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Randonnée à Tiznit (Maroc)

tiznit randonneeTiznit est une ville berbère au Maroc. C’est une ville du sud du Maroc et le chef-lieu de la province de Tiznit, dans la région Souss-Massa-Draa. La population de la ville, qui s’élevait à 53 682 habitants en 2004, est largement berbère. Découvrez la randonnée pédestre de ces jeunes marocains.

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10 conseils pour ne jamais tomber malade

homme femme randonneeSe mettre à l’abri des infections, c’est possible. 10 conseils pour renforcer ses défenses immunitaires et ne plus tomber malade.

Veiller à ses apports en vitamines et minéraux

Vitamines, minéraux, oligo-éléments : des alliés de poids. Ils aident l’organisme à mieux résister aux rhumes, bronchites et autres gastro-entérites. La vitamine A, présente par exemple dans la carotte, les épinards ou la laitue, tonifie les muqueuses respiratoires. « La vitamine C des agrumes ou du kiwi possède des vertus anti-infection et anti-fatigue », explique le Dr Jean-Loup Dervaux. Les fruits oléagineux regorgent de magnésium. Le calcium ou le zinc stimulent aussi notre immunité. En pratique : Une alimentation saine et variée suffit généralement à couvrir nos besoins en vitamines et minéraux. « Seules les prescriptions médicales en cas de carences nécessitent le recours à des compléments alimentaires », estime le Dr Jean-Loup Dervaux.

Eviter les polluants

Poussières, fumées, tabac : les polluants de l’air réduisent nos défenses. La raison : ils agressent les muqueuses des voies respiratoires. Ainsi affaiblies, virus et microbes peuvent s’y greffer plus facilement. Les polluants diminuent aussi notre capacité d’évacuation. Les bactéries peuvent alors proliférer. En pratique : A l’extérieur, il faut éviter tant que possible les gaz d’échappement. Et essayer de profiter des espaces verts pour respirer un air plus pur. A l’intérieur, il convient de bien aérer pour se débarrasser des poussières et autres allergisants. Les pièces ne doivent pas être trop sèches, humides, chaudes ou froides. « Il est possible d’utiliser chez soi un ioniseur-filtreur », conseille le Dr Jean-Loup Dervaux. « Il délivre un air enrichi en ions négatifs, qui stimulent les défenses naturelles. »

Ne pas abuser des antibiotiques

La prise excessive d’antibiotiques peut nuire au système immunitaire. « Avec l’abus d’antibiotiques, le corps esquive le combat contre les microbes », indique le Dr Jean-Loup Dervaux. « Cette bagarre permet normalement de stimuler nos défenses et de les maintenir à niveau. » Attention également à la cortisone. Au-delà des cures courtes d’une semaine à 10 jours, elle peut affaiblir l’immunité. En pratique : Il convient de respecter strictement les prescriptions médicales, tant au niveau des doses que des durées. Il ne faut pas réutiliser de vieilles boîtes de médicaments entamées sans consultation préalable. Au moindre doute, il vaut mieux consulter son médecin.

Fuir le stress et l’anxiété

« Le stress et l’anxiété dévorent nos réserves énergétiques et réduisent notre résistance immunitaire », prévient le Dr Jean-Loup Dervaux. Un stress permanent augmente le taux de cortisol et d’adrénaline dans le corps. Ces hormones semblent abaisser le pouvoir défensif de l’organisme. L’anxiété entraîne également des spasmes respiratoires favorables aux infections. En pratique : Il faut éviter toute forme de stress. Objectifs prioritaires : bien dormir, pratiquer des activités relaxantes voire éviter les personnes négatives. « A l’inverse, les pensées positives bénéficient au système endocrinien et hormonal », signale le Dr Jean-Loup Dervaux. « Il faut se déconnecter du monde de temps en temps. Eteindre son téléphone portable, couper la télévision, ne pas écouter les informations. »

Probiotiques : pas de certitude

Pour renforcer nos défenses, les publicités vantent les mérites des probiotiques. Mais les doutes subsistent sur l’efficacité de ces laits fermentés enrichis en bactéries. En pratique : « Il n’existe pas réellement d’étude fiable à ce sujet », estime le Dr Jean-Loup Dervaux. « Les probiotiques facilitent peut-être la digestion et les consommateurs ont l’impression de se sentir mieux. » Pour l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) aussi, « le nombre d’études reste restreint« . Si l’ingestion de probiotiques « n’est pas sans effet pour le système immunitaire », « la corrélation entre cet effet et la prévention des infections reste controversée« .

