Par La Rando

Une station de métro en or en Arabie saoudite

La nouvelle station sera située sous les gratte-ciel du quartier financier King Abdullah pour devenir le principal centre de correspondance dans la ville.Ayant une superficie de plus de 20 000 mètres carrés elle sera décorée de marbre et de dorures. Elle sera climatisée, tout comme les autres stations de métro à Riyad.
La station doit être ouverte à la fin de 2013 dans le cadre de la première tranche du métro de Riyad.
Source

Par La Rando

Taux d’obésité aux Emirats arabes unis

Depuis 1971, le niveau de vie aux Émirats Arabes Unis (ÉAU) ne cesse d’augmenter. Dans cette région, la croissance est rapide, ce principalement grâce aux secteurs pétroliers et gaziers. Désormais, le taux de croissance a tendance à ralentir et à prendre un rythme convenable : depuis 2010, le taux de croissance tourne autour de 3,2 % par an.
Mais qu’en est-il du mode de vie ?
Le mode de vie des Émiriens est principalement tourné vers le divertissement. En effet, le secteur touristique contribue, aujourd’hui, à une grande partie du PIB. Il s’y est développé la culture de manger à l’extérieur plus que de manger chez soi. En 2009, 28 % des Émiriens, mangeaient au moins une fois par semaine à l’extérieur.
De plus, du fait de la mondialisation, la culture monde, provenant des Etats-Unis, a réduit l’influence culinaire traditionnelle des ÉAU, la malbouffe règne dans cette région. Ensuite, le changement rapide de mode de vie se caractérise par une diminution des activités physiques.
Qui est touché par ces changements rapides de mode de vie ?
Un tiers des personnes dans les Émirats arabes unis sont obèses et les trois quarts sont en surpoids. La fréquence de l’obésité chez les jeunes Émiratiens est deux à trois fois plus élevée que la norme internationale récemment publiée.
À  Abu Dhabi, près d’un tiers des écoliers sont obèses ou en surpoids, près de 10 % des moins de 5 ans sont anémiques selon une étude de 2010. Les écoliers des ÉAU sont 1,8 fois plus obèses que ceux des Etats-Unis.
On observe l’émergence de maladies chroniques chez les adultes comme les maladies cardiovasculaires, et le diabète de type 2 est une maladie courante chez les enfants. Les ÉAU affichent le deuxième taux de diabète le plus élevé au monde (20 %).
Lire la suite sur Katibin

Par La Rando

Ajman Free Zone

L’Autorité de la Zone Franche d’Ajman a organisé une initiative intitulée «Une tasse de café » destinée à faciliter la communication entre les clients, les investisseurs et les autorités de la zone franche.
L’objectif de l’initiative était d’encourager les autorités à répondre aux besoins changeants des clients et de comprendre leurs souhaits pour améliorer et développer les opérations dans la zone.
Obeid Al Matrooshi, Directeur du Département des opérations de l’Ajman Free Zone, déclare que l’activation de ces initiatives conduit à des relations renforcées avec la clientèle.
Rafia Al Suwaidi, directeur du département des relations avec les clients, estime que l’initiative contribue à l’amélioration de la satisfaction du client. – Agence de Pesse des Emirats, WAM

Par La Rando

Trafic d'éléphant aux Emirats arabes unis

Une cargaison de 259 défenses d’éléphants venues d’Afrique a été saisie aux Emirats arabes unis, a annoncé mardi l’ONG International Fund for Animal Welfare (Fonds international pour le bien-être des animaux), dans un communiqué publié en Afrique du Sud. Les défenses ont été découvertes à Dubaï dans un conteneur en provenance du port kenyan de Mombasa, qui était censé contenir des meubles en bois. La saisie remonte au 1er mai mais n’a été signalée que mardi, selon l’ONG. «  Cette saisie est un nouvel acte d’accusation pénible pour l’Afrique de l’Est, qui est maintenant reconnue comme une plate-forme pour le commerce illégal de l’ivoire  », a déclaré dans le communiqué James Isiche, directeur régional du Fonds pour l’Afrique de l’Est. Lire la suite sur lesoir.be…

