de la région autonome du Kurdistan irakien. Emirates a pris samedi la même décision. L’Agence fédérale de l’aviation (FAA) américaine a interdit vendredi aux avions commerciaux américains de survoler l’Irak, quelques heures après les premières frappes aériennes américaines contre des positions des jihadistes de l’Etat islamique (EI), qui a pris le contrôle de pans entiers du territoire irakien à la faveur d’une offensive lancée le 9 juin. La compagnie British Airways a également suspendu ses vols au-dessus de l’Irak, de même que Lufthansa et ses filiales Austrian Airlines et Swiss, ainsi que Air France, KLM Royal Dutch Airlines et Virgin Atlantic. (Belga)

Source: Levif.be

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Irak : Le Qatar et le Koweït ont salué la nomination

Le Qatar et le Koweït ont salué la nomination d’un nouveau Premier ministre en Irak, espérant que cela conduira à réunifier ce pays où les jihadistes se sont emparés de pans entiers du territoire.

Dans un communiqué diffusé mardi soir, le ministère des Affaires étrangères du Qatar s’est félicité du choix de Haïdar al-Abadi pour diriger le prochain gouvernement irakien. Il a espéré « la formation en Irak d’un gouvernement d’union nationale (…) et que cela débouche sur le rétablissement de l’unité et de la stabilité » de ce pays. L’émir du Koweït, cheikh Sabah al-Ahmad Al-Sabah, a pour sa part souhaité à M. Abadi de « réussir à rétablir l’unité et la stabilité de l’Irak ».

Mardi, le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Saoud al-Fayçal, s’est félicité de la nomination d’un nouveau Premier ministre en Irak, devant succéder à Nouri al-Maliki, dont la politique était vivement critiquée par Ryad. Le roi Abdallah a également adressé ses félicitaions aux dirgeants irakiens, notamment M. Abadi.

Le royaume saoudien, voisin sunnite immédiat de l’Irak, avait ouvertement accusé M. Maliki, un chiite, d’avoir conduit l’Irak au bord du gouffre par sa politique d’exclusion des sunnites, et a réclamé la formation d’un gouvernement d’entente nationale. Ce dernier avait régulièrement attaqué l’Arabie saoudite et le Qatar en affirmant qu’ils soutenaient les insurgés sunnites.

Source: AFP et lorientlejour

Par La Rando

Emaar Properties augmente ses bénéfices

En s’appuyant sur la croissance de l’économie de Dubaï, Emaar Properties PJSC a enregistré un profit net de 1,731 milliards de Dhs (471 millions de dollars) pendant le premier semestre (S1 janvier à juin) 2014. C’est 41% de plus qu’au S1 2013 lorsque le profit net était de 1,231 milliards de Dhs (335 millions dollars).

Tiré par une forte performance des centres commerciaux et de l’hôtellerie, le chiffre d’affaires d’Emaar pour les 6 premiers mois de l’année 2014 était de 5,063 milliards de Dhs (1,378 milliards de dollars), comparable au chiffre d’affaires du S1 2013 de 5,219 milliards de Dhs (1,421 milliards de dollars).
Le résultat net du second trimestre (T2 – avril à juin) 2014 est de 868 million de Dhs (236 millions de dollars), 29% de plus que le résultat du T2 2013 qui s’établissait à 675 millions de Dhs (184 millions de dollars).

Le chiffre d’affaires du T2 2014 s’établit à 2,807 milliards de Dhs (764 millions de dollars), 24% de plus que le chiffre du T1 2014 de 2,256 milliards de Dhs (614 millions de dollars).

Les filiales centres commerciaux et hôtels ont contribué aux revenus récurrents à hauteur de 2,647 milliards de Dhs (721 millions de dollars) au cours du premier semestre 2014, 14% de plus que le chiffre de ces activités performantes au cours de la même période l’année précédente qui s’établissait à 2,326 milliards de Dhs (633 millions de dollars). La quote-part des revenus de ces deux activités est de 52 % du total des revenus du S1 2014.
Les revenus générés par les centres commerciaux et l’hôtellerie au cours du T2 2014 étaient de 1,301 milliards de Dhs (354 millions de dollars), 12% de plus qu’au T2 2013 lorsque les revenus étaient de 1,160 milliards de Dhs (316 millions de dollars).

