L’Everest depuis le Tibet
Ce n’est pas le plus beau mais c’est le plus haut, le plus démesuré, le plus fantasmé. « Un prodigieux croc blanc jailli de la mâchoire du monde », écrivait l’alpiniste Georges Mallory , disparu un jour de juin il y a quatre-vingt-sept ans, derrière un nuage, à plus de 8 000 mètres. Si l’ascension de l’Everest Lire la suite « L’Everest depuis le Tibet »
