Par La Rando

Comment sauver l’environnement en économisant l’énergie ?

Dans un monde où tout va très vite, nos dépenses énergétiques augmentent avec les progrès croissants de la technologie et de la science. Malheureusement, ces derniers accélèrent le réchauffement climatique qui est non seulement nocif pour les êtres humains mais aussi pour la faune et la flore. Vous l’aurez compris, la conservation de l’énergie est très importante et également bénéfique à bien des égards. Lire la suite « Comment sauver l’environnement en économisant l’énergie ? »

Par La Rando

Environnement: entente entre le Maroc et les Emirats arabes unis

Le Maroc et les Emirats arabes unis ont signé, jeudi à l’Onu, un mémorandum d’entente qui prévoit un soutien technique au Centre marocain de compétence sur les changements climatiques.
Dans une déclaration à la presse à l’issue de la cérémonie de signature, le ministre émirati de l’Environnement, Thani Ahmed Al Zeyoudi s’est dit “honoré” de signer cet accord qui “atteste de la continuité de la coopération entre nos deux pays”. Lire la suite « Environnement: entente entre le Maroc et les Emirats arabes unis »

Par Randonnée

Les océans s’évaporeront dans 300 ans

ocean merToutefois, les poissons et les oiseaux mourront beaucoup plus tôt et les eaux maritimes se transformeront en une « soupe » microbienne primitive.

L’Organisation météorologique mondiale (OMM) constate que l’année en cours a toutes ses chances de faire partie des dix années les plus chaudes depuis le début des observations météorologiques. En effet, de janvier à septembre, la température moyenne était d’un degré et demi plus élevée que les indices annuels moyens de la période 1961-1990 (14,2 degrés) prise comme référence.

Michel Jarraud, secrétaire général de l’OMM, a attiré l’attention sur l’augmentation de la concentration dans l’atmosphère de gaz à effet de serre. « Un avenir chaud nous attend ». L’augmentation de la température n’est qu’une des manifestations du changement climatique. Une influence négative sur le cycle d’eau est déjà bien apparente, ce qui s’exprime par des sécheresses, des inondations et des précipitations intenses. Les scientifiques donnent pour l’exemple le typhon Haiyan qui a fait rage aux Philippines.

« À des latitudes tropicales, la température dépasse de plus en plus souvent le niveau critique de 26,6 °C. C’est là qu’apparaissent des tempêtes. L’océan se réchauffait à cause du CO2 que l’on jetait dans l’atmosphère. Il suffit que sa température augmente d’un demi-degré qu’il commencera à, lui-même, rejeter une énorme partie de gaz carbonique dans l’atmosphère. Environ 85 % de tout le gaz carbonique est dissous dans les eaux de l’Océan mondial », note Valeri Zyrianov, chef du laboratoire de l’hydrodynamique de l’Institut des problèmes aquatiques.

Dans la deuxième moitié du XXIe siècle, la chaleur anormale sera un phénomène pratiquement annuel, qui se manifestera sur 60 % de la surface terrestre. La surface de la Terre, soumise à des températures anormalement élevées, va croître environ d’un pour cent par an.

Ce qui ne sera pas brûlé sera noyé. Selon l’ONU, le niveau mondial de la mer augmente de 3,2 millimètres par an, ce qui est deux fois plus que l’année dernière. Récemment, le journalNational Geographica publié les prévisions des changements de l’apparence géographique de la planète. En effet, si, à la suite d’un changement climatique, les glaces polaires fondent, toutes les régions côtières où vit un grand pourcentage de la population mondiale seront inondées. Pratiquement aucune vie ne serait présente dans cette eau, comme il y a trois milliards et demi d’années.

Si nous devions nous retrouver dans les mers anciennes, nous serions dans une « soupe » d’algues et de bactéries. Avec le temps, ces dernières ont évolué jusqu’à des formes complexes. Mais aujourd’hui, il s’agit au contraire d’une transformation inverse d’écosystèmes océaniques complexes (avec des animaux et des chaînes alimentaires complexes) en des systèmes simplifiés marqués par une dominance de microbes et de méduses. Selon Alexeï Karnaoukhov, chercheur en chef de l’Institut de biophysique cellulaire, nous risquons d’inverser le processus d’évolution.

« Les animaux qui s’éteignent ne sont pas ceux qui sont présents partout, mais au contraire ceux qui sont déjà en voie d’extinction. Les espèces marginales ont créé une réserve de stabilité. Lors des changements de conditions climatiques, ce sont eux qui remplissaient les niches écologiques et apportaient une stabilité au système. Par exemple, près de 90 % du gaz carbonique de l’atmosphère sont récupérés par 80 types de planctons. Ces types dépendent fortement de la température et de l’acidité d’eau. Nous ne remarquerons pas leur disparition comme celle des ours polaires ou des morses, dont la sauvegarde est assurée par des organisations entières. Toutefois, les conséquences de la disparition du plancton sont plus graves que celles de la disparition des ours polaires »,affirme-t-il.

