Conseils randonnée: Les outils de l’orientation
Carte, boussole et préparation de la randonnée . Une vidéo pour les débutants pour conseils d’un accompagnateur en montagne de Haute Savoie.
Carte, boussole et préparation de la randonnée . Une vidéo pour les débutants pour conseils d’un accompagnateur en montagne de Haute Savoie.
Trois corps d’un groupe de six skieurs ont pu être retrouvés dans le massif du Queyras dans les Hautes-Alpes. Portés disparus à la suite d’une avalanche survenu samedi midi, les corps de trois victimes ont été retrouvés dans la nuit de samedi.
Les trois randonneurs faisaient partie d’un groupe expérimenté partis samedi matin pour une randonnée à ski. Les victimes – quatre hommes et de deux femmes – sont de nationalité française et âgés de 50 à 70 ans,
« Les recherches ont été interrompues vers 1 heure du matin cette nuit en raison des conditions climatiques sur place, qui rendaient le travail des secours périlleux.
Leur sécurité n’était pas garantie », a expliqué le Préfet des Hautes-Alpes, Pierre Besnard.
Les recherches doivent reprendre ce dimanche pour les trois autres randonneurs.
Source: zinfos974.com
Un potager en permaculture est conçu de manière à imiter la nature du point de vue de la croissance des végétaux et de l’interaction entre les espèces. Aucun engrais ni pesticide n’est utilisé. Le potager en permaculture est composé de plantes indigènes, exploite la lumière du soleil et les ressources en eau de manière optimale, sur une surface souvent plus réduite que le potager traditionnel.
Lire la suite « Comment démarrer un potager en permaculture »
Comme vous le savez, Paris reste la capitale du tourisme avant Londres. L’arc de Triomphe, la Tour Eiffel, Montmartre, les Champs–Élysées fascinent toujours autant les touristes venus du monde entier. La ville garde fièrement son record de la première destination touristique au monde avec 47 millions de touristes (Londres en compte 35 millions).
Néanmoins, les Britanniques sont aussi la première clientèle étrangère à Paris avec plus de 2,1 millions d’arrivées (en hausse de 5,2%). Suivent les Américains, les Allemands, les Italiens tandis que les Chinois intègrent pour la première fois le top 5. Un classement qui risquent de changer avec les nouveaux riches d’Inde et d’Asie. Randonner à Paris, c’est aussi une autre façon de découvrir et de profiter des paysages et monuments, à son rythme, qu’elle soit soutenu ou lente, de façon détendue, le tout dans le respect des lieux, ce qui ajoute un plus non négligeable selon nous.
Où dormir durant une randonnée à Paris ? Bien entendu, le problème ne se pose pas dans le cadre d’une randonnée d’une journée mais comme vous le savez, Paris ne se visite pas en une seule journée! Si vous prévoyez un itinéraire sur plusieurs jours en revanche, il est important de savoir où faire étape la nuit durant votre parcours. Il existe un moyen très simple pour réserver votre hébergement sur Paris.
Avis aux fans de randonnée citadine, avec tous les monuments et nombreuses places, vous marcherez beaucoup 🙂
De quoi pratiquer une activité physique en se faisant plaisir tout en douceur. Pas besoin de vous échapper à la montagne ou en compagne, fouler le bitume est tout aussi bénéfique pour la santé. A noter que dans une ville comme Paris, le marcheur est devenu piéton. Même de petits trajets peuvent avoir une action efficace sur vous, et sachez que chaque quartier de Paris est un musée à ciel ouvert. Autant de points d’intérêts qui ponctuent une randonnée citadine.
C’est aussi le moyen de locomotion le moins cher, le plus facile à mettre en œuvre sur Paris (avec son super métro) bien entendu 🙂 ).
Et si vous tentiez de lâcher voiture, métro et bus pour faire quelques pas, juste pour voir où cela mène ? Paris réserve souvent des surprises quand on sait l’écouter…quelques kilomètres de rando urbaine qui offrent une autre façon de découvrir la ville.
