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Randonnée en Republique Dominicaine

Republique DominicaineDeux jours sur Constanza et Jarabacoa avec la decouverte de la reserve scientifique d’Ebano Verde. Petit trekking sympatique avec retour en stop au point de depart… La République dominicaine, en espagnol República Dominicana, est un pays des Grandes Antilles. Elle occupe environ les deux tiers de l’île d’Hispaniola, en mer des Caraïbes, Haïti occupant le tiers ouest de l’île. L’espagnol est la langue officielle de ce pays qui compte plus de 10 millions d’habitants.

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Randonnée Pic du Madrès

Pic du MadrèsRandonnée au Pic du Madrès, au départ du Col de Jau. Le pic de Madrès est un sommet des Pyrénées françaises. Il est situé à cheval sur le département de l’Aude, dont il est le point culminant, et les Pyrénées-Orientales (région Languedoc-Roussillon), à proximité de l’Ariège. Ce pic domine vers l’Est la haute vallée de l’Aude et à l’Ouest la vallée de la Têt et le Conflent. Par temps clair, la vue s’étend sur les sommets du Capcir et de la Cerdagne jusqu’à la plaine du Roussillon, Perpignan et la Méditerranée. Ce pic, au demeurant d’ascension facile, est souvent balayé par un fort vent glacial.

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Ne pas utiliser sa voiture est bon pour la santé

voiture randonnéeS’il fallait une preuve scientifique, la voici ! Des chercheurs de l’Université d’East Anglia, au Royaume-Uni, constatent qu’aller au travail à pied ou à vélo est bon pour notre santé mentale, tandis que l’usage quotidien de la voiture contribue au mal-être.


D’après une recherche récente menée par des spécialistes en économie de la santé, à l’Université d’East Anglia et au Centre de recherche pour l’alimentation et l’activité physique (CEDAR), aller au travail à pied ou à vélo est meilleur pour notre santé mentale qu’y aller en voiture.

Leur étude révèle que les personnes ayant abandonné la voiture au profit de la marche à pied ou du vélo pour aller au travail s’en trouvent mieux. En particulier, ceux qui faisaient la navette entre la banlieue et leur lieu de travail en faisant de l’exercice se sentaient plus à même de se concentrer et moins sous pression que s’ils prenaient leur voiture.

Ces bienfaits viennent en tête dans la liste des bénéfices en termes de santé physique liés à la pratique de la marche ou du vélo, qui sont déjà largement reconnus.

Les transports en commun meilleurs pour le mental que la voiture

Les experts ont également remarqué que prendre les transports en commun est meilleur pour notre bien-être psychologique, qu’être au volant de sa voiture.

Le directeur de recherche Adam Martin du CHU Norwich – Université d’East Anglia précise : « Chose surprenante, les voyageurs réguliers ont confié être en meilleure forme quand ils prenaient les transports publics plutôt que leur voiture. On pourrait penser que des facteurs comme des pannes techniques ou des foules de voyageurs auraient pu être une cause majeure de stress.

Mais puisque les bus ou les trains permettent aux gens de se détendre, de lire, d’avoir des contacts, et que souvent est inclus un trajet à pied jusqu’à l’arrêt de bus ou la station ou la gare, il s’avère que l’ensemble met les gens de bonne humeur. »

Des données recueillies sur dix-huit ans

L’équipe de chercheurs a étudié des données recueillies en Angleterre auprès de 18 000 voyageurs âgés de 18 à 25 ans et s’étalant sur une période de dix-huit années. Les données leur ont permis d’observer de multiples aspects de la santé psychologique, parmi lesquels le sentiment de perdre son temps, l’insatisfaction, un sommeil perturbé et le sentiment de ne pas arriver à faire face.

Les chercheurs ont aussi fait état de nombreux facteurs connus pour affecter le bien-être : le salaire, les enfants, un déménagement ou un changement d’affectation et un réseau relationnel qui se modifie.

L’étude montre également que le temps de trajet entre en ligne de compte. Adam Martin a indiqué : « Notre étude montre que plus les gens passent de temps dans leur voiture, plus leur bien-être psychologique en pâtit. Et de la même façon, les gens se sentent mieux quand ils doivent effectuer une plus longue marche sur le chemin du travail. »

3, 1 % seulement d’utilisateurs de vélo

Des données datant du recensement de 2011 (en Angleterre et au Pays de Galles) révèlent que parmi les gens qui permutent au quotidien, 67,1 % utilisent un véhicule personnel, alors que 17,8 % utilisent le réseau public de transport, 10,9 % vont à pied et seulement 3,1 % prennent leur vélo.

