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Lubna Al Qasimi des Emirats, femme la plus puissante du monde arabe

Le remaniement ministériel aux Emirats arabes unis n’est pas passé inaperçu, et pour cause. Au moins deux ministères innovants ont été créés: du Bonheur et de la Tolérance, dirigés par des femmes -elles sont donc huit au total au gouvernement. Parmi elles, l’inébranlable Sheikha Lubna Al Qasimi, qui fût la Lire la suite « Lubna Al Qasimi des Emirats, femme la plus puissante du monde arabe »

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L’industrie du tourisme des Emirats arabes unis

L’industrie du tourisme des Emirats continuera à se développer en 2015, avec 7,6 pour cent de croissance année après année des arrivées de touristes et 9,3 pour cent d’augmentation des recettes du tourisme, selon un rapport publié par Business Monitor International (BMI).
“Les perspectives pour le secteur du tourisme des Emirats semblent prometteuses. Nous nous attendons à une forte croissance des arrivées de touristes, des recettes du tourisme et de la valeur de l’industrie hôtelière,” affirme le rapport. Lire la suite « L’industrie du tourisme des Emirats arabes unis »

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Dubai, capitale du design et des arts

Tendances déco industrielle

Dans la dynamique de l’Expo 2020, Dubaï ambitionne de devenir une capitale du design et des arts, à l’instar de New York ou Berlin. Et de promouvoir une production locale émergente. On le sait, le design d’intérieur industriel est sans aucun doute l’un des styles les plus demandés de nos jours. En particulier, le décor industriel rustique gagne en popularité. Que ce soit le Lustre qui fait partie des nouvelles tendances ou des tableaux anciens. Vous l’aurez compris, les plafonniers sont d’une importance capitale pour votre décoration intérieure. Ce qui rend ce style si spécial, c’est son caractère apparemment inachevé associé à des éléments plus raffinés. Un mélange magnifique !

Pour résumer, le style industriel rustique est très populaire. A l’origine, c’est un style qui est né d’anciens entrepôts et lofts urbains. Mais vous pouvez le recréer dans n’importe quel intérieur et même en tant que locataire ! De la palette de couleurs généralement neutres à sa préférence pour les matériaux vieillis, un style industriel rustique semble détendu et accueillant. Et comme les imperfections sont une qualité, c’est aussi un style qui peut être facilement recréé, même avec un petit budget ! Alors êtes-vous prêt à l’essayer chez vous ? Faites comme de nombreux expatriés français vivant à Dubai (et même en France) qui l’utilisent.  D’ailleurs, pour en savoir plus, nous vous invitons à consulter les Tendances déco industrielle de 2021

Design à Dubai

Downtown Dubaï. En marge des anciens quartiers, une ville taillée sur mesure continue d’émerger, pour laquelle les superlatifs se bousculent. Burj Khalifa, le plus haut immeuble du monde, l’hôtel Burj-Al-Arab, le plus luxueux avec sept étoiles autoproclamées, le plus grand mall, le plus vaste aéroport – avec une capacité prévue de 160 millions de passagers… Tandis qu’au sud de la ville, le désert fait place à de gigantesques projets immobiliers comme Palm Islands, presqu’île artificielle en forme de palmier ou The World, archipel artificiel qui reproduit la carte du monde.

De quoi donner le tournis. Plus encore lorsque l’on se rend au sommet de Burj Khalifa, qui offre un panorama de 360 degrés sur la ville et le territoire, à 828 m de hauteur. De là, je peux mieux me rendre compte de l’évolution de ces dernières années. Des étendues désertiques à la côte au nord, et de part et d’autre de l’artère principale de 3,5 km, la Mohammed Bin Rashid, s’étalent des chantiers en cours, notamment dans la foulée de l’Exposition universelle de 2020.

Ici, un chantier dépasse rarement trois ou quatre ans, sourit Amina Al Rustamani, cheffe exécutive de Tecom Investments. Casque de Playmobil vissé sur le crâne, elle me guide sur le site du chantier du moment, le Dubaï Design District (d3), dont l’ambition est de positionner la ville comme nouvelle capitale de la mode et du design. Le site devrait héberger des bureaux et studios de la communauté créative internationale (architectes, designers, graphistes…), tout en boostant le design local émergent. Le d3 se dotera d’un front de mer de 1 km, avec boutiques-hôtels, restaurants et bars, une rue du design… d3 représente une grande opportunité pour l’industrie de la mode et du design dubaïote de s’aligner sur des villes comme Londres, Paris et New York. Tout en rencontrant les objectifs touristiques de 2020, assure Amina Al Rustamani.