Le saviez-vous? La Fédération Française de Randonnée a créé des Topo-guides détaillant les itinéraires balisés de plusieurs grandes villes en France, bien entendu Paris mais aussi Lyon, Bordeaux, Marseille, Toulouse, Montpellier, Strasbourg, …
Bienvenue dans la plus belle ville du monde !
La randonnée attire toujours plus de monde en France et ailleurs, notamment des familles, avec le développement d’offres thématiques et d’applications connectées qui modernisent et simplifient cette pratique ancestrale. Mais avant cela, nous vous conseillons vivement de consulter ce blog de l’innovation traitant de l’actualité Digital/ High Tech.
Ces activités en extérieur ont le vent en poupe : dernière illustration en date, une nouvelle chaîne dédiée à l’aventure et à l’outdoor sera lancée sur le câble le 2 février, Trek TV.
Aujourd’hui 18 millions de Français déclarent pratiquer la randonnée et la marche en France, et près d’un Français sur deux (45%) comptent s’y mettre, d’après une étude de la Fédération française de Randonnée à paraître prochainement.
La France est le pays d’Europe qui compte le plus d’adeptes. Ses sentiers bien entretenus et développés et sa diversité attirent également de nombreux étrangers. Suivent l’Angleterre, l’Allemagne, la Suisse, les Pays-Bas, l’Espagne et l’Italie.
Une manne touristique dont les collectivités locales et les régions entendent bien profiter: en France, presque tous les départements ont maintenant un site dédié à la randonnée, avec force cartes et fiches détaillées à télécharger. Des régions comme l’Aquitaine, l’Auvergne ou les Bouches-du-Rhône ont même développé des applications mobiles dédiées.
C’est pourquoi la Fédération française de Randonnée numérise peu à peu l’ensemble des sentiers français dans l’idée de développer rapidement une application à l’échelle nationale. Celle-ci accompagnera le marcheur pour l’aider à programmer sa randonnée en fonction du nombre de kilomètres qu’il veut effectuer, du niveau de difficulté, du nombre de jours, du type d’hébergements…
Selon l’étude réalisée par la Fédération, 29% des pratiquants estiment que les nouvelles technologies pourraient les aider dans leur marche et 13% recherchent même de « nouveaux matériels et technologies ».
« La vie est facilitée avec les outils mobiles, ce n’est plus comme il y a dix ans où il fallait planter des panneaux d’informations tous les dix mètres », remarque Jean de Rivière, du Comité départemental du tourisme Béarn Pays Basque. « Maintenant des contenus intelligents se déploient au fil de la marche, mais seulement si on le souhaite: il n’est pas question de faire une rando le nez dans son smartphone ».
Pour autant, l’arrivée des smartphones depuis dix ans a réellement changé la donne et les accros de la randonnée ne sont plus les mêmes qu’autrefois. « Fini la caricature du gros gaillard poilu avec de grosses chaussures! », note Jean de Rivière.
Séduire toujours plus de familles est l’un des objectifs principaux de la profession. « Dire à ses enfants qu’ils vont devoir marcher sept heures pour admirer la nature et les paysages, cela vire souvent au cauchemar », témoigne Cécile Rougier du Comité départemental du tourisme Béarn-Pays Basque. D’où l’idée de faire de l’enfant le guide du parcours, avec une dimension ludique et des fiches adaptées.
En quête de sens
La randonnée aujourd’hui, ce n’est plus simplement marcher d’un point A à un point B, les professionnels du secteur « guident les gens et donnent du sens à leur pratique », estime Caroline Tchepelev, du Comité départemental du tourisme des Hautes Alpes.
C’est pourquoi les thèmes fleurissent: randonnées avec un âne, avec des chiens de traîneau, ou observation du ciel, des oiseaux, des bergers avec leurs moutons en transhumance…Plus pointu encore: partir marcher avec un naturopathe pour découvrir les vertus des plantes, puis les cuisiner ou les transformer en crèmes hydratantes. Les plus téméraires iront même barouder de nuit.
