Par La Rando

Energie éolienne aux Emirats arabes unis

Les Emirats sont une force motrice dans le financement de l’énergie éolienne à l’étranger, mais cette source d’énergie verte présente aussi un vaste potentiel à l’intérieur du pays.
L’attention se concentre ainsi sur le potentiel éolien d’endroits tels que les émirats du Nord et les îles telles que Sir Bani Yas.
Ces développements technologiques sont particulièrement pertinentes pour les Emirats, et Masdar, le spécialiste de l’énergie renouvelable d’Abou Dhabi, a pris les devants en investissant dans la cartographie du vent du pays et l’étude d’emplacements possibles pour les turbines.
L’unité de développement Mubadala de la société a plus de 1 milliard de dollars investis dans des projets d’énergie à travers le monde et est également un acteur clé dans la tentative de l’émirat pour atteindre 7 pour cent la capacité d’énergie renouvelable d’ici 2020.
Masdar ainsi est l’un des trois principaux investisseurs dans le premier projet d’énergie éolienne à l’échelle du Moyen-Orient en Jordanie.
La centrale éolienne Tafila de 117 mégawatts est prévue d’augmenter la capacité totale de production d’électricité du pays de 3 pour cent.
Le projet de cartographie éolienne consiste à identifier les meilleurs emplacements pour les sites de turbines potentiels.
Parmi les endroits à première vue favorables figure Sir Bani Yas Island, où Masdar a déjà présenté des plans pour un projet de 30 MW.
L’identification des emplacements commercialement viables pour l’énergie éolienne dans les Emirats est plus difficile, déclare Ahmed Al Awadi, le chef de soutien aux entreprises à l’unité de l’énergie propre de Masdar.
“Les Emirats du Nord sont montagneuses, et une installation éolienne implique la construction d’infrastructures supplémentaires pour accueillir les véhicules nécessaires pour le transport des turbines.’’
Les pales modernes de grandes éoliennes sont vastes, en effet, les plus grands fabriqués par Siemens sont de plus de 150 mètres, comparable à l’envergure d’un Airbus A380 superjumbo.
Mais même en l’absence de grands parcs éoliens, des petites turbines privées opèrent déjà dans le pays, notamment dans la région de Liwa.
D’après Siemens, l’un des plus grands joueurs du monde dans le domaine de l’énergie éolienne, le coût de production de l’énergie éolienne aux Etats-Unis a chuté de 43 pour cent depuis 2008, tandis que la puissance générée a bondi de 30 pour cent. 

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Les expatriés britanniques aux Emirats arabes unis

Les Emirats se classent comme le troisième meilleur pays pour les expatriés britanniques selon l’Index sur la qualité e la vie de NatWest International Personal Banking (NatWest IPB).
L’Australie et le Canada continuent de tenir les premières places dans l’indice, mais les Emirats Arabes Unis réalisent une impressionnante percée à la troisième place.
Pour 75 pour cent des expatriés, les opportunités de carrière sont le principal moteur de leur choix. Dave Isley, chef de la banque NatWest International Personal, déclare : “L’appréciation des communautés expatriées pour la France, l’Espagne et le Portugal est en baisse,
la qualité de vie se réduisant considérablement pour les expatriés qui y vivent, et la tendance ouvre la voie aux nouveaux arrivants tels que les Emirats Arabes Unis et le Singapour. Il semble que les expatriés sont prêts à modifier leur mode de vie en échange d’une économie plus forte et de meilleures opportunités d’emploi.”
Malgré la popularité croissante des Emirats, les estimations du nombre total de citoyens britanniques vivant à l’étranger ne reprennent pas les Emirats dans le top 10.
Selon la Banque mondiale (en 2011), il y a actuellement 4,7 millions d’émigrés britanniques résidant à l’étranger, principalement en Australie, Etats-Unis, Canada et Espagne. 

Source:  Emirates 24 │ 7

Par La Rando

Tourisme et santé aux Emirats Arabes Unis

A l’invitation du Conseil National des Médias, une équipe de télévision française se trouvait à Abu Dhabi ces jours-ci afin de mettre en  valeur le patrimoine touristique de la ville. Au programme, la mise en perspective de l’hôtel Ritz Carlton Abu Dhabi qui a beaucoup impressionné les techniciens.  Remarquable décor naturel pour des images surprenantes qui devraient tourner en boucle tout l’été sur les chaînes du câble et du satellite.