Dormir suffisamment

Renforcer ses défenses immunitaires passe par un bon sommeil. La nuit permet de récupérer physiquement et mentalement. Ce regain d’energie aide à faire face aux agressions. Selon une étude américaine publiée dans Archives of Internal Medicine en 2009, les personnes dormant moins de 7 heures par nuit ont trois fois plus de risque d’attraper un rhume que celles se reposant au minimum 8 heures. En pratique : Les médecins recommandent 8 heures de sommeil en moyenne. « Mais il faut se caler sur ses propres besoins. Certaines personnes dorment un peu plus ou un peu moins », précise le Dr Jean-Loup Dervaux. « Ne pas se sentir fatigué reste l’essentiel. Et si la nuit a été courte, une sieste dans la journée permet de récupérer. »

Respecter certaines règles d’hygiène

La manière la plus simple d’éviter les maladies infectieuses : rester attentif à l’hygiène. En pratique : Se laver correctement les mains permet d’éviter de nombreux germes. Il faut frotter au moins vingt secondes avec du savon et bien se sécher les mains ensuite. Une opération à répéter autant que possible, notamment avant et après manger ou en sortant des transports en commun. Pendant les périodes à risque, le recours à un masque peut s’avérer nécessaire pour éviter de contaminer et d’être contaminé. Il faut éviter d’approcher les personnes malades et ne pas oublier de bien ventiler sa chambre à coucher.

Tenter la phytothérapie

Eucalyptus, camphre, térébenthine : certaines plantes renferment des substances désinfectantes et bactéricides. La phytothérapie

offre ainsi une possibilité de prévention naturelle. « Les microbes résistent moins aux dizaines de molécules des plantes qu’à la molécule unique de certains antibiotiques », soutient le Dr Jean-Loup Dervaux. « Résultat, la phytothérapie présente beaucoup d’avantages et très peu de contre-indications ». Seuls les enfants, les femmes enceintes et les personnes ayant le tube digestif fragile doivent éviter les plantes. Pour les autres, il suffit de prendre conseil auprès de son médecin phytothérapeute. En pratique : Pour stimuler ses défenses, le Dr Jean-Loup Dervaux conseille « une tisane de thym avec un peu de citron, chaque soir, durant les périodes à risque ».

Pratiquer une activité physique modérée

Un organisme en pleine forme lutte plus efficacement contre les agressions. L’exercice permet de stimuler nos défenses. Il accélère la circulation sanguine et favorise aussi la production de globules blancs, qui nous débarrassent des corps étrangers. Il transforme la fatigue morale en fatigue physique, plus facilement récupérable par le sommeil. Enfin, il fait travailler le système respiratoire et le rend plus résistant. En pratique : Deux mots d’ordre, régularité et modération. Inutile de viser les records olympiques. Il vaut mieux travailler sur l’endurance, une demi heure par jour par exemple. La marche, le vélo sur terrain plat ou la natation constituent de très bons exercices. « Plus l’activité est régulière, plus le bénéfice est durable », précise le Dr Jean-Loup Dervaux.

Que faire en période de crise

En période épidémique, il faut s’organiser pour passer entre les gouttes. En pratique : Il est souvent utile de consulter son médecin pour un bilan à l’approche d’une épidémie. Il faut aussi s’isoler le plus possible des personnes atteintes et renforcer les mesures habituelles. Notamment dormir davantage et se laver les mains fréquemment. Les fumeurs doivent diminuer au maximum le tabac. Autre conseil du Dr Jean-Loup Dervaux : « Un lavage des fosses nasales au sérum physiologique permet de nettoyer les muqueuses préventivement ».