Autre projet majeur en cours : le Dubai Modern Art Museum & Opera House District, au centre-ville. Le lieu a pour objectif de devenir la plateforme des arts par excellence – avec un musée d’art contemporain et septante galeries d’art – et des performances au sein des Émirats arabes unis. Pour l’instant, je me contente d’admirer la maquette de l’Opéra, future icône culturelle, au très fashion Pavillon Emaar, du nom du groupe immobilier en charge de l’Opera District. Du café-restaurant, on a vue sur le chantier, démarqué par de larges panneaux sur le boulevard. Où l’on se met à imaginer que d’ici à 2016, une structure de deux mille sièges en forme de bateau, inspirée de l’histoire portuaire de Dubaï, y imprimera le paysage urbain de ses contours. Surtout, c’est tout un quartier qui sortira de terre avec des hôtels de luxe, des logements résidentiels, des zones de balade et de loisirs à front de mer.

Design local émergent

Dubaï, qui n’était encore à la moitié du XIXe siècle qu’un petit bourg vivant essentiellement de la pêche aux perles, est aujourd’hui devenue la ville la plus importante et le premier port des Émirats arabes unis (créés en 1971), devant Abu Dhabi. À deux heures de route de Dubaï, la capitale fédérale a de son côté assis son aura touristique sur la culture. Et des projets rutilants tels, récemment, le Guggenheim Abu Dhabi, le Louvre Abu Dhabi et le Sheikh Zayed National Museum (en collaboration avec le British Museum).

Après s’être d’abord positionnée sur le plan mondial comme centre d’affaires et destination de shopping, Dubaï a également saisi toute l’importance, pour son développement, de promouvoir l’art et le design. Le salon Design Days Dubaï, qui se tient en mars, a vu le jour il y a trois ans, à l’initiative de Cyril Zammit, directeur très enthousiaste. Il explique : C’est le bon moment car au niveau éducatif, les gens d’ici sont davantage sensibilisés au design et à l’art. Et le changement de mentalité s’opère : au lieu d’acheter des pièces en Chine ou d’autres copies, le design local est mis en avant. La particularité de ce marché neuf est que les gens achètent ce qu’ils aiment, ce ne sont pas des collectionneurs qui recherchent du Charlotte Perriand. On peut mêler valeurs sûres et émergentes, proposer une grande diversité. De même pour les nombreux expatriés, les choses acquièrent plus de valeur si elles sont faites ou bâties ici.

Lors de la dernière édition, j’ai pu juger sur pièce des créations locales étonnantes, parmi la quarantaine de galeries issues de huit pays (Brésil, Corée, Italie, France, Belgique…). Tels les coussins-tubes Braided, tressés sur une structure en bois par l’artiste protéiforme Latifa Saeed. Ou les sièges surréalistes Victory Chairs d’Omar Nakkash’s, qui évoquent les trois doigts levés en guise de victoire par l’émir de Dubaï, lors de la confirmation de la ville comme hôte de l’Expo 2020. La designer India Mahdavi, basée à Paris, était invitée à exposer sa série Landscape (tables et vasques) en céramique colorée à la galerie libanaise Carwan : Les Émirats arabes sont devenus une place incontournable pour les designers. J’ai conçu ces tables pour Dubaï, à partir de couleurs et matériaux locaux, soulignera-t-elle lors d’un lunch au concept store Comptoir 102.
Au fil des stands du salon Design Days Dubaï, une chose saute aux yeux : la plupart des éditeurs et labels sont représentés par des étudiantes en design, extrêmement documentées sur chaque pièce présentée. Cyril Zammit confirme : Le design est un nouveau créneau pour les femmes des Émirats. Elles sont de plus en plus nombreuses à étudier, à travailler. Et à défendre leur indépendance. Un des facteurs de cette évolution est la baisse des mariages traditionnels. Face à la contrainte de la dot, beaucoup d’hommes préfèrent épouser des étrangères. Par ailleurs, associé à l’univers de la maison et aux tâches domestiques, le secteur du design attire peu la gente masculine locale.

