Par La Rando

Le fret aérien à Dubai

Dubaï a traité environ 2,4 millions de tonnes de fret aérien en 2014, conservant ainsi la troisième place après la Corée du Sud et Hong Kong.
«Nous cherchons à atteindre 4 millions de tonnes d’ici 2020, avec un taux de croissance annuel moyen de 6,7 pour cent. Dubaï jouerait ainsi un rôle clé dans la stratégie de la cargaison, » déclare Paul Griffiths, CEO de Dubai Airports.
Environ 24 compagnies aériennes de fret opèrent actuellement à DWC et « Je suis optimiste que nous serions en mesure de réaliser la croissance projetée,» affirme Griffiths.
Le tonnage transporté via Hong Kong pendant 12 mois était de 4,3 millions de tonnes, et à travers Séoul de 2,46 millions de tonnes.
Les volumes de fret en décembre diminuaient de 7 pour cent, avec 202 836 tonnes passant par l’aéroport, par rapport aux 218 138 tonnes enregistrées durant le même mois de l’an dernier.

Source: Gulf News

Par La Rando

L’Arabie saoudite mise gros sur le gaz de schiste

La compagnie nationale saoudienne va investir 7 milliards de dollars dans ce domaine.

Saudi Aramco, la compagnie nationale saoudienne, investit massivement dans le gaz non conventionnel. «  L’Arabie saoudite sera la prochaine frontière du schiste, notamment dans le gaz », a déclaré mardi son PDG, Khaled Al Faleh, lors d’une conférence à Riyad. Le patron de la première compagnie pétrolière mondiale a annoncé son intention d’investir 7 milliards de dollars supplémentaires dans ce domaine, qui viendront s’ajouter aux 3 milliards de dollars déjà dépensés.

«  C’est la première fois que Saudi Aramco dévoile les montants consacrés à ses ressources non conventionnelles, mais le pays avait déjà évoqué par le passé son intention de les exploiter », rappelle Francis Perrin, président de la société d’études Stratégies et Politiques Energétiques. Le royaume s’est engagé dans une stratégie de diversification de son électricité, aujourd’hui largement produite en brûlant du pétrole. Le développement des réserves de gaz s’inscrit dans cette stratégie, aux côtés de projets dans le solaire ou le nucléaire, dans le but de préserver ses ressources pétrolières pour l’exportation. Or le pays pourrait receler des réserves de gaz de schiste considérables : le ministre du Pétrole, Ali Al Naimi, les a estimées en 2013 à 17.000 milliards de mètres cubes, deux fois les réserves prouvées actuelles de gaz du pays.

Un haut niveau d’expertise

Saudi Aramco a démarré des campagnes d’exploration dès 2011, avec des forages dans le nord du pays. Il y a environ un an, Khaled Al Faleh a annoncé que les découvertes réalisées dans cette région lui permettront d’alimenter une centrale électrique de 1.000 mégawatts (l’équivalent d’un réacteur nucléaire) à venir au sein d’un futur complexe de phosphates. La compagnie saoudienne devrait aussi réaliser cette année deux forages avec le russe Lukoil dans le désert Rub al-Khali, où elles ont découvert un réservoir de « tight gas », un autre gaz non conventionnel nécessitant la même technologie d’extraction que le gaz de schiste. «  Le Royaume veut faire passer sa production de 300 à 450 millions de mètres cubes par jour d’ici à 2018 », indique Francis Perrin.

Une ouverture pour les compagnies occidentales, qui cherchent toutes à conclure des partenariats avec la compagnie saoudienne dans l’exploration-production ? «  Saudi Aramco a évoqué la possibilité d’associations, sans suite pour l’instant, note Francis Perrin. Elle n’en a pas absolument besoin, car elle possède elle-même un haut niveau d’expertise et travaille avec des sociétés de services qui maîtrisent les technologies. Mais elle pourrait souhaiter partager les risques et les investissements. » Reste à résoudre le sujet des faibles ressources en eau du royaume, alors qu’il s’agit d’un élément essentiel à l’exploitation des hydrocarbures de schiste.

