Par La Rando

Le pétrole au PIB des Emirats Arabes Unis

La contribution du pétrole au PIB des Emirats, actuellement de 30 pour cent, tombera à 20 pour cent en 2021, et est susceptible de tomber à zéro pour cent dans les 50 prochaines années, affirme le ministre de l’économie.
Les pays du Conseil de Coopération du Golfe (CCG) tirent la plupart des revenus du pétrole, dont les prix ont chuté de plus de 60 pour cent, et ces pays ont pris des mesures pour renforcer les finances publiques afin de maintenir les dépenses sociales et les infrastructures. Lire la suite « Le pétrole au PIB des Emirats Arabes Unis »

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Le gel de la production de pétrole « est effectif » selon les Emirats

Les cours du pétrole ont encore fini en nette hausse lundi à New York, s’affichant au plus haut depuis le début de l’année grâce à des espoirs d’une limitation de l’offre et d’un maintien de la demande. Le cours du baril de «light sweet crude» (WTI) pour livraison en avril a gagné 1,98 dollar à 37,90 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), porté par un espoir de rééquilibrage d’un marché actuellement plombé par les excédents.

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Le prix du pétrole baissera, quelles sont les raisons ?

La baisse du prix du baril a été une surprise fin 2014. Les cours actuels font plus que surprendre. Les indicateurs aux Etats-Unis laissent entrevoir des perspectives encore plus étonnantes. A savoir, la probabilité d’une nouvelle baisse des cours. Par Gérard Vespierre, associé fondateur de Strategic Conseils, chercheur associé à la Fondation d’Etudes pour le Moyen-Orient (FEMO). Lire la suite « Le prix du pétrole baissera, quelles sont les raisons ? »

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La chute des cours du brut n’est pas un problème pour les Emirats

La chute des cours du brut sur le marché international n’est pas « une catastrophe » pour les Emirats arabes unis, pays membre de l’Opep, a déclaré lundi son ministre de l’Energie, Suhail al-Mazrouei.
Lors d’une rencontre avec des journalistes, le ministre a indiqué que le déclin des prix du pétrole « ne constitue pas une catastrophe pour l’Etat des Emirats », dont les revenus pétroliers « ne représentent que 30% de son PIB après avoir diversifié ses sources de revenus ».
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) se réunit le 27 novembre à Vienne. En dépit de la dégringolade des cours du brut depuis le début de l’été, les 12 membres du cartel n’ont jusque-là pas manifesté de volonté unanime de réduire leur plafond de production fixé à 30 millions de barils par jour depuis fin 2011 afin de faire remonter les prix.
Le ministre émirati a rappelé que l’Opep avait été confrontée par le passé à un effondrement des prix, comme en 2008 lorsque les cours avaient baissé à 40 dollars le baril.
A Vienne, les membres du cartel vont débattre de « la baisse actuelle des cours du brut et prendront la décision appropriée », a-t-il ajouté, sans donner de précisions.
Les prix du pétrole évoluaient autour de l’équilibre lundi en cours d’échanges européens, dans un marché prudent à trois jours de la réunion de l’Opep. Vers 11H00 GMT, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en janvier valait 80,40 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 4 cents par rapport à la clôture de vendredi.

Source: AFP et Lesechos.fr
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Pétrole: Partenariat entre la Russie et les Emirats arabes unis

La compagnie pétrolière publique russe Rosneft a l’intention de développer un partenariat avec les Emirats arabes unis. Le président de la corporation Igor Setchine a rencontré le ministre de l’Energie de ce pays Suhail Mohammed Farage Al Mazour.

Les parties ont discuté la promotion du projet conjoint dans l’émirat de Chardja, ainsi que la participation d’Abou Dhabi en tant que partenaire dans l’extraction et le raffinage du pétrole sur le territoire russe.

Rosneft et les Emirats arabes unis sont à la recherche d’un terrain d’entente. En dépit du faible nombre de propositions concrètes pour le moment, les experts voient un grand potentiel de partenariat. Parmi les domaines possibles, on peut citer le développement de la production pétrolière et les investissements arabes dans la mise en valeur des champs de pétrole russes, dit le stratège financier de la a société BCS Maxime Cheïne.

« Il est difficile pour le moment de nommer les projets dans lesquels l’expérience des entreprises des EAU pourrait être utile. Probablement, il est question du financement de projets de production et de raffinage du pétrole par les Émirats arabes unis et grâce à un fonds spécial. Peut-être que dans l’avenir, cela aura une influence positive également sur l’expansion de Rosneft à l’étranger, y compris sur l’axe proche-oriental. »

Le directeur général du Fonds de sécurité énergétique Konstantin Simonov est certain que pour le moment, le partenariat entre Rosneft et les Emirats arabes unis sera centré sur des projets en Russie.

« Le partenariat entre Rosneft et les pays arabes ne fait que commencer, donc tout est encore au niveau des négociations. Il me semble que les projets conjoints seront mis en place sur ​ ​le territoire russe. Rosneft cherche activement à développer le plateau continental arctique, elle travaille en Sibérie orientale. Dans tous ces projets, on peut attirer l’argent arabe. Les EAU s’intéressent également aux projets d’extraction, y compris sur son territoire, ainsi qu’au développement des projets de raffinage. »

En ce moment, Rosneft n’a qu’un seul projet pétrolier et gazier dans les Émirats arabes unis, il en était question lors des récentes négociations. C’est la prospection géologique dans l’émirat de Chardja réalisée par Rosneft conjointement avec Crescent Petroleum. Le projet de mise en valeur du champ gazier à Chardja, dans lequel la société russe a reçu

49 %, a commencé en 2010. Rosneft a prévu d’investir dans le projet proche-oriental 630 millions de dollars. Celui-ci supposait que le gaz produit serait traité et livré aux consommateurs finaux dans les marchés en croissance rapide de Chardja et des émirats du Nord, et qu’il serait aussi exporté. Cependant, en 2011, le travail sur le projet a été suspendu pour des raisons techniques. Peut-être qu’un partenariat plus étroit donnera à ce projet « un second souffle ». T

Source: La Voix de la Russie

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Capacité de production de pétrole au Emirats arabes unis

Abou Dhabi (awp/afp) – Les Emirats arabes unis vont porter leur capacité de production de pétrole à 3,5 mio de barils par jour (mbj), contre environ 2,6 mbj actuellement, a annoncé lundi le ministre de l’Energie, Suheil al-Mazroui.
« Les Emirats tentent de porter leur capacité de production à 3,5 mbj pour contribuer à la stabilité des marchés et respecter ses engagements à long terme à l’égard des consommateurs », a déclaré le ministre, cité par l’agence officielle Wam.
L’agence a précisé que cet objectif serait atteint en 2017.
Les Emirats, membre de l’Opep, produisent actuellement environ 2,6 mbj.
M. Mazroui, nommé le mois dernier, a estimé que « les récents événements ont montré la nécessité de se concentrer sur la sécurité énergétique pour faire face aux catastrophes naturelles et aux problèmes géopolitiques ». Lire la suite sur Romandie….