Par La Rando

Koweït : excédent budgétaire

Le Koweït a dégagé son second plus grand excédent budgétaire en quinze ans alors que le Fonds monétaire international (FMI) a mis en garde contre les risques du gonflement des dépenses publiques. Le Koweït a dégagé son second plus grand excédent budgétaire en quinze ans alors que le Fonds monétaire international (FMI) a mis en garde contre les risques du gonflement des dépenses publiques. Ce riche pays pétrolier du Golfe a dégagé un excédent de 12,9 milliards de dinars (45,1 milliards de dollars) pour l’année budgétaire 2013/14 achevée fin mars, selon les statistiques du ministère des Finances publiées hier sur son site internet. Les revenus ont atteint 31,8 milliards de dinars, dont 29,3 provenant des exportations pétrolières et 18,9 milliards de dinars pour les dépenses.
Le précédent record datait de l’exercice 2011/12, avec un excédent de 13,2 milliards de dinars.  Au cours des trois dernières années budgétaires, le Koweït a cumulé des excédents budgétaires de 38,8 milliards de dinars (135,7 milliards de dollars), selon les chiffres du ministère des Finances. Le Koweït a dégagé des excédents sur les 15 dernières années d’un total de 92,5 milliards de dinars (323 milliards de dollars), selon des statistiques.
Ces montants ont contribué à gonfler les avoirs du fonds souverain du pays, estimés à 500 milliards de dollars. La hausse des prix du pétrole, dont le Koweït tire 94% de ses revenus, explique ces excédents. Le FMI a toutefois averti qu’une baisse des prix du pétrole pourrait plonger le Koweït dans le déficit si le pays ne prend pas des mesures pour maîtriser les dépenses publiques. «Une baisse de 20% des prix du pétrole (…) pourrait faire passer le Koweït de la situation de surplus à celle de déficit budgétaire à moyen terme», a souligné le FMI dans un rapport publié cette semaine.
Ce dernier a conseillé au Koweït de commencer à réduire ses dépenses publiques, en diminuant le nombre d’emplois dans les services de l’État et à maîtriser les subventions, qui s’élèvent à 16 milliards de dollars par an.
Le FMI conseille également de soumettre les entreprises à des taxes et de réviser celles sur les services publics. Le gouvernement avait décidé du principe de mettre fin aux subventions sur le diesel et envisage de le faire pour l’électricité. Le Koweït a une population autochtone de 1,25 million de personnes et accueille 2,8 millions d’étrangers.

Source: elmoudjahid.com

Par La Rando

Irak: les militaires canadiens seront basés au Koweït

Koweït – Les troupes canadiennes seront basées au Koweït dans le cadre de la mission de combat contre le groupe armé État islamique (ÉI) en Irak.

Le ministre de la Défense nationale, Rob Nicholson, a confirmé jeudi que le Canada avait obtenu une confirmation du gouvernement du Koweït lui permettant d’utiliser ses installations dans le cadre des frappes aériennes qui seront menées en Irak.

Mercredi, le ministre a par ailleurs soutenu que l’équipe de reconnaissance militaire du Canada était déjà sur le terrain, au Moyen-Orient, pour préparer l’arrivée des aéronefs que le Canada a engagés dans ce combat.

Il a précisé que six CF-18 seront déployés à partir de la 4e Escadre Cold Lake en Alberta, un CC-150 Polaris à partir de la 8e Escadre Trenton et deux CP-140 Aurora à partir de la 14e Escadre Greenwood.

Par La Rando

Le tourisme, l’avenir d’Oman

Perle méconnue du sultanat d’Oman, loin de Mascate mais proche de Dubaï, la péninsule du Musandam reste un sanctuaire de paix aux portes du bouillonnant détroit d’Ormuz.

Les criques étincelantes défilent, dans le ronron du moteur. Allongés sur des matelas qui font le tour de ce bateau de bois traditionnel, nous n’avons d’autre agenda que l’admiration du paysage, univers de minéralité pure et d’ambiances marines d’une grande poésie. Nous avons quitté le port pour quatre jours et trois nuits de croisière dans les fjords.