Source : Les Echos

http://www.lesechos.fr/journal20150128/lec2_entreprise_et_marches/0204112824044-larabie-saoudite-mise-gros-sur-le-gaz-de-schiste-1087615.php

Par La Rando

Un quart des Français en couple avec des étrangers

Alors que la France compte 13 millions de célibataires, les moyens de faire des rencontres n’ont jamais été aussi nombreux. Entre les méthodes ordinaires et leurs équivalents 2.0, comprendre les sites de rencontres et les applications pour séduire, on a l’embarras du choix. Mais ce qu’on ignorait, c’est le goût des Français pour la mixité.

Les Françaises sont réputées pour être parmi les plus belles femmes du monde, comme le démontrent les plus jolies filles du PAF. Et pourtant, les Français leur préfèrent leurs voisines anglaises, italiennes et allemandes. Une étude réalisée par la société d’apprentissage de langues en ligne, Babbel, à l’occasion de la Saint-Valentin, nous en dit long sur les couples et la mixité.

Les couples binationaux ont de l’avenir

Le site de cours de langues Babbel est formel, les Français ne choisissent pas leur partenaire en fonction de sa nationalité, pour preuve, 23,3% d’entre eux sont l’heureuse moitié d’un couple binational. On peut y voir une bonne nouvelle, en tout cas, cela témoigne d’une évolution, globalement suivie par l’Espagne (21%) et l’Italie (20,5%). En outre, les Français qui se lancent dans des relations mixtes le font principalement avec des Britanniques (26,5%), des Italiens (25,2%) et des Allemands (24,6%).

Avec les programmes d’échanges étudiants et les incitations à la mobilité professionnelle, nous sommes de plus en plus amenés à passer du temps à l’étranger. Et cela est vrai dans le sens inverse : les étrangers ont de plus en plus d’occasion de faire des séjours prolongés sur le territoire français dans le cadre de leurs études ou pour leur carrière. Or, cela donne forcément lieu à des rencontres qui finissent parfois par former des couples. Il faut savoir que l’amour est la première raison avancée par les Français candidats à l’expatriation. Elle représente 29,2% des cas, tandis que les opportunités professionnelles ne concernent que 25,2% des départs.

Si l’amour n’a pas de frontières, c’est peut-être le moment de vous atteler à l’apprentissage d’une langue étrangère, car même Skype Translator ne vous suffira pas pour séduire votre future moitié !

Source: Boursorama

Par La Rando

Abu Dhabi, une des villes les plus sûres du monde

Abu Dhabi est la ville la plus sûre au Moyen-Orient et l’un des 25 endroits les plus sûrs de la planète, selon un nouveau rapport.
L’index des villes sûres 2015 de l’Economist Intelligence Unit, qui prend en compte la sécurité numérique, la sécurité sanitaire, la sécurité des infrastructures et la sécurité personnelle, classe la capitale des Emirats avant de Milan, Rome, Shanghai et Moscou, sur un total de 50 autres villes.
Abu Dhabi a pris la 25e position dans la liste globale et c’est la seule ville du Moyen-Orient figurant dans la moitié supérieure de l’indice, devant Doha à la 29e place et Riyad à la 46e position.
La capitale des Emirats marque des points forts en matière de sécurité numérique et de la sécurité des infrastructures.
Dans l’ensemble, les villes des pays développés dominent la première moitié de l’indice, tandis que la moitié inférieure est principalement occupée par les villes dans les pays en développement.
Tokyo, la ville la plus peuplée au monde, avec plus de 13 millions d’habitants en 2014, a pris la première place, suivie par Singapour, Osaka, Stockholm, Amsterdam, Sydney, Zurich, Toronto, Melbourne et New York.
Dans le bas de la liste se retrouvent Istanbul (41ème place), Delhi (42e), Moscou (43e), Mumbai (44e), Mexico (45e), Riyad (46e) Johannesburg (47e), Ho Chi Minh-Ville (48e), Téhéran (49e) et Jakarta (50e).
Dans le classement des pays, les chercheurs ont également examiné la fréquence des accidents de la circulation, les mesures politiques et les niveaux de dépenses.
Toutefois, l’indice se concentre uniquement sur 50 villes, sur la base de la représentation régionale et de la disponibilité des données, de sorte qu’il ne signifie pas qu’une ville apparaissant dans le bas de la liste est la ville la plus dangereuse du monde pour vivre.

