Selon le Times Oman, Oman Air étudie un nouvelle commande de B787 qui viendrait s’ajouter aux 6 737-800 et 6 B787-8 qui doivent intégrer la flotte entre la fin 2013 et 2015.
Oman Air souhaiterait acheter des B737-9 qui viendraient compléter ses 3 A330-300. La compagnie du sultanat d’OMan vise à étoffer sa flotte pour compter au moins 50 avions contre 42 actuellement (avec les avions commandés non encore livrés).
«Vous avez besoin d’une flotte importante pour atteindre une masse critique» a déclaré Wayne Pearce le CEO d’Oman Air.
Oman Air opère actuellement 7 A330, 17 B737 et 6 avions régionaux soit 30 avions.
La compagnie a précisé qu’elle n’était pas intéressée par des A380, A350 ou B777 trop grands pour ses besoins. Lire la suite…
Une cour d’appel du sultanat d’Oman a libéré sous caution huit des 11 manifestants emprisonnés pour rassemblement illégal, en l’attente de l’ouverture de leur nouveau procès, a fait savoir lundi leur avocat.
Ces hommes, reconnus coupables l’an dernier de s’être rassemblés illégalement, ont été condamnés à des peines d’un an et demi de prison pour avoir manifesté contre le chômage et la corruption. Le 4 mars, ce groupe de détenus ayant entamé une grève de la faim, la Cour suprême avait décrété qu’ils devraient être rejugés; Lire la suite…
La société moyen-orientale Drake & Scull International PJSC (DSI) a annoncé la signature d’un nouveau contrat de 369 millions de dollars pour la construction de trois établissements bancaires en Arabie Saoudite.
Confié par Al Rahji Bank, le contrat prévoit la construction d’un dépôt de trésorerie, d’un centre d’opérations et d’un centre de données à Riyad (Arabie Saoudite). L’investissement représenté pour ces trois projets s’élève à 78 millions de dollars. Lire la suite…
Abdullah Badhan Al Subai, pompier, est le héros du moment en Arabie Saoudite, depuis la diffusion d’une photo de lui tenant dans ses bras un petit garçon qui porte son masque de sécurité incendie. Les blogueurs et internautes ne tarissent pas d’éloge à son sujet et saluent l’acte héroïque du combattant du feu qui extirpa l’enfant d’un incendie et préféra, au péril de sa vie, lui mettre son masque plutôt que le garder.
« Nous avons simplement effectué notre devoir et nous remercions Dieu que tout le monde soit en sécurité », répond humblement le pompier. « Nous avons appris qu’il y avait un incendie dans un immeuble du quartier de Al Rihab [Jeddah] et nous nous y sommes précipités. Alors que nous tentions de maîtriser l’incendie, nous avons découvert que l’épaisse fumée faisait son chemin dans l’appartement en face de celui où l’incendie s’était déclaré. Lire la suite…
Mardi 19 mars, une série coordonnée d’attaques visant des civils dans des zones occupées par des musulmans chiites, à Bagdad, est le dernier exemple mortel de la violence sectaire qui consume l’Irak, dix ans après l’invasion américaine.
Selon les derniers chiffres, le nombre de morts causé par les douze bombes placées à proximité de restaurants, arrêts de bus et lieux de travail s’élève à 56 personnes, et plus de 200 blessés. Les extrémistes sunnites, qui représentent une petite partie de la deuxième plus grande secte religieuse d’Irak, ont été tenus responsables des attaques.
La violence ne fait qu’aggraver l’instabilité d’un système démocratique déjà chancelant
« Les autorités ont annoncé qu’elles allaient retarder les élections provinciales qui auront lieu le mois prochain à Al-Anbar et Ninive, deux provinces à majorité sunnite qui sont devenues des points de friction et de protestation ces derniers mois », écrit le Washington Post.
Les chercheurs et les analystes attribuent la hausse du nombre d’attaques sunnites contre les chiites à une perturbation de l’équilibre du pouvoir entre les deux principales sectes musulmanes après le renversement de Saddam Hussein, qui avait longtemps réprimé les chiites, favorisé les sunnites, et réussi à tenir le conflit religieux en grande partie en accord avec la brutalité de son régime. Lire la suite…
En Tunisie, un prédicateur bahreïni a proposé de créer un fonds pour aider les prostituées à cesser leur activité. Une initiative qui a suscité de vives réactions dans un pays où d’autres religieux du Golfe ont déjà prêché la bonne parole. Depuis plusieurs semaines, les internautes tunisiens font circuler sur les réseaux sociaux une vidéo, intitulée « une pécheresse m’a fait pleurer », où l’on voit le prédicateur bahreïni Hassan al-Husseini s’adresser à des prostituées dans une maison close de Sousse, dans l’est de la Tunisie, sur un fond sonore de chants religieux musulmans. En à peine trois jours, plus de 3 millions de personnes avaient visionné l’enregistrement sur la plateforme de partage YouTube.
