Par La Rando

Recyclage des eaux usées aux Emirats arabes unis

L’émirat d’Abu Dhabi vise à recycler 100 pour cent des 850.000 mètres cubes d’eaux usées produites chaque jour avec la mise en place d’un vaste réseau d’ici trois ans.
Le projet suit le modèle réussi de la ville d’Al Ain, la première ville du pays à valoriser 100 pour cent de l’eau usée, déclare Alan Thomson, directeur général d’Abu Dhabi Sewerage Services Company (ADSSC), une entité du gouvernement responsable de la gestion des eaux usées dans l’émirat.
Le responsable s’exprimait en marge de POWER-GEN Middle East (PGME) et Water World Middle East, un événement de trois jours organisé au Centre national des expositions d’Abu Dhabi et officiellement ouvert par Suhail Al Faraj Mohammad Bin Mazroui, Ministre de l’Énergie.
Thomson était le conférencier principal lors de la session inaugurale, et confirme le recyclage par la ville d’Al Ain de 190 000mètres cubes d’eaux usées par jour, entièrement distribuées pour réutilisation.
“Nous sommes en contact avec l’Agence de l’environnement -Abu Dhabi et le gouvernement d’Abu Dhabi afin de construire un réseau de 200 kilomètres de conduites de distribution d’eau recyclée,’’ affirme-il. Il y a une énorme demande pour de l’eau recyclée dans l’agriculture, la sylviculture et l’aménagement paysager. Actuellement, environ 650 000mètres cubes d’eaux usées sont générés et recyclés dans la grande région d’Abu Dhabi, mais seulement 60 pour cent sont réutilisés selon Gulf News.

Par La Rando

La France prête des oeuvres d’art au Louvre d’Abu Dhabi

Les responsables du futur Louvre Abu Dhabi ont publié, ce dimanche matin, une partie de la liste des 300 œuvres d’art, qui vont être prêtées par les musées français, à l’occasion de son ouverture en 2015, à Abu Dhabi, capitale des Emirats Arabes Unis.

Ce projet ambitieux a été lancé à l’issue d’un accord gouvernemental entre Abu Dhabi et la France, en 2007.

Ce Louvre oriental, de 64 000 m², construit par l’architecte Jean Nouvel, exposera sa collection propre, qui compte déjà 600 œuvres d’une importance culturelle, historique et sociologique majeure, allant de la préhistoire à nos jours.

Le nombre d’œuvres prêtées par les institutions françaises ira en diminuant sur une période de dix ans, à mesure que le Louvre Abu Dhabi continuera d’enrichir sa propre collection. Les œuvres prêtées par les musées français seront exposées pendant des durées variables, allant de trois mois à deux ans, selon le propos scientifique et les impératifs de conservation et de préservation des œuvres. Le Louvre Abu Dhabi suivra les exigences et standards internationaux les plus élevés pour le transport, la présentation et la conservation des œuvres.

L’annonce des prêts des collections françaises vient à la suite du succès rencontré par deux expositions importantes : Birth of a Museum, en 2013 à Abu Dhabi, et Naissance d’un musée (2 mai au 28 juillet 2014) à Paris au musée du Louvre, qui présentaient les pièces majeures de la collection permanente du Louvre Abu Dhabi.

Parmi les œuvres exposées figuraient notamment une princesse de Bactriane, l’un des plus beaux exemples de statuettes votives datant de la fin du IIIe millénaire avant J.-C., un bracelet en or aux têtes de lion provenant du Moyen-Orient, un tableau d’Osman Hamdy Bey (1878), intitulée A Young Emir Studying (Jeune Emirétudiant) ; une toile de Paul Gauguin, Les Enfants luttant (1888).

Parmi les œuvres modernes et contemporaines présentées, se trouvaient la Composition en bleu, rouge, jaune et noir de Piet Mondrian, qui faisait partie de la collection Yves Saint Laurent et Pierre Bergé, un mobile de Calder où se lit l’influence de Mondrian, et la série de neuf toiles, Sans titre, du peintre américain, Cy Twombly.

