Par La Rando

L'éducation française au Qatar

Découvrons le reportage vidéo des élèves du lycée Français Bonaparte, Doha  au Qatar concernant la Culture et l’Identité. L’émirat, qui développe une ambitieuse politique de musées à Doha, fait de la France son partenaire privilégié.

 

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Aide koweïtienne à Oman

Oman a annoncé lundi la signature d’un accord lui procurant une aide koweïtienne de 2,5 milliards de dollars, faisant partie d’une assistance du Conseil de coopération du Golfe (CCG).
L’accord permet à Oman de recevoir sur dix ans un don annuel de 250 millions de dollars, a précisé l’agence officielle omanaise Ona.
Cet argent sera utilisé pour financer la réalisation d’infrastructure et de projets communs avec les pays du CCG, selon l’agence. Oman et le Koweït font partie du CCG, formé également de l’Arabie saoudite, de Bahreïn, des Emirats arabes unis et du Qatar. Lire la suite sur Le Figaro.fr

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Scandale autour du ministre du Pétrole du Koweït

KOWEIT – Des parlementaires koweïtiens ont appelé mardi à des poursuites judiciaires contre le ministre démissionnaire du Pétrole qu’ils tiennent responsable du paiement de 2,2 milliards de dollars à une firme américaine.
On ne peut pas garder le silence sur cette affaire, l’ancien ministre (Hani Hussein) doit été déféré devant la justice pour ce vol de tous les temps, a déclaré devant le Parlement le député indépendant Khaled al-Adwah.
Je vais déposer une plainte contre Hussein et tous ceux qui favorisé le paiement, à Dow Chemical pour rupture de contat, a déclaré pour sa part un autre député Yacoub al-Sane.
Le Koweït a réglé au début du mois cette pénalité après un arbitrage de la Chambre internationale de commerce suite à la rupture d’un contrat pour un projet pétrochimique de 17,4 milliards de dollars. Lire la suite sur Romandie.com
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Unité de soufre au Koweït

KOWEIT – La compagnie étatique Kuwait National Petroleum Co (KNPC) a annoncé mardi un contrat de 516 millions de dollars avec le sud-coréen Daelim Industrial pour la construction d’un unité de traitement de soufre dans sa principale raffinerie de Mina al-Ahmadi.
Selon les termes du contrat, Daelim va se charger du design et de la construction de l’unité ainsi que celle d’installations de stockage de soufre liquéfié, a indiqué dans un communiqué, Mohammad al-Ajami, porte-parole de la KNPC.
Le contrat inclut également la modernisation de la plate-forme d’exportation du soufre à Mina al-Ahmadi qui est également le principal terminal pétrolier du Koweït. Lire la suite sur Romandie.com

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Sans-papiers au Koweït

Comme les autres pays pétroliers du Golfe, le Koweït vit grâce à une main-d’œuvre étrangère corvéable à merci. Mais les « bidoun », ces citoyens privés de droits, sont une particularité du petit émirat.
Une route, parfois un simple chemin de terre, sépare les deux mondes. Du mauvais côté, des maisons basses en parpaings ou en tôles ondulées, des entrées barrées de draps tendus, des fils électriques dénudés au ras du sol, une allure de provisoire qui n’en finit pas. De l’autre, des villas de plusieurs étages, pimpantes, pas forcément luxueuses, mais qui respirent le bien-être et la stabilité.
Du bon côté, des familles de fonctionnaires, d’enseignants, de médecins, disposant de tous les avantages de la nationalité koweïtienne, propriétaires de leur logement grâce aux aides gouvernementales. De l’autre, des familles d’anciens fonctionnaires, d’anciens policiers, d’anciens militaires qui ont découvert, au tournant des années 1990, qu’ils n’étaient pas des « nationaux » et se sont retrouvés privés de leurs droits, exclus des écoles et des hôpitaux publics. Simples locataires, ils paient chaque mois un loyer au gouvernement. Lire la suite sur le Monde diplomatique

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La plus jeune médecin au monde est une Palestinienne

Iqbal Mahmoud Al Asaad est entrée par deux fois dans le livre guinness des records. Une première fois quand elle a terminé ses études secondaires à 13 ans et une seconde fois quand elle vient de terminer ses études de médecine à 20 ans !
Lis, au nom de ton Seigneur qui a créé,
Qui a créé l’homme d’une adhérence.
 Lis! Ton Seigneur est le Très Noble,
 Qui a enseigné par la plume [le calame],
 A enseigné à l’homme ce qu’il ne savait pas.
Coran, sourate 96, versets 1-5
Pour une fois, un évènement heureux vient nous rappeler que l’actualité arabe et musulmane n’est pas faite que de sang et de larmes. Et qu’au-delà des soubresauts des conflits fratricides et meurtriers qui continuent de faucher chaque jour des dizaines de vies en Syrie et en Irak, et au-delà des violences et intimidations quotidiennes subies par les Palestiniens dans les territoires occupés, une jeune Palestinienne de 20 ans vient de nous donner une belle leçon d’optimisme et d’espoir.
Iqbal Mahmoud Al Asaad est entrée par deux fois dans le livre guinness des records. Une première fois quand elle a terminé ses études secondaires à 13 ans et une seconde fois quand elle vient de terminer ses études de médecine à 20 ans ! Quelle émotion et quelle fierté de savoir que la plus jeune médecin au monde est une Palestinienne, qui est née et a grandi dans un camp de réfugiés palestinien au Liban dont on imagine à peine la dureté des conditions de vie.
Iqbal Mahmoud Al Assaad est née le 2 février 1993, de père palestinien et de mère libanaise. Elle a terminé le cycle de l’école maternelle en un an, le cycle primaire en deux ans et l’enseignement préparatoire (collège) en deux ans. Après avoir fini ses études secondaires avec excellence à seulement 13 ans, elle a reçu une bourse pour suivre des études de médecine à la Weill Cornell University du Qatar, en 2006. Elle vient de terminer ses études de médecine et s’apprête à suivre une spécialisation en pédiatrie aux Etats-Unis grâce à une nouvelle bourse qatarie. Quelles que soient les critiques légitimes que nous pouvons adresser au gouvernement qatari pour sa politique d’ingérence inadmissible dans de nombreux pays arabes, nous ne pouvons que saluer le geste civique et humanitaire de Cheikha Mozah qui a octroyé la bourse à la jeune Iqbal. Lire la suite sur Oumma.com

