Longtemps avant l’Atlantide et l’Empire de Rama, une civilisation plus mythique encore s’est endormie sous les eaux du Pacifique : c’est Mu, le continent perdu. Il y a un siècle, James Churchward dit le colonel pointe du doigt l’existence d’une civilisation aussi ancienne que celle des géants de Tiahuanaco. Ces géants-ci vivaient dans le Pacifique, sur un continent aujourd’hui englouti par la montée des eaux. Grâce aux trouvailles de Churchward, Mu, le fabuleux Empire des Naacals, semble traverser soudain le mur du temps.
Notre civilisation serait condamnée à disparaître. Non, vous n’êtes pas dans un film de science-fiction, c’est la Nasa elle-même qui l’annonce, via une étude qu’elle a financée. Des chercheurs ont ainsi montré que plusieurs critères pourraient entraîner la disparition de notre civilisation d’ici une quinzaine d’années. Doit-on craindre ce scénario ? Décryptage de notre contributeur, passionné de sciences et d’histoire.
Les civilisations vont et viennent, l’histoire en est la preuve. L’empire romain, les Han de Chine, Sumer, Babylone, l’Égypte des pharaons et bien d’autres encore, ont disparu. Les causes en sont multiples, certes, mais il est peut-être possible d’en prévoir quelques-unes.
Celle que nous connaissons va-t-elle s’effondrer dans les toutes prochaines décennies? C’est ce qui ressortirait d’une étude menée par une équipe multidisciplinaire, basée sur des travaux de mathématiques appliquées aux sciences humaines, financée par la Nasa, et dont le contenu vient d’être révélé par le site du « Guardian« .
Plusieurs facteurs à l’origine du déclin des grandes civilisations
En étudiant les cas précédents, l’équipe menée par le mathématicien Safa Motesharrei a identifié les facteurs à l’origine du déclin des grandes civilisations : la population, le climat, l’eau, l’agriculture et l’énergie. La chute surviendrait lorsque ces facteurs convergent pour provoquer deux éléments cruciaux :
– la réduction des ressources due à la pression mise sur la capacité de charge écologique (la taille maximale de population qu’un milieu peut supporter). Traduction : trop de monde sur Terre par rapport aux ressources disponibles (nourriture, eau, matières premières nécessaires pour maintenir la civilisation…)
– la stratification de la société entre élites (riches) et masses (pauvres). Ce phénomène aurait joué un rôle central dans la chute dans tous les exemples étudiés sur les derniers 5000 ans. Traduction : un trop grand fossé entre ceux qui contrôlent les richesses et les autres. Cela désigne également le clivage entre pays riches et pays pauvres.
Distribution des ressources et consommation d’énergie
Les chercheurs ont modélisé différents scénarios, qui mettent en avant que les élites (qui ont le monopole des richesses) sont protégées plus longtemps que les gens du commun des désastres environnementaux, et qu’elles sont donc tentées de continuer à vivre comme si de rien était, en dépit des catastrophes prévisibles. Traduction : dans notre cas, cela pourrait signifier par exemple le refus d’admettre la réalité du changement climatique et de prendre les mesures nécessaires avant qu’il ne soit trop tard…
Même s’ils l’estiment « difficile à éviter », ils semblent penser que la catastrophe n’est pas totalement inévitable, à condition de prendre les mesures structurelles nécessaires pour cela…
Les deux solutions-clé étant d’assurer une distribution des ressources plus équitable, et de réduire drastiquement la consommation d’énergie en se basant sur des ressources renouvelables… en réduisant la croissance de la population. Tout cela nous mènerait alors peut-être à une civilisation plus stable.
Des sacrifices nécessaire à la survie de notre civilisation
Alors, on fait quoi ?
Ce n’est pas la première fois que les inégalités Nord-Sud, l’exploitation à outrance de ressources non renouvelables et la surpopulation sont pointées du doigt. La nouveauté, ici, c’est qu’un modèle mathématique les a décrites comme des causes très probables de la chute de la civilisation actuelle.
C’est un peu comme pour le changement climatique. Il y a ceux qui mettent en avant les chiffres et le temps, et d’autres qui expliquent par A plus B qu’il n’existe pas. Et ceux qui se foutent du résultat, et ne veulent tout simplement pas changer.
De plus, toute société a ses propres mécanismes de défense et son inertie : ceux qui bénéficient de la situation sont ceux qui ont le contrôle, et donc ceux qui pourraient éventuellement changer les choses de manière « souple ».
La question que l’on pourrait tous se poser serait de savoir quels sacrifices nous serions individuellement et collectivement prêts à faire pour que ce changement survienne s’il s’avérait nécessaire à la survie de cette civilisation…
Mise à jour : Au lendemain de la publication initiale de ce billet, le 20 mars 2014, la Nasa a publié un communiqué pour prendre quelques distances vis-à-vis de l’étude. Si elle finance effectivement les outils qui ont été utilisés, elle n’est pas son commanditaire, et n’a pas revu les résultats qui sont sous la seule responsabilité des auteurs, tient-elle à préciser. Elle ne remet pas en question l’étude, simplement elle nous dit qu’elle n’a rien à voir là-dedans… à part avoir financé un programme de recherche qui a été utilisé pour l’étude.
