Par La Rando

Flying Aces Abu Dhabi

Ferrari World a inauguré une nouvelle attraction baptisée « Flying Aces » qui reproduit les mouvements d’un vol en biplan. Sensations fortes assurées !Le Ferrari World situé sur l’ile de Yas à Abu Dhabi, a inauguré sa nouvelle attraction, le « Flying Aces», le 24 février dernier. Les mouvements de l’attraction reproduisent les sensations d’un vol en biplan. Lire la suite « Flying Aces Abu Dhabi »

Par La Rando

Dubai aux Emirats Arabes Unis

Le 2 février 1971, sept émirs se réunissent dans le petit immeuble d’Union House pour signer un traité constituant un seul pays à travers une fédération. D’emblée, Dubaï va se distinguer en étant l’émirat le plus occidental. Un émirat où les femmes conduisent et où l’alcool est servi dans les bars et les hôtels. Depuis, Abou Dhabi a réduit son écart, mais à l’époque, c’était encore un petit émirat rigoriste comme l’est toujours Sharjah. Le musée de Dubaï donne d’ailleurs une idée de la montée en puissance d’un pays qui, avant la découverte du pétrole, n’avait pour ressource que la pêche côtière sur des rafiots en bois, appelés dhows. Seuls les souks reconstitués auxquels on accède en bateau des quais de la Creek rappellent les senteurs du Moyen-Orient, notamment le souk aux épices, tenu par des commerçants à 80 % iraniens.

Un temple de la consommation
Bref, Dubaï est un temple de la consommation, surgi en plein désert, et l’alignement de buildings, qui font en moyenne 300 m de haut, ressemble fort au skyline des villes américaines. « Ici, les gens tricotent des immeubles », entend-on au milieu des grues. Sans parler de l’entrecroisement d’autoroutes urbaines qui font plus penser à la Californie qu’à l’Arabie Saoudite. « Les Saoudiens sont plus riches que nous, mais jaloux de notre liberté », glisse notre guide, Nabil. D’autant que la tour de Burj Khalifa, la plus haute du monde (800 m), fait la fierté de la ville. Et cela même si elle a été rebaptisée du nom du prince héritier d’Abou Dhabi venu renflouer l’émirat de Dubaï après la crise financière de 2008. Et que Dubaï s’est largement diversifié dans l’immobilier, le tourisme et les services financiers.

D’autant que sa production pétrolière ne représente que 5 % des trois millions de barils-jour que la Fédération met sur le marché.

Un hub touristique
Avec le doublement annoncé de la taille de son aéroport, Dubaï est en train de devenir un formidable hub touristique Europe et Asie, porté par la vitalité des compagnies aériennes Emirates et Etihad, qui commandent des Airbus à tour de bras. Un flot de visiteurs se déverse toute l’année dans les grands hôtels hypersécurisés, comme l’Atlantis, logé dans une île en forme de palme (The Palm) accessible comme beaucoup d’autres lieux par un métro aérien. Beaucoup de riches familles de la région, qui ressemble quelque peu à une poudrière, ont d’ailleurs acheté des résidences secondaires dans cette cité devenue une valeur refuge. Tout est en effet possible à Dubaï, malgré les conditions climatiques extrêmes l’été, qui en font un spot surtout fréquentable durant l’hiver européen, car la température n’excède pas 28 ºC. On peut y faire du bateau, à condition d’avoir un skipper, du golf, assister à des courses de voitures, comme sur le circuit du Ferrari World à Abou Dhabi, seulement distante d’une centaine de kilomètres. Voire même du parachute ascensionnel, les Émiriens ayant installé des souffleries en plein désert ! Ou encore du ski, comme en témoigne la piste artificielle incrustée dans l’un de ces malls (galerie commerçante) où les habitants de Dubaï aiment se réfugier pour fuir la chaleur. Des spectacles nautiques sont organisés le soir, notamment au pied de la tour Burj Khalifa au centre de Dubaï, appelé à devenir une île une fois le canal de Jumeirah achevé. À l’évidence, Dubaï n’est plus un mirage mais une ville du show off, où l’objectif reste l’Exposition universelle de 2020.