Le chiffre d’affaires issu des opérations globales de la société au cours du S1 2014 était de 751 millions de Dhs (204 millions de dollars), représentant 15% du chiffre total. C’est 43% de plus qu’au T1 2014 au cours duquel le chiffre généré par cette activité représentait 288 millions de Dhs (78 millions de dollars).

Mohamed Alabbar, le président d’Emaar Properties, a déclaré que la croissance positive de la société a été alimentée par la crédibilité de Dubaï en tant que place économique stable et sûre pour le business et les loisirs. « Sa Majesté le Sheikh Mohammed bin Rashid Al Maktoum, le Vice-Président des Emirats Arabes Unis, Premier Ministre et Dirigeant de Dubai, a défini une forte ligne directrice orientée vers la croissance de l’économie de la ville, ce qui a renforcé la confiance des investisseurs. La ville est aujourd’hui un aimant à talents et capitaux, et nous complétons cette dynamique de croissance au travers nos actifs de classe mondiale tant commerciaux qu’hôteliers. » Il a ajouté : « Au cours des six derniers mois, Emaar a contribué significativement à développer l’infrastructure de Dubaï au travers du lancement de plusieurs nouveaux projets. Nous continuerons de créer au travers de partenariats des destinations uniques qui accompagneront la ville qui accueillera l’exposition universelle en 2020 ».

Des projets uniques à Dubai

Au cours des six premiers mois de l’année, Emaar a encore renforcé son portefeuille d’actifs à Dubaï avec le lancement de plus de 10 projets prestigieux à la demande d’investisseurs significatifs, incluant des investisseurs internationaux. Le volume des ventes des projets d’Emaar à Dubaï au cours du S1 2014 étaient de 9,032 milliards de Dhs (2,459 milliards de dollars), 43% de plus que les ventes du S1 2013 qui atteignaient 6,328 milliards de Dhs (1,723 milliards de dollars). Les investisseurs internationaux ont compté pour environ 20% des ventes totales au cours des six premiers mois de l’année, soit environ 1,8 milliards de Dhs (490 millions de dollars).

Internationalement, Emaar Middle East, la filiale de la société dédiée aux projets en Arabie Saoudite, a lancé l’Emaar Square. Considéré comme le plus prestigieux projet d’immobilier commercial, le projet fait partie du Jeddah Gate.
La croissance robuste des revenus des centres commerciaux d’Emaar Malls Group, le promoteur du fameux Dubai Mall, a enregistré un chiffre d’affaires impressionnant à hauteur de 1,250 milliards de Dhs (340 millions de dollars) au cours des six premiers mois de 2014. C’est 13% de plus que le chiffre d’affaires du S1 2013 qui s’établissait à 1,106 milliards de Dhs (301 millions de dollars). Le chiffre d’affaires du T2 2014 s’est établi à 650 millions de Dhs (177 millions de dollars), 11% de plus que le chiffre du T2 2013 qui s’élevait à 584 millions de Dhs (159 millions de dollars).
Le centre commercial a enregistré une forte croissance de la part des visiteurs très dépensiers des pays “GCC”, de Chine, d’Arabie Saoudite, d’Europe de Russie et des pays de la CEI.
La gamme complète de l’activité hôtellerie et loisirs a enregistré un chiffre d’affaires de 893 millions de Dhs (243 millions de dollars) au cours du S1 2014, 16% de plus que le chiffre du premier semestre 2013 qui s’établissait à 771 millions de Dhs (210 millions de dollars).

Le chiffre d’affaires de l’hôtellerie et des loisirs du T2 2014 était de 410 millions de Dhs (112 millions de dollars) 16% supérieur à celui du T2 2013 qui s’élevait à 354 millions de Dhs (96 millions de dollars). L’adresse phare Hôtels + Resorts a affiché un taux d’occupation moyen de 89% au cours des six premiers mois de l’année.

De nouvelles attractions touristiques

Dans l’optique d’accompagner le développement de Dubaï en renforçant le tourisme, les loisirs et le commerce, Emaar a organisé la première Fête des Lumières de Dubaï, menée en collaboration avec la Fête des Lumières de Lyon, à Downtown Dubaï.

L’évènement a attiré des milliers de visiteurs quotidiennement à «  The Center of Now ». Ajoutant encore à l’attractivité du Dubai Mall et Downtown Dubai, Emaar a mis en scène une colossale exposition de dinosaures de la période Jurassique, désormais appelée Dubai Dino, ainsi qu’un rare phénomène de la nature, un crocodile long de 5 mètres, King Croc, et son compagnon au Dubaï Aquarium et Underwater Zoo.