Et dans un article très développé publié le 22 mars, The Guardian explique l’implication exacte de la Nasa dans l’étude. L’auteur de l’article détaille le financement de la Nasa au projet, et parle même d’un petit coup de main donné par l’agence spatiale américaine aux chercheurs pour leur modélisation de la planète. D’autre part, il insiste sur le fait qu’il s’agit d’une étude scientifique.
Que la Nasa s’en approprie ou non les conclusions ne change rien à ce fait et à la validité de ses résultats…
Nous nous rendons cette fois au grand Hohnack, une montagne située dans les Vosges alsaciennes, dans le département français du Haut-Rhin. Elle est constituée de deux sommets : le Petit Hohnack culminant à 927 m d’altitude et le le Grand Hohnack culminant à 982 m. que nous allons gravir. On y trouvera des roches à cupules et les ruines du château médiéval du Petit Hohnack (ou Hohenack), plus haut château d’Alsace, situé à 940 m d’altitude.
Actuellement ces sommets sont très arpentés par les randonneurs durant leurs parcours des balades en Alsace. Le paysage alentour est fait de hauts plateaux vallonnés où alternent prairies, forêts et collines. La commune de Labaroche se trouve à proximité des sommets. Découvrez les photos de cette randonnée où vous découvrirez la Croix de Wihr, le Sommet du Grand Hohnack, le camping de Giragoutte, la Trinque et d’autres endroits.
L’aiguille du Tour est un sommet du massif du Mont-Blanc. Il se situe entre les glaciers du Tour et du Trient, sur la frontière franco-suisse. C’est l’un des sommets les plus faciles du massif du Mont-Blanc par sa voie normale. Il comporte deux sommets, Nord et Sud, le plus facile et le plus fréquenté étant le Sud. Il se réalise par le refuge Albert Ier (CAF) très facile d’accès depuis le village du tour.
L’arête des Cosmiques est une belle course mixte d’alpinisme d’accès rapide et réalisable à la journée et par beau temps bien naturellement 😉 On y accède par le téléphérique de l’Aiguille du Midi ou le refuge des Cosmiques. Découvrez la série de vidéos.
Résumé en images de l’étape de coupe du monde handi-escalade de bloc qui a eu lieu à Laval les 26 et 27 juin 2014 et qui s’est terminée avec deux médailles d’or françaises, une pour Oriane Moreno et une pour Mathieu Besnard.
Une randonnée qui nous mène à la Croix de Belledonne est l’un des sommets les plus hauts du massif de Belledonne (département de l’Isère) accessibles en randonnée classique. Il culmine à 2 926 m d’altitude. Il est dominé par le Grand pic de Belledonne culminant quant à lui à 2 977 mètres et qui est le plus haut sommet du massif. Alors que la première ascension de la Croix de Belledonne est estimée avoir eu lieu aux alentours de 1850, la première hivernale, en raquettes, a été faite le 23 février 1890 par Maurice Allotte de la Fuye.
Alors que les combats font rage depuis la mi-juillet en Libye entre milices islamistes et nationalistes, de plus en plus d’habitants du pays ont recours au web pour diffuser des conseils de survie à leurs concitoyens. C’est le cas, entre autres, de deux utilisatrices de Twitter Maraim Elbadri et Khadija Ramali qui ont récemment créé le hashtag en anglais #lysurvivaltips et son équivalent arabe. Une initiative destinée à rappeler les mesures à suivre pour faire face à la situation actuelle qui n’a pas tardé à trouver un large écho sur la Toile locale. En effet, ces mots-clés ont rapidement été repris par des dizaines d’internautes libyens pour fournir toutes sortes de conseils pratiques à leurs compatriotes. Certains expliquent ainsi qu’il vaut mieux faire usage de lampes de poche plutôt que de bougies pendant les coupures de courant afin d’éviter les risques d’incendie quand d’autres recommandent de ne pas se réfugier derrière des véhicules en cas de fusillade dans la rue, les vitres des voitures n’empêchant pas les balles de traverser. Des utilisateurs du web qui incitent également les parents à apprendre à leurs enfants à ne pas s’approcher des engins explosifs qu’ils pourraient trouver au sol afin d’éviter de graves accidents.
Mais ces hashtags servent aussi à distiller des informations plus précises sur le conflit en cours ou les endroits à éviter, notamment dans les régions de Tripoli et Benghazi. Deux villes particulièrement touchées par les violences dans lesquelles les résidents sont par exemple invités à ne pas emprunter certaines artères s’ils ne veulent pas se retrouver nez à nez avec des miliciens ayant improvisé un barrage…
C’est une séance d’escalade avec un beau soleil dans L’Eure, un département français de la région Haute-Normandie ; c’est l’un des cinq départements issus du découpage de l’ancienne province de Normandie. Il tire son nom de l’Eure, rivière qui le traverse avant de rejoindre la Seine. Le tourisme qui s’y pratique est plutôt un tourisme de week-end car ce département est favorisé par sa proximité de Paris et sa situation sur la route des plages du Calvados. D’ailleurs beaucoup de ses habitants vont travailler dans la région parisienne ou dans l’agglomération rouennaise.
Sturges (né le 14 Février, 1985) est un Américain professionnel kayakiste d’eau vive. Sturges a commencé la compétition en kayak freestyletrès jeune.Pour ses nombreuses réalisations en kayak d’eau vive, Rush Sturges a été nommé « Idol by the Outdoor Industry Foundation » et a été cité comme l’un des 20 plus grands athlètes de plein air par le magazine Outside.Lire la suite « Passion du Kayak »