Une quinzaine d’œuvres majeures
Parmi les prêts des musées français, une quinzaine d’œuvres majeures : une des cuirasses de Marmesse (IXe- VIIIe siècle avant J-C) prêtée par le musée d’archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye (Saint-Germain-en-Laye), La Dame bleue, une figurine chinoise du VIIIe siècle prêtée par le musée des arts asiatiques Guimet (Paris), un coffret du XIIIe siècle incrusté de pierres précieuses et enserrant des cristaux de roche fatimides du musée national du Moyen Âge de Cluny (Saône-et-Loire), une rare salière en ivoire en provenance du royaume du Bénin, du musée du quai Branly (Paris).

Le Louvre a lui prêté La Belle Ferronnière (vers 1495) de Léonard de Vinci, l’Apollon du Belvédère, le château de Fontainebleau (Seine-et-Marne) une sculpture du Primatice, la Cité de la céramique de Sèvres (Hauts-de-Seine) un plat florentin à décor de fleurs bleues (vers1575-1600), le musée des Arts décoratifs (Paris) une aiguière chinoise de forme persane (XVIe siècle), la Bibliothèque nationale de France un Globe de Coronelli, le Château de Versailles Bonaparte franchissant les Alpes (1803) de Jacques-Louis David, le musée d’Orsay (Paris) Le Fifre (1866) d’Edouard Manet, le musée Rodin (Paris) une sculpture d’Auguste Rodin, Bacchus à la cuve, et le Centre Pompidou (Paris) la Nature morte au magnolia (1941) d’Henri Matisse.

Source: LeParisien.fr

Par La Rando

Yas Island vise le le tourisme français

L’équipe de gestion de l’île de Yas rapporte un intérêt soutenu dans l’île de Yas en tant que destination d’affaires et de tourisme chez les participants du Salon de Voyage de la France, l’un des principaux événements du tourisme business-to-business en l’Europe et organisé récemment à Paris. La destination émirienne, en partenariat avec l’Autorité du tourisme et de la culture d’Abu Dhabi (TCA), était présente à la 35e édition de ce salon qui a attiré plus de 29 500 visiteurs venus de 160 pays, dont environ 1.000 journalistes. «Notre présence au Salon était un grand succès,» déclare Karim El Guanaini, vice-président du service Destination Management de l’île de Yas. “Le marché du tourisme français a toujours été une question importante pour Abu Dhabi et Yas Island.

Il est évident sur base de l’énorme intérêt constaté que la forte croissance du marché du tourisme français est appelée à se poursuivre. Le nombre de demandes de renseignements sur le développement des produits touristiques de Yas Island était particulièrement encourageant.” ‘’Les touristes français peuvent bénéficier d’une offre de classe mondiale à l’île de Yas en matière de l’hébergement, des loisirs et du divertissement. Le partenariat de partage de code d’Etihad Airways avec Air France aligne maintenant deux vols par jour entre Abu Dhabi et la France, ce qui fait de l‘île de Yas un choix évident pour les familles françaises qui cherchent à passer des vacances pratique et inoubliable.’’ Abu Dhabi a accueilli plus de 48.000 visiteurs en provenance de la France en 2012, et le nombre continue de croître. La France est actuellement l’un des plus grands marchés pour les hôtels d’Abu Dhabi, avec un total d’environ 45 000 clients en 2012.

Source : The Gulf Today

Par La Rando

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Par La Rando

Conférence d’investissement à Dubaï

Conférence Internationale des Investisseurs de l’UEMOA à Dubaï : Signature des engagements pour le financement de 16 projets pour un montant de 19 milliards de dollars. Parmi ces projets figurent le Projet Energie solaire concernant le Niger, le Bénin, le Burkina Faso et le Sénégal, le Projet de la Boucle ferroviaire Abidjan-Ouagadougou-Niamey-Cotonou, le Projet Sécurité alimentaire Salkadamna (Niger) et deux autres projets dans le domaine de la sécurité alimentaire concernant le Niger et trois autres pays membres de l’UEMOA. Les autres projets sont, entre autres, le Projet Ligne ferroviaire Dakar-Bamako, le projet des postes juxtaposés, le Projet autoroute Yamoussoukro-Ouagadougou et le projet d’interconnexion entre le Mali et le Burkina Faso.