À l’extrémité de la Péninsule Arabique, le Musandam forme un petit monde perdu. Un isolat resté à l’écart du monde jusqu’à il y a quelques décennies seulement, alors qu’il est en vigie sur l’une des zones les plus stratégiques de la planète ! Le détroit d’Ormuz constitue en effet un corridor hautement stratégique, puisqu’y transite une bonne partie du pétrole mondial.

Séparée d’Oman et des Émirats Arabes Unis par de hautes montagnes (Djebel Harim, 2 087 m) tombant directement dans la mer, la petite péninsule est paradoxalement plus proche de l’Iran, dont elle n’est séparée que par un bras de mer d’une cinquantaine de kilomètres seulement ! Faiblement peuplée par trois tribus semi-nomades, la question de son appartenance géopolitique était subalterne, jusqu’au début des années soixante-dix, lorsque l’attribution de concessions pétrolières à des compagnies étrangères impliqua qu’il faille tracer des frontières. La majorité des Shihuh, tribu principale du Musandam, prêta alors allégeance au Sultanat d’Oman, et c’est ainsi que la région se retrouva séparée du reste du pays.

Le tourisme, l’avenir d’Oman

Aujourd’hui, Khasab, la capitale vit du commerce avec les autres pays du Golfe, de la contrebande nocturne avec l’Iran, et désormais, de l’essor du tourisme maritime. La ville étant l’exutoire côtier d’un large wadi, les palmeraies du front de mer rendues prospères par l’accumulation de sédiments déposés par les crues, s’ornaient, il y a peu, des grappes de maisons estivales des tribus montagnardes, édifiées en barasti (branches de palmiers) sur six pilotis. De même, de nombreuses maisons anciennes arboraient des cheminées de ventilation de facture perse. Tout cela appartient hélas au passé, mais le fort portugais du XVIIe siècle tient encore debout, transformé en un charmant musée, avec reconstitutions d’époque.

Arrêt sur Telegraph Island. Les ruines d’un édifice de pierre “racontent” l’histoire saugrenue de la Compagnie de navigation à vapeur des Indes Britannique qui, en 1854, fit construire sur cet îlot un relais pour sa ligne de télégraphe entre Londres et Karachi, via Bassorah (Iraq), alors possession turque. La station ne fonctionna que cinq ans, personne ne voulant vivre sur ce confetti désolé, puis en 1869, le percement du Canal de Suez rendit la ligne obsolète…

Nous avons jeté l’ancre en baie de Sibi, loin dans une crique sauvage. Au programme : baignade, escalade sur les rochers dominant l’eau et snorkeling. Nous y passerons des heures magnifiques, remplies de rien, pleines de tout. Dans le seul souci du beau plongeon depuis la poupe du dhow, du poisson le plus insolite aperçu dans le masque, de l’exploration des criques voisines avec le kayak embarqué. Le monde est mis en parenthèses, le temps de quelques coups de pagaie plongés dans l’eau aussi verte que transparente.

Mirage solaire dans un silence de cathédrale, à peine rompu, parfois, par les gémissements aigrelets de quelques biquettes errant sur les croupes pelées de ce décor lunaire. Les nuits sur le pont y sont merveilleuses, sous un ciel limpide et une mer étale.

Source: bienpublic.com

Par La Rando

Le Sultanat d’Oman aide une université au Maroc

Le Sultanat d’Oman a fait un don d’un million de dollars au profit de l’Université Mohammed Ier d’Oujda dans le but d’encourager et de renforcer la coopération scientifique entre le Maroc et le Sultanat.

Le Sultanat d’Oman a fait un don d’un million de dollars au profit de l’Université Mohammed Ier d’Oujda dans le but d’encourager et de renforcer la coopération scientifique entre le Maroc et le Sultanat.
 Pour Abdelaziz Sadouk,  président de l’Université, «ce don octroyé par le Sultan Qabous Ibn Said d’Oman, sera alloué à un projet qui va asseoir une relation durable avec ce pays frère».

Plusieurs projets et idées seront examinés à cet effet avec le Conseil de l’université, dont la création d’une bibliothèque numérique. 

L’Université Mohammed Ier envisage également de mettre en place un partenariat durable notamment avec l’Université du Sultan Qabous, en matière de formation, de recherche scientifique et d’innovation.

