Par La Rando

La crise économique mondiale, une opportunité pour l’Algérie

ALGER – La crise économique qui secoue certains pays européens constitue pour l’Algérie une « opportunité » pour acquérir des actifs dans certaines entreprises, en difficultés financières, pour aller investir à l’international, a estimé mercredi à Alger l’expert M. Mohamed Hachemaoui. »C’est le moment pour les Algériens de racheter ces actifs », a déclaré M. Hachemaoui au cours d’une conférence débat sur les dimensions économiques et sociales de la loi de finances 2013 qu’il a animée à l’Université d’Alger. Lire la suite « La crise économique mondiale, une opportunité pour l’Algérie »

Par La Rando

Les décharges publiques en Algérie

Le ministre de l’Aménagement du territoire, de l’environnement et de la ville, Amara Benyounes, a insisté mardi à El Tarf sur une gestion rationnelle des décharges contrôlées afin de pouvoir en tirer profit le plus longtemps possible.Entamant une visite de travail et d’inspection de deux jours, le ministre, accompagné du wali d’El Tarf, s’est rendu en début de soirée de mardi sur le site abritant le projet de réalisation d’une décharge contrôlée, située dans la daïras de Dréan, où il a évoqué l’importance de ces ouvrages destinés à l’éradication des décharges sauvages. Lire la suite « Les décharges publiques en Algérie »

Par La Rando

Comment faire du business au Qatar

Le Qatar vient d’annoncer la visite officielle du président François Hollande les 23 et 24 juin prochain à Doha. Pour Pierre-Marie Relecom, président fondateur du cabinet Relecom & Partners, c’est l’occasion pour accorder un important soutien institutionnel à la conclusion de contrats. Entre la coupe du monde de football 2022, et une pénurie d’eau prévue pour 2014, les opportunités commerciales ne manquent pas au Qatar pour les entrepreneurs français. Voici, quelques conseils pour qu’ils sachent en tirer profit…

Préambule: le Qatar est un petit bout de désert à la frontière de l’Arabie et proche des Emirats, qui recèle aujourd’hui quelques-unes des plus grandes réserves de gaz LNG au monde, qu’il partage avec son voisin d’en face, l’Iran… Le Qatar compte 1 900 000 habitants, 200 000 qataris, et réellement une centaine qui tiennent les rênes du pays.

Ceux-là ont étudié, pour la plupart, en Angleterre ou aux Etats-Unis, et sont pour certains des proches du Prince héritier. Pour autant, ils ne sont pas tous issus d’une grande famille. Ainsi, si l’on retrouve le Sheikh Farhad al Attyiah à la tête de l’important Qatar National Food Security Program, l’on peut aussi citer le très respecté ingénieur Ghanim Al Ibrahim qui a été le porteur du projet Railways, Assad El Thawadi à la tête du comité Qatar 2022 ou Nasser Al-Khelaïfi, ancien joueur de tennis et désormais figure incontournable au Qatar, puisqu’il est directeur général d’Al-Jazeera Sport et Président du Paris Saint-Germain. Et c’est là tout le paradoxe de cette jeune garde: elle comprend à la fois des jeunes travailleurs acharnés et volontaires, et d’autres, plus oisifs.

Jeunesse gâtée
Car, jusqu’à récemment, les qataris étaient un peuple de bédouins, c’est-à-dire que toutes les personnes qui ont aujourd’hui plus de 45-50 ans, ont vécu sous des tentes sans la climatiSation, connaissent la vie dure et n’ont pas eu accès à une éducation poussée. S’ils n’ont pas les connaissances techniques, ces qataris sont par contre doués d’une intelligence intuitive remarquable qui nous est peu connue.Fort de ce constat, l’Emir a voulu mettre à profit l’argent du gaz naturel liquéfié pour permettre à son peuple de rentrer de plein pied dans le 21è siècle. Le revers de la médaille est une jeune génération qui a tout ce qu’elle souhaite sans effort comme ses parents. Cette oisiveté a plusieurs conséquences sociétales et économiques : à la fois la perte de l’intelligence intuitive mais également l’apparition de l’obésité ! A tel point que l’Etat du Qatar va jusqu’à payer les jeunes qataris pour leur faire pratiquer du sport.

Le monde entier se prosterne devant ce petit émirat, espérant pouvoir profiter de sa manne gazière qui coulera à flot pour encore une bonne trentaine d’années. Une fois que l’on a ces quelques éléments en tête, peut-être est-il plus simple de comprendre et d’appréhender le business avec les Qataris.

Jeux de cour, et milliards à investir
Pour ceux qui désirent en savoir plus avant de s’y rendre, je les invite vivement à lire le livre de Georges Malbrunot et Christian Chesnot « Qatar : les secrets du coffre-fort ». Cela fait plus de 4 ans que j’y passe 10 jours par mois,  j’ai beaucoup lu sur le sujet. Mais la retranscription qu’ils font du Qatar est le plus justement dite dans leur livre. Un pays ambigu et complexe où l’apparence officielle dissimule toujours des jeux de cour et d’équilibre entre les clans…

Toutefois, on parle beaucoup des investissements qataris en France mais qu’en est-il des Français au Qatar ? La situation économique dans l’UE est-elle à ce point bien portante que l’on peut faire l’impasse sur des pays à fort potentiels, comme le Qatar ou l’Arabie Saoudite ? J’ai le privilège d’accompagner quelques groupes dans leur développement à l’International et, à part le Qatar, je ne connais que l’Arabie Saoudite qui supplante ce petit émirat en termes d’opportunités de business. Ils ont entre USD 50 et 70 milliards à investir tous les ans qui sont autofinancés par le LNG. Aussi, il me semble des plus à-propos que l’on s’y intéresse d’un peu plus près et que nos entreprises françaises aient le soutien qu’elles méritent. Nos concurrents, qu’ils proviennent d’Asie, d’Europe, d’Amériques (Nord et Sud) l’ont bien intégré et les Etats soutiennent efficacement et durablement leurs entreprises en envoyant, en sus de la représentation locale, des délégations régulières de ministres ou premier ministres de premier plan.