« Les gens veulent de plus en plus évoluer en liberté, faire leur parcours seuls, sans guide, mais avec du confort », note Lionel Habasque, PDG de Terres d’Aventure. Pour marcher tranquille et léger, on peut même se faire porter ses bagages entre les étapes, et mettre les pieds sous la table en arrivant avec sa place déjà réservée au restaurant.
Ce sport nature se pratique « partout et sous toutes les formes », poursuit Cécile Rougier, du Béarn-Pays Basque.
Une nouvelle clientèle a émergé ces dernières années, qui recherche une « déconnexion totale », sans smartphone ni wifi, et prête à dormir dans des tentes ou des granges comme nos aïeux d’antan, note Lionel Habasque.
Après une première tentative avortée, le 20 décembre dernier, Kilian Jornet a cette fois réussi son pari de cette fin d’année 2014 : battre le record d’ascension et de descente de l’Aconcagua (6 962m). Son chrono : 12h49.
Il avait annoncé qu’il n’en resterait pas là. « Je considère cette tentative avortée comme un gros entraînement en altitude », avait-il expliqué sur les réseaux sociaux. Stoppé par le vent vendredi 20 décembre lors de sa première tentative de record d’ascension et de descente de l’Aconcagua, Kilian Jornet n’aura donc pas attendu plus de quatre jours avant de repartir à l’assaut du plus haut sommet d’Amérique (6 962m), ce mardi 23 décembre 2014.
Et cette deuxième tentative fut la bonne. Son objectif était donc d’établir le meilleur temps référence sur l’ascension et la descente du colosse argentin. Problème : deux personnes se « disputaient » jusque là le record : le Portugais Carlos Sa avec un chrono de 15h42 en 2013, reconnu par les autorités, et l’Espagnol Jorge Egocheaga qui affirme avoir réussi l’aller retour en 13h46 en 2006, sans que cela soit reconnu officiellement. Finalement, Kilian Jornet a mis tout le monde d’accord, bouclant lui ce parcours en… 12h49 !
Pour réussir son pari, le Catalan a suivi la voie normale, c’est-à-dire qu’il est parti d’Horcones, à 2950 m d’altitude, et a donc avalé 3 962 mètres de dénivelé positif avant de parvenir au sommet… puis de redescendre. Longueur du parcours : 59,85 kilomètres.
Première étape à Plaza des Mulas après 23 km et 1 400 m de dénivelé positif avalés en 3h15. C’est ici que la majorité des expéditions débutent l’ascension pouvant durer jusqu’à 4 jours. Kilian lui, s’arrête 15 minutes pour boire et manger : « Mon idée était de monter tranquillement, en essayant de me préserver pour la descente. J’ai donc décidé de m’arrêter, de me reposer et de récupérer pour la partie suivante. »
L’ascension se poursuit et les premières difficultés se font ressentir vers 6 500 mètres pour le coureur espagnol : « À partir de là, j’ai commencé à ressentir l’altitude. J’avais des problèmes d’équilibre et je n’arrêtais pas de glisser sur la neige gelée. J’ai donc décidé d’avancer doucement, en sachant qu’il me restait encore un long chemin à parcourir. »
Il atteint finalement le sommet après 8h45 d’effort et s’accorde une petite pause de quinze minutes : « J’en ai profité pour reprendre des forces avant la descente. Le sommet, c’est le point culminant de tout le travail accompli les jours précédents. J’ai également pu apprécier la vue incroyable que l’on a de là-haut de la face sud de l’Aconcagua ! »
Une descente qui ne sera pas une partie de plaisir même si le record est à la clé : « J’ai souffert de l’altitude jusqu’à Plaza de Mulas. Je continuais à perdre l’équilibre : on aurait dit que mes muscles ne voulaient pas suivre ma tête et me faisaient trébucher. En arrivant au camp de base, je me suis arrêté pendant vingt minutes. J’ai mangé et je me suis bien hydraté. Je me suis senti mieux. De là, il ne me restait que de la descente jusqu’à Horcones, où j’ai enfin pu courir avant de finir en marchant un bon moment. »
Malgré ces difficultés il s’empressait de relativiser : « Après tout, c’est aussi de ces moments de joie et de souffrance que l’on se souvient ».