Par La Rando

Un Qatari sur le sommet de l'Everest

DOHA: Sheikh Mohammed bin Abdullah Al Thani, est devenu le premier Qatari à avoir gravit le plus haut sommet du monde, l’Everest avec une altitude de 8.848 m. Avec une équipe appelée « Arabs With Altitude », Cheikh Mohammed a été accompagné tout au long de ses deux mois de voyage par ses amis Raed Zidan, premier Palestinien à avoir fait le sommet du mont Everest, Masoud Mohammad, Raha Muharrak, la première Saoudienne et la plus jeune arabe au sommet du mont Everest, et le vidéaste Elia Saikaly. Ils essayaient de lever 1 million de dollars pour des projets d’éducation au Népal.
Selon Essa Al Mannai: « C’est en effet, un moment de fierté pour nous tous. En atteignant le sommet du mont Everest, le cheikh Mohammed a pris Rota vers de nouveaux sommets, et s’est propagé de la mission et la vision de Rota, que chaque individu a la possibilité de faire une différence dans leur communauté et dans le monde et aussi en utilisant le sport comme outil d’éducation, La réalisation de Sheikh Mohammed est l’occasion mémorable pour nous,  en tant qu’ambassadeur de la marque Rota, Sheikh Mohammed et son équipe ont présenté le message Rota, vers l’éducation pour tous .. Aujourd’hui, demain, toujours « , a ajouté Al Mannai. Toutes les expéditions d’alpinisme de Sheikh Mohammed sont reliées par un noble mission de sensibilisation et de charité. Sa mission est dédiée à repousser ses limites pour atteindre les sept plus hauts sommets des sept continents du monde.
Les explorations d’aventure sont devenues les priorités de Cheikh Mohammed, encourageant les destinations touristiques écologiques pour l’environnement et le voyage à la découverte des cultures de nouvelles destinations dans le plein respect pour les cultures et des populations.
Ci-dessous, une vidéo de la première saoudienne à avoir gravit le sommet du mont Everest:

Pour Sheikh Mohammed, l’alpinisme est une passion. En Septembre 2011, il a gravi le sommet du Mont-Blanc. Il a également grimpé deux fois les sommets du mont Kilimanjaro en Mars 2010 et Novembre 2011. De même, en Décembre 2012, il a atteint le sommet du mont Vinson, le plus haut sommet de l’Antarctique, le 28 Août 2012, il a atteint le mont Elbrouz le point le plus élevé en Europe.
En Octobre 2012, il a gravi le sommet du Mont Kosciuszko, en Australie et le 5 Janvier 2013, il a atteint le sommet du mont Aconcagua, le plus haut sommet de l’hémisphère occidental.

