Par La Rando

Handball : forfait pour les Emirats Arabes Unis

Les Emirats arabes unis ont déclaré forfait pour le Mondial-2015 messieurs de handball, qui se déroulera du 15 janvier au 1er février au Qatar. A l’instar du Bahrein hier, l’état du golf persique tient à montrer son opposition aux récentes prises de position du Qatar sur la scène internationale.

Selon l’AFP « Nous avons saisi par courrier la fédération internationale de handball (IHF) de notre retrait officiel du prochain Mondial au Qatar », a déclaré le président du Conseil exécutif de la fédération émiratie, Majed Sultan. Les Emirats étaient dans le groupe de la France, qui comprend aussi  l’Egypte, l’Algérie, la Suède et la République tchèque. M. Sultan a déclaré que le retrait des Emirats était motivé par « des  considérations techniques et une préparation insuffisante » de l’équipe. Même si ces arguments peuvent être pris en compte, les éléments géo-politiques de cette zone du Moyen-Orient semble néanmoins privilégiés pour expliquer ce forfait. Il s’agit du deuxième forfait pour le Mondial au Qatar après celui de Bahreïn, qui était dans le groupe du Danemark, de la Pologne, de la Russie, de l’Argentine et de l’Allemagne. La Fédération internationale de handball (IHF) devrait se réunir le 21 novembre pour décider du repêchage éventuel de remplaçants. Soit l’IHF fait appel aux équipes de la zone Asie comme la Corée du Sud ou l’Arabie Saoudite ou alors elle calme le jeu auprès des nations européennes en prenant l’Islande et la Serbie.

C’est un nouveau gros coup dur pour le Qatar et l’IHF à moins de 3 mois du début de la compétition. La nomination des 2 équipes remplaçantes risque à nouveau de faire beaucoup parler quand on repense encore à l’éviction de l’équipe d’Australie en juillet dernier pour des raisons et critères qui restent à ce jour très flous…

Source : handnews.fr

Par La Rando

Dubaï forum continental Peace and Sport

La paix peut-elle se construire par le sport ? Un champion peut-il, par ses valeurs, son image et ses messages, réussir où les hommes politiques ont échoué ? Un homme le croit dur comme fer. Joël Bouzou, ancien champion du monde de pentathlon moderne (1987), aujourd’hui fondateur et président de Peace and Sport. Le Français y croit. Et il n’est pas le seul. A Dubaï, son organisation tient actuellement (23 et 24 avril) son premier Forum dans un pays du monde arabe. Un rendez-vous où se pressent plusieurs centaines de dirigeants du mouvement sportif, experts et anciens champions. Pour parler de paix, de sport. Et de la façon de marier les deux. Interview.
FrancsJeux : Pourquoi avoir choisi Dubaï pour organiser le premier Forum continental Peace and Sport?
Joël Bouzou : La vocation de Peace and Sport a toujours été, depuis sa création en 2007, d’œuvrer à la construction d’une paix durable dans le monde. Le monde au sens le plus large du terme, sur les cinq continents. Nous avons cherché, depuis le tout début, à nous développer à l’international, à faire entendre notre voix sur l’ensemble de la planète. Cet objectif nous a conduits l’an passé à organiser notre Forum international en Russie, à Sotchi. Cette année, nous faisons étape à Dubaï avec la volonté de nous adapter aux problématiques des différentes régions du monde. Dubaï s’impose comme un choix naturel pour débattre de la paix par le sport dans un cadre neutre. Lire la suite de l’interview….

Par La Rando

Dubai, ville où il faut investir

Découverte. À 6 heures de Lyon, Dubaï veut jouer la carte de l’ensoleillement permanent. Mais aussi du sport et de la culture. Quand Olivier Louis, le directeur général du palace One § Only Royal Mirage a ouvert ce somptueux établissement à Dubaï, il y a 15 ans, il n’y avait, tout autour, que du sable et des chameaux en liberté. Depuis, les choses ont bien changé. Et quand on lève les yeux, du bord de la piscine (rafraîchie en été), le spectacle est tout simplement grandiose. Là où il n’y avait rien, les gratte-ciel ont poussé comme des champignons. On en voit quinze. Il y en a… 150 ! Monsieur Louis est sans doute le meilleur guide qui existe à Dubaï. À la tête d’un palace qui emploie 1 250 personnes, il prend le temps de raconter Dubaï dans toute sa complexité. Lire la suite « Dubai, ville où il faut investir »