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Contre la stigmatisation du cancer du sein au Qatar

Le cancer du sein est le type de cancer qui affecte le plus les femmes et les malades ont peu de chances de survie.

Mais dans certains pays du Moyen-Orient, les femmes ne pratiquent pas toujours des contrôles réguliers, et parfois retardent même le traitement en raison de la stigmatisation entourant cette maladie.

Découvrez le reportage d’Al Jazeera  au Qatar.

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Mozah visite des projets Silatech au Yémen

SA Sheikha Mozah Nasser al-Misnad, président du conseil d’administration Silatech, a visité hier le site du projet Khadjia à Sanaa, au Yémen. Silatech uni leurs forces avec la Fondation Youth Leadership Development (YLDF) en 2009 pour développer une solution d’entreprise complète pour les jeunes entrepreneurs femmes.

«Son Altesse a rencontré Safa Rawiah,  directeur Jeunesse
Centre de développement économique et a été cité le slogan suivant «Derrière chaque femme qui réussit, il ya un grand homme,
«Ce projet fournira une formation en entrepreneuriat à 200 jeunes femmes entrepreneurs.  Avec près de 50 jeunes actuellement l’objet d’une formation en entrepreneuriat, est d’un grand intérêt dans le programme pour lui permettre de créer une dynamique.  »

Le secteur privé est également l’octroi de bourses de soutien pour aider les jeunes femmes et les hommes des communautés en dehors du programme Sanaa.
Les liens sont très forts entre Khadija et Silatech au Yémen, le Fonds de développement des petites entreprises (FDPE) et Al-Amal Microfinance Bank (AMB), aideront les futurs diplômés du programme de Khadija avec un financement.

Silatech est une initiative novatrice qui peut donner d’autres idées à ce pays qui souffre déjà tant!

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Votre billet d’avion Qatar Airways par téléphone !

Meilleur personnel de bord du Moyen-Orient pour la 6ème année consécutive Qatar Airways toujours dans le top 10 des dernières récompenses Skytrax

Qatar Airways, la compagnie aérienne nationale du Qatar, vient encore de gagner deux nouvelles récompenses internationales, confirmant sa position de leader dans le top 10 des compagnies aériennes au niveau mondial, ainsi que son statut de Meilleure compagnie du Moyen-Orient.

Pour ne pas manquer à sa réputation, Qatar Airways offre la possibilité d’acheter son billet d’avion par téléphone. Ce service débutera le 7 décembre et vous pourrez vous enregistrer sur le site internet de la compagnie ( www.qatarairways.com ). Vous aurez la possibilité d’imprimer votre carte d’embarquement et même de choisir votre siège.Vous pouvez également recevoir la carte d’embarquement sous forme de code barre sur votre mobile.

Notons que ce service propose aux clients toutes les destinations sauf New York et Washington.

Ce service est disponible 36 heures avant le vol et jusqu’à 2 heures avant le départ de votre avion.

A propos de Qatar Airways :

Qatar Airways dessert 83 destinations en Europe, au Moyen-Orient, en Afrique, en Asie, dans l’Océan Indien, dans le sous-continent Indien et aux Etats Unis.

Sa flotte, composée à ce jour de 62 appareils – Airbus et Boeing -, est l’une des plus modernes au monde. Au total, ce sont plus de 200 appareils qui sont en commande pour un montant de plus de 30 milliards de $ US. La flotte de Qatar Airways devrait atteindre 110 appareils à l’horizon 2015.

Pendant l’année financière 2007/2008, la compagnie a transporté plus de 10 millions de passagers.

