Par La Rando

Relations entre les Emirats et le Qatar

Le Ministre émirien des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, SA Cheikh Abdullah bin Zayed Al Nahyan, et le Ministre des Affaires étrangères du Qatar Cheikh Mohammed bin Abdulrahman Al-Thani, participaient à la sixième session du Comité supérieur ministériel des deux pays, affirmant l’engagement à poursuivre leurs efforts pour consolider davantage leurs relations bilatérales et historiques. Lire la suite « Relations entre les Emirats et le Qatar »

Par La Rando

Le Koweït s’intéresse aux entreprises françaises innovantes

Lors de la visite du premier ministre koweïtien à Matignon, un accord a été signé pour que les deux pays investissent ensemble dans de jeunes entreprises technologiques de l’Hexagone. Ils ont réservé une enveloppe de 450 millions d’euros.

La France cherche à attirer des investisseurs étrangers pour ses start-up et PME, pas seulement pour ses grandes entreprises. Mercredi, Manuel Valls a signé un accord avec le premier ministre du Koweït cheikh Jaber Al Moubarak Al Hamad Al Sabah pour que les deux pays investissent dans de jeunes entreprises technologiques françaises. Ils y consacrent une enveloppe de 450 millions d’euros, dont 300 millions sont apportés par l’État du Moyen-Orient. Bpifrance apporte le restant des fonds, la banque publique jouant davantage le rôle d’un conseiller que d’un co-investisseur. «Bpifrance étant le plus gros investisseur en capital-risque en France, le Koweït a reconnu notre grande expertise en la matière», explique Pascal Lagarde, directeur de la stratégie de Bpifrance. En 2014, une entreprise sur deux financée directement ou indirectement par Bpifrance était innovante: 473 sociétés ont reçu 563 millions d’euros au total.

L’argent koweïtien ne sera pas directement investi dans des entreprises, mais apporté à des fonds de capital-risque français. Ceux-ci seront chargés à leur tour de choisir les sociétés les plus prometteuses que ce soit dans les technologies de l’information, des biotechnologies ou des écotechnologies. «Les jeunes entreprises technologiques sont les plus difficiles à identifier pour les investisseurs étrangers. Ce sont des investissements risqués, mais ils permettent de constituer l’économie de demain», souligne Pascal Lagarde. Il ajoute que les liens avec le Koweït peuvent permettre aux start-up françaises de s’installer plus facilement dans les marchés du Moyen-Orient.

D’autres fonds bilatéraux à venir

Bpifrance a déjà noué un accord comparable avec la China Development Bank. Cette coopération, à l’œuvre depuis trois ans, vise à favoriser les échanges commerciaux entre les deux pays grâce à des investissements dans des PME françaises et chinoises. Un troisième fonds franco-chinois vient d’être créé, qui devrait atteindre 250 millions d’euros. Cette somme sera investie dans des start-up du digital (Big Data, Internet des objets, voiture connectée…).

En février 2014, la Caisse des dépôts et consignations avait aussi signé un accord avec le fonds souverain du Qatar pour que les deux pays investissent dans des PME françaises. Bpifrance est en contact avec d’autres pays non-européens pour mettre en place ce type de fonds bilatéraux. Les discussions avec le Brésil sont les plus avancées.

 

Source  lefigaro.fr

Par La Rando

Les relations entre la France et le Qatar

La France et le Qatar ont établi de longue date des relations étroites dans les domaines politique, culturel et économique. Mehdi Lazar décrypte la complexe relation franco-qatarie. Cette relation s’inscrit également dans le cadre des relations énergétiques, du déplacement du centre de gravité militaire et économique du monde vers le Moyen-Orient et l’Asie, et de la bonne entente entre les dirigeants des deux pays.
Outre les échanges commerciaux qui évoluent depuis quelques années autour de un à deux milliards d’euros par an, la soixantaine de filiales françaises présentes au Qatar sont très actives, notamment autour des nombreux grands contrats inhérents au développement rapide du pays. De même, la France est devenue l’une des destinations de choix des fonds d’investissements qataris, avec plusieurs prises de participation dans les grands groupes, des investissements dans l’immobilier, le sport et la communication.Lire la suite sur Atlantico.fr

Par La Rando

Relations entre la France et l'Arabie Saoudite

Les ambitions de nos gouvernements sont décidément truffées de mystères. La Syrie de M. Bachar Al-Assad est déclarée régime totalitaire alors que M. Hollande n’hésite pas à serrer la main au roi Abdallah d’Arabie Saoudite, cela, au sein même de son somptueux palais de Djeddah. Dans cette pétromonarchie des Mille et une nuits où on tranche encore publiquement les têtes au sabre, la liberté d’expression se résume aux préceptes coraniques et aux exigences de la sunna.

Toute déviation est sévèrement réprimée. Le caractère absolutiste de cette théocratie détermine le conditionnement absolutiste des mœurs. Et pourtant, aux yeux de Messieurs Hollande et Fabius, Abdallah Ier, reprenant l’expression de notre Ministre des Affaires étrangères, mérite bien d’être sur terre. Ce qui ne serait pas le cas de M. Al-Assad que l’on devrait réduire à s’appeler Bachar et envoyer, le plus vite serait le mieux, en enfer … Lire la suite sur french.ruvr.ru

Par La Rando

Les relations Chine-Emirats arabes unis

Le plus haut législateur chinois Zhang Dejiang a rencontré lundi le président du Conseil national fédéral (CNF) des Emirats arabes unis (E.A.U) Mohammed Ahmed al-Mur. Il s’agit de la première rencontre de M. Zhang avec un président d’assemblée étranger depuis sa prise de fonctions en tant que président du Comité permanent de l’Assemblée populaire nationale (APN).
Les relations Chine-E.A.U ont connu un rapide développement depuis l’établissement des relations diplomatiques entre les deux Etats en 1984, a indiqué M. Zhang, ajoutant que les relations avaient atteint un nouveau niveau grâce à l’établissement d’un partenariat stratégique bilatéral.
M. Zhang a décrit les Emirats arabes unis comme un Etat influent au Moyen-Orient, notant que la Chine et les E.A.U étaient des partenaires de confiance. Lire la suite sur french.peopledaily.com.cn

Par La Rando

2013: relations entre la France et les Emirats

La visite de François Hollande aux Emirats arabes unis, qui s’est déroulée, mardi 15 janvier, dans les palais et palaces d’Abou Dhabi et de Dubaï, avait été préparée de longue date. Il fallait ranimer une relation mise en veilleuse depuis que l’industrie française s’est fait souffler, en 2009, un contrat de 20milliards de dollars (15 milliards d’euros) pour la construction de quatre réacteurs nucléaires, attribuée à un groupe sud-coréen. Volets économique, stratégique, environnemental : le voyage devait resserrer les liens entre les deux pays et être bénéfique aux exportations tricolores. Lire la suite « 2013: relations entre la France et les Emirats »