Lire la suite sur LaTribune.fr…

Par La Rando

Le Qatar, propriétaire du Printemps

Des investisseurs qataris rachèteront l’ensemble des parts détenues par les groupes Borletti et le fonds Rreef.  Le Qatar détiendra 100% du capital du Printemps après qu’il aura racheté au groupe financier Borletti et au fonds Rreef leurs participations respectives dans l’enseigne de grands magasins.
Selon un document confidentiel vu par Reuters, des investisseurs de l’émirat gazier regroupés au sein d’une société de droit luxembourgeois baptisée Divine Investments SA (Disa) vont acquérir la totalité du capital de Borletti Group qui prendra dans la foulée la totalité de la part de Rreef (70%) dans la holding contrôlant 100% (moins une action) du Printemps.
Borletti Group, qui détient 30% du Printemps, avait annoncé le 20 février dernier être entré en négociations exclusives avec le fonds immobilier Rreef, filiale de la Deutsche Bank, pour racheter le groupe de grands magasins. Lire la suite sur challenges.fr

Par La Rando

Bilan économique de Hugo Chavez au Vénézuela

Malgré ce qu’on peut lire dan certains journaux, d’un point de vue économique, le bilan d’Hugo Chavez est très bon!Selon Vincent Lapierre, docteur en économie et traducteur non-officiel du Président vénézuélien, sur France 24. Ce dernier nous cite les chiffres qui nous montre que Hugo Chavez a beaucoup fait avancé les choses dans ce pays. Les chiffres en vidéo ci-dessous:

bijoux fantaisie
Par La Rando

Le Business des bijoux au Qatar

Beaucoup de français et qataris fêtent la fête des mères avec une petite attention particulière, offrir un bijoux. Offrir une bague ou un collier tendance en argent (ou en or) sont très tendance. Les bijoux fantaisie s’offrent bien pour célébrer un événement spécial ou pour commémorer un souvenir. De plus, pour certaines personnes, ce type de cadeau a une valeur symbolique très forte. Pensez simplement aux bagues de fiançailles et de mariage ! C’est aussi des cadeaux du quotidien, collier femme tendance, des boucles d’oreilles femme ou autres bijoux tendances. Lire la suite « Le Business des bijoux au Qatar »

Par La Rando

Diversification du sultanat d’Oman

Qaboos bin Said (72 ans) sultan d’Oman a lancé un fonds au capital initial de 182 millions $ pour favoriser la diversification économique par la création de PME par les entrepreneurs « nationaux ».
« Ce fonds aidera les jeunes hommes et femmes à faire aboutir leurs projets. Le capital initial du fonds a été fixé à 70 millions de rials (182 millions $) et sera augmenté de 7 millions de rials chaque année », a déclaré le Sultan lors d’une séance de « consultation » avec les populations bédouines.
En plus du financement, les entrepreneurs omanais de « souche » recevront gratuitement des terres pour réduire leur besoin d’investissement.
Lire la suite…

Par La Rando

Comment faire du business au Bresil?

Si l’on souhaite travailler au Brésil, quelques règles de base sur l’organisation administrative et culturelle du pays sont à connaître. Considérer le brésil comme un pays-continent Tout d’abord, il faut avoir conscience que le Brésil est plus grand que l’Europe et ses 26 Etats demanderont une approche différente. Les comportements des consommateurs diffèrent suivant les régions et les différences culturelles. Ainsi, alors que les états du Sud (jusqu’à l’état de Rio de Janeiro environ) concentrent la majeure partie des classes moyennes et supérieures ainsi que l’essentiel de l’industrie du pays, ceux du Nord sont beaucoup moins développés. Les modes de consommation s’en ressentent et une analyse du marché par état s’avère indispensable afin d’appréhender le marché en fonction des spécificités locales. Lire la suite « Comment faire du business au Bresil? »

Par La Rando

Investisseurs de Tunisie en Libye

«Les produits tunisiens, qui représentaient 60%, des produits commercialisés sur les marchés de toute la région ouest de la Libye ont chuté à moins de 25%. De nouveaux partenaires, dont notamment des turcs sont entrain saisir cette opportunité pour conquérir le marché libyen». C’est ce qu’a révélé M. Idriss Omrane, le président du conseil d’administration de l’Union générale libyenne des chambres de commerce. Lire la suite « Investisseurs de Tunisie en Libye »

Par La Rando

Investissement en Algérie de la Grande-Bretagne

La Grande-Bretagne compte réaliser « un nombre important » de projets d’investissement en Algérie pour renforcer davantage les relations économiques entre les deux pays, a indiqué jeudi à Alger Lord Richard Risby, représentant spécial du Premier ministre britannique pour le partenariat économique avec l’Algérie. »Nous avons convenu d’un nombre important de projets d’investissement algéro-britanniques que nous espérons réaliser en Algérie », a souligné Lord Risby, dans une déclaration à l’APS à l’issue d’un entretien avec le ministre de l’Industrie, de la PME et de la promotion de l’Investissement, M. Cherif Rahmani. Lire la suite « Investissement en Algérie de la Grande-Bretagne »