Par La Rando

Match amical: Uruguay – Arabie Saoudite

Ce vendredi soir, à 19h, l’Uruguay jouera un match amical face à l’Arabie Saoudite. Pour l’occasion, Luis Suarez effectuera son grand retour en sélection. En effet, la dernière fois qu’il a été aperçu avec le maillot de l’équipe sud-américaine sur le dos, c’était durant le Mondial 2014. L’attaquant avait mordu l’Italien Giorgio Chiellini. Il a alors été condamné à plusieurs matchs de suspension. Cependant, le nouveau joueur du FC Barcelone peut désormais participer à des matchs amicaux.
La composition de l’équipe uruguayenne a été donnée ce jeudi sur Twitter. A noter l’absence de son nouveau capitaine, Diego Godin. Ce dernier s’est blessé bêtement à la cuisse lors d’une séance de musculation à l’entraînement.

Source: footespagnol.fr

Par La Rando

Politique des prix du pétrole en Arabie saoudite

Malgré les troubles en Irak, le cours du pétrole s’est effondré, depuis trois mois. Une dégringolade accélérée par la politique des prix de l’Arabie saoudite.

L’Arabie saoudite accélère la chute des prix du pétrole. Une chute de plus de 20% depuis le mois de juin. Avant l’été, le baril de Brent avait grimpé à 115 dollars. La crainte des marchés était alors à son comble face à l’avancée des combattants de l’Etat islamique en Irak.

Depuis, les risques de perturbation de la production irakienne n’ont bien sûr pas totalement disparu mais « les marchés se sont aperçus que l’Irak exportait autant voire plus qu’avant, la majeure partie de sa production étant évacuée par le sud du pays », inaccessible pour l’heure aux jihadistes, explique Francis Perrin, journlaiste à la revue Pétrole et gaz arabes.

Dans le même temps, la Libye a multiplié par cinq sa production depuis qu’un accord politique a été signé avec les rebelles qui bloquaient les terminaux de l’Est. Non seulement l’offre de pétrole reste abondante, mais elle augmente grâce à la révolution des schistes et des sables bitumineux en Amérique du Nord.

Il y a donc un surplus de pétrole par rapport à la demande, qui elle se tasse, en Europe, au Japon et en Chine. Au point qu’au mois d’août, 400 000 barils de pétrole saoudien n’ont pas trouvé preneur, entraînant une baisse des ventes de 4% que pour une fois, la monarchie du Golfe n’avait pas décidé.

C’est pourquoi l’Arabie saoudite a réagi en publiant comme d’habitude ses prix quatre semaines à l’avance, elle a annoncé qu’elle baissait ses tarifs pour garder sa part de marché. Une première baisse des prix annoncée en septembre pour le mois d’octobre, à destination des pays asiatiques, puis une nouvelle baisse annoncée il y a une semaine pour le mois de novembre et destinée, cette fois, à tous ses clients. « A partir de là, on a commencé à parler de « guerre des prix » et la baisse des cours mondiaux s’est accélérée », résume Pierre Terzian de Pétrostratégie. Au point que le ministre saoudien du Pétrole s’est senti obligé de déclarer que, d’après lui, le prix ne tomberait pas en-dessous de 90 dollars le baril. Nous y sommes.

Source: RFI.fr

Par La Rando

Contrat pour Thales en Arabie Saoudite

Thales a annoncé avoir été sélectionné par l’US Air Force dans le cadre d’un contrat portant sur la fourniture à la Garde Nationale d’Arabie Saoudite des aides à la navigation et des systèmes destinés aux tours de contrôle.

‘Les technologies déployées répondront aussi bien aux exigences des procédures de vol aux instruments et de vol à vue pour les aéronefs à voilure fixe et à voilure tournante’, a précisé le groupe, qui souligne également que lesdites technologies ‘seront installées sur deux nouveaux aérodromes du pays : Khashm al- An, à l’est de Riyad, et Dirab, au sud-ouest de la ville’.

En cours de construction, le premier sera équipé d’une piste de 2.000 mètres et d’un taxiway pour avions. Le second est encore au stade du projet et accueillera pour sa part aussi bien des avions que des hélicoptères.

Une fois opérationnelles, ces nouvelles plates-formes accueilleront les 12 Boeing AH-64E Apache, 24 Boeing AH- 6i et 24 hélicoptères Sikorsky UH-60M Black Hawk de la Garde Nationale.