Ce récent rapport vient contredire une étude réalisée par le Bureau National des Statistiques au Royaume-Uni, intitulée « Faire la Navette et Être en Forme, 2014 », parue en février, étude statistique qui constatait que les gens allant au travail à pied ressentaient davantage d’insatisfaction, comparés aux gens prenant leur voiture, et que les cyclistes étaient moins heureux et plus angoissés que les autres voyageurs réguliers.


La recherche a été menée au CHU Norwich de l’UEA par le Département de l’Economie de la Santé, et au Centre de l’Economie de la Santé, Université de York. Elle a été financée par le CEDAR, une collaboration inter-disciplinaire entre l’UEA, l’Université de Cambridge et le département MRC de Cambridge.

« Se rendre au travail en faisant de l’exercice améliore-t-il notre bien-être psychologique ? Des preuves de 18 études successives du British Household Panel Survey » est publié dans le journal Preventive Medicine du lundi 15 septembre.


Source : Eurek Alert / Traduit par Anouk Martin pour Reporterre

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Fermeture de sentiers de randonnée au Népal

Népal randonneeKATMANDOU, Népal – Des responsables népalais ont fermé une section d’un populaire chemin de randonnée dans l’Himalaya, dimanche, après que des sauveteurs, débordés à la suite des tempêtes de neige de la semaine dernière ayant tué au moins 38 personnes, ont dû secourir d’autres randonneurs qui s’étaient aventurés sur les mêmes pistes meurtrières.

Parmi les victimes des blizzards et des avalanches ayant frappé la section la plus élevée du circuit de randonnée Annapurna, dans le nord du Népal, figurent plusieurs touristes étrangers — dont quatre Canadiens, y compris trois Québécoises —, des guides népalais et des villageois. La majorité des centaines de randonneurs s’étant retrouvés coincés dans la neige ont été ramenés sains et saufs, et un responsable gouvernemental a fait savoir que le rythme des vols d’évacuation diminuait.

Mais alors que les conditions météo s’amélioraient, de nouveaux randonneurs ont commencé à circuler sur les mêmes pistes, poussant le gouvernement à fermer le sentier, a mentionné le responsable, Bahadur Chokhyal. À certains endroits, les pistes étaient entièrement recouvertes de neige.

M. Chokhyal a expliqué que la nécessité de ramener à bon port ces nouveaux randonneurs ajoutait un poids supplémentaire sur les épaules des équipes d’urgence.

Jusqu’à maintenant, 25 corps ont été identifiés. Huit des morts sont népalais, tandis que les autres proviennent du Canada, de l’Inde, d’Israël, de la Slovaquie, de la Pologne et du Japon. Treize autre corps n’ont pas encore été identifiés.

Les tempêtes de neige de mercredi dans l’Himalaya ont été déclenchées par la fin d’un cyclone ayant frappé la côte indienne quelques jours auparavant. Les randonneurs ont été pris par surprise lorsque la météo a changé rapidement.

La plupart des victimes se trouvaient sur ou près du circuit Annapurna, une série de pistes s’étendant sur 220 kilomètres à travers la chaîne de montagnes. Le plus grand nombre de morts a été recensé dans le passage de Thorong La, l’un des endroits les plus élevés du circuit.

Source: journalmetro.com

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Un chasseur survit à l’attaque d’un grizzly et aux balles de son sauveteur

oursUn chasseur canadien se remet d’une séance de chasse éprouvante au cours de laquelle il a été attaqué par un grizzly et blessé par balle par son compagnon d’infortune qui tentait de le sauver.

L’incident s’est déroulé dimanche matin près de la vallée Flathead en Colombie-Britannique (Ouest), « où vit au moins un grizzly tous les quinze kilomètres carrés », selon l’office de tourisme local.

Les deux chasseurs se trouvaient dans une zone boisée de la région lorsqu’ils ont rencontré un grizzly mâle, qui aurait aussitôt chargé l’un de ses visiteurs.