Découvrez la vidéo amateur de cette conférence qui a eu lieu à Dubaï:

 

Par La Rando

Les compléments alimentaires et leurs effets indésirables

Depuis 2010, l’Agence de l’alimentation, Anses, dit avoir reçu près de 1.500 signalements d’effets indésirables, dont des troubles hépatiques et gastroentérologiques, liés à la consommation de compléments alimentaires. Les boissons dites énergisantes sont également pointées du doigt.

Rester mince, être en forme, fortifier ses cheveux, faire baisser son cholestérol… à chaque besoin, son complément alimentaire. Près d’un Français adulte sur cinq en consommerait d’ailleurs régulièrement ou occasionnellement, selon l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation de l’environnement et du travail. Une consommation qui est, à priori, loin d’être anodine. L’Anses dit en effet avoir reçu, depuis 2010 et le lancement de son dispositif de « Nutrivigilance », près de 1.500 signalements d’effets indésirables liés, pour les trois quarts, à la prise de compléments alimentaires. « Cela va de la simple gêne, rougeurs, démangeaisons, à des hospitalisations pour hépatites » explique Franck Fourès, directeur adjoint Santé/Alimentation à l’Anses.
Ainsi, sur les 282 signalements qui concernaient les compléments alimentaires, et exploitables par les experts, la majorité des effets indésirables déclarés étaient des troubles hépatiques (19,9%), gastroentérologiques (18,4%), d’ordre allergique (16%), neuropsychologiques tels que des tremblements de l’anxiété ou des vertiges (12%) et cardio-vasculaires (9,9%).

Mise en garde

Suite à ces déclarations, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation a lancé une série de mises en garde. Concernant, notamment, les compléments alimentaires à base de « levure de riz rouge » et de p-synéphrine (présente dans l’écorce d’orange amère), deux substances utilisées respectivement pour contrôler le cholestérol et perdre du poids. L’Anses recommande tout particulièrement aux femmes enceintes ou allaitantes, et aux personnes sous traitement, de demander conseils à des professionnels de santé, avant d’en consommer. Même conseil pour les parents qui souhaiteraient en faire prendre à leurs enfants.

Les femmes enceintes, particulièrement vulnérables

L’Anses demande également aux médecins et aux professionnels de santé de « continuer à s’impliquer et leur recommande, lors des consultations, d’interroger leurs patients sur leur consommation de compléments alimentaires ou d’autres aliments spécifiques ». Et les « encourage à rester vigilants et à déclarer le maximum d’effets indésirables qu’ils observent, notamment dans le cadre des deux saisines en cours concernant les compléments alimentaires destinés aux femmes enceintes et aux sportifs ».

L’agence a en effet reçu quatorze signalements susceptibles d’être liés à la prise de compléments alimentaires au cours de la grossesse. Les effets indésirables rapportés étaient alors principalement d’ordre endocrinologique et obstétrical, « avec notamment deux interruptions médicales de grossesse », précise le communiqué de presse de l’Anses. Quant aux sportifs, il s’agissait « majoritairement » de tachycardie, d’arythmie, d’accident vasculaire cérébral, de tremblements, de troubles anxieux et de vertiges. Les résultats de ces saisines sont attendus pour le premier semestre 2015.

Les boissons énergisantes pointées du doigt

Enfin, l’Anses met en garde contre les boissons dites énergisantes, dont la teneur, élevée, en caféine, peut générer des accidents cardiaques graves « chez les consommateurs porteurs de prédispositions génétiques et généralement non diagnostiquées ». L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation recommande notamment d’éviter d’en consommer, lors d’un exercice physique ou couplé avec l’alcool. Et même d’en prendre le moins possible.