Source: lefigaro.fr

Par La Rando

L’Arabie Saoudite sécurise ses frontières

L’Arabie Saoudite a achevé vendredi 5 septembre de clôturer sa frontière nord. Séparant désormais l’Irak de l’Arabie Saoudite, cette barrière high-tech mesure 900km de long et va de la ville d’Hafar al-Batin à Turraif dans le nord du pays.
Une barrière de cinq couches de métal sépare désormais l’Irak et l’Arabie Saoudite sur 900 kilomètres de frontières. Le roi Abdullah bin Abdulaziz Al Saud a inauguré vendredi 5 septembre la fin de la première phase du projet de sécurisation des frontières saoudiennes. Ce projet commencé en 2006 devra in fine couvrir les 9000 kilomètres des frontières saoudiennes.
Selon les sources officielles, elle est censée « réduire à néant le nombre d’infiltrés, de trafiquants de drogue, d’armes ou de bétail ». Elle arrive aussi à point nommé alors que l’État islamique ne cesse de prendre du poids dans la région, note RFI, même si le danger en 2006 venait davantage d’attentats attribués à Al-Qaïda. Le retrait des troupes irakiennes chiites de la frontière a d’ailleurs poussé l’Arabie Saoudite à déployer plus de 30 000 hommes.
La construction est ambitieuse et les chiffres donnés par l’agence de presse officielle sont impressionnants. La clôture mesure actuellement 900 km, occupe 3397 soldats, huit postes de commande, 32 centres de réponse rapide, trois escouades d’intervention rapide, 38 portes, 78 tours de surveillance, 50 radars et 1450 kilomètres de fibre optique en réseau. Le gouvernement saoudien a chargé EADS de construire cette barrière high-tech, ce contrat a été étendu à l’ensemble des frontières pour 2,2 milliards d’euros en 2009.
Source: L’Express.fr

Par La Rando

Contrat d’armement entre l’Arabie saoudite et la France

L’Élysée a annoncé un contrat franco-saoudien de 3 milliards de dollars d’armement pour le Liban en cours de finalisation. L’objectif est de renforcer la coopération au Moyen-Orient, très instable entre le conflit en Syrie et la progression de l’État islamique. trat franco-saoudien de livraison d’armes au Liban d’un montant de trois milliards de dollars est en voie de « finalisation« , a indiqué l’Elysée, où le président François Hollande a reçu lundi le prince héritier d’Arabie saoudite Salmane Ben Abdel Aziz.

« Le contrat est acquis »

« Le contrat est acquis, il manque juste quelques éléments techniques pour le bouclage. Il ne sera pas signé ce (lundi) soir mais il est en finalisation », a-t-on indiqué dans l’entourage du chef de l’Etat.

Pays « magnifique et en même temps vulnérable« , le Liban a « besoin lui aussi de sécurité au moment où il accueille des milliers de réfugiés« , a déclaré François Hollande, lors d’un dîner officiel en l’honneur de son hôte auquel avaient été conviés quelques 200 invités, parmi lesquels de nombreux chefs d’entreprises.

Le pays du Cèdre accueille notamment plus d’un million de réfugiés syriens fuyant le conflit meurtrier dans leur pays.

« Alors nous avons convenu ensemble, l’Arabie saoudite et la France, d’aider le Liban à la condition aussi qu’il s’aide lui-même, pour sa propre sécurité », a-t-il ajouté, sans citer expressément ce contrat.

Lire la suite sur: Latribune.fr…

Par La Rando

Ces saoudiens qui louent des appartements pour fumer la chicha

Depuis l’interdiction pour raisons de santé par le ministère  de la Santé  de fumer la chicha dans les cafés et autres lieux publics, les jeunes saoudiens ont trouvé une solution alternative en louant des petits appartements pour fumer le narguilé. Ce qui a contribué à une hausse des loyers de plus  30%.  « Il n’y a pas  de lieux à Djeddah pour la jeunesse saoudienne où se se rencontrer entre amis. La plupart des cafés  à Djeddah ont été fermés par les autorités municipales. Par conséquent, j’ai loué un petit appartement avec mon ami pour fumer la chicha et boire  le  thé, ce sont nos  seuls moments de loisirs «   a déclaré,  un  jeune prénommé   Abdul Aziz à la presse saoudienne.

Source: Oumma.com

Par La Rando

Salmane Ben Abdel Aziz, prince héritier d’Arabie saoudite, est en France

Le prince héritier d’Arabie saoudite, Salmane Ben Abdel Aziz, sera reçu lundi par François Hollande à l’Elysée dans le cadre d’une visite dominée par les questions de coopération militaire sur fond de crises au Proche et Moyen Orient.

Le prince héritier aura un entretien avec le président de la République avant un dîner officiel à l’Elysée, en présence de nombreux invités, en particulier des chefs d’entreprises, a-t-on appris dans l’entourage du chef de l’Etat.