Al Quoz, le quartier arty

Direction Al Quoz, la banlieue industrielle où depuis 2007, l’art a pris ses quartiers. On y passe facilement une journée entière. La zone est isolée, relativement calme, tranchant avec l’atmosphère et les buildings clinquants du centre-ville. Un pâté d’anciens hangars restaurés accueille musées privés, galeries d’art, espaces alternatifs, cafés et restaurants dans les environs de l’Alserkal Avenue, désignée comme pôle artistique catalyseur dans la région.
Hahnia Battif, responsable de la communication, me guide sur les lieux. Le quartier doit devenir une place majeure du marché de l’art, au même titre que New York, Londres ou Berlin, assure-t-elle. L’aspect postindustriel et l’authenticité des bâtiments ont été préservés. Par ailleurs, de plus en plus de jeunes studios et ateliers s’implantent ici, ce qui renforce l’aspect éducatif. La jeune femme a étudié l’histoire de l’art et la communication à Londres, avant de revenir à Dubaï, où le marché de l’art naissant offre de nouvelles opportunités d’emploi.

En 2014, le nombre d’espaces investis a doublé pour intégrer d’autres disciplines, comme le design et l’architecture, poursuit-elle. Et de pointer l’espace interdisciplinaire A4. Ouvert en mars pendant Art Dubaï, et accessible au public, le lieu se veut être un incubateur pour les artistes dubaïotes, au sein duquel écrivains, free-lances, chercheurs en réseau et artistes conversent et collaborent. Au rez, le concept store STORiEs propose des pièces uniques ou en série limitée de créateurs d’ici et d’ailleurs, au même niveau que l’attrayant Appetite Cafe et sa bibliothèque géante constituée de dons. Halte obligée après avoir parcouru des kilomètres de galeries.

Parmi les valeurs sûres, nous visitons la Gallery Isabelle van den Eynde, fondée à Dubaï en 2006, qui vaut notamment le coup d’œil pour ses scénographies très travaillées (papiers peints en fond, œuvres très visuelles…), qui plongent le visiteur dans la fiction. Et un peu plus loin, la Galerie Nationale, l’une des premières galeries de design implantée sur l’Alserkal Avenue, début 2012, centrée sur des pièces rares ou classiques du XXe siècle et sur les travaux de designers internationaux émergents.
Le point commun entre les artistes de cette nouvelle génération et ceux du cru, aux approches pourtant très personnelles, c’est de produire des œuvres qui se veulent le reflet d’un pays en transition. Entre amertume et curiosité. Comme dans les photographies de Jessica Mein, qui vit à Dubaï : La ville a changé de façon drastique en peu de temps et, dans la foulée, beaucoup de ce qui faisait le charme de Dubaï a disparu ou est caché derrière le gloss et le glamour. Je veux regarder la ville avec un regard neuf, pour apprécier l’ancien à côté du neuf. Le passé, le présent et le futur selon lesoir.be

 

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Spice Souk Dubai

Dubai Spice Souk ou le vieux souk est un marché traditionnel à Dubaï aux Émirats arabes unis (EAU). C’est LE marché à visiter absolument quand on se rend à Dubai !! Le Spice Souk se trouve dans l’est de Dubaï, à Deira, à la Dubai Gold Souk. The Spice Souk, situé sur Sikkat Al Khail Road, se trouve dans la localité d’Al Ras. Le souk comprend plusieurs ruelles qui sont bordées de magasins ouverts avec toit fermé.

Les magasins dans le souk aux épices vendent une variété de parfums et d’épices , de l’encens et de la chicha aux nombreuses herbes utilisées dans des plats arabes et d‘Asie du Sud. En outre, plusieurs textiles, de l’encens, des tapis et des objets sont également vendus dans le souk aux épices. La majorité de la négociation se fait par marchandage, donc n’hésitez pas !!  Malheureusement , le nombre de commerce et de magasins d’épices de négociation dans le souk aux épices ont été considérablement été réduits ces dernières années en raison de la croissance des plus grands magasins et supermarchés à Dubai. Découvrez cette vidéo Spice Souk Dubai  comme si vous y étiez.

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Des drones-fonctionnaires aux Émirats arabes unis

Une escadrille de petits drones pourrait bientôt être utilisée pour envoyer des documents officiels aux citoyens émiratis. Un prototype a été dévoilé lundi.

Voilà de drôles de fonctionnaires. Dans le cadre de leurs efforts d’amélioration des services publics, les Emirats arabes unis ont présenté lundi un prototype d’aéronef sans pilote qui devrait à l’avenir être chargé de livrer cartes d’identité, permis de conduire et autres documents officiels aux habitants.