« L’autre chasseur présent a ouvert le feu tuant l’ours et blessant du même coup son compagnon », a indiqué lundi à l’AFP, David Karn, porte-parole du ministère de l’Environnement de la Colombie-Britannique.

Le chasseur, âgé de 56 ans, souffre également de lacérations importantes subies lors de l’attaque. « Il a été héliporté jusqu’à l’hôpital le plus proche dimanche matin où son état est jugé stable », a précisé le porte-parole.

Les agents locaux de conservation de la faune ont ouvert une enquête bien qu’ils estiment que le grizzly est seul responsable de l’attaque.

Source: Yahoo News

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Comment on a interdit aux enfants de marcher

enfant randonneeLes jeunes enfants ne se déplacent presque plus à pied. Une tendance inquiétante qui en dit long sur la tristesse de nos rues.

Choisissez, au hasard, un film qui montre une sortie d’école primaire. Si l’extrait est tourné dans les années 1950 ou 1960 – nous avons fait le test avec Mon Oncle ou la Guerre des boutons – alors vous verrez la majorité des enfants quitter l’école à pied. Mais plus le film est récent, plus la probabilité que l’écolier reparte en voiture est grande. Si vous n’avez pas envie de fouiller votre cinémathèque, jetez donc un œil dans la rue : la quasi-totalité des écoliers ne sont plus piétons mais passagers.

Les – trop rares – études consacrées au sujet confirment que les enfants marchent de moins en moins. Une enquête menée en Languedoc-Roussillon en 2008 et publiée par le CGDD (Commissariat général au développement durable) estimait que « 70% de tous les déplacements des enfants de 6 à 14 ans sont effectués en voiture ». Une autre enquête publiée par le Certu (Centre d’études sur les réseaux, les transports, l’urbanisme et les constructions publiques) en 2007 sur les trajets vers l’école primaire à Lille et à Lyon montrait que, même dans les grandes métropoles, les enfants vont de plus en plus souvent et majoritairement à l’école en voiture-passager (voir schéma ci-dessous) :

De plus en plus d’obstacles

Pourquoi marchent-ils si peu ? Parce qu’on leur interdit ! Le médecin britannique William Bird l’a montré en suivant une famille, la famille Thomas, qui vit et marche depuis quatre générations dans la même ville de Sheffield, dans le nord de l’Angleterre. En 2007, il a publié une carte sur laquelle on peut voir le rayon des déplacements autorisés à l’âge de 8 ans se réduire au fil des quatre générations.

En 2007, le jeune Ed Thomas avait le droit, à huit ans, d’aller seul au bout de sa rue à moins de 300 mètres de sa maison, sa mère Vicky avait, en 1979, le droit d’aller seule à la piscine à 800 mètres de chez elle, son grand-père Jack pouvait, en 1950, aller au bois à plus d’1,5 km de chez lui et enfin son arrière-grand-père George en 1919 était autorisé à aller pêcher à près de 10 km de chez lui.

« Les jeunes enfants n’ont bien sûr pas l’interdiction de marcher, mais ils font face à beaucoup d’interdictions dans la rue. Ils ont tous des limites spatiales à ne pas franchir autour de leur logement. Ça peut être un arbre ou une maison qui a été désignée par les parents. C’est souvent très restreint. En général, avant le CM2, les enfants n’ont pas le droit de traverser leur rue », décrypte l’anthropologue et urbaniste Pascale Legué qui a mené plusieurs enquêtes sur ce sujet en France depuis le début des années 1990, notamment en accompagnant les jeunes enfants dans leurs déplacements.

La faute à la voiture

Depuis quand ces interdits se sont-ils multipliés ? La chercheuse cite les travaux de l’historien Philippe Ariès, qui montrent que l’enfant a commencé peu à peu à perdre son rôle social dans la ville au XIXe siècle [1]. Mais, précise-t-elle, c’est au milieu du XXe siècle que démarre « l’abandon de la rue par les enfants ». « L’enfant qui court ou qui joue dans les rues a disparu de nos imaginaires sur la ville, sa place est maintenant dans des espaces réservés, les parcs, les aires de jeux ou au bas des immeubles », note la chercheuse. La faute, selon elle, principalement à la voiture et aux urbanistes qui « ont conçu la ville pour les adultes motorisés ». Le jeune enfant étant moins capable d’interpréter et de réagir face à la vitesse d’une voiture, on lui a tout simplement retiré son droit de cité, comme le montrent les schémas ci-dessous :