 

Sources

Rhumes, otites, bronchites : c’est terminé !, Dr Jean-Loup Dervaux, éd. Dangles, 2008. – Sleep habits and susceptibility to the common cold, Cohen S et al., Archives of Internal Medicine, 2009. – Stress and infections, Klein TW, The Journal of the Florida Medical Association, 1993. – Effets des probiotiques et prébiotiques sur la flore et l’immunité de l’homme adulte, Afssa, 2005. Medisite.fr

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Randonnée avec un drone

Dan Held, un vidéaste américain, utilise son drone pour montrer l’ascension de l’Engineer moutain, aux États-Unis. Les drones ont révolutionné la vidéo, qu’elle soit professionnelle ou amateur. Souvent peu coûteux, relativement simples d’emploi et permettant de filmer en haute définition, les films réalisés avec ces machines volantes emplissent les sites de partage.

La dernière création qui fascine le web, elle, emmène le spectateur en plein cœur des montagnes Rocheuses américaines, dans les monts San Juan. Au milieu d’un paysage aride, lunaire, façonné par les périodes de glaciation, Dan Held montre l’ascension de l’Engineer moutain, dans le Colorado.

Le rendu est impressionnant et le spectateur se retrouve transporté en pleine nature, à plus de 4.000 mètres d’altitude au-dessus d’un site de randonnée parmi les plus fréquentés aux États-Unis.

Source: RTL

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Connaissez-vous les animaux médecins ?

animaux medecinDes chimpanzés aux insectes, cette passionnante enquête explore les comportements d’automédication chez les animaux. Le scientifique américain Michael Huffman raconte notamment comment il a découvert que les chimpanzés pouvaient soigner leurs maladies en utilisant les plantes médicinales de leur environnement.

Il y a seulement vingt-cinq ans que les premières preuves d’un comportement d’automédication chez un animal ont été apportées, d’abord chez le chimpanzé. Sur la base des recherches pionnières menées par le scientifique américain Michael Huffman, qui nous sert de guide tout au long du film, une nouvelle science a été fondée : la zoopharmacognosie, ou l’étude de la pharmacopée animale. Au carrefour de l’éthologie, de la médecine et de l’anthropologie, l’étude du comportement des « animaux-médecins » nous fait nous pencher sur la genèse de l’intelligence et de la culture. Où commence l’humanité, où finit l’animalité ? Elle donne de précieux éléments sur la nature possible de l’automédication chez les premiers hominidés, et sur l’évolution des comportements thérapeutiques jusqu’à notre médecine moderne.

Conduites thérapeutiques

Michael Huffman nous raconte comment il a découvert que les chimpanzés pouvaient soigner leurs maladies en utilisant les plantes médicinales de leur environnement. Puis il commente d’autres cas très surprenants : des oiseaux qui pratiquent la désinfection de leur nid en le garnissant de plantes aromatiques aux vertus répulsives, un rongeur qui enduit son pelage d’une sève toxique agissant comme un véritable poison chez ses prédateurs, des éléphants qui posent des emplâtres de boue sur leurs blessures… Certaines « conduites thérapeutiques » peuvent même faire l’objet d’une transmission sociale chez certaines espèces.

  • Durée : 53 min
  • Date : 20-08-2014
  • Réalisation :  Jacques Mitsch
  • Source : Arte

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Interview avec une guide de haute montagne

Marion PoitevinA l’occasion de Montagne En Scène, le festival de films de montagne qui parcourt la France, Marion Poitevin, une guide de haute montagne nous parle de ses projets, du film « Beyond good and Evil » et de son métier de guide . Rendez-vous le 10 novembre à Paris pour la première étape !

Peux-tu te présenter en quelques mots ?

Je m’appelle Marion Poitevin, je suis instructeur à l’école militaire de haute montagne à Chamonix et j’ai fini mon diplôme de guide de haute montagne la semaine dernière

Etait-ce une vocation pour toi d’être guide ?

Non j’avais fait des études de langue, j’ai habité aux Etats-Unis, en Allemagne, puis deux ans à Grenoble, et je suis venue à Chamonix parce que je voulais faire du ski alors j’ai trouvé des petits jobs. Puis de fil en aiguille et à force d’aimer aller en montagne j’avais la liste de course requise pour l’aspi. Comme je ne savais pas exactement comment m’orienter j’ai passé ce diplôme, c’était toujours ça de pris. Ensuite je suis rentrée à l’armée comme instructeur. Pour l’instant je suis plus formateur que guide mais parfois j’emmène des clients au Mont Blanc ; je fais du guidage classique mais surtout de la formation.

Cela te plait d’emmener des clients au Mont-Blanc ou sur d’autres courses ? Ou tu préfères former les militaires à l’EMHM ?