La création d’une chaire scientifique à l’Université Mohammed Ier portant le nom du Sultan Qabous sera aussi à l’ordre du jour d’une commission scientifique qui définira le thème de cette chaire.

Source: aujourdhui.ma

Par La Rando

Oman à Saint-Malo

Du 24 octobre au 2 novembre, les quais de Saint-Malo accueilleront le Village de la Route du Rhum.

L’Office du Tourisme d’Oman y sera présent avec un stand installé juste en face du trimaran de Sydney Gavigney, le skipper. Exposition de photos et d’artisanat, animations et tirages au sort permettant aux heureux gagnants de monter à bord du Musandam-Oman Sail ou de partir en voyage à Oman, rythmeront les journées.

Source: quotidiendutourisme.com

Par La Rando

La société Bizou en Arabie saoudite

Fondée à Ste-Marie, la compagnie d’accessoires mode Bizou a maintenant son logo écrit en arabe. L’entreprise fait une percée ce mois-ci en Arabie Saoudite alors qu’une première boutique vient d’ouvrir ses portes au Panorama Mall à Riyad. De plus, 24 autres boutiques verront le jour au Moyen-Orient dans les 48 prochains mois. C’est ce qu’à mentionné le Beauceron Marcel Labrecque, président de Bizou. Ce développement a été possible grâce à un partenaire arabe franchisé qui a acheté les droits de Bizou.

En plus d’une avancée en France, l’entreprise est en discussion pour s’installer dans plusieurs pays de l’Europe de l’Est. Au Canada, Bizou emploie plus de 500 personnes, dont 50 au siège social en Beauce. La compagnie compte 110 boutiques au pays, dont 13 dans la ville de Québec. Bizou lorgne à court terme Montréal  et l’Ontario.

Bizou a un chiffre d’affaires de 30 millions $ et enregistre une croissance de 5 % par année.

Source: coolfm.biz

Par La Rando

Match amical: Uruguay – Arabie Saoudite

Ce vendredi soir, à 19h, l’Uruguay jouera un match amical face à l’Arabie Saoudite. Pour l’occasion, Luis Suarez effectuera son grand retour en sélection. En effet, la dernière fois qu’il a été aperçu avec le maillot de l’équipe sud-américaine sur le dos, c’était durant le Mondial 2014. L’attaquant avait mordu l’Italien Giorgio Chiellini. Il a alors été condamné à plusieurs matchs de suspension. Cependant, le nouveau joueur du FC Barcelone peut désormais participer à des matchs amicaux.
La composition de l’équipe uruguayenne a été donnée ce jeudi sur Twitter. A noter l’absence de son nouveau capitaine, Diego Godin. Ce dernier s’est blessé bêtement à la cuisse lors d’une séance de musculation à l’entraînement.

Source: footespagnol.fr

Par La Rando

Politique des prix du pétrole en Arabie saoudite

Malgré les troubles en Irak, le cours du pétrole s’est effondré, depuis trois mois. Une dégringolade accélérée par la politique des prix de l’Arabie saoudite.

L’Arabie saoudite accélère la chute des prix du pétrole. Une chute de plus de 20% depuis le mois de juin. Avant l’été, le baril de Brent avait grimpé à 115 dollars. La crainte des marchés était alors à son comble face à l’avancée des combattants de l’Etat islamique en Irak.

Depuis, les risques de perturbation de la production irakienne n’ont bien sûr pas totalement disparu mais « les marchés se sont aperçus que l’Irak exportait autant voire plus qu’avant, la majeure partie de sa production étant évacuée par le sud du pays », inaccessible pour l’heure aux jihadistes, explique Francis Perrin, journlaiste à la revue Pétrole et gaz arabes.

Dans le même temps, la Libye a multiplié par cinq sa production depuis qu’un accord politique a été signé avec les rebelles qui bloquaient les terminaux de l’Est. Non seulement l’offre de pétrole reste abondante, mais elle augmente grâce à la révolution des schistes et des sables bitumineux en Amérique du Nord.

Il y a donc un surplus de pétrole par rapport à la demande, qui elle se tasse, en Europe, au Japon et en Chine. Au point qu’au mois d’août, 400 000 barils de pétrole saoudien n’ont pas trouvé preneur, entraînant une baisse des ventes de 4% que pour une fois, la monarchie du Golfe n’avait pas décidé.

