Par La Rando

Qtel Talk from the heart Commercial

Une publicité pour Qtel , qui montre que les petitsgeste de la vie sont parfois importants.

Rappelons que Qtel (abréviation de Qatar Telecom ) est l’opérateur des télécommunications prestataire au Qatar et est l’une des plus grandes sociétés au Qatar, avec environ 2000 employés.

Qtel a été créé en 1998 et est maintenant coté à la Bourse de Londres en 1999, le Bahrain Stock Exchange en 2001 et le marché des valeurs mobilières d’Abu Dhabi en 2002.

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Deux femmes du Qatar participeront au sommet Obama

Deux femmes entrepreneurs du Qatar ont été sélectionnés pour participer au sommet de deux jours sur l’entrepreneuriat organisée par le président américain Barack Obama à Washington le 26  et 27 avril.

Le sommet, intitulé « A New Beginning » (Un nouveau départ) mettra en évidence le rôle croissant des entrepreneurs à relever les défis communs à la création de partenariats tout en créant des possibilités d’emploi plus importantes.

Selon Joseph LeBaron, ambassadeur américain au Qatar,  « Deux personnes provenant du Qatar n’est pas une petite chose et il montre combien les Etats-Unis ont les valeurs des représentants du Qatar»

Les pariticipantes seront parmi les 250 personnes représentant quelque 40 pays des cinq continents. Il s’agit donc d’une reconnaissance pour le Qatar.La participation du Qatar à ce sommet va jeter un nouvel éclairage sur la nation et peut aider à construire des réseaux d’entreprises pour les projets du Qatar 2030.

Les deux Qataris invités pour le sommet sont Sheikha bint Nasser Hanadi Khaled bin Al-Thani, chef de la direction de Amwal et Buthinah Hassan Faraj Al Ansari, président de Qatariyat Holding Company.

Selon elles, c’est une occasion de dire au monde que les femmes au Qatar sont capables d’être des mères de famille et en même temps des travailleuses.


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Monde : Les pires endroits pour être mère

Huit des 10 derniers pays de l’Index annuel des mères de Save the Children, qui a réalisé un classement des meilleurs et des pires endroits pour être mère, se situent en Afrique sub-saharienne, selon l’organisation non gouvernementale (ONG).

Les 10 derniers pays sont l’Afghanistan, le Niger, le Tchad,le Mali, la Guinée-Bissau, le Yémen, la République démocratique du Congo, le Soudan, l’Erythrée et la Guinée équatoriale ; alors que la Norvège, l’Australie, l’Islande et la Suède se situent en tête.

Au Niger, une femme sur sept meurt durant la grossesse ou l’accouchement, une femme sur huit en Afghanistan et en Sierra Leone ; alors que le risque est d’un sur 25 000 en Grèce et d’un sur 47 600 en Islande.

« Les problèmes autour de la santé maternelle et néonatale ont été soulevés depuis des années, mais il reste encore tellement de choses à faire », a dit à IRIN depuis le Mali Houleyemata Diarra, conseillère régionale pour la santé néonatale pour l’Afrique à Save the Children. « Il n’y a pas assez d’accompagnants qualifiés pendant les naissances, et les gouvernements ne prennent pas en compte là où les travailleurs médicaux sont nécessaires – dans les communautés ».

Dans la plupart des pays d’Afrique subsaharienne, plus de la moitié des naissances ont lieu à domicile, sans la présence d’accompagnants médicaux qualifiés, selon le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF).

Save the Children demande aux gouvernements et aux donateurs d’accorder la priorité à la constitution d’un effectif de travailleuses sanitaires pour exercer dans leurs communautés et dans les cliniques locales.

Ces travailleuses devraient être motivées par une meilleure formation, un meilleur salaire et un meilleur soutien pour une évolution de carrière, selon l’ONG.