« Les Emirats vont essayer d’assumer certains services publics au moyen de drones. C’est le premier projet de ce genre au monde », a expliqué un ministre, Mohammed al Gergaoui, en dévoilant le prototype de drone.

L’appareil, qui ressemble à un grand papillon, mesure dans les 50 centimètres et dispose d’un d’un compartiment permettant de loger de petits paquets. Peint aux couleurs des Emirats arabes unis (vert, noir, rouge et blanc), il est propulsé par quatre rotors. Lire la suite sur Latribune.fr…

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Investissements et le développement hôtelier à Dubai

En sa qualité de Souverain de Dubaï, le Vice-président et Premier ministre des Emirats Son Altesse Cheikh Mohammed bin Rashid Al Maktoum  a publié une série de directives visant à améliorer et à rationaliser les investissements et le développement hôtelier dans l’émirat de Dubaï.
Les directives sont une réponse aux recommandations soulevées par les promoteurs du secteur privé de Dubaï au cours d’un atelier de consultation organisé par le Département de Dubaï du Tourisme et du Commerce Marketing ( DTCM ) et la Municipalité de Dubaï, en présence de représentants des principaux investisseurs dans le secteur de l’hôtellerie, y compris Al Habtoor Group Al Futtaim Group, Al Ghurair Group, le Groupe Rotana, Dubai Holding et Emaar


L’atelier organisé le 16 janvier dernier visant à discuter de la vision du tourisme à l’horizon 2020, y compris la récente croissance positive dans le secteur de l’hôtellerie en termes de nombre de visiteurs et d’ouvertures d’hôtels, tout en s’efforçant de trouver des solutions pour stimuler davantage le secteur, en particulier dans le segment des trois et quatre étoiles.
Les directives formulées par Son Altesse Cheikh Mohammed bin Rashid Al Maktoum concernent une multitude de réglementations en matière de construction, d’approbation de simplification des procédures et de gestion.
Des incitations supplémentaires pour aider à assurer le développement d’hôtels trois et quatre étoiles dont Dubaï aura besoin d’ici 2020 sont également prévues dans les nouvelles directives.

Source: Agence de Presse des Emirats, WAM

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KhalifaSat, un satellite made in Emirats arabes unis

Connaissez-vous KhalifaSat? C’est le premier satellite construit localement par les Emirats arabes unis va bientôt être envoyé dans l’espace. Une révolution pour le monde arabe qui entre dans l’ère de la technologie de l’espace.  Son Altesse Cheikh Mohammad Bin Rashid Al Maktoum, Vice-président et Premier ministre des Emirats arabes unis et souverain de Dubaï,a visité les locaux de l’institut pour la science et la technologie avancées (EIAST). Lieu où se construit le premier satellite des Emirats arabes unis. Une première dans le moinde arabe! Quand sera t-il lancé en orbite? Selon Son Altesse Cheikh Khalifa Bin Zayed Al Nahyan, ce serait pour 2017.
Notons que les Emirats ont déjà des satellites en orbite, DubaiSat1 et DubaiSat2, qui ont été construits à Séoul, en vertu d’un arrangement de partage des connaissances avec la société sud-coréenne Satrec. Quand à KhalifaSat, vingt ingénieurs émiratis ont joué un rôle dans la construction des deux satellites, en vue de développer une expertise et d’assurer les prochains satellites sont construits localement.
EIAST a été créé en 2006 pour promouvoir la recherche de pointe et l’innovation technologique dans l’espace. Elle a pour but de positionner les Émirats arabes unis comme une plaque tournante pour le développement de la technologie spatiale à l’échelle internationale; d’optimiser le potentiel de programmes EIAST satellite, DubaiSat-1 et DubaiSat-2, à travers l’élargissement de leurs applications et de fournir un soutien aux décideurs dans tous les secteurs grâce à l’application de ses compétences spécialisées.
Quarante-cinq ingénieurs émiratis travaillent sur la construction de la KhalifaSat, qui, selon cheikh Mohammad, propulse la région arabe dans une nouvelle ère de l’industrie spatiale et de la concurrence dans les technologies spatiales. En lançant le projet prometteur, Shaikh Mohammed a déclaré: «KhalifaSat est un message à tous les Arabes, nos portes resteront ouvertes pour une coopération avec tous les pays arabes  pour développer la technologie et les techniques spatiales ».