Les Français, gros consommateurs de compléments alimentaires

Les compléments alimentaires représentent en tout cas un marché en pleine expansion, avec plus de 1,3 milliard d’euros de chiffre d’affaires en 2013. Près d’un adulte sur cinq en a consommé au moins une fois dans l’année, selon l’Anses. Et les femmes sont deux fois plus nombreuses à en prendre que les hommes. Autre information donnée : près de deux tiers des compléments alimentaires sont consommés sous forme de cure, aussi bien par les enfants que par les adultes, le plus souvent en hiver ou en automne. Quant aux effets recherchés, il s’agit, pour 70% des personnes interrogées dans le cadre du dispositif « Nutrivigilance », de « lutter contre la fatigue », de « résoudre des problèmes de santé particuliers » (pour 21%) et de « rester en bonne santé ou lutter contre les maladies (17%) ».

Voir notre vidéo : les compléments alimentaires ne sont pas sans risque

Source : LCI/TF1

Par La Rando

Combien les Français passent de temps dans leur cuisine?

Selon les résultats d’un sondage commandé par WeCook -un site créé pour aider les gens à mieux faire leur course- le panier moyen des courses s’élève à 166 euros par mois et par personne en France. Le Poitou-Charentes se situe dans les régions qui dépensent moins de 160 euros par mois.Qui sont les Français qui cuisinent et dépensent le plus ? Combien de temps passent-ils pour penser leurs courses ? Un sondage se penche sur cette question en apportant des résultats surprenants.

Avec plus de 175 euros dépensés par personne chaque mois en alimentation, les habitants de la Normandie, Picardie, Ile-de- France et Nord-Pas-de-Calais n’hésitent pas à se faire plaisir en faisant leurs courses ! Le Poitou-Charentes se situe dans la moyenne basse comme le montre le tableau ci-dessous.

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L’enquête montre également que les Français passent en moyenne 21 jours par an en cuisine. Pour autant, peut-on parler d’une égalité entre les femmes et les hommes quant au temps passé devant les fourneaux ? Tandis que les femmes passent 21 jours par an en moyenne, les hommes consacrent 18 jours par an en moyenne à faire la cuisine.

Source: France 3
conseils maman
Par La Rando

Pas si facile de devenir maman

Devenir parent pour la première fois, c’est comme arriver à votre premier jour dans un nouvel emploi pour découvrir que tout l’équipe est parti en congé annuel, vous laissant toutes les tâches à faire : pas de pack de bienvenue , pas de responsable hiérarchique pour assumer la responsabilité de vos erreurs de débutant. Bref, vous êtes livré à vous-même. 

Que vous recherchiez des conseils pratiques, des astuces de style de vie, un rire, un cri ou simplement l’assurance que vous n’êtes pas la seule maman à vous demander ce que vous devez faire, sachez qu’il existe une multitude d’infos sur internet. Rassurez-vous, nous vous filerons quelques conseils dans cet article.

Pic de naissance en France

Alors qu’hier on assistait au légendaire pic de naissance annuel en France –correspondant à des conceptions du Nouvel An–, les jeunes mamans n’ont sans doute jamais été aussi motivées et fragiles. Ah, l’instinct maternel ! Ce sentiment puissant, naturel, qui étreindrait les femmes depuis la nuit des temps… Sauf que, dans la vraie vie, cet élan n’est pas si naturel si l’on en croit une étude réalisée par Ipsos Santé pour le laboratoire Gallia. Plus de 500 jeunes mamans de bébés de moins de 1 an et quelque 300 femmes enceintes ont accepté de confier leurs certitudes et leurs doutes quant à leur capacité à se sentir mères. Et c’est bien simple : pour 9 sur 10 d’entre elles, c’est un rôle qu’elles ont beaucoup désiré, qui les a beaucoup bousculées et qu’elles apprennent finalement à endosser… avec le temps et quelques trous d’air ! Dans cet article, vous découvrirez plusieurs conseils de maman. Bonne lecture !

Chacune son rythme

Vous êtes de celles qui, pétries de culpabilité, ont eu du mal à palpiter d’amour devant le double trait du test de grossesse ? Vous êtes normale. Devenir mère est un rôle dont on prend conscience par étapes : 21 % des femmes sondées se sentent devenir maman au fur et à mesure que leur ventre s’arrondit, notamment quand elles sentent bouger le bébé (10 %)… Cependant, 29 % — donc près de 1 sur 3 — se sentent mère seulement après la naissance, quand l’enfant manifeste son besoin d’elles. « Toutes les femmes, toutes les histoires sont différentes », rassure Marie-France Le Heuzey, pédopsychiatre à l’hôpital Robert-Debré. « Il y a beaucoup de pression sociale et assez peu de soutien aujourd’hui pour les jeunes mamans.