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L’Union des femmes investisseurs arabes

Fondée le 27 Décembre 2004 au Caire, sous l’égide de Mme Suzanne Moubarak, l’Union des femmes investisseurs arabes est venu confirmer le rôle grandissant de la présence féminine dans le monde arabe, dans les processus de développement et de l’investissement. L’Union des Femmes Investisseurs Arabes travaille sous la bannière du Conseil de l’Union économique arabe. Seize pays arabes sont actuellement membres de l’Union, à savoir la Jordanie, Emirats arabes unis, Bahreïn, Tunisie, Algérie, Arabie saoudite, Soudan, Syrie, Qatar, Koweït, Liban, Libye, Egypte, Irak, Yémen et au Maroc. La République arabe d’Egypte accueille le siège de l’Union. Au Maroc, la représentation de l’Union des femmes investisseurs arabes a vu le jour au cours du printemps 2009 et elle est présidée par Mlle Asmae Mouhib, directrice générale de l’agence de communication Le Messager.Com. Asmae Mouhib est dotée d’un riche parcours professionnel caractérisé par plusieurs distinctions. En 2001, elle fut reçue par le Roi du Maroc à l’occasion de la création de la première Master Franchise au Maroc d’affichage mobile. En 2006, aux Etats-Unis d’Amérique, elle s’est également distinguée en représentant le Maroc au Forum des Young Leaders. En 2007, elle fut désignée au poste de trésorier du Fonds mondial de la santé.

Cette manifestation économique qui concrétise en quelque sorte la féminisation des cercles de pouvoir économique dans le monde arabe, permettra en outre d’associer les femmes investisseurs membres de l’Union et des participantes de différentes spécialités à la mise en place de stratégies destinées, entre autres, à attirer de nouveaux capitaux dans le monde arabe et à réinstaller dans la région ceux qui ont délocalisé leurs activités sous la pression de la crise économique internationale.

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Les femmes du Moyen Orient, nouvelle matière grise

Encore souvent mineures politiquement et économiquement, les jeunes femmes sont parties à la conquête des diplômes, encouragées par le discours politique dominant en faveur de l’éducation et par le marché de l’emploi. Au point que le ratio s’établit désormais au Qatar, aux Emirats mais aussi au Koweït à trois étudiantes pour un étudiant !

Décrites comme « plus motivées » que leurs homologues masculins, les filles se sentent pousser des ailes. A Doha, sur les 2 500 étudiants répartis dans les six universités américaines rassemblées à Education City, un campus ultramoderne, les filles représentent actuellement 70 % de l’effectif. Elles sont également surreprésentées à l’université du Qatar (8 600 étudiants, 76 %) où les deux sexes étudient séparément. Dans les Emirats, 65 % des jeunes inscrits à l’université sont des étudiantes.

Même la très conservatrice Arabie saoudite a ouvert, fin septembre, une université mixte. Quelques mois auparavant, le roi Abdadallah avait inauguré une université publique pour femmes. Au Bahrein, l’université du même nom ainsi que l’université du Golfe arabique, les deux institutions les plus importantes du pays, les jeunes femmes représentent respectivement 67 % et 72 % des étudiants. Cette envolée s’opère cependant dans des pays où le pourcentage des jeunes inscrits à l’université reste faible : 33 % au Bahrein, 19 % au Koweït, 18 % en Oman, 29 % en Arabie saoudite, 23 % aux Emirats, selon les chiffres fournis par l’Unesco.

Plusieurs raisons expliquent cet engouement. L’offre a réellement suscité la demande. Les familles qui répugnaient, pour des raisons culturelles, à envoyer leurs filles faire des études à l’étranger, une démarche fréquente pour les garçons, ont trouvé dans ces universités de quoi les satisfaire.

« Le gouvernement a créé un environnement favorable tel que les familles ont le sentiment que la démarche d’envoyer les jeunes femmes à l’université n’est pas en rupture avec les traditions », explique l’Emiratie Serra Kirdar qui a collaboré au rapport sur les droits des femmes au Moyen-Orient publié en février 2009 par l’ONG Freedomhouse.