Il est coûteux de former un médecin ou de faire fonctionner un hôpital, mais le coût pour donner une formation de base aux travailleurs sanitaires communautaires – diagnostiquer et traiter des maladies fréquentes de la petite enfance, organiser des vaccinations et promouvoir une bonne nutrition et de bons soins néonataux – n’a pas besoin d’être exorbitant, selon Save the Children.

Au Bangladesh, l’ONG a constaté que le fait de fournir aux travailleuses sanitaires communautaires six semaines de formation de terrain et une éducation formelle faisait chuter d’un tiers la mortalité infantile dans les régions touchées.

« Il existe de nombreux modèle de cela qui fonctionnent bien dans le monde », a dit Mme Diarra de Save the Children. « Les pays africains ont besoin de suivre ces exemples ».

aj/cb/sk/ail (IRIN)

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Sheikha Mozah reçoit Aleida Guevara

SA Sheikha Mozah Nasser al-Misnad a tenu une réunion avec Aleida à Doha hier. Par ailleurs, Son Altesse l’Emir Cheikh Hamad bin Khalifa al-Thani a reçu Aleida Guevara au Palais Al Wajbah hier également. Aleida Guevara, fille aînée d’Ernesto «Che Guevara, est une ardente défenseuse des droits de l’homme dans le monde!

La fille du Che a évoqué la pensée de son père qui irrigue encore l’esprit de tous ceux qui combattent les injustices.Pour en savoir plus sur elle: ICI

 

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Qatar Forum

Bonjour Qatar est un site d’informations générales sur le Qatar.

Notre site se veut être un lien entre la France et le Qatar, un lieu d’échange et d’expression entres expatriés, francophones et francophiles.

Bonjour Dubai est leader auprès de la communauté française et francophone établie au Qatar!

Le site s’articule autour d’un guide pratique en ligne, d’une rubrique « petites annonces », d’un forum de discussion et d’un annuaire de services français (médecins, écoles françaises, immobilier…).

Ne perdez plus une minute,rejoignez la grandissante famille francophone sur le support média (francophone) numéro 1 au Qatar!

LE SITE: http://www.bonjourdubai.com

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La cheikha qui bâtit le nouveau Qatar‎

A la tête d’une banque d’investissement, Hanadi Al-Thani veut stimuler l’esprit d’entreprise dans son pays.
Tailleur strict, foulard en mousseline et escarpins à semelles rouges Christian Louboutin. La cheikha Hanadi Al-Thani incarne une ambition brune. Un spécimen encore rare dans le golfe Persique. Sauf lorsqu’on partage le nom de l’émir du Qatar, le cheikh Hamad Al-Thani. Un membre de sa famille, reconnaît l’intéressée. De passage à Paris à l’occasion du 5e Forum finances et investissements au Qatar, la cheikha Hanadi est venue parler infrastructures et immobilier. Deux secteurs dont elle a fait sa spécialité depuis cinq ans en décidant de bâtir un quartier de 12.000 habitants en plein cœur de Doha. La capitale de cet émirat lesté de gaz naturel est le siège du groupe audiovisuel Al-Jazeera. Lire la suite « La cheikha qui bâtit le nouveau Qatar‎ »

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Les femmes s’engagent envers le développement d’énergies renouvelables : Cheikha Fatima