C’est pourquoi l’Arabie saoudite a réagi en publiant comme d’habitude ses prix quatre semaines à l’avance, elle a annoncé qu’elle baissait ses tarifs pour garder sa part de marché. Une première baisse des prix annoncée en septembre pour le mois d’octobre, à destination des pays asiatiques, puis une nouvelle baisse annoncée il y a une semaine pour le mois de novembre et destinée, cette fois, à tous ses clients. « A partir de là, on a commencé à parler de « guerre des prix » et la baisse des cours mondiaux s’est accélérée », résume Pierre Terzian de Pétrostratégie. Au point que le ministre saoudien du Pétrole s’est senti obligé de déclarer que, d’après lui, le prix ne tomberait pas en-dessous de 90 dollars le baril. Nous y sommes.

Source: RFI.fr

Par La Rando

Le Qatar organisera bien la coupe du monde de football en 2022

Les récentes déclarations de Theo Zwanziger ont fait grand bruit. Pour ce membre du comité exécutif de la Fifa, la Coupe du monde 2022 «n’aura pas lieu au Qatar». Des propos qui n’ont fait que relancer la rumeur d’une annulation de la compétition dans ce pays. Il n’a pas fallu attendre longtemps pour avoir la réponse des personnes concernées. Dans la soirée de lundi, Nasser Al-Khater, directeur exécutif du comité d’organisation Qatar-2022, a de son côté affirmé dans un communiqué que le Mondial se tiendrait bien dans l’émirat.

«Le Qatar accueillera le Mondial en 2022, en dépit des commentaires du Dr Zwanziger (…), qui reflètent son opinion personnelle et non celle de la Fifa. La seule question qui demeure aujourd’hui, c’est quand, pas si. Que ce soit en été ou en hiver, nous serons prêts», a écrit Al-Khater.

Dans un entretien paru lundi dans le quotidien Die Welt, Hassan Al-Thawadi, secrétaire général du comité d’organisation s’était lui aussi dit «sûr que le Mondial 2022 se tiendrait au Qatar». «Non, je ne suis pas inquiet, assure-t-il. D’abord parce qu’il n’y a aucune base pour perdre la Coupe du monde. Et deuxièmement parce qu’il s’agit du premier Mondial au Moyen-Orient. Quand les gens pensent à cette région, c’est plutôt en termes de conflit. Le Mondial sera l’occasion d’unir les peuples. Il laissera un héritage positif».

Les critiques vont bon train depuis l’attribution de la Coupe du monde 2022 au Qatar. Une des raisons essentielles reste liée à la chaleur estivale dans le pays du Golfe et les risques pour les joueurs et le public. D’où les discussions quant à l’éventualité de «déplacer» cette compétition durant l’hiver, ce qui impliquerait des températures plus basses mais une totale réorganisation du calendrier. Ce qui n’est pas du goût des plus grands clubs et championnats européens.

Le Qatar doit également faire face à des soupçons de corruption dans l’attribution du Mondial-2022 en 2010, après que le Sunday Times a assuré début juin être en possession de milliers de courriels et d’autres documents attestant de présumés versements d’argent effectués par M. Bin Hammam. La Commission d’éthique de la Fifa devrait annoncer début 2015 les résultats d’une enquête sur l’attribution controversée des Mondiaux 2018 à la Russie et 2022 au Qatar.

(lefigaro.fr avec AFP)

Par La Rando

Match amical : Qatar – Ouzbékistan : 3-0

Le Qatar s’est imposé facilement aux dépens de l’Ouzbékistan (3-0), lundi en match amical à Doha. Dans le cadre de sa préparation à la Coupe d’Asie, programmée en janvier en Australie, la sélection entraînée par le Franco-Algérien Djamel Belmadi s’est en remis à son attaquan uruguayen naturalisé et sous contrat avec Lekhwiya, Sebastian Soria, qui pour sa centième cape a ouvert le score. Hassan Al Haydos et Meshaal Moubarak ont inscrit les deux buts qatariens. Vendredi, le Qatar affrontera le Liban, toujours en match amical.

Source: lequipe.fr