Beaucoup ne s’accordent pas vraiment le droit et le temps de cocooner durant la grossesse ou à se fournir en vêtement de grossesse Nantes par exemple. Se faire plaisir est important quand on attend un heureux événement. Nous vous conseillons d’acheter des vêtements de grossesse, robe de grossesse et des produits d’allaitement afin d’anticiper la venue de votre bébé.

Elles continuent à courir, ont souvent beaucoup préparé l’arrivée du bébé et sont à la fois prises de court… » A une époque où « on ne fait plus comme ça parce que maman faisait comme ça », même leurs impulsions sont contrariées par la cacophonie ambiante — « Faut faire ci contre les vergetures, faut faire ça pour que le bébé grossisse… ». Une cacophonie qui, paradoxalement, isole chaque jeune mère — pourtant moins jeune qu’avant — face à son ressenti.

Un passage à vide fréquent quand le bébé a entre 4 et 6 mois

Bien que près de 2 femmes sur 10 osent avouer le contraire, 87 % sont heureusement confiantes dans leur capacité à devenir mères. Dans l’absolu, elles savent qu’elles vont s’en sortir. Au quotidien, en revanche, elles sont parfois dépassées et ce joli taux de confiance s’émousse très nettement (de 87 à 75 %) lorsque l’enfant a entre 4 et 6 mois. C’est le moment du retour au travail, de la première séparation et de la fin de la période dorée où la société vous fiche à peu près la paix : il faut que le bébé fasse ses nuits, qu’il ne pleure pas trop, qu’on passe le relais… « C’est aussi le moment de la diversification alimentaire et, aujourd’hui, il ne faut plus qu’un enfant mange suffisamment, il faut qu’il mange bien », a constaté la pédopsy. « Jamais les mamans n’ont été aussi inquiètes… Elles peuvent s’effondrer si leur petit recrache sa cuillerée de carottes, comme si ça remettait en cause leurs qualités de mère ! » Pour peu que le bébé soit du genre sensible ou rebelle, et rien ne va plus. Un quart des mères doutent donc d’elles-mêmes à ce moment clé du développement de l’enfant, celui où il s’éveille et s’affirme. « Il faut dire et redire à ces mamans fatiguées et contrariées que chaque bébé a son tempérament et qu’il y a des gourmands, des pleureurs, des râleurs, des contemplatifs… Or elles ont intégré un message social culpabilisant qui veut que ce soit forcément de leur faute, mais elles n’y sont bien souvent pour rien ! »

Se confier, pas instinctif… mais nécessaire !

Celles qui traversent l’aventure de la première maternité se tournent encore spontanément vers leur propre mère pour trouver réconfort et conseil (82 %), mais le futur ou jeune papa a quand même supplanté celle-ci : pour 91 % des femmes interrogées, leur conjoint est leur principal soutien. Sauf que, forcément, ce n’est pas vraiment auprès de lui qu’on va pleurer sur son ventre flasque ou sa libido à zéro. Si 87 % des jeunes mamans pensent que les papas peuvent materner aussi bien qu’elles, si le couple soudé partage solidairement ce déferlement d’émotions… ces mères ultramotivées mais fragiles manquent d’un réceptable extérieur pour confier leurs états d’âme. D’ailleurs, elles ne parlent quasiment pas d’elles-mêmes entre amies ou en société : 81 % affirment ne pas éprouver ce besoin !

Il n’est question que du bébé, de son poids (80 %), son alimentation (73 %), son sommeil (59 %)… « Elles cherchent du réconfort parmi leurs pairs sur Internet et n’y trouvent pas toujours une parole bienveillante qui les aide à relativiser. Elles sont quand même assez prisonnières du il faut être heureuse à ce moment-là… » déplore la pédopsychiatre. « C’est pourtant essentiel de vider un peu son sac. Même pour le bébé : quand sa maman n’est pas bien, il le sent. » Ceci explique cela : 43 % des jeunes mamans confessent ressentir le pincement vertigineux du baby blues. Presque 1 sur 2… C’est beaucoup et peu à la fois : à en croire Marie-France Le Heuzey, le bouleversement occasionné par une naissance est tellement fort sur tous les plans (hormonal compris) que le seul pourcentage crédible est… 100 %. Et que ça n’empêche pas d’être une super maman.