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Hassan Nasrallah wanted en Arabie Saoudite

Abdullah Mohamed Al-Anzi, un richissime homme d’affaires saoudien, a annoncé qu’il offrait 10 millions de dollars de récompense à qui tuerait Hassan Nasrallah, leader du parti chiite libanais Hezbollah, « même s’il est commis par un musulman de rite chiite ».
L’homme d’affaires explique avoir offert cette récompense car Nasrallah et le Hezbollah continuent à soutenir le régime de Bachar al-Assad, premier responsable de ce qui se déroule en Syrie.
Al-Anzi, un des hommes les plus riches d’Arabie saoudite, est connu pour son soutien à la révolution syrienne. Il a déjà fait don de 30 millions de riyals saoudiens pour cette cause, d’après un journal local. Décidément, le ridicule ne tue plus de nos jours ! Puisque grâce à cet individu, Israël aura enfin trouver comment financer son plus cher rêve, et saura commettre son plus beau forfait, sans pour autant se salir les mains.
Source: Tunisie Numerique

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Arabie saoudite : « Frappe-la »

Les violences domestiques sont en Arabie saoudite un véritable fléau. Un mois après la campagne « No more abuse », voici la campagne « Idrabha », « Frappe-la ».
#اضربها. Traduction « frappe-la ». C’est le nom d’une campagne – et le hashtag sur Twitter – choisi par un groupe de jeunes Saoudiens qui ont décidé d’utiliser les réseaux sociaux pour lutter contre les violences faites aux femmes.
Lancée par l’agence Balance Productions, la campagne est une série de photographies où des jeunes femmes et des jeunes hommes poser une écharpe blanche autour du cou, une pancarte entre les mains. Sur chaque pancarte, un mot rédigé de la main de celui qui la porte. Et le slogan : « Frappe-la » (اضربها).
En Arabie saoudite, 3 femmes sur 10 seraient victimes de violences conjugales, indiquait début mai le docteur Maha Al-Menaif, directeur du Programme national de sécurité de la famille (PNGA), , à l’occasion du réunion d’experts sur le sujet. Cette même violence domestique mènerait à l’hôpital 200 enfants chaque année, selon Saudi Gazette.
Si le Royaume est décidé à lutter contre ce fléau, les violences contre les femmes sont en hausse. Abdulaziz Khoja, ministre de la Culture et de l’Information, a dit la volonté des autorités de renforcer cette lutte par le biais notamment des médias, dont le rôle est jugé crucial.Lire la suite sur Al Kanz

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Les sans papiers en Arabie saoudite

Des dizaines de milliers de travailleurs en situation irrégulière se préparent à quitter l’Arabie saoudite avant l’expiration le 3 juillet d’une amnistie royale, mais tous rêvent déjà d’un retour dans le royaume pétrolier.
Sous un soleil de plomb, Ibrahim, un Egyptien à la barbe rousse, fait la queue dans la matinée avec des centaines d’étrangers, en majorité Asiatiques, devant un centre des services de l’immigration à Ryad.
«Je suis arrivé à quatre heures du matin. J’attends toujours mon tour pour obtenir un ordre d’expulsion», dit l’homme, l’air abattu, suant à grosses gouttes.
Ibrahim travaille depuis quatre ans dans la construction, mais dit être en situation irrégulière, son visa ayant expiré.
Son seul espoir est de pouvoir «revenir en Arabie saoudite, car la situation est très mauvaise en Egypte», où les difficultés économiques et le chômage se sont accentués depuis la chute du régime de Hosni Moubarak en 2011. Lire la suite sur Liberation.fr

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Nucléaire aux Emirats arabes unis

La Emirates Nuclear Energy Corporation (ENEC) a reçu la visite de Sang-jick Yoon, Ministre du Commerce, de l’Industrie et de l’Energie de la République de Corée, sur le site de Barakah dans la région occidentale de l’émirat d’Abou Dhabi, marquant le partenariat fructueux entre les deux pays et le début de la construction de la deuxième centrale nucléaire des Emirats Arabes Unis.
Khaldoun Khalifa Al Mubarak, Président d’ENEC, a salué l’engagement du gouvernement coréen dans le développement du programme d’énergie nucléaire pacifique des Emirats Arabes Unis, en remerciant le ministre coréen du soutien constant de son gouvernement pour la réalisation d’un programme d’énergie nucléaire de classe mondiale dans les Emirats.
La cérémonie était suivie par le ministre d’Etat et CEO de Masdar, Sultan bin Ahmed Sultan Al Jaber, par Mohammad Ibrahim Al Hammadi, CEO d’ENEC, et par des hauts responsables d’ENEC et de la Korea Electric Power Corporation (Kepco).
Après avoir reçu le permis de construire de l’Autorité fédérale de réglementation nucléaire (FANR), ENEC a versé le premier béton de l’unité 2, marquant le début officiel de la construction de la deuxième centrale nucléaire des Emirats Arabes Unis. La construction prendra cinq ans et la centrale devrait entrer en exploitation commerciale en 2018, sous réserve des approbations réglementaires supplémentaires. Lire la suite sur WAM…