L’initiative du religieux Bahreïni a en effet suscité un vif étonnement chez les Tunisiens. En témoigne les avis postés sur Facebook notamment. Nombreux sont ceux qui voient dans le geste du prédicateur un manque de respect envers les femmes, d’autant que ce dernier n’a pas hésité à créer un fonds pour « sauver les femmes libres de Tunisie ». Il compte ainsi récolter des dons pour sortir ces femmes de la prostitution. Interrogé par FRANCE 24, le ministère tunisien des Affaires religieuses s’est refusé à tout commentaire, se bornant à souligner que Hassan al-Husseini n’avait enfreint aucune loi en Tunisie.
La prostitution, un phénomène présent au Bahreïn également
Nombre d’internautes tunisiens ont ainsi voulu rappeler à Hassan al-Husseini ce statut privilégié de la femme tunisienne en laissant des commentaires sur la page Facebook du prédicateur. Ils ont également posté des liens vers des articles faisant état de scandales de prostitution avérés au Bahreïn, invitant le religieux à se consacrer d’abord à sauver l’âme des femmes de son pays avant de s’intéresser aux Tunisiennes. Indignés de l’intrusion du prédicateur du Golfe chez eux, de jeunes tunisiens ont même créé une page Facebook intitulée « Sauvons les femmes du Bahreïn de la prostitution ».
Malgré l’instabilité politique des lieux, le Grand Prix de Bahreïn aura de nouveau sa place cette année dans le calendrier du championnat du monde de Formule 1.
Les ventes de billets pour le Grand Prix 2013 sont pour l’heure satisfaisantes, selon les organisateurs, qui prennent comme point de référence les ventes de l’an dernier à la même époque. Il est cependant bon de préciser qu’une stratégie commerciale a été mise en place afin d’offrir une promotion sur le prix des premiers billets écoulés. « Nous avons baissé le prix des billets car nous souhaitions doubler le nombre de place vendues par rapport à la saison dernière, même si pour l’instant notre objectif n’est pas atteint, » a déclaré Cheikh Salman Bin Isa Al Khalifa, directeur général du Circuit International de Bahreïn. Lire la suite…
La société minière Global Sourcing & Supply (GSS), basée au Bahreïn, s’est désormais entichée des ressources minières africaines et entend mener prochainement, à travers le continent, une opération d’exploration de niches porteuses, a rapporté vendredi le site du magazine d’information Dayly News du Bahreïn. La conférence internationale d’Idanba en Afrique du Sud, début février, sur l’investissement dans le secteur des mines serait le déclencheur de l’engouement dans le milieu des investisseurs miniers du Bahreïn qui estiment nécessaire de renforcer leur présence en Afrique. Lire la suite…
Le Qatar aurait débloqué une enveloppe de 100 millions de dollars qui serait destinée à la lutte contre le chômage dans les régions défavorisées de la Tunisie si l’on en croit Maghreb Confidentiel.
D’après un tweet publié par le journaliste David Thomson qui relie l’information du Maghreb Confidentiel, c’est à travers le Qatar Friendship Fund (QFF), que l’émirat a l’intention de financer des projets de chômeurs dans les régions reculées du pays.
Des organisations vont d’abord être sélectionnées par un cabinet d’études (Ernst & Young) dirigé par Noureddine Hajji, puis celles-ci devront ensuite attribuer les 100 millions de dollars à des projets d’emplois. Lire la suite…
La compagnie aérienne Qatar Airways portera en juin à cinq le nombre de ses destinations en Irak, en ajoutant à son réseau des liaisons entre Doha et Bassora et Suleymanyah.
Après Bagdad, Irbil et Najaf, la compagnie qatarie inaugurera le 3 juin 2013 quatre vols par semaine entre sa base à l’aéroport de Doha et Bassora, à bord d’Airbus A320 pouvant accueillir 12 passagers en classe Affaires et 132 en Economie. Pas encore de détail sur les jours d’opération ou les horaires, mais Qatar Airways retrouvera dans la ville du sud irakien les avions d’Emirates Airlines, Etihad Airways, Iraqi Airways, Middle East Airlines, Royal Jordanian ou Turkish Airlines, plus les low cost Air Arabia et Flydubai. Lire la suite…