Les Émirats Arabes Unis ont la chance de posséder d’abondantes ressources de pétrole et de gaz – lesquels figurent parmi les sources d’énergie traditionnelles mondiales les plus importantes – mais, en même temps, le pays s’est engagé à travailler dans la recherche et à investir dans le développement de nouvelles sources d’énergie, en particulier d’énergies renouvelables, a déclaré aujourd’hui S.A. Cheikha Fatima bint Mubarak, Présidente de l’Union générale des femmes (GWU). « Il est juste et opportun que nous le fassions, non seulement pour veiller à maintenir le rôle important que nous jouons en tant que fournisseur mondial d’énergie dans les années à venir, mais aussi parce qu’en tant que gardien de ces ressources, nous avons envers les générations futures la responsabilité de les utiliser avec sagesse », a affirmé Cheikh Fatima dans une déclaration prononcée à l’occasion du symposium sur « Les femmes et les énergies renouvelables : les différentes options futures » tenu à Abu Dhabi. « Le développement d’énergies renouvelables est une affaire qui nous concerne tous. J’estime qu’il s’agit d’une question envers laquelle toutes les femmes, soucieuses de l’avenir de leurs enfants, doivent fermement s’engager », a ajouté Cheikha Fatima. Selon les propos tenus par Cheikha Fatima, il relève de la responsabilité et du devoir de la femme de mettre au monde les nouvelles générations, de les élever, de les éduquer et de les préparer à la vie qui les attend. Par conséquent, il est naturel que les femmes soient constamment soucieuses quant au monde dans lequel leurs enfants vivront, et dans lequel naîtront leurs petits-enfants et les générations suivantes. C’est pour cette raison, estime Cheikha Fatima, que l’attitude des femmes envers la vie consiste à nourrir l’espoir d’un monde en paix, où tous pourront accéder à des soins médicaux de qualité, à une éducation et à des conditions de vie satisfaisantes, où tous jouiront des droits humains fondamentaux et où la dignité humaine essentielle sera préservée et protégée. De nombreux facteurs doivent être réunis pour que tout cela puisse se réaliser. Toutefois, parmi les plus fondamentaux figure la nécessité de veiller à ce que le développement des sociétés, actuelles et futures, s’effectue de manière durable. Les ressources de ce monde sont limitées ; elles doivent être utilisées avec prudence et conservées pour les générations à venir. Cheikha Fatima estime qu’il convient d’examiner tout particulièrement la manière dont nous utilisons nos ressources en énergie. Les sources traditionnelles d’énergie s’épuisent avec rapidité. Elle estime que si nous ne veillons pas à identifier et à utiliser des sources d’énergie différentes et renouvelables, l’avenir de notre développement à long terme sera alors peu réjouissant. En résumé, Cheikha Fatima a déclaré que « le développement d’énergies renouvelables est une affaire qui nous concerne tous. J’estime qu’il s’agit d’une question envers laquelle toutes les femmes, soucieuses de l’avenir de leurs enfants, doivent fermement s’engager ». Emirates News Agency, WAM

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« L’homme qui voulait être heureux » de Laurent Gounelle qui vous souhaite tout le bonheur du monde. Un livre à lire et à relire!

Si un jour dans votre vie il vous prenait la légitime envie de voyager, de vous dépayser, choisissez donc Bali. Bali, ce sont des bassins couverts de fleurs de lotus sous l’ombre bienveillante des frangipaniers exhibant de grosses fleurs blanches au parfum si enivrant que s’en est impudique. Bali nous porte à l’immersion dans l’eau douce et tiède d’une mer calme et bleutée. Bali vous régale de cocktails multicolores face au soleil, qui le soir, nimbe de sa couleur orangée un ciel qui montre sa lune. Pour Laurent Goumelle, spécialiste du développement personnel et romancier à ses heures, Bali, c’est rencontrer « l’homme qui voulait être heureux », Julian, et le sage balinais qui le guide sur les pas de la découverte de soi. A travers ce roman au phrasé épuré, vous découvrirez médusé puis avide et impatient une nouvelle façon de penser votre vie, une technique novatrice et énergique pour trouver la voie d’un bonheur authentique et sacré « L’homme qui voulait être heureux » ne se lit pas, il se pratique avec son cœur qui nous révèle un bon sens que notre société occidentale et pressé a si cruellement escamoté. C’est une sorte de psychothérapie apaisante qui vous bouscule pour vous mener vers plus de sérénité. Vous ne serez pas seule sur ce chemin qui donne la clef. Dans ce pays « où il n’y a pratiquement pas de panneaux indicateurs », vous le rencontrerez, lui, qui « sait poser la question, celle qui touche délicatement du doigt précisément là ou il faut » et vous vous réveillerez à tous vos possibles. Plongez vous le cœur grand ouvert dans les mots du vieil homme éclairé. Lancer vous à la découverte d’une sagesse infinie. Exposez-vous l’esprit éperdument déployé aux secrets de l’ainé. La réponse, la lumière sont dans ses anecdotes. Les pages défilent sur lesquelles il y bat des histoires, fouettées comme du sucre scintillant. Dans le récit de nos vies ordinaires, il fait briller soudain une magie, des enjeux magnifiques. Le vieux sage a un pied dans la réalité, un autre au ciel des songes, un doigt dans la belle langue, un autre dans la plèbe des temps modernes. Avec L’homme qui voulait être heureux, c’est tout un monde de possibilités nouvelles qui s’ouvre à nous à la lecture de cette histoire passionnante, où l’on découvre comment se libérer de ce qui nous empêche d’être vraiment heureux. C’est un livre riche d’enseignements et qui redonne confiance en soi. Et ne laissez personne dicter vos choix !! Ce livre est une petite merveille … j’en aurais voulu plus … une suite peut être ?! Biographie de l’auteur : Laurent Gounelle est spécialiste du développement personnel. Depuis quatorze ans, il parcourt le monde à la rencontre de praticiens exceptionnels, qu’ils soient experts américains en neurosciences, shamans péruviens ou sages balinais.

