Par La Rando

Pas de Coupe d’Afrique pour le Qatar

Le Qatar n’accueillera pas la prochaine Coupe d’Afrique des Nations. Il vient en effet de démentir la rumeur qui circule depuis ce matin dans la presse.

Le vice-président de la Fédération qatarie de football, Saoud al-Mohannadi, vient de déclarer à l’AFP que ce sont des informations fausses qui n’ont pas de sens puisque son pays ne fait pas partie de l’Afrique.

Ce matin, le journal sportif l’Équipe avait présenté le riche émirat du Golfe comme pouvant accueillir la compétition car, comme il doit organiser la Coupe du Monde 2022, cela lui permettrait de « tester ses compétences ».

Hier, la Confédération africaine de football avait disqualifié le Maroc après le choix du Royaume de ne pas accueillir la CAN-2015 et de demander le report de la compétition à cause de l’épidémie d’Ebola.

Pour l’instant, on ne connait pas encore le pays qui doit abriter la compétition mais la CAF devrait le révéler en cours de semaine.

– Par: Bladi.net

Par La Rando

Match amical : Qatar – Ouzbékistan : 3-0

Le Qatar s’est imposé facilement aux dépens de l’Ouzbékistan (3-0), lundi en match amical à Doha. Dans le cadre de sa préparation à la Coupe d’Asie, programmée en janvier en Australie, la sélection entraînée par le Franco-Algérien Djamel Belmadi s’est en remis à son attaquan uruguayen naturalisé et sous contrat avec Lekhwiya, Sebastian Soria, qui pour sa centième cape a ouvert le score. Hassan Al Haydos et Meshaal Moubarak ont inscrit les deux buts qatariens. Vendredi, le Qatar affrontera le Liban, toujours en match amical.

Source: lequipe.fr

Par La Rando

Résumé du match Maroc – Qatar

Pour son premier match amical au Maroc sous les commandes de Badou Zaki, l’équipe nationale recevait le Qatar au stade Mohamed V à Casablanca . Les lions de l’Atlas n’ont pas pu faire mieux qu’un match nul 0 à 0 face aux Qataris. L’équipe du Qatar qui prépare la coupe du Golfe, prévue en novembre prochain en Arabie Saoudite, a énormément gêné les joueurs marocains, en les privant d’espace et en exerçant un grand pressing sur le porteur du ballon. A quatre mois seulement du coup d’envoi de la CAN 2015, qui sera organisée au Maroc, l’équipe nationale a donné une image peu rassurante pour les supporters. D’ailleurs, les joueurs ont été hués à plusieurs reprises par le public casablancais. Badou Zaki a justifié cette piètre prestation par l’absence de plusieurs joueurs clés. Depuis son retour à la tête de l’équipe nationale en mai dernier, Zaki a joué trois matchs amicaux contre le Mozambique (victoire 4-0), l’Angola (défaite 0-2), au Portugal. Et défaite 2 buts à 0 contre la Russie à Moscou. Les lions de l’Atlas joueront un autre match amical dimanche prochain au grand stade de Marrakech contre la Libye.

Source: Leconomiste

Par La Rando

Coupe du monde au Qatar: Les 3 scénarios possibles pour la FIFA

Et si le Mondial 2022 échappait au Qatar ? La désignation de l’émirat comme pays hôte est si controversée depuis des mois qu’un retournement de situation n’est plus à exclure. Selon les informations du reporter d’ESPN Jorge Ramos, la FIFA préparerait un plan B et aurait demandé aux États-Unis de se tenir prêts. Décryptage de Nabil Ennasri, auteur de « L’énigme du Qatar » (Iris).

Le Mondial de football vient de débuter et les yeux du monde sont rivés sur le Brésil. Au centre de l’attention planétaire, le pays organisateur retient son souffle. Pendant un mois, ce sont des centaines de milliers de spectateurs et des milliards de téléspectateurs qui vont communier autour de la même passion.

Mais en plein Mondial au Brésil, la planète football se préoccupe aussi d’une autre Coupe du monde, celle de 2022 qui doit normalement avoir lieu au Qatar. Depuis son attribution, l’événement est au centre d’une polémique sans fin.

Après les controverses sur la condition des travailleurs asiatiques, la chaleur estivale, un éventuel changement de calendrier ou les accusations de corruption, c’est peu dire que l’organisation de ce futur tournoi suscite une levée de boucliers.

Rarement dans l’histoire du sport, le choix d’un pays n’a provoqué autant de crispations et ce, huit années avant le début effectif de la compétition.