[2]

Mylène Coulais, 56 ans, dont la famille vit depuis 4 générations à Chauray, dans la grande périphérie de Niort (Deux-Sèvres), a bien voulu se pencher pour nous sur l’histoire de la marche dans sa famille. « Ma grand-mère est née en 1916. Quand elle était toute jeune enfant, elle allait au lavoir à pied à 500 mètres de chez elle, et un peu plus tard à pied dans le village d’à côté à 5 ou 6 kilomètres de là. Mes parents n’allaient pas si loin à pied mais ils allaient seuls à l’école, en rejoignant les autres enfants sur le trajet. Moi aussi j’y allais seule et je rentrais à pied le midi, ça faisait beaucoup de marche », se souvient-elle.

« Quand ma fille Emilie a été en âge d’aller à l’école, celle-ci avait changé de place parce que le village avait beaucoup grossi. Quand j’étais petite on était 500 habitants dans le village, maintenant on est 5000 dont beaucoup de gens qui travaillent à Niort. La municipalité a aussi mis en place un réseau de bus gratuit pour l’école donc mes enfants y sont allés en bus ou en voiture. Mais, même en dehors du trajet pour l’école, c’est vrai que les enfants ont arrêté de marcher. Avant on allait au sport à pied maintenant on les y conduit. On les laissait aller faire des courses à l’épicerie mais maintenant ça ne se ferait plus, d’ailleurs il n’y a plus d’épicerie, on va au supermarché. Par contre on a commencé à créer un réseau Pédibus pour que les parents accompagnent les enfants à l’école à pied. »

Quel rapport au monde pour les enfants ?

Ces changements ont des conséquences importantes pour les enfants. Déjà, on constate qu’ils sont moins endurants qu’il y a 30 ans : leurs capacités physiques ont régressé de 2% par décennie. Or les spécialistes en conviennent : une pratique prolongée et quotidienne de la marche pourrait suffire à enrayer ce déclin.

L’architecte Sabine Chardonnet-Darmaillacq s’inquiète également : « Quelle est la représentation de ce que c’est qu’être dehors et de ce qu’est la rue quand on a nous a interdit d’y marcher toute notre enfance ? C’est le rapport au monde des enfants qui est transformé. » Pour leur rendre le droit de marcher, l’urbaniste Thierry Paquot propose d’interdire la circulation des voitures autour des écoles 15 minutes avant et après l’entrée et la sortie des élèves.

L’urbaniste Pascale Legué propose également de repenser le devant des écoles : ces endroits où « on a mis des barrières pour éloigner les enfants de l’endroit prévu pour se garer ». Elle cite, sans la nommer, l’exemple d’une commune de Vendée qui a envisagé un temps de transformer la large aire devant ses deux écoles mitoyennes en un espace totalement piéton. Elle y a renoncé, face à l’opposition parentale. « L’espace devant les écoles pourrait devenir un espace d’échange et de jeu, on pourrait aussi implanter des jardins et en faire un lieu de vie pour toutes les générations. Au lieu de ça on pense tout pour la voiture et on cantonne ensuite chacun dans ses espaces réservés », déplore-t-elle. Les pas perdus des jeunes enfants sont décidément un très beau miroir de nos villes.

Merci à Eric Chtourbine (RR&A), Léa Marzloff (Chronos) et Danièle Vulliet (Cerema) pour leur aide dans la réalisation de cet article.

Source: terraeco.net

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Randonnée mont Whitney en Californie (USA)

mont WhitneyLes États unis sont une destination qui fascine de nombreux randonneurs et aventuriers aussi bien pour les attraits touristiques, culturels, historiques que pour le business. Bref, un paradis pour tous ceux qui aiment les grands espaces et les paysages colorés. 
Le saviez-vous ? Les USA comptent environ 59 parcs nationaux dans tout le pays. Des lieux uniques avec des espaces naturels préservés, des paysages magnifiques. Beaucoup de randonneurs sont attirés par ces grands espaces. Lire la suite « Randonnée mont Whitney en Californie (USA) »