Emirates News Agency, WAM

Par La Rando

L’aquarium de Dubaï

Les requins et les raies du Dubaï Mall doivent nagent fièrement ces jours-ci… L’aquarium de Dubai et Underwater Zoo ont été élu l’un des meilleurs aquariums dans le monde par les utilisateurs de TripAdvisor, plus grand site de Voyage dans le monde.

Le site a annoncé mardi les lauréats du Prix des Voyageurs pour les Zoos et Aquariums à travers le monde. Il y avait 275 gagnants identifiés et l’aquarium de Dubaï a été classé 25ème sur la liste.

L’aquarium Monterey Bay en Californie est le grand vainqueur, suivi par Oceanario à Lisbonne, Portugal; Georgia Aquarium à Atlanta, en Géorgie et le Tennessee Aquarium à Chattanooga, Tennessee.

Les lauréats ont été choisis à la suite d’un calcul qui prend en compte le nombre et la qualité des avis des utilisateurs de TripAdvisor, recueillis sur une période de 12 mois.

“Pour ceux qui veulent voir les créatures les plus merveilleuses du monde, TripAdvisor a nommé Choix des Voyageurs pour les Zoos et Aquariums, ainsi désignés par la communauté de millions de personnes”, a déclaré Barbara Messing, directrice du marketing pour TripAdvisor.

«Les voyageurs peuvent profiter d’une expérience amusante et éducative avec l’une de ces attractions primées.”

Avec 10 millions de litres d’eau, l’aquarium de Dubai au Dubaï Mall est le plus grand aquarium suspendu dans le monde. Il est le foyer de milliers d’animaux aquatiques, y compris les requins et les raies. L’un des plus récents ajouts d’animaux exposés est le crocodile de 750 kg qui a été amené de Queensland, en Australie.

L’Aquarium et Underwater Zoo permettent également aux visiteurs de faire une rencontre rapprochée avec un poisson-chat géant, des piranhas et des pingouins grâce à une promenade à travers une mini forêt tropicale intérieure.

Source traduite de Gulf News

Par La Rando

De nouveaux grands projets pour les Emirats arabes unis

Au cours des six premiers mois de2014, des contrats d’une valeur totalede15 milliards de dollars ont été attribués à de grands projets dans les Emirats Arabes Unis selon les données semestrielles de MEED Projets.
Plus de 50contrats, d’une valeur totale de plus de5,4 milliards de dollars, ont été signés pour des projets résidentiels et 3,8milliards de dollars pour les projets à usage mixte.
“La résurgence d’intérêt évident dans les projets résidentiels aide à réaliser le meilleur semestre de l’attribution des contrats dans le secteur bâtiments et transports depuis 2008,” déclare Julian Herbert, Directeur de MEED Projets.
«Les projets de construction civile représentaient 75pour cent de tous les contrats durant la première moitié de l’année, et avec plus de20 milliards de dollars. Les Emirats sont ainsi le principal marché du CCG. »
La force du secteur des projets résidentiels est en grande partie due à la reprise à Dubaï, 44 grands contrats totalisant4,8 milliards de dollars ont été accordés au cours des six premiers mois de2014.
Abou Dhabi, avec six projets d’une valeur totalede500 millions de dollars, arrive en deuxième place.
L’investissement soutenu dans les infrastructures de transport est une autre caractéristique de l’économie émirienne depuis une décennie, avec 2 milliards de dollars de contrats attribués,essentiellement à AbouDhabi.
Les six premiers entrepreneurs mesurés parla valeur des contrats attribués au cours des six premiers mois de2014 sont Arabian Construction Company (ACC) et Arabtec avec plus de1 milliard de dollars chacun.Huit des 10et17des 20 plus grandes entreprises sont soit des entrepreneurs locaux ou des coentreprises. MEED Projets est un outil de développement de l’entreprise et de l’analyse de marché en ligne avec de nombreuses données sur tous les secteurs clés et permettant aux utilisateurs d’évaluer les possibilités et la faisabilité de nouveaux marchés et de projets potentiels. 