Un engouement de courte durée

Le 2 décembre 2010, le comité exécutif de la FIFA attribue l’organisation du Mondial 2022 au Qatar. Fait unique dans son histoire, la FIFA concède la Coupe du monde à deux pays simultanément : l’émirat est désigné pour 2022 et la Russie l’emporte pour 2018.

Pour la première fois également, les frontières du ballon rond pénètrent le monde arabe. Le signal se veut fort et il a pour objet de démontrer que le foot est un sport à la popularité universelle.

L’engouement est de courte durée. Très vite, une nuée de critiques va s’abattre et de pays à la légitimité footballistique inexistante à un émirat accusé d’abuser de la « diplomatie du carnet de chèques », le Qatar est pris sous une avalanche d’accusations.

En janvier 2013, l’hebdomadaire sportif français « France Football » publie l’enquête « Qatargate » qui prétend apporter les preuves que le Mondial a littéralement été « acheté ». Il y a quelques jours, c’est le « Sunday Times » qui titrait sur « le complot destiné à acheter le Mondial ».

Le journal britannique assure avoir les éléments prouvant que le qatari Mohamed bin Hammam – ancien membre exécutif de la FIFA radié à vie de l’organisation en 2011 – s’était servi de fortes sommes d’argent pour soudoyer plusieurs hauts responsables afin de les convaincre de voter pour son pays.

Un soft power en déséquilibre

Pour le Qatar, cela commence à faire beaucoup. Basant en partie la construction d’une réputation mondiale par l’exercice d’une dynamique « diplomatie sportive », ces mauvaises couvertures de presse à répétition mettent à mal son ambition.

Etat faisant un exercice immodéré du soft power et de la diplomatie du rayonnement, l’émirat est aujourd’hui confronté à ce qu’il redoutait le plus : une opinion publique mondiale qui commence à douter de sa probité. Pour ne rien arranger, le président de la FIFA lui-même s’en est allé de sa petite phrase en déclarant que le choix du Qatar était finalement « une erreur ».

Dans l’œil du cyclone alors qu’il reste encore huit ans avant le début de la compétition, le monde du football s’interroge : faut-il maintenir le Mondial au Qatar ou repartir sur une nouvelle procédure de vote ?

Avant d’y répondre, il faut d’abord relever certains angles morts du dossier. Deux éléments compromettent en effet le caractère désintéressé du procès en corruption adressé à l’endroit du Qatar :

1. La rivalité Blatter vs. Platini

L’évolution des prises de position de l’actuel président de la FIFA trahit une sourde lutte d’influence à la tête de l’institution qui régit le football mondial. Au départ enthousiaste face à une candidature qui présentait l’avantage de toucher de nouveaux territoires, le rétropédalage de Sepp Blatter est, d’après nous, non dénué d’arrière-pensées stratégiques.

Sentant le vent tourner face à un émirat à la réputation sulfureuse, le revirement de Blatter doit aussi être mis en perspective avec sa candidature à sa propre succession. L’un de ses challengers les plus en vue n’est autre que Michel Platini, lequel a avoué avoir voté pour le Qatar en 2010.

Noircir le dossier « Qatar » peut donc être une manœuvre de Blatter de jeter une patate chaude dans les mains de son principal concurrent qui fait, depuis, cet aveu, l’objet d’un procès d’intention. Au pouvoir depuis 1998 et désirant briguer un cinquième mandat, le Suisse se sait affaibli.

La candidature qatarie se voit donc indirectement prise en otage dans un règlement de compte entre deux rivaux.

2. Le fonctionnement de la FIFA mis en cause

L’autre interrogation repose sur la contradiction que met à nu cette affaire. Si corruption il y a eu, faudrait-il davantage blâmer le Qatar pour avoir tenté de fausser le résultat ou la FIFA qui a laissé se mettre en place un système quasi-mafieux ?

Dans son récent livre « Omerta, la FIFA de Blatter, une histoire de mafia », le journaliste écossais Andrew Jennings dénonce un fonctionnement opaque à base d’achats de vote, de tromperie et de trucages en tout genre.

Mark Pieth, professeur de droit de l’université de Bâle qui a réalisé un audit de la FIFA au sein d’une Commission indépendante (CIG), a même dressé un bilan catastrophique :

« À notre arrivée, en 2011, nous avons fait connaissance avec un univers dominé par les jeux de pouvoir, le patronage et les patriarches, installés depuis des décennies. »

En ce sens, si la corruption était prouvée, ce ne serait plus le Mondial au Qatar qui vacillerait mais tout l’édifice de la FIFA. D’autant que si des dysfonctionnements étaient avérés pour le vote de la Coupe du monde 2022, quid du choix de la Russie en 2018 ? Le Qatargate suivi du Russiagate sonneraient alors comme le chant du cygne pour une FIFA qui ne se relèverait pas.