Par La Rando

Bahreïn: des cliniques contre l’obésité

Nawaf al-Thawadi s’est toujours battu pour perdre du poids. Il a essayé les régimes, les médicaments et les suppléments contre l’obésité, mais lorsqu’il était triste ou énervé, il finissait toujours par se tourner vers la nourriture pour se réconforter.

Lorsqu’il a été diagnostiqué avec un taux élevé de cholestérol, son docteur lui a offert un rendez-vous dans une nouvelle clinique spécialisée en nutrition gratuite au sein du centre de santé local. Après 10 mois de fréquentation régulière de cette clinique, Nawaf avait perdu 27 kg.

Jeunes gens assis autour d'une table

OMS/A. Alawadhi

Un tiers des adultes sont obèses

Les cliniques spécialisées en nutrition sont devenues l’outil essentiel de la riposte contre l’obésité à Bahreïn. En 2007, le pays comptait l’un des taux les plus élevés de surpoids et d’obésité dans la Région OMS de la Méditerranée orientale (après le Koweït et l’Arabie saoudite), 33% des adultes âgés de plus de 20 ans étant classés comme étant en surpoids, 36% d’entre eux comme étant obèses. Ce taux était considérablement plus élevé que la moyenne mondiale de l’obésité, qui s’élevait à 12% en 2008.

Les gens sont en surpoids lorsque leur indice de masse corporelle (kg/m2) dépasse 25 et obèses lorsqu’il dépasse 30. Les obèses courent un plus grand risque d’être atteints par le diabète de type 2, les maladies cardiaques, l’hypertension et les accidents vasculaires cérébraux, ainsi que divers types de cancer.

Environ 28% des adultes à Bahreïn souffraient d’hypertension en 2008, pourcentage légèrement supérieur à la moyenne mondiale qui est de 27%. La prévalence du surpoids et de l’hypertension artérielle chez les citoyens augmente évidemment le nombre de maladies cardiovasculaires, qui représentent 4 décès sur 10 dans le pays.

«Ce programme montre comment il est possible de réussir à promouvoir des comportements et des modes de vie sains.»

Dr Ayoub Al Jawaldeh, Conseiller nutrition de l’OMS en Méditerranée orientale

Ces statistiques ont incité le ministère de la Santé à prendre des mesures. En 2008, une équipe spéciale nationale a été mise en place, composée de spécialistes des départements ministériels Nutrition et Soins de santé primaires et secondaires. Ils ont produit une série de lignes directrices cliniques sur l’obésité au niveau national – fondée sur les lignes directrices de l’OMS concernant le classement de l’indice de masse corporelle et divers conseils techniques – qui insistent sur le fait que si les gens veulent perdre du poids et ne pas en reprendre, ils doivent changer de mode de vie.

Depuis 2008, de plus en plus de cliniques de nutrition aident à motiver les gens qui acceptent les changements nécessaires de leur mode de vie pour réduire leur risque de devenir gros ou obèse. Nawaf a suivi les conseils nutritionnels qui lui ont été donnés et a commencé à prendre des repas réguliers plutôt que de grignoter toute la journée. Il a supprimé toute «malbouffe» et a fait de l’exercice trois fois par semaine. Au début il a trouvé que c’était difficile, mais le fait de s’entraîner au sein d’un groupe l’a incité à poursuivre.

Les cliniques ont donné des résultats impressionnants. Près des trois quarts des patients participant à un programme de cinq ans ont perdu du poids. Le fait d’installer les cliniques dans les centres de santé locaux les a rendues facilement accessibles.

Les participants ont également apprécié que le programme soit pratique et réaliste. «Je continue de manger du chocolat, des hydrates de carbone et toutes les choses que j’aime», dit Nawaf. «Simplement j’en mange de façon modérée et je fais un peu plus d’efforts lors de mon cours de gymnastique après.»