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« L’ombre du vent » de Carlos Ruiz Zafon Ou le parfum magique d’un livre porteur de toutes les promesses.

Dans la Barcelone de l’après guerre civile, Carlos Ruiz Zafon croque, crayonne la vie de créatures façonnées par leurs extravagances, leurs rêves chimériques et absurdes. Il exhibe des vies prodigieuses, des destinés anoblies par des cœurs purs et des âmes généreuses, des vies maculées d’adversité et de disgrâce. Ses héros sont des êtres dont la destinée est suspendue à l’existence d’un roman, celui que le narrateur, Daniel, a choisi dans le Cimetière des Livres Oubliés, lieu mystérieux connu seulement des initiés où un matin, à l’aube, son père le mène pour perpétuer la tradition qui veut que tout nouveau visiteur y adopte un livre afin de le sauver de l’oubli. Pour Daniel, ce sera « L’Ombre du vent » de Julian Carax. Ce livre, écrit par un parfait inconnu amorce une profonde altération, une cascade de changements insolites dans la vie de tous les personnages. L’apparition puis l’évocation de cet ouvrage déclenche une rocambolesque épopée menant Daniel et ses acolytes dans un tourbillon d’incidents dont l’ampleur va croissante jusqu’au cataclysme. L’ombre du vent, c’est un manifeste pour les livres, Le livre comme objet qui se palpe et dont la texture si douce sous nos doigts gourds ramène à la vie les fantômes charmants qui émaillèrent nos vies. Carloz Ruiz Zafon fait également l’éloge du lecteur militant qui, lors de périodes de contestation, n’a cure de la préséance et des passes droits des hommes et femmes de pouvoir et qui se bat avec ardeur contre la censure et la haine qu’inspire l’éventaire de la vérité. Le livre, c’est une histoire mais c’est aussi et surtout l’émissaire de la connaissance qui éveille la conscience et mène à la compréhension et au discernement et qui y a-t-il de plus menaçant pour de virtuoses leaders au pouvoir incontesté que l’érudition de leurs adversaires ? Mieux vaut les laisser dans l’ignorance et l’inaptitude à objecter, La paix des tyrans, des dictateurs et autres types d’oppresseurs passe par l’ignorance de leurs compatriotes. Il est nécessaire de les empêcher d’entrevoir les boniments dissimulés sous le verbiage verveux mais malhonnête et perfide proclamé pour dissimuler la cruelle vérité. L’Ombre du vent est une œuvre magnifique et attachante. C’est un tableau historique, un roman d’apprentissage évoquant les émois de l’adolescence, un récit fantastique dans la pure tradition du Fantôme de l’Opéra, et dans cette énigme où les mystères s’emboîtent comme des poupées russes, Carlos Ruiz Zafon mêle inextricablement la littérature et la vie. Marie Chatelain