La chaîne de télévision française « Ma Chaîne Sport », spécialisée dans la diffusion de programmes sportifs et de bien être a fait d’Abu Dhabi sa destination privilégiée. Déjà partenaire du Conseil National des Médias à l’occasion du projet « EXPO 2020 », elle récidive cette année avec une initiative  originale.  Avec le concours de Christophe Ruelle, un coach sportif de très haut niveau, elle a organisé dans les jardins et la plage du Ritz Carlton une série de  tournages exceptionnels autour de la forme, du bien être et du tourisme. Malgré la chaleur du mois de juin, les techniciens et le personnel de l’hôtel Ritz Carlton ont réalisé des programmes autour du bien être et de la santé dans un cadre touristique exceptionnel offert par la ville d’Abu Dhabi.  Pas moins de 13 programmes de 26 minutes ont été tournés pendant les 3 jours de visite de l’équipe de télévision. Une prouesse.

Ces programmes feront l’objet de multiples diffusions à partir de cet été. Nul doute que l’originalité de l’initiative ajoutera de la plus value à l’image d’Abu Dhabi.

Source: frenchwam

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Le Mondial au Brésil suffira t-il à relancer l’économie?

La croissance du pays organisateur de la Coupe du monde de football a marqué le pas plusieurs années, et particulièrement depuis janvier. Les retombées économiques de la Coupe du Monde pourraient être moins importantes que prévu.

A quelques jours de la Coupe du monde de football, les statistiques économiques brésiliennes ne sont pas à la fête. Au premier trimestre 2014, la croissance du PIB a ralenti, à 0,2% par rapport aux trois mois précédents, un chiffre inférieur de moitié à la performance du quatrième trimestre 2013, selon l’institut national de la statistique IBGE. En rythme annuel, la croissance de la première économie d’Amérique latine ressort à 1,9% sur la période alors que les économistes attendaient 2,1%.

Depuis le boom de 2010, marqué par une croissance de 7,5%, ce pays émergent de plus de 200 millions d’habitants stagne. La hausse du PIB marque le pas: +2,7% en 2011, +1% en 2012 et +2,5% en 2013. Tous les indicateurs sont aujourd’hui en berne: les dépenses d’investissement ont reculé de 2,1% entre janvier et mars pour le troisième trimestre consécutif, la consommation des ménages s’est repliée de 0,1%, enregistrant sa première baisse sur un trimestre en trois ans. Et l’activité dans l’industrie s’est contractée de 0,8%. Seule l’activité agricole progresse, de 3,6%, dans ce pays porté par ses matières premières (café, sucre, soja, orange…). «Ce qui préoccupe le plus, c’est que les exportations et les investissements n’augmentent pas davantage. L’économie brésilienne est en perte d’élan», note Jens Arnold, chef du bureau Brésil au département économique de l’OCDE. Lire la suite sur LeFigaro…

Par La Rando

Ces sociétés plus riches que les pays

 

Face aux multinationales, les nations, lestées de dettes et minées par le chômage, semblent de plus en plus désarmées. Enquête sur une lame de fond qui met à mal leur crédibilité, et celle des politiques.

Il faudrait peut-être penser à tourner la saison 2 du Léviathan, de Thomas Hobbes. Dans son oeuvre majeure, publiée au milieu du xviie siècle, le grand philosophe anglais représente l’Etat sous les traits du monstre marin, toujours prompt à déployer ses omnipotents tentacules pour asservir le commerce, la finance et l’industrie. Autres temps, autres rapports de force. Aujourd’hui, l’ignoble « serpent tortueux » du livre d’Isaïe s’est métamorphosé en une indolente couleuvre et le Léviathan-Etat en… Léviathan-SA. Car ce sont désormais des sociétés anonymes, mais présentes aux quatre coins du monde, des multinationales aux puissances financières démesurées qui défient les Etats, même les plus grands.
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Par La Rando

Le diesel au Koweït

Koweït – Le gouvernement koweïtien a annoncé son intention de cesser de subventionner le diesel, une décision qui, si elle est appliquée, constituerait une brèche dans le système d’Etat-providence pratiqué par ce riche pays pétrolier du Golfe.

Le Conseil des ministres a décidé de cesser, en principe, de subventionner le diesel, indique un communiqué officiel publié tard lundi à l’issue de la réunion hebdomadaire du cabinet.

La levée de ces subventions reste tributaire des résultats d’une étude du Haut conseil de la planification sur son impact sur les consommateurs, selon le communiqué.

Le ministre du Pétrole, Ali al-Omair, avait indiqué devant le Parlement, il y a trois semaines, que la levée des subventions sur le diesel ferait économiser au pays environ 1 milliard de dollars par an alors que le total des subventions atteint les 18 milliards de dollars chaque année.

Le diesel est vendu actuellement à 0,20 cent le litre.

La décision fait suite à une série de recommandations d’une commission gouvernementale formée en octobre dernier pour revoir les subventions qui commencent à peser de manière sérieuse sur le budget de l’Etat.