Le Dr Nadia Gharib, Chef de la Nutrition au ministère national de la Santé, attribue la perte de poids des participants à une combinaison de leur propre engagement et du soutien apporté par les consultations individuelles dans les cliniques, les groupes d’appui et les présentations de sensibilisation à la question.

Prévenir l’obésité chez l’enfant et l’adolescent

Il y a actuellement cinq cliniques spécialisées qui couvrent les plus grandes villes de Bahreïn, d’autres devraient être ouvertues dans les 5 gouvernorats au cours des 5 prochaines années. L’étape suivante consiste à étendre le programme aux écoliers d’ici 2016.

Une clinique mobile fait actuellement le tour des écoles pour encourager l’adoption d’une nutrition saine et d’habitudes d’exercice physique dès le plus jeune âge, mais compte tenu des taux élevés de surpoids et d’obésité infantiles à Bahreïn, qui touchaient en 2012 30% des garçons et 33% des filles âgés de six à douze ans, par exemple, le Ministère de la Santé du Bahreïn veut s’assurer que les enfants et les adolescents ayant besoin de perdre du poids peuvent également rejoindre le programme.

«Le programme de Bahreïn montre comment réussir à promouvoir des comportements et modes de vie sains, par exemple en respectant un régime alimentaire sain, en faisant plus d’exercice physique, et en limitant le temps passé devant l’écran et les autres comportements sédentaires», déclare le Dr Ayoub Al Jawaldeh, Conseiller régional de l’OMS sur la nutrition dans la Région de la Méditerranée orientale. Pour lui, il est essentiel de veiller à ce que ces avantages soient mis à la portée de l’ensemble de la population. «En commençant avec les jeunes, l’influence s’étend aux autres groupes d’âge. Si elles proposent les bonnes interventions et activités, les cliniques de nutrition peuvent jouer un rôle important pour prévenir et traiter l’obésité chez l’enfant et l’adolescent, qui continuent de profiter de ces comportements sains tout au long de leur vie ».

La perte de poids de Nawaf a amélioré non seulement sa santé mais également sa propre estime. «À mesure que ma silhouette changeait, la perception de mon corps et la façon dont je le traitais changeaient aussi». Il dit qu’il se sent plus heureux et plus actif. «Les gens me demandent toujours des conseils, ce que j’apprécie énormément.»

Source: who.int

Par La Rando

Le Koweït aide les pauvres au Sénégal

L’Ambassadeur de l’Etat du Koweït en République du Sénégal a procédé à la distribution de moutons aux nécessiteux pour leur permettre de célébrer dans la dignité la fête de Tabaski.

D’après un communiqué de presse parvenu avant-hier à notre rédaction, ce projet a été réalisé dans le cadre d’une collaboration entre la Société du Croissant Rouge du Koweït et la représentation diplomatique de ce pays au Sénégal. Ce dernier a présidé la cérémonie de distribution de moutons aux populations les plus démunies de Dakar et sa banlieue, ainsi que d’autres villages du pays.

A cette occasion, Monsieur Abdoulaziz Aloumi, Chargé d’Affaires de l’Ambassade du Koweït à Dakar, a transmis les vœux les meilleurs de Son Altesse Cheikh Sabah Al Ahmad Al Jaber Al Sabah Emir de l’Etat du Koweït (qu’Allah le Protège), à son Excellence Monsieur Macky Sall Président de la République du Sénégal et au peuple sénégalais ami, pour l’avènement de l’Aid El Adha, souhaitant ainsi que cette fête apporte chaque année à la Umma Islamique dans son ensemble bonheur et félicité.

Par ailleurs, le Chargé d’Affaires a également fait savoir que l’Etat du Koweït, en tant que Président du Sommet Afro-arabe, a remis un don de cinq millions de dollars ( $ 5 000 000 ) à l’organisation mondiale de la santé (OMS) pour lutter contre l’épidémie à virus Ebola. Un geste de haute portée de Son Altesse pour franchir cette étape difficile et venir à bout de cette maladie. Cela illustre son souci d’alléger la souffrance humaine de part le monde.

Source: sudonline.sn