Une des principales causes d’épuisement des océans est le gigantesque volume de la pêche. Selon certaines données, depuis 1950, la quantité de grands poissons (thon, marlin, morue et flétan) a diminué de 90 %. Les flottilles de pêche optent désormais pour les petits poissons, comme les sardines, les anchois et les harengs. Ces derniers se nourrissent justement de planctons. Alexeï Karnaoukhov est persuadé que l’élimination d’un maillon important du milieu de la chaîne alimentaire sape tout l’écosystème.

« Les oiseaux disparaîtront en premier, car nombre d’entre eux se nourrissent de poissons. Mais ils peuvent aussi mourir à cause d’un changement de la composition chimique de l’atmosphère. Ils sont plus sensibles aux gaz carboniques que les mammifères »,explique-t-il.

L’activité de l’homme change la composition chimique des mers. L’acidité des eaux augmente, ce qui entraîne une diminution de la quantité de carbonate de calcium : un élément clé des squelettes et des coquilles des coraux, des planctons, des mollusques et de nombreux autres organismes marins. Toutefois, Alexeï Karnaoukhov estime qu’un écosystème océanique primitif n’est pas le pire de ce que l’on pourrait avoir.

« Si nous ne limitons pas notre consommation de ressources naturelles (dont les hydrocarbures), les océans s’évaporeront tout simplement. Ceci arrivera dans 300 ans. La température pourrait changer de plus de 100 degrés. La mer en tant que telle n’existera plus du tout. Le réchauffement climatique arrivera à un stade irréversible, ce sera une catastrophe de l’effet de serre. Notre planète Terre ressemblera à Vénus, où aucune vie à laquelle nous sommes habitués n’est possible », note-t-il.

Autrement dit, il n’est pas si facile de faire fi des problèmes écologiques. Ils commencent à directement influencer la qualité de vie de chaque homme sur la planète. Et plus c’est loin, pire c’est. Admettons que, du point de vue de nombreux scientifiques, les changements climatiques suivent un cycle et un « mécanisme inverse » devrait se déclencher. Mais personne ne peut dire aujourd’hui quand et comment cela se produira et quelles en seront les conséquences.

Source: La voix de la Russie

Par La Rando

My Qatar: les jeunes et l’environnement

Le premier forum des jeunes sur l’environnement et le développement durable a débuté hier, ce dernier met en évidence l’importance de la protection de l’environnement au Qatar. « My qatar » (Mon qatar)est le forum qui envisage de devenir un événement annuel pour attirer les jeunes engagés et qui ont l’intention de faire une différence dans la protection et la conservation de l’environnement. Pendant l’événement, plus de 80 étudiants de l’école et de l’université ont obtenus des informations sur les questions d’environnement au Qatar, à développer leurs projets et initiatives pour ensuite les présenter à des particuliers. L’événement organisé par la (Youth Company) «Société de la jeunesse», une autonomisation des jeunes de l’organisation, se tiendra à l’Hôtel Hilton, à Doha. Elle prétend soutenir la réalisation de l’un des quatre grands piliers de la Qatar National Vision 2030, sur le développement de l’environnement.
Le forum a présenté hier l’engagement du Qatar au développement durable, QNV2030 et NDS 2011-2016 Stratégie pour le secteur de l’environnement, délivré par le secrétariat général à la planification du développement, suivie par une séance d’information sur la qualité de l’air par le Qatar Environnement et Energy Research Institute.
Les participants ont également été informés des faits sur l’environnement et dans les pays du tiers monde et ont été sensibilisés à la planification du projet et la gestion efficaces à travers un atelier.

Par La Rando

Environnement et Entreprise en Algérie

Acculée par la nécessité de réaliser des gains immédiats et préserver sa place sur un marché de plus en plus concurrentiel, l’entreprise algérienne serait peu regardante sur les questions liées à la préservation de l’environnement, à l’efficience énergétique et à l’économie verte en général. C’est l’un des constats faits, hier à Alger, par les participants au 1er Symposium international sur la gestion environnementale organisé par MDE-Consult et le Club des entrepreneurs et industriels (CEIMI), en collaboration avec le ministère de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement. Selon les organisateurs de cette rencontre à laquelle ont pris part des experts algériens et étrangers, la gestion environnementale «s’impose aujourd’hui comme un outil à intégrer dans le processus de développement des entreprises», dans un souci de durabilité de la croissance devant leur garantir une plus grande performance et répondre par la même aux stratégies nationales de préservation de l’environnement. Lire la suite « Environnement et Entreprise en Algérie »