D’autant que certains seraient tentés de revenir en arrière pour lever le voile sur la désignation controversée de certains pays organisateurs, en commençant par celle du Mondial en Allemagne en 2006. Face à tant de grabuges, il n’est pas étonnant d’entendre certaines voix plaident pour une dissolution pure et simple de la FIFA…

Quels scénarios possibles ?

En attendant les conclusions définitives de Michael Garcia, président de la chambre d’investigation du Comité d’éthique de la FIFA qui vient de finir un rapport sur les attributions des Mondiaux 2018 et 2022, les alternatives qui se présentent pour sortir le Mondial 2022 du bourbier sont les suivantes.

1. Élargir l’organisation à d’autres pays

Une possibilité d’élargir l’espace d’organisation du tournoi. Cette option verrait par exemple le Mondial 2022 être co-organisé par d’autres pays arabes comme l’Egypte ou les Émirats arabes unis.

Déjà soumise par quelques personnalités, cette idée permettrait de réduire la pression sur le Qatar et de « faire porter » cet événement par d’autres nations du monde arabe. Ce ne serait plus le Mondial du Qatar mais celui du monde arabe, ce qui accentuerait la portée symbolique d’un tel événement.

2. Retirer le Mondial au Qatar

Ce serait certainement le choix le plus désastreux. D’abord parce que cette alternative ne pourrait se justifier que lorsque les accusations de corruption seront définitivement corroborées, ce qui n’est pas aujourd’hui le cas.

Le rapport final Garcia est à ce titre capital car il permettra de sérier les responsabilités de chacun. De même, il faut aussi s’interroger sur les raisons qui poussent certains acteurs à soutenir une telle option.

L’Australie, candidate malheureuse pour l’organisation en 2022, pousse dans cette direction. Il est en effet de bonne guerre de voir les perdants d’hier reprendre du poil de la bête en mettant à profit la polémique d’aujourd’hui pour arriver à un nouveau vote.

3. Maintenir le Mondial au Qatar

De notre point de vue, c’est la décision qui, à l’heure actuelle, serait la moins mauvaise. D’abord parce que le Qatar est innocent jusqu’à ce qu’il soit reconnu coupable. De plus, le Mondial 2022 et l’extrême focalisation qu’il suscite ont induit un certain nombre de changements positifs au sein de l’émirat.

En ce sens, il faut rappeler la décision historique des autorités de bannir définitivement le système de la Kafala afin d’améliorer la condition des ouvriers étrangers. Cette réforme est, à n’en point douter, une conséquence directe de l’attention médiatique qui peut ainsi être utilisée comme un levier d’amélioration des droits de l’homme.

Enfin, cette option présente aussi l’avantage d’inscrire le monde arabe dans le circuit de la mondialisation alors qu’un retrait aurait des conséquences symboliques désastreuses et ne ferait que renforcer les tenants du choc des civilisations.

Par Nabil Ennasri pour Bonjourdubai.com

Par La Rando

Coupe du monde 2014: après le Brésil, c’est le Qatar

Les préparatifs de la coupe du monde qui sera organisée au Qatar en 2022 sont sur ​​la bonne voie selon les officiels du pays. Doha prévoit de dépenser un montant supplémentaire de 4 milliards de dollars pour ses stades en construction et ses infrastructures sportives liées à la Coupe du Monde. Le plus grand stade prévu est le « Iconic Stadium Lusail », ce dernier aura une capacité de plus de 86 000 personnes. (rien que ça 🙂 ), ce même stade accueillera le match d’ouverture et la finale.
 
Au niveau de la capacité hôtelière les chambres d’hôtel verront 95 000 de plus, en plus des 15 000 chambres actuelles en 2022. Les Autorités des Travaux publics du Qatar (Ashghal) prévoient également de construire des autoroutes et des échangeurs avec un coût de 27,5 milliards de dollars sur les cinq prochaines années. Du côté brésilien, les autorités sont aussi confiantes dans l’avancement des travaux. Le Brésil a salué son nouveau stade en pleine Amazonie (à Manaus, l’Arena Amazônia ) et l’on se prépare déjà à accueillir les équipes qualifiées pour cette coupe du monde.
 