Aux possibilités d’études – gratuites – sur place s’ajoutent les opportunités d’emploi. A l’inverse des jeunes hommes, qui trouvent encore (mais de moins en moins) des postes dans l’armée et la police sans diplôme, les jeunes femmes voient dans les études un tremplin vers la vie sociale et une façon de s’émanciper du giron familial. C’est parce qu’elles savent que les options se multiplient pour elles qu’elles s’engagent avec autant de ferveur dans les études. Face à des gouvernements, comme au Qatar, soucieux de créer une élite, de « renverser la fuite des cerveaux », selon l’expression Abdulla Ben Ali Al-Thani, vice-président de la Qatar Foundation, c’est avec la volonté de prendre les commandes de leur propre pays que les filles s’engouffrent dans les études.

« Les universités sont au coeur de ces processus de saoudisation, qatarisation, émiratisation, etc., confirme James Onley, professeur à l’Institut du monde arabe et islamique de l’université d’Exeter (Royaume-Uni). Les populations de ces pays – à l’exception de l’Arabie saoudite – étant numériquement faibles, ils ont besoin de la participation des femmes. » Au point d’ailleurs que les jeunes étrangers – non pas les Indiens ou Philippins, tout en bas de l’échelle, mais les enfants d’expatriés de longue date -, se sentent désormais exclus. « La fonction publique est réservée aux Qataris et le secteur privé exige souvent la nationalité locale », témoigne Amira Redissa, jeune diplômée tunisienne de 23 ans, dont la famille est au Qatar depuis plus de quinze ans.

Les jeunes semblent avoir intériorisé l’ambition proclamée de cette région du monde de revenir un endroit « qui pense », à l’image de ce que furent Beyrouth et Le Caire du temps où ces villes représentaient des centres névralgiques de l’intelligentsia arabe. « Nous avons la volonté de devenir Le centre innovant de la production d’idées et de la formation conceptuelle dans le Moyen-Orient », explique Nada Mourtada, professeur de relations internationales et de droit public, vice-président de l’université de l’université américaine de Sharjah, un des sept émirats de la fédération et aussi une des rares Françaises à faire carrière dans le milieu universitaire local. Ouverte en 1997, l’université de Sharjah a été une des premières implantations d’une institution d’élite dans la région.

Des places sont également à prendre dans le secteur privé, où les jeunes femmes se montrent plus timorées. « Pour les familles, le secteur public représente des postes plus sûrs, avec de bonnes rémunérations et des aménagements d’horaires », explique Me Kirdar, également à la tête de la Fondation Muthabara, qui travaille justement à l’ouverture des entreprises privées aux jeunes femmes.

Ces conquêtes, qui peuvent sembler limitées aux Européennes, ont des effets boomerang dans les sociétés. Si les mariages se font moins précoces, les unions arrangées, qui restent la norme dans le Golfe, se nouent aussi plus difficilement qu’avant. Aux Emirats, on évoque ces « vieilles filles » qui n’arrivent plus à se marier. Au Qatar, la présidente de l’université, Sheikha Al-Misnad, réformatrice à la poigne énergique, s’inquiète du déséquilibre grandissant entre les sexes. « Beaucoup de jeunes filles ne peuvent pas se marier car nous n’avons pas suffisamment d’hommes éduqués », assure-t-elle.

Le temps n’est plus où les jeunes femmes devaient interrompre leurs études pour une grossesse, commente Aisha Al-Fardan. Vice-présidente du Qatari Business Women Forum, cette pionnière d’une quarantaine d’années, mère de quatre enfants, estime avoir été « chanceuse » d’avoir pu faire des études après son mariage « grâce au soutien de son mari ». Aujourd’hui à la tête du groupe familial de 2 000 salariés, elle a le sentiment d’avoir « cassé les règles », par exemple en conduisant sans permis, car les femmes n’avaient pas le droit de conduire. C’était « il y a douze, treize ans ». Autant dire un siècle.