Salmane Ben Abdel Aziz, 76 ans, demi-frère du roi Abdallah, avait été nommé prince héritier en juin 2012 à la suite du décès du prince Nayef ben Abdel Aziz.

Selon des spécialistes, outre les crises régionales en cours et d’autres sujets de nature politique, la coopération en matière de défense sera bien sûr abordée, dont la question des armes que la France pourrait fournir au Liban dans le cadre d’un accord de financement saoudien d’un montant de trois milliards de dollars. Une liste a été arrêtée entre les trois parties prenantes, ont ajouté ces sources.

Selon des sources diplomatiques, parmi les autres rencontres prévues pour le prince héritier saoudien à Paris, figure un entretien mercredi avec le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius. Les crises régionales actuelles, y compris l’Irak et la lutte contre l’Etat Islamique, mais aussi la situation en Syrie et au Liban, devraient être au centre des discussions, ont ajouté ces sources.

Cette visite survient deux semaines après l’attaque spectaculaire le 17 août à Paris du convoi d’un autre prince saoudien, Abdel Aziz Ben Fahd, dernier des fils du roi Fahd mort en 2005.
Les malfaiteurs avaient attaqué l’une des voitures de son convoi qui avait quitté l’hôtel Georges V sur les les Champs-Elysées, pour se rendre à l’aéroport du Bourget.
250 000 euros avaient déclarés volés au détriment du prince âgé de 41 ans, ministre déchu multi-millionnaire à la réputation de noceur.

Source: AFP

Par La Rando

Qatar: une mission diplomatique saoudienne

Trois membres de la famille royale saoudienne, dont le prince Fayçal, chef de la diplomatie, se sont rendus mercredi au Qatar pour tourner la page de la crise diplomatique qui a éclaté en mars au sein du Conseil de coopération du Golfe (CCG).

L’Arabie saoudite, Bahreïn et les Emirats arabes unis ont alors rappelé leurs ambassadeurs en accusant Doha d’avoir enfreint la règle qui interdit à tout Etat membre de s’ingérer dans les affaires intérieures des autres.

Les efforts déployés pour rapprocher les positions sont jusqu’ici restés lettres mortes, mais la progression fulgurante des djihadistes de l’Etat islamique en Irak a sans doute bouleversé les priorités diplomatiques.

Le ministre saoudien des Affaires étrangères est accompagné de son collègue de l’Intérieur, le prince Mohamed ben Nayef, et du chef des services de renseignement, le prince Khaled ben Bandar, selon l’agence de se presse saoudienne SPA, qui parle d’une « brève visite amicale ». Sa consoeur qatarie QNA ne fournit pas plus de détail.

Le Conseil a été fondé en 1981 par les pétromonarchies du Golfe (Arabie saoudite, Oman, Koweït, Bahreïn, Émirats arabes unis et Qatar) pour faire face à l’influence croissante de l’Iran.

L’Arabie saoudite, Etat membre le plus important en terme de population, de dimensions et de revenus, s’efforce depuis deux ans de resserrer les liens au sein du CCG pour présenter un front uni face à Téhéran, accusé notamment d’attiser la contestation des minorités chiites dans les pays voisins. Lire la suite sur zonebourse.com…

Par La Rando

Hajj 2014 en Arabie saoudite

L’Arabie saoudite devrait accueillir au moins 1,3 million de pèlerins étrangers à l’occasion du Hajj, dont une majorité de musulmans d’Asie du Sud, a rapporté mardi Arab News.

Selon le ministère du Hajj, les pays d’Asie du Sud enverront le plus grand nombre de pèlerins (410.000 personnes), suivis par les pays arabes (250.000 personnes). Quelque 228.000 pèlerins viendront de pays d’Asie du Sud-Est, dont l’Indonésie et la Malaisie, tandis que 190.000 pèlerins viendront de Turquie et de pays européens, 170.000 de pays non-arabes et 63.000 d’Iran.

Par ailleurs, 150.000 pèlerins d’Arabie saoudite prendront part au pèlerinage du Hajj cette année, dont des expatriés vivant en Arabie saoudite, a indiqué Saad Al-Qurashi, un membre du Comité national Hajj & Umrah, cité par un journal.

Les pèlerins étrangers ne compteront aucun pèlerin de Guinée, du Liberia ou de Sierra Leone, car l’Arabie saoudite a annoncé en avril une interdiction de pèlerinage pour ces personnes afin de prévenir la transmission du virus Ebola.

Source: Agence de presse Xinhua