Source: The Gulf Today

Par La Rando

Quand les faucons attaquent l’Argentine

La justice des États-Unis vient de condamner l’Argentine à payer en totalité des titres de créances pourtant rachetés à vil prix par des fonds spéculatifs spécialisés. Une affaire aux conséquences redoutables, d’abord pour le peuple argentin, ensuite parce qu’elle risque de bloquer toute possibilité de restructuration des dettes publiques.

La justice des États-Unis a encore frappé (lire aussi « Affaire BNP Paribas : le problème des deals de justice »). Le 18 juin, la Cour suprême des États-Unis a refusé de mettre en cause le jugement d’un tribunal de New York condamnant l’Argentine à payer le remboursement à leur valeur initiale (plus les intérêts) d’obligations de la dette publique de l’Argentine détenues par deux fonds spéculatifs appelés, à juste raison, fonds vautours.

C’est une affaire extrêmement grave. Certes, ce n’est pas la première fois que des financiers charognards trouvent dans la justice américaine les moyens de s’enrichir sur le dos de pays en difficulté. Mais c’est tout de même la première fois que la plus haute instance judiciaire des États-Unis leur prête la main. Surtout cela entraîne la menace d’une nouvelle faillite de l’Argentine, et d’un blocage de toute restructuration future d’une dette publique en incitant les créanciers à refuser tout compromis avec les États. Et ceci alors même que de telles restructurations apparaissent de plus en plus nécessaires, pas seulement dans les pays du Sud, mais aussi en Europe. Bref, il est urgent de soutenir l’Argentine et d’agir pour bloquer les possibilités d’action des fonds vautours.

Les biens nommés fonds vautours

Les fonds vautours ne sont pas des épargnants ayant souscrit des titres de dette publique d’un pays, pénalisés par un défaut de ce pays. Ce sont des fonds rachetant au rabais aux banques et aux assurances de vieilles dettes de pays ayant fait faillite pour les attaquer en justice et leur réclamer le paiement intégral de la valeur nominale de leur titres, plus le paiement des intérêts non versés, une fois la solvabilité de ces pays plus ou moins retrouvée. Ils n’ont donc jamais financé les pays qu’ils attaquent. Leur objectif est de faire le maximum d’argent sur la misère du monde et d’exploiter, pour ce faire, tous les filons juridiques possibles. Certes, cela demande du temps, des réseaux de toutes sortes et un lobbying intense. Ces fonds n’en manquent pas. Ils sont en général opaques, localisés dans des paradis fiscaux et dans les mains de milliardaires influents.

Quelques-uns tiennent le haut du pavé de la « profession » : Le groupe Elliott, fondé et dirigé par Paul Singer, a notamment à son tableau de chasse le Pérou. Sa filiale NML est l’un des deux fonds ayant attaqué victorieusement l’Argentine. Une autre filiale, Kensington International, a poursuivi le Congo Brazzaville. L’américain Paul Singer est l’un des principaux contributeurs financiers du Parti républicain.

Le fonds Donnegal international, filiale de Debt Advisory International, s’en est pris à la Zambie. Il est dirigé par Michael Sheehan – qui aime, paraît-il, à se faire appeler Goldfinger – et fut… conseiller des pays pauvres en matière de gestion de leur dette. FG Hemisphere, qui s’est notamment attaqué à la République démocratique du Congo, est dirigé par Peter Grossman, un ancien de la banque Morgan Stanley.

Dart Management est un fonds vautour dirigé par le multi milliardaire Kenneth Dart , exilé fiscal américain et nouveau citoyen du Belize. Il privilégie la recherche d’accords secrets, sous chantage d’une action en justice avec les pays qui restructurent leurs dettes. Il l’a fait avec le Brésil et l’a refait plus récemment avec succès sur le dos de la Grèce. Plutôt que de risquer une action en justice, la Grèce, a décidé en 2012, d’effectuer un remboursement d’un demi-milliard d’euros sur la partie de ses dettes régie sous droit américain et rachetée à bas prix notamment par Dart Management qui a empoché 90% des remboursements.

1.608% de profits en six ans

Il y a certes le risque de ne pas aboutir devant les tribunaux, plus le risque de ne pas être payé malgré un jugement favorable, mais le jeu en vaut la chandelle. Les marges obtenues sont considérables, comme le montre l’évaluation de la Plateforme Dette et développent sur des exemples des années 2000.

Calculé par la plate-forme Dette & Développement et le CNCD à partir des données 2005-2008 du FMI et de la Banque mondiale (cf. le rapport mai 2009 : « Un vautour peut en cacher un autre »).

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