C’est bien de faire les deux en fait, de varier, parce que quand tu as toujours des touristes qui ne connaissent rien à la montagne, au bout d’un moment c’est un peu long ! C’est sympa de leur faire découvrir le milieu mais ce n’est pas le même rythme, tu ne peux pas faire les mêmes courses. La formation, d’un autre côté, c’est vrai que c’est plus fatiguant parce que le niveau est plus haut donc tu es obligé d’être plus prêt, de préparer tes cours, physiquement d’être plus présent…

Quand tu emmènes des clients en montagne sur des courses qui ne sont pas évidentes, tu ressens vraiment une différence par rapport aux courses que tu réalises entre copains et où tu fais les choses pour toi ?

Oui ce n’est pas pareil, tu as surtout la responsabilité de l’autre. Avec un copain tu t’en fiches qu’il se fasse… enfin ne t’en fiches pas qu’il se fasse mal mais si à un moment il se fait mal ce n’est pas forcément de ta faute. Lorsque tu emmènes quelqu’un en montagne tu es responsable de lui quitte à parfois l’infantiliser et faire ce qu’il faut à sa place pour être sûr qu’il rentre sain et sauf … Il faut faire un peu la maman parfois.

 

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Les bienfaits de la randonnée sur la santé

randonneeConsciente de l’intérêt et du bénéfice de la pratique régulière de la marche et de la randonnée sur la santé, la F. F. Randonnée Pédestre s’engage depuis 2009 dans des thématiques « sport-santé ». SantéSportMagazine a rencontré Fabienne VENOT, conseillère technique national, et Sophie DUMERY, médecin du sport, pour en savoir plus sur les formations et le label Rando Santé®.

Fabienne VENOT, conseillère technique national à la fédération française de randonnée pédestre (F.F.R.P.), s’occupe de l’adhésion, la formation et la pratique de la discipline. Elle promeut aussi la marche nordique, sport affilié à la fédération.

La F. F. Randonnée Pédestre s’est engagée dans les thématiques « sport-santé » et « cohésion sociale ». Pourquoi se placer dans cette dynamique ?

La pratique d’une activité physique est un des problèmes de santé publique. Nous devons tous, pour notre bien, être plus actif. Or la marche, tout le monde peut la pratiquer. La fédération aussi proposer des activités variées comme la marche nordique et personnalisées comme le label Rando Santé®. Nous avons donc choisi d’accès notre politique sur le sportsanté.

Qu’est-ce que le label Rando Santé® ?

Ce label a pour objectif d’attribuer une qualité à une prestation. Pour posséder ce label, le club doit posséder au moins un animateur ayant suivi la formation Rando Santé®. Ce dernier acquière ainsi des compétences en gestion des personnes en activités adaptées. Il certifie que tout le monde peut pratiquer et prendre du plaisir.

Quelles sont les actions mises en place par la fédération ?

Il y a deux axes :

– la Rando Santé® pour les personnes malades ou en reprise d’une activité physique. Ces individus ont besoin d’une activité adaptée. La fédération propose donc une formation personnelle pour les animateurs et la distribution d’un label pour les clubs. Aujourd’hui, 300 animateurs ont été formés et 100 clubs sont labellisés.

– Le deuxième axe est le « bien vieillir ». Nous cherchons à communiquer vers les personnes peu ou pas sportives. Il s’agit, en quelque sorte, de préparer sa retraite. D’attaquer sa vieillesse en bonne santé en pratiquant dès aujourd’hui, quelque soit notre âge, une activité physique.

Un lien a aussi été créé avec le Ministère des Sports, des Affaires sociales et de la santé. Quel est-il ?

La fédération répond à des appels à projet du Ministère de la santé qui en retour nous aide à mettre en place les dispositifs, comme celui du « bien vieillir ».

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LA RANDONNÉE A AIDÉ L’HOMME À SE DÉVELOPPER

Médecin du sport et pratiquante de randonnée, Sophie DUMERY est bénévole à la commission médicale de la fédération française de randonnée pédestre.

Quels sont les bienfaits de la randonnée sur la santé ?