Source: Gulf News

Par La Rando

C’est quoi le marketing stratégique

Dans ce cadre, le marketing stratégique, composante de la stratégie marketing, s’assure auprès des autres fonctions clés de l’entreprise (gestion de la qualité, logistique, management du système d’information, gestion des ressources humaines) de la faisabilité de l’offre.

La stratégie marketing se confond souvent avec la stratégie d’entreprise notamment dans les organisations faisant appel à un nombre restreint de métiers (de DAS) et négocie ainsi directement l’optimisation des synergies (ou flexibilité) de l’organisation et la rentabilité attendue par le service financier.

En fait, elle se résume souvent à l’élaboration d’un marketing-mix dont la cible désignée est le client.

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Par La Rando

Avez-vous l’étoffe d’un chef d’entreprise ?

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Etre un bon chef d’entreprise ne s’improvise pas. Diriger une société requiert à la fois des compétences et des qualités personnelles. Afin de prendre les bonnes décisions avec assurance, le chef d’entreprise doit alors diriger dans les étapes clés mais aussi écouter son entourage afin de se forger une opinion la plus étayée possible. Voici des conseils pratiques pour devenir un bon chef d’entreprise. Lire la suite « Avez-vous l’étoffe d’un chef d’entreprise ? »

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Le Qatar vise les Jeux olympiques

Le Qatar sera candidat à l’organisation de Jeux olympiques, mais le riche émirat pétrolier n’a pas encore décidé pour quelle édition il déposera un dossier, a annoncé lundi le secrétaire général du comité olympique du Qatar (QOC). «Je pense que la question n’est pas de savoir si le Qatar sera candidat, mais quand le Qatar décidera de candidater», a expliqué Sheik Saoud Bin Abdulrahman Al Thani, patron de l’olympisme qatarien, lors d’une conférence de presse à Losail (Qatar).

«Nous n’avons pas encore décidé si nous candidaterons pour 2024, mais il y aura une candidature. Je veux dire pour 2024, 2028 ou 2032», a-t-il ajouté. A la question d’un journaliste demandant si une candidature est «inévitable», il a répondu «exactement». Après avoir obtenu l’organisation du Mondial 2022 de football, attribution accompagnée de nombreuses polémiques – soupçons de corruption, chaleur et conditions de travail sur les chantiers – le Qatar souhaite donc s’attaquer à l’autre grand événement sportif planétaire.

Une décision avant septembre prochain

Le Cheikh Saoud entend s’appuyer sur l’expérience emmagasinée par le pays dans les prochaines années dans l’organisation de grands événements sportifs: Mondiaux de natation en petit bassin en décembre dernier, championnat du monde de handball actuellement, ou encore Mondiaux 2019 d’athlétisme. «Cela montre que le Qatar tient ses promesses», a-t-il lancé, à propos du Mondial de handball qui prend fin dimanche à Doha.

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Par La Rando

La Coupe du monde au Qatar se jouera en hiver

Jérôme Valke a réaffirmé ce mercredi que la Coupe du monde-2022 au Qatar « se jouerait en hiver ».