Le gouvernement a mis en garde lors d’un débat au Parlement organisé il y a trois semaines contre la perspective d’un déficit budgétaire de ce pays, membre de l’Opep, en raison des subventions qui ne cessent de grever les dépenses publiques en dépit de la hausse des revenus pétroliers Lire la suite sur Romandie…

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Télécom entre le Bahrein et le Sénégal

Le 14ème colloque mondial des régulateurs de télécommunications s’est tenu du 3 au 5 juin à Manama, la capitale du Bahreïn, Dans un communiqué publié en marge de cette rencontre, Mohamed Alamer, le président de l’Autorité de régulation du Royaume de Bahreïn, et Abou Abel Thiam, le président du collège de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (Artp) du Sénégal, ont annoncé l’intention des deux institutions de partager leur expérience dans la régulation télécom.

Lors de leur entretien privé, les deux hommes ont mis l’accent sur le cadre juridique et économique de la régulation du marché des télécommunications/Tic, et sur le dispositif institutionnel de la régulation dans un environnement fortement marqué par les progrès de la technologique. Une fois cette coopération entérinée, le régulateur télécom du Barhein pourra s’inspirer du modèle de régulation sénégalais pour mieux gérer son secteur national des télécom.

Avant le Barhein, ce sont les Emirats Arabes Unis qui ont ouvert le chapitre de la coopération entre régulateur télécom avec Sénégal. En effet, au terme de laConférence mondiale de développement des télécommunications (CMDT), organisée du 30 mars au 10 avril 2014 à Dubaï (EAU), l’Artp a signé une convention de partenariat avec son homologue des Emirati (Telecommunication Regulatory Autorithy). Ledit accord, signé par Abou Lô, l’ex-dg de l’Artp et Mohamad Nasser Al Ghanim, dg de la Telecommunication Regulatory Autorithy visait à définir, entre autres, la mise en place et exploitation d’un point d’échanges Internet, la régulation et mise en place de la portabilité des numéros, la régulation du mobile banking et de l’écosystème des Tic, ainsi que la gestion du spectre des fréquences face aux enjeux du numérique.

Source: Agence Ecofin

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Eau à Oman, Veolia y travaille

Veolia, entreprise spécialisée dans les problématiques de traitement de l’eau, de l’énergie et des déchets, collabore avec l’école German University of Technology (GUTech) d’Oman, un pays voisin de l’Arabie Saoudite.

Veolia cherche à sensibiliser les étudiants de la GUTech d’Oman sur la conservation de la ressource en eau ainsi que sur la protection de l’environnement. Le séminaire organisé par l’entreprise française vise notamment à fournir au jeune public et aux invités extérieurs une méthodologie et une expertise afin de détecter et réduire les fuites d’eau mais aussi d’établir des cycles de gestion des déchets et des process énergétiques.

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Qatar Airways lance le Q-Tag

Les passagers de Qatar AIrways peuvent désormais imprimer leurs étiquettes bagages à la maison.

Après s’être enregistrés en ligne, les passagers doivent sélectionner «Entrer les détails de vos bagages» pour indiquer le nombre de bagages à enregistrer et imprimer leur étiquette au format A4.

L’étiquette dot ensuite être pliées en 4.

A l’aéroport, un porte-étiquette est délivré aux passagers.

Ce nouveau service est désormais disponible sur 103 destinations au départ de l’aéroport d’Hamad International.

Qatar Airways estime qu’elle est la première compagnie aérienne du Golfe à proposer ce service sur des destinations internationales.

Le mois dernier Qatar Airways a lancé des vols vers Edimbourg.

La compagnie s’apprête par ailleurs à proposer 3 vols directs par semaine entre Doha et Zagreb à partir d’octobre 2014.

Source: Business Travel

Par La Rando

Dubai Mall va entrer en Bourse

C’est le plus grand centre commercial du monde. Le Dubai Mall va faire son entrée en Bourse sur le Dubai Financial Market (DFM). Son actionnaire Emaar Properties a annoncé son intention de placer 25 % du capital de sa division « distribution » en Bourse. Il réfléchissait, jusqu’ici, à une cotation conjointe sur le Nasdaq de Dubai et à la Bourse de Londres. Mais il a obtenu une dérogation, afin de pouvoir placer moins de 55 % de son capital en Bourse et a donc choisi le DFM. Morgan Stanley et JP Morgan vont diriger l’opération. La date n’a pas été précisée, mais l’IPO pourrait intervenir à la rentrée, après le ramadan.

Emaar Properties, coté également sur le DFM, tire plus de la moitié de ses revenus de cette division, qui regroupe des centres commerciaux et des hôtels pour un total de 539.000 mètres carrés, dont le Dubai Mall qui attire chaque année plus de 75 millions de visiteurs. Le groupe profite de la renaissance du marché immobilier de l’émirat, après le krach de 2008.

source: Lesechos.fr