Ces bienfaits sont ceux liés à une activité physique dite d’« endurance ». Une activité concernant le métabolisme aérobie et qui est à la base de notre fonctionnement humain. Il s’agit de l’activité physique avec le meilleur rendement entre des dépenses caloriques faibles et la distance de déplacement. C’est intéressant pour l’animal car la survie dépend de sa dépense calorique. La marche a aussi déterminé notre métabolisme. Elle a aidé l’Homme à se développer.

Pour les seniors encore plus…

Effectivement, à plus de 55 ans, s’amorce un déclin métabolique. Cela peut être freiné par une bonne hygiène de vie. La marche est une activité physique qui doit s’adapté à la personne et non l’inverse. Il faut faire un bilan de ses compétences, de ses capacités. Car à cet âge, on ne peut plus faire les mêmes efforts qu’à 20 ans. C’est pourquoi, en tant que médecin, on conseille un bilan de la cinquantaine, pour proposer une conduite à tenir. L’avantage de la marche est aussi la facilité à pratiquer et le faible coût. Je donne cependant quelques restrictions. Il faut, tout d’abord, faire attention aux allergies. La randonnée se pratique en milieu extérieur. Le marcheur est donc exposé aux allergènes que ce soient des pollens, le venin, etc. Attention aussi à l’asthme pendant une pratique d’activité physique. Le suivi médical n’est pas à prendre à la légère. Il aide à pratiquer une randonnée en toute sécurité. Attention également aux piqûres d’insectes en provenance tropicale plus répandu avec le réchauffement climatique. Pour cela, renseignez-vous sur le lieu de la randonnée. Enfin, les seniors doivent être attentif aux péripéties météorologiques. Ils sont plus sensibles au froid et à la pluie. N’hésitez pas à prendre conseil auprès de la fédération française de randonnée pédestre.

La fondation ARC est un des partenaires de la F. F. Randonnée Pédestre. Quelles actions la marche à sur les risques de cancers ?

Comme je disais, la marche entretient le métabolisme aérobie. Elle entretient le système et le renouvellement cellulaire. Cela permet aux cellules saines de lutter contre celles malsaines et notamment les cellules cancéreuses. Elle freine leur expansion. Cela fonctionne aussi pour le cerveau. La randonnée stimule les cellules cérébrales, les endorphines, c’est-à-dire les neuro-hormones du bien-être, l’humeur et l’intellect. La marche est donc une activité salutaire.

Source: Santesportmagazine

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Randonnée Massif du Sancy

SancyLe puy de Sancy est un volcan éteint situé dans les monts Dore, dans le département du Puy-de-Dôme, à 35 kilomètres au sud-ouest de Clermont-Ferrand. C’est, avec ses 1 885 mètres d’altitude, le point culminant du Massif central et le plus haut volcan de France métropolitaine. Le puy de Sancy est le point culminant du stratovolcan des monts Dore. Sa mise en place s’est faite sur le versant sud de ce massif entre 1 et 0,2 million d’années, période à l’issue de laquelle il atteignit vraisemblablement l’altitude de 2 500 mètres. Des éboulements massifs se sont produits par la suite puis l’érosion, en particulier glaciaire, a fini de façonner le sommet. Il se présente aujourd’hui sous la forme d’un neck de trachy-andésite claire à gros phénocristaux de sanidine6. Cette roche est parfois aussi appelée « sancyite » par les géologues.

canoë Gorges de l’Ardèche
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Randonnée du Pont d’Arc (Ardèche)

Comment profiter de l’Ardèche?

Pour les amateurs de sensations fortes, il est possible de Louer son canoë pour descendre les Gorges de l’Ardèche pour faire une descente de 1/2 journée, 1 jour ou  2 jours le long de la Gorge. Ce sera une immersion totale dans le paysage exceptionnel de la région. Attention toutefois, la descente des Gorges de l’Ardèche n’est pas faite pour les non-professionnels du canyoning. Il en va de votre sécurité. En fonction de la durée de la descente que vous prévoyez de faire, préparez-vous comme il se doit. Ce peut être avec des accessoires de bivouac, des chauffages d’appoints mobiles, etc. Il faudra également préparer les différentes étapes de votre descente en avance pour fixer des points de bivouac d’emblée et être sûr de bien gérer votre activité et de vous arrêter sur les bons endroits. D’où l’importance de se faire accompagner par un expert des lieux. Lire la suite « Randonnée du Pont d’Arc (Ardèche) »