« Je crois que ça a aussi été confirmé par d’autres membres du comité exécutif (de la Fifa) que cette Coupe du monde se jouerait en hiver », a déclaré le secrétaire général de la Fifa sur France Info. « Quelle partie de l’hiver ? Est-ce que c’est le début de l’année 2022 ou la fin de l’année 2022 ? Il y a une « task force » (groupe de travail) qui se réunit à Doha pour en discuter dans quelques semaines et ensuite au mois de mars le comité exécutif de la Fifa devra prendre une décision finale sur : « A quelle période exactement » et « Quelles sont les dates exactes » », a-t-il poursuivi. « Il y a une inquiétude du CIO par rapport aux JO d’hiver en 2022, on prend tout ça en compte, on écoute les ligues, les clubs, les joueurs, la commission médicale, l’ensemble du monde du sport, mais c’est dans sept ans et on peut vivre avec (la perspective d’une Coupe du monde en hiver, ndlr) », a conclu le numéro 2 de la Fifa.

En novembre, Jérôme Valke avait déjà confié que le groupe de travail en charge du calendrier s’approchait « du resserrement des choix pour la Coupe du monde-2022 ». Il avait mentionné « deux options – janvier-février 2022 ou novembre-décembre 2022 – » tout en précisant qu’il avait aussi été « demandé à la Fifa d’examiner mai 2022 ». En décembre, l’Association des clubs (ECA) et les Ligues professionnelles (EPFL) d’Europe avaient plaidé pour un Mondial-2022 disputé du 5 mai au 4 juin.

Par ailleurs, un rapport du Conseil de l’Europe, adopté mardi, a exhorté la Fifa à procéder à un nouveau vote sur l’attribution de l’organisation du Mondial-2022 , estimant que la procédure emportée par le Qatar avait été « profondément entachée d’illégalité ». Mais ce rapport n’a pas force de contrainte. Depuis l’attribution en 2010 de la Coupe du monde-2022 au Qatar, l’Emirat et la Fifa sont au centre de nombreuses polémiques. Mais le président de la Fifa, Joseph Blatter, a prévenu en décembre qu’il « faudrait vraiment qu’il y ait un séisme » pour retirer l’organisation du Mondial au Qatar.

Source: Ladepeche.fr

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Immobilier à Londres: le Qatar rachète le quartier d’affaires de Canary Wharf

Dans un retournement de dernière minute, après une longue lutte boursière, le Qatar a finalement mis la main sur Canary Wharf, le quartier d’affaires de Londres. Mercredi 28 janvier, les principaux actionnaires de Songbird, une entreprise qui possède 69 % de Canary Wharf, ont accepté l’offre conjointe formulée par la Qatar Investment Authority (QIA) et le groupe canadien d’immobilier Brookfield. A 350 pence par action, l’acquisition valorise Songbird à 2,6 milliards de livres (3,5 milliards d’euros).

Canary Wharf est un immense quartier d’affaires, à l’est de Londres, entièrement privé. Cet ancien quartier de docks en bord de Tamise avait été développé sous Margaret Thatcher, profitant de la relative étroitesse de la City, le quartier des affaires traditionnel aux immeubles de taille modeste.

Les gratte-ciels de Canary Wharf sont dominés par les logos des grandes banques internationales, et les télévisions utilisent ses images pour représenter la « City » (qui est, techniquement, un quartier du centre de Londres).

La transaction peut être vue comme un symbole des temps : elle se fait en partie entre un fonds souverain et un autre. Songbird est actuellement détenu par trois actionnaires majoritaires : China Investment Authority, un fonds souverain chinois, ainsi que Simon Glick, un investisseur new-yorkais et Morgan Stanley, la banque américaine.

Quand ceux-ci ont été approchés, en novembre 2014, par QIA et Brookfield, leur réaction initiale a été de repousser l’offre, qu’ils jugeaient sous-évaluée. Après plusieurs rebondissements, l’offre a été augmentée de 19 % début janvier. Mais les actionnaires avaient laissé entendre qu’ils ne voulaient toujours pas en entendre parler.

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