Comme à son habitude, Kilian Jornet a également très rapidement partagé la nouvelle sur les réseaux sociaux, commentant ainsi son exploit : « Un rêve qui devient réalité. Merci à tous ! ».
Rappelons que cette tentative se déroulait dans le cadre du projet Summits of my Life du Catalan qui l’a déjà vu établir le record du Mont-Blanc en juillet 2013, puis celui du Cervin un mois plus tard, et celui du Mt McKinley en juin dernier.
Reste le Mt Elbrouz, qui lui a résisté en septembre 2013… Et l’Everest, auquel il ne s’est pas encore attaqué.
Source: lepape-info.com
À l’approche de l’hiver, la même question trotte dans la tête de grand nombre de coureurs… « Dois-je couper mon entraînement et laisser passer l’hiver? » Lire la suite « Pourquoi faut-il faire de la course à pied en hiver »
Depuis la crise des subprimes en 2008 et le renflouement des larges banques par la réserve fédérale (FED), rien ne permet d’affirmer que la situation économique mondiale a été assainie. Tout au contraire, un ensemble d’indicateurs laissent penser que le monde bancaire est au bord de l’abîme, « the edge of chaos» selon l’expression du spécialiste des systèmes Christopher Langton. L’effondrement économique est un terme assez dangereux et trompeur. Découvrez la vidéo de ce spécialiste de la survie.
Un petit aperçu de ma sortie de 4 jours dans les Pyrénées en solitaire en vallée d’Ossau. La vallée d’Ossau est une vallée des Pyrénées françaises, dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Aquitaine. La vallée d’Ossau est une des trois grandes vallées de montagne du Béarn. Elle s’étire géographiquement du nord au sud sur une cinquantaine de kilomètres depuis Rébénacq (à quinze kilomètres de Pau) jusqu’au col du Pourtalet (à la frontière espagnole). Elle est formée de deux cantons : en partie basse vallée se trouve le canton d’Arudy avec un paysage de piémont pyrénéen. En partie haute-vallée se trouve le canton de Laruns qui offre de la basse, de la moyenne et de la haute-montagne. Elle est traversée par le gave d’Ossau et dominée par le pic du Midi d’Ossau qui culmine à 2 884 mètres.
Randonnée nordique sur les Hauts Plateaux (Vercors). La réserve naturelle nationale des Hauts plateaux du Vercors (RNN74) est une réserve naturelle nationale située au cœur du Vercors en Rhône-Alpes. Créée en 1985 sur une superficie de 17 000 ha, elle englobe 10% du territoire du Parc naturel régional du Vercors et constitue la plus vaste réserve naturelle terrestre de France métropolitaine.
Le territoire de la réserve naturelle se trouve dans les départements de l’Isère et de la Drôme. Il concerne les communes de Châtillon-en-Diois, Chichilianne, Corrençon-en-Vercors, Gresse-en-Vercors, La Chapelle-en-Vercors, Laval-d’Aix, Romeyer, Saint-Agnan-en-Vercors, Saint-Andéol, Saint-Martin-de-Clelles, Saint-Michel-les-Portes et Treschenu-Creyers.
L’altitude s’échelonne de 1 050 m à 2 341 m au sommet du Grand Veymont.
La réserve naturelle n’abrite aucun habitat permanent ni aucune route à grande circulation : seules des routes forestières la parcourent et ne sont utilisées que par les gestionnaires de la réserve naturelle.