Source:  Le Télégramme

Par La Rando

Central Veterinary Research Laboratory de Dubaï

Une poule qui peut donner naissance à des canards. Science-fiction ? Non, la dernière trouvaille des scientifiques du Central Veterinary Research Laboratory (CVRL) de Dubaï (Emirats arabes unis).  Selon le Times, à l’origine de l’information, les chercheurs du CVRL expliquent avoir injecter des cellules germinales de canard – contenant l’ADN nécessaire à la production de sperme et d’oeufs – dans l’appareil reproducteur d’un embryon d’une poule.

Arrivé à l’âge adulte, l’animal se serait avéré capable de produire du matériel génétique de canard. Les scientifiques, qui travaillaient à l’origine à accroître la fertilité des femelles de l’espèce, comptent désormais employer ce même protocole pour permettre aux poules de pondre des oeufs d’autres espèces. Pour Mike McGrew, un scientifique du Roslin Institute (Midlothian ; Ecosse), dont les équipes travaillent avec les chercheurs de Dubaï, l’objectif est désormais d’ « utiliser ce système pour permettre la prolifération d’espèces en danger ou même potentiellement de ramener à la vie » certaines d’entres-elles ».

20 219 espèces en danger

Le 15 mars dernier, des chercheurs de l’université de Nouvelles-Galles du Sud (Australie) avaient annoncé avoir permis la naissance d’une grenouille plate à incubation gastrique dite « rheobatrachus silus », une espèce éteinte depuis 2001. Pour ressusciter le batracien, les scientifiques avaient introduit de l’ADN prélevé sur des embryons de la fameuse grenouille, congelés depuis les années 1970, dans les ovules d’une espèce similaire. La particularité de cette grenouille, disparue de la surface de la planète depuis plus de 13 ans, est d’avaler ses oeufs et de les conserver dans son estomac durant la période de gestation.

L’UICN (Comité français de l’Union internationale pour la conservation de la nature) estime aujourd’hui à 20 219 le nombre d’espèces menacées dans le monde. La France figure parmi les dix pays hébergeant le plus d’animaux menacés avec un total de 1 013 d’entres-eux présents sur son territoire.

Source: LeParisien

Par La Rando

Fouilles archéologiques à Sharjah

Les campagnes de fouilles archéologiques continuent à Sharjah, notamment avec une mission belge de l’Université de Gand sur le site de Mleiha.La mission a permis de découvrir des restes de constructions résidentielles et diverses collections de poteries et d’autres objets. Des fouilles étaient aussi réalisées par une mission conjointe de l’Université de Tübingen en Allemagne et le département des Antiquités de Sharjah.

Cette mission conjointe a poursuivi ses travaux sur un site datant de l’Age du Bronze dans le Wadi Al Hillou, l’un des sites archéologiques les plus importants de la région et un ancien centre d’exploitation minière du cuivre brut et de moulage des lingots de bronze. Les découvertes ont permis de mettre à jour des fonderies de minéraux. Une mission archéologique du Bryn College aux Etats-Unis continue aussi de travailler sur le site Muweilah, datant de l’âge du fer. L’excavation du site coïncide avec les travaux d’autres fouilles à Tal Al Abraq, l’une des plus grandes jamais entreprise dans la région. La mission a commencé la fouille de la région Hamriyya, où les signes archéologiques indiquent l’existence de ruines datant de l’Age du Fer.

Une mission archéologique locale du département des antiquités de Sharjah poursuit aussi son travail sur les différents sites des régions centrales et orientales de l’émirat.
La section des antiquités du département de la culture et de l’information de Sharjah annonce par ailleurs d’autres missions archéologiques par plusieurs universités à travers le monde à partir du printemps de cette année selon Khaleej Times.

Par La Rando

France 24 ne perce pas dans le Monde arabe

La directrice adjointe de la rédaction en charge des contenus en arabe, Agnès Levallois, a quitté France 24 suite « à un différend stratégique entre elle et la direction sur le devenir de l’antenne arabe », a-t-on appris jeudi auprès de la chaîne d’informations en continu. Le départ de la journaliste, qui travaillait pour France 24 depuis son lancement en décembre 2006, s’est fait « d’un commun accord », selon la direction de la chaîne française d’information internationale. Lire la suite « France 24 ne perce pas dans le Monde arabe »