Par La Rando

L'Islam de France et le Qatar

Vous venez de publier un ouvrage « L’énigme du Qatar ». Pouvez vous nous expliquer les raisons qui vous ont poussé à publier cet essai?
Son écriture a été motivée par deux raisons principalement. D’abord, j’avais une volonté de mettre à profit mon expérience et mon expertise sur le Qatar, pays dans lequel j’ai commencé à me rendre dès 2004. A l’époque, j’avais bénéficié d’un stage de langue dans le cadre de ma licence d’arabe et de mon cursus à Sciences Po-Aix. En 2006, j’ai validé mon mémoire de Master II consacré aux paradoxes de la politique étrangère de l’émirat. Depuis, je m’y suis rendu à plusieurs reprises dans le cadre de mes travaux universitaires. Ensuite, eu égard à l’incroyable dimension qu’a pris le Qatar dans le débat public français et constatant la pauvreté de la production littéraire sur ce pays, j’ai décidé de me lancer dans l’aventure d’un essai qui puisse donner au public un cadre d’analyse qui satisfasse sa curiosité. Depuis maintenant quelques années, le Qatar suscite de fortes interrogations, inquiète, interroge et interpelle. Le but du livre est donc d’apporter des éléments de réponses à ces légitimes interrogations.
A quoi est due  cette « obsession de la reconnaissance » du Qatar que vous évoquez dans votre ouvrage? 
Il faut toujours replacer ce pays dans sa dimension géopolitique. Le Qatar fait partie de la catégorie des « micro-États » et la sensation d’une fragilité extrême est exacerbée dans un contexte régional du Golfe caractérisé par une instabilité chronique. Du fait d’une conscience aiguë de cette vulnérabilité, les dirigeants Qataris ont souhaité compenser ces faiblesses intrinsèques par une politique de la visibilité. Pour Doha, il y a un impératif de s’afficher pour exister et tous les leviers sont convoqués pour donner de la substance à cette stratégie : les médias, le sport, la diplomatie et même l’aspect religieux.
Quelle est la part de vérités et de fantasmes sur l’implication du Qatar dans les pays comme le Mali ou la Syrie?
Il faut effectivement faire la part des choses entre ces deux théâtres d’opération. Pour ce qui est du Mali, il n’y a aucune preuve qui étayerait une implication des autorités Qataries au côté des groupuscules jihadistes du Nord-Mali. Même s’il y a eu un engagement d’une ONG humanitaire de l’émirat dans la région de Gao, personne ne peut affirmer que cette présence humanitaire a servi de couverture à un financement direct des groupes armés. D’ailleurs, la DGSE (services extérieurs) tout comme Alain Chouet (ancien responsable des services français) confirment qu’il n’y a aucune preuve de cette collusion. De même, l’intérêt géopolitique du Qatar de venir armer des groupes qui sont en conflit ouvert avec la France est contradictoire avec la volonté de Doha de renforcer son partenariat stratégique avec Paris. Pour toutes ces raisons, je pense que sur cette question, on est davantage dans l’ordre du fantasme que d’une analyse objective des tenants et aboutissements du conflit.
Par contre, sur le terrain syrien, le Qatar appuie directement les forces de l’opposition dont il est l’un des principaux sponsors. Après un début de flottement dans la position de l’émirat, Doha a très vite pris la tête du clan anti-Assad au sein de la Ligue arabe. Ce retournement d’alliance (pendant de nombreuses années, le Qatar et la Syrie partageaient des liens forts) est née de la conjonction de deux facteurs. D’abord, le calcul a très vite été fait du côté de Doha que les dictatures illégitimes issues des indépendance étaient à bout de souffle et qu’il fallait désormais se placer du bon côté de l’histoire. Ensuite, la perception d’un « péril chiite », de plus en plus menaçant, a poussé le Qatar à développer un partenariat stratégique fort avec les poids lourds de la région que sont la Turquie et l’Egypte (avec, mais dans une moindre échelle, l’Arabie saoudite). C’est dans ce cadre de réflexion qu’il faut restituer l’engagement du Qatar qui se traduit sur les plans diplomatique, médiatique et financier. Mais attention à ne pas hypertrophier ce soutien : du fait du « veto » américain sur l’acheminement d’armes sophistiquées à l’opposition, la livraison de matériel militaire qatari à destination de l’opposition reste cantonnée à des équipements légers qui ne permettent pas d’inverser le rapport de forces sur le terrain.
Lire la suite sur mon BLOG le Monde…

Par La Rando

L'argent et la stratégie du Qatar

LiveStar Tv Présente : Nabil Ennasri , Spécialiste du Qatar , et auteur du livre  » L’Enigme du Qatar  » nous parle de cet Emirat trés ambitieux. Eclairage dans cette vidéo de la stratégie de diversification économique de l’Etat du Qatar :

Par La Rando

Recette: Mousse au chocolat

100 g de chocolat noir, 8 blancs d’œufs, 2 c. à soupe de jus d’orange, quelques zestes d’orange, quelques gouttes de jus de citron
Faites fondre le chocolat au bain-marie. Ajoutez-y le jus d’orange et 1 pincée de zeste d’orange. Montez les blancs d’œufs en neige ferme avec un peu de jus de citron. Incorporez les blancs délicatement au chocolat fondu. Versez dans des coupes individuelles. Décorez de zestes et placez au réfrigérateur 1 heure environ. Servez frais.

