Par La Rando

Amna Binhendi des Emirats

Elle est jeune, elle est jolie et dirige un empire commercial à Dubaï. Amna Binhendi est à la tête de l’entreprise éponyme, fondée par son père, et qui possède des dizaines de boutiques de luxe et des restaurants dans la plupart des malls de l’Emirat. Et ce n’est pas fini car Bin Hendi prévoit d’investir 400 millions de Dh (108 millions de $) pour en ouvrir de nouvelles à Oman, Bahrain, Abu Dhabi, Qatar, Arabie Saoudite et Koweït.
Au total, la société gère 139 boutiques (Calvin Klein, Brioni, Hugo Boss, Zilli, Shanghai Tang, …) et plusieurs dizaines de restaurants dont Café Havana, Second Cup, China Times, ou Bella Dona. Les prochaines ouvertures sont prévues au mois d’août au Dubaï Mall, un nouveau centre commercial avec des franchises originales comme Cacao Sampaka de Barcelone (chocolats), le restaurant asian-fusion Duck ou Joe’s Café de Londres.

Amna Binhendi est très fière de son concept de restaurants « Japengo » (9 à Dubaï et 1 à Bombay) qui propose tous les types de cuisine du japonais au français en passant par l’iranien et le libanais. Une réussite telle qu’elle devrait en ouvrir plusieurs aux Etats-Unis et au Japon.

Le groupe possède également une chaîne de télévision, une agence de publicité, une maison d’édition

Pour assurer son développement, l’entreprise familiale envisage de s’introduire à la Bourse de Dubaï avant la fin de l’année.

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Fatima Al Zaabi rénove Microsoft PowerPoint

Fatima Al Zaabi a reçu une invitation de la Maison Blanche et a également été approché par Google et Microsoft pour vendre son produit. A 33 ans, l’innovatrice émirienne Fatima Jasem Al Zaabi a en effet reçu une invitation à dîner à la Maison Blanche du président américain Barack Obama en reconnaissance de son utilisation innovante de Microsoft PowerPoint pour créer des dessins architecturaux. Lire la suite « Fatima Al Zaabi rénove Microsoft PowerPoint »

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Lubna Al Qasimi des Emirats, femme la plus puissante du monde arabe

Le remaniement ministériel aux Emirats arabes unis n’est pas passé inaperçu, et pour cause. Au moins deux ministères innovants ont été créés: du Bonheur et de la Tolérance, dirigés par des femmes -elles sont donc huit au total au gouvernement. Parmi elles, l’inébranlable Sheikha Lubna Al Qasimi, qui fût la Lire la suite « Lubna Al Qasimi des Emirats, femme la plus puissante du monde arabe »

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Bonus record pour le PDG de Google

Presque 200 millions de dollars. C’est la somme que vient de recevoir sous forme d’actions le PDG de Google, Sundar Pichai. Cette part variable de sa rémunération vient récompenser les excellents résultats obtenus par l’entreprise en 2015, dont le cours a augmenté de 45 % l’an dernier. Ce montant fait du nouveau boss de Google – il en a pris la tête en octobre dernier après la réorganisation de ses activités désormais coiffées par la holding Alphabet – le patron en exercice le mieux payé des Etats-Unis. Comme l’explique le quotidien britannique the Guardian, Sundar Pichai, 43 ans, possède un portefeuille évalué à 650 millions de dollars en actions Alphabet, soit 14 440 fois le salaire médian aux Etats-Unis, selon une étude récente du Crédit suisse.

Le PDG de Google ne pourra cependant pas toucher dans l’immédiat le produit de ces 273 328 actions de classe C – sans droits de vote. Il devra patienter quatre ans pour les revendre et ce, à la condition qu’il soit encore à son poste à cette date. Leur valeur est d’ailleurs légèrement redescendue depuis le jour où elles lui ont été octroyées, le 2 février, selon le document transmis à la SEC, le gendarme boursier américain. Elles valent 188 millions de dollars aujourd’hui. En 2014, il avait déjà perçu un premier package d’une valeur actuelle de 236 millions de dollars, qu’il pourra revendre à partir de 2018.

Pactole

La fortune de ce natif de Chennai (ex-Madras), dans le sud de l’Inde, rentré chez Google en 2004 après avoir étudié dans l’Université voisine de Stanford où il avait décroché une bourse reste cependant très loin de celle des deux fondateurs de Google, Larry Page et Sergey Brin, et de son ex-PDG, Eric Schmidt. Au cours actuel de l’action, les deux premiers disposent respectivement de 34,6 et 33,9 milliards de dollars et le troisième de près de 3 milliards de dollars.

Sundar Pichai n’est pas le seul à avoir touché le pactole après les excellents résultats de la multinationale de Mountain View l’an dernier. Cofondatrice et ancienne dirigeante fondatrice de Bebop Technologies, Diane Greene qui dirige les activités de «cloud» de Google a reçu l’équivalent de 42,8 millions de dollars en actions. Un somme qui vient d’ajouter aux 148 millions de dollars reçus lors de la revente de sa société à Google l’an dernier. La nouvelle directrice financière, Ruth Porat, débauchée quant à elle de la banque d’affaires Morgan Stanley en 2015 a reçu pour sa part un bonus d’une valeur de 38,3 millions de dollars.

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