Brigitte Perucca

http://www.lemonde.fr

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Qatar: Les femmes entrepreneurs

Le Ministre d’État à l’énergie Dr Mohamed Saleh Al-Sada a salué le rôle joué par les femmes entrepreneurs du Qatar dans la promotion des entreprises commerciales dans le pays a déclaré le ministre lors de l’inauguration  du Qatar International Business Women Forum hier au Sheraton à Doha Resort & Convention Hôtel.
Des prix ont été remis aux représentantes au forum, il y avait également la Sheikha Hessah bint Khalifa al-Thani et la vice-présidente Aisha Alfardan.

La Sheikha Mozah Nasser al-Misnad, épouse de Son Altesse l’Emir Cheikh Hamad bin Khalifa al-Thani,  encourage les femmes à prendre des initiatives dans le business.

Les principaux thèmes et questions abordés :

  • Le rôle des femmes dans les affaires et l’investissement dans le monde arabe et l’Occident.
  • Comparaison des histoires de réussite des femmes d’affaires dans le monde arabe et l’Occident.
  • avantages préférentiels pour les femmes leaders dans les petites et moyennes entreprises.
  • Les femmes subissent elles des discriminations dans la vie de l’entreprise?
  • Le rôle croissant de jeunes femmes dans la gestion des entreprises familiales.
  • L’importance et la méthodologie de l’entraînement de leadership pour le renforcement des capacités de leadership chez les femmes d’affaires.
  • La réalité des organisations et des réseaux d’affaires dans le monde arabe et l’Occident
  • La contribution des femmes au financement de projets sociaux.

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Le chocolat serait davantage consommé par les dépressifs

D’après une étude réalisée par l’université de Californie, la consommation de chocolat serait plus importante chez les personnes dites dépressives.

Une étude basée sur 931 hommes et femmes aurait démontré que les personnes à tendance dépressive mangent jusqu’à deux fois plus de chocolat que les autres. Ainsi, les individus dits non-dépressifs mangeraient 150 grammes de chocolat par mois contre 250 grammes pour les personnes présentant des signes de dépression. Pour les individus en dépression profonde, la consommation mensuelle a atteint les 350 grammes. Selon les scientifiques, le chocolat disposerait de propriétés améliorant l’humeur. Et le docteur Béatrice Golomb d’expliquer : « Les conclusions de cette étude ne paraissent pas s’expliquer par une augmentation générale de caféine, de matières grasses ou de glucides, ce qui laisse penser que nos résultats sont spécifiques au fait de consommer certaines quantités de chocolat. »

Source

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Les belles femmes seraient mauvaises pour la santé

Selon des chercheurs, rencontrer de jolies femmes pourrait être dangereux pour la santé des hommes.

Selon une recherche de l’université de Valence, passer plus de cinq minutes avec une femme très attirante serait capable d’augmenter le niveau de cortisol, l’hormone du stress, dans le corps d’un homme. Le cortisol est une hormone produite par le corps qui augmente lors de situations psychologiques stressantes. Des recherches avaient également lié le cortisol aux problèmes cardiaques. Les chercheurs avaient demandé à 84 étudiants hommes de résoudre un sudoku dans une pièce où se trouvaient deux étrangers, un homme et une femme. Les recherches ont montré que lorsque la femme quittait la pièce le niveau de stress n’augmentait pas mais qu’au contraire si elle restait seule, le niveau de cortisol augmentait. Selon les scientifiques, la pensée chez ces hommes qu’ils ne seraient pas assez bien pour une jolie femme augmente leur niveau de stress et donc de cortisol. Le cortisol peut être lié à un niveau très élevé à des problèmes de diabète, d’hypertension, de coeur, et également d’impuissance.

Source

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Français au Qatar

Bienvenue à Doha, au Qatar, c’est  M6 qui en parle dans son émission Zone interdite. On y suit plusieurs expatriés français, tels que cette famille de 5 personnes et une journaliste de Radio Qatar, l’un travaille à Al Jazeera children et l’autre est journaliste, grandes villas, grandes voitures, fréquentations prestigieuses,…

Un reportage à ne pas manquer!