Côté sportif, beaucoup se demandent qui remportera la prochaine Coupe du Monde 2014. Qui sont les favoris pour la CDM cet été au Brésil ? Après sa victoire contre l’Espagne, le Brésil part favori pour tous les pronostiqueurs. Rappelons que l’Espagne est la nation la mieux classée au niveau de la FIFA. L’équipe de la Seleçào fera tout son possible pour garder sur ses terres le précieux trophée et tous les bookmakeurs en ont fait leur favori.
Le Brésil a été éliminé de la Coupe du Monde 2010 qui se déroulait en Afrique du Sud en quarts de finale. Le pays organisateur se doit de prendre sa revanche sur ses propres terres. Nombreux sont les parieurs qui misent sur la victoire du Brésil, suivie par l’Argentine, l’Allemagne et l’Espagne. Mais la France reste en embuscade…
La Coupe du monde de football de 2022 qui se déroulera au Qatar sera la 22e édition et réunira les meilleures sélections nationales se déroulera. Connu pour son pétrole et son gaz, l’émirat du Qatar a misé énormément sur cette Coupe du Monde qui sera au centre d’un marché télévisuel d’environ 3,2 milliards de téléspectateurs.

Par La Rando

Le Qatar est prêt pour la coupe du monde 2022

Nasser Al-Khater, le directeur exécutif du comité d’organisation de la Coupe du monde 2022, a indiqué vendredi que le Qatar sera «prêt quelle que soit la date» choisie par la Fifa pour organiser le Mondial. «Nous pensons toujours organiser la Coupe du monde en été, c’est pour cela que nous nous sommes portés candidats et c’est ce que nous avons promis, a poursuivi le dirigeant dans une interview à l’AFP. Mais je pense qu’il est normal que le monde du football puisse se mettre d’accord et décider avec toutes ses composantes s’il doit y avoir un changement. (…) Nous restons concentrés sur notre objectif, qui est d’être prêts quoi qu’il arrive en 2020».

Quelle que soit la période de l’année, Al-Khater a précisé qu’«il y aura la climatisation dans les stades de toutes façons». Il a assuré que le Qatar avait «mis en place des règles en ce qui concerne le bien-être des ouvriers. Ce seront des conditions obligatoires imposées sur tous les contrats».

Source: L’Equipe Avec AFP

Par La Rando

Le PSG en stage au Qatar

Si les Parisiens n’étaient pas encore totalement convaincus, l’après-midi d’hier a ôté leurs derniers doutes. Leur rôle dépasse désormais très largement le simple périmètre des terrains gazonnés. Au Qatar, pays de leur propriétaire, les coéquipiers de Zlatan sont en représentation permanente. Dès la pause déjeuner, les joueurs de Laurent Blanc se sont évaporés par petits groupes aux quatre coins de la ville pour assurer diverses opérations de promotion montées par Qatar Tourism Authority (QTA) ou certains de leurs sponsors tel Ooredoo, l’opérateur de téléphonie qatarien, qui s’affiche sur les maillots et a donné son nom au centre d’entraînement de Saint-Germain-en-Laye contre 13 M€ annuels.

Ibrahimovic à la chasse, Cavani à l’école

Ainsi, pendant que Thiago Silva, Alex et Lucas s’en allaient découvrir un village traditionnel, Sirigu, Lavezzi et Pastore se cultivaient au musée d’Art islamique de Doha après un tour sur la corniche. En fin d’après-midi, c’était au tour de Matuidi, Jallet et Rabiot de visiter le Gold Souk.

Quant à Ibrahimovic, accompagné de Maxwell et Camara, on le retrouvait en 4 x 4 dans le désert. Après le franchissement de quelques dunes, les trois compères ont partagé un thé avec des Bédouins. A suivi une démonstration de chasse au faucon, activité très prisée des Qatariens. Pour le géant suédois, passionné de chasse, l’expérience valait le détour. Elle l’a enchanté, davantage que le dîner de la veille avec des représentants de la Qatar National Bank, autre sponsor du PSG. Lire la suite sur Le Parisien…

Par La Rando

Le président du PSG, Nasser Al-Khelaïfi nommé ministre au Qatar

Le président du PSG, Nasser Al-Khelaïfi, a été nommé ministre du gouvernement qatari lors de son passage à Doha il y a deux semaines. Voilà Nasser Al-Khelaïfi ministre. Déjà président du PSG et de la Fédération du Qatar de tennis, Nasser a été nommé au gouvernement qatari il y a deux semaines lors de son passage à Doha. Une information de nos confrères du Parisien, qui précisent que l’homme fort du club parisien n’a pas reçu d’affectation précise pour le moment et que son rôle ne présentera pas d’activité concrète dans un premier temps.

Pas d’affectation précise

« Il est ministre hors cadre, c’est-à-dire sans affectation précise », peut-on lire dans l’article. Nommé par l’émir Tamim bin-Hamad al-Thani, dont il est très proche, Nasser Al-Khelaïfi pourrait envisager d’ici quelques années d’abandonner ses fonctions au PSG pour endosser au Qtara « de hautes responsabilités politiques ».

Source: Beinsport