Source

Par La Rando

Prévenir l'accident vasculaire cérébral

Une douleur brutale dans la poitrine pouvant durer une quinzaine de minutes à plusieurs heures, s’accompagnant d’une sensation d’oppression dans la poitrine, d’une irradiation de la douleur, de sueurs froides, nausées, vomissements et essoufflement, évoquent un infarctus du myocarde devant amener à aller le plus rapidement possible à l’hôpital.
Concernant l’AVC (accident vasculaire cérébral), les signes d’alerte sont : engourdissement brutal, perte de sensibilité, voire paralysie du visage, d’un bras, d’une jambe ou d’un côté du corps, vertige, troubles de l’élocution, de la vue, maux de tête intenses, vomissements…

Source

Par La Rando

Eduquer ses enfants

Oublier que le rapport d’éducation n’est pas un rapport de séduction. L’éducation repose sur un système de règles qui doivent permettre à l’enfant de comprendre la différence entre ce qui est autorisé et ce qui est interdit et, par extension, entre le bien et le mal.  Or, une règle n’en est une que si elle est assortie d’une sanction en cas de transgression. Mais si la sanction est le geste par lequel le parent vient réaffirmer la règle, cela sous-entend que celle-ci ait été posée au préalable comme étant un impératif.

Faut-il offrir (beaucoup) de jouets ?

Il est préférable d’éviter de succomber à la tentation d’acheter des jouets trop complexes pour l’âge de votre enfant. Il ne faut pas également tomber sur le syndrome du « trop-plein de jouets« . Mieux vaut favoriser des jouets de qualité. Et si vous en avez trop, redistribuez à votre entourage. Visez, dans un premier temps les membres de votre famille, des amis, des voisins, les choix sont larges. Bref, vous ferez toujours des heureux.

Le discours parental

Le discours parental doit être sans ambiguïté : par exemple, plutôt que «je souhaiterais que tu répondes poliment», préférez «je te demande d’être poli». L’intonation, les regards et la gestuelle doivent aller dans ce même sens. Dire «je t’interdis de sortir» avec la même voix que «je te propose de rester avec nous», ou sourire en affirmant «ce que tu as fait est dangereux», c’est faire perdre toute crédibilité à l’injonction.

Ne sachant plus s’il a affaire à un souhait, à une demande ou à un impératif, l’enfant désobéit sans le savoir, et se sentira injustement puni. A tout âge, les privations sont les sanctions les plus efficaces. Mais pas n’importe quelle privation : il faut viser des activités stériles (télé, jeux vidéo, sorties…) et non celles qui lui permettent de s’épanouir ou qui lui sont vitales (sport, art, nourriture). Le recours à des punitions qui engagent le corps : ranger, nettoyer…

Pourquoi ?

Parce que le but d’une punition est de soulager l’enfant d’une culpabilité ; il sait qu’il a mal agi et s’en veut. En fournissant un effort, il se débarrasse physiquement du poids de cette culpabilité. Il se «dépense» pour «payer sa dette». Ces punitions sont surtout valables pour les enfants de plus de 5 ans. Concernant les plus petits, l’attention et la présence de leurs parents étant leur principale satisfaction, il leur suffit d’en être privé quelques minutes pour se sentir très punis !. Aux punitions classiques s’ajoutent toutes celles que les parents sauront inventer. L’essentiel est que la punition reste rare. Elle ne doit venir qu’en ultime recours, quand le rappel de la règle et les explications n’ont pas suffi. Sinon, le risque est d’entrer dans un rapport de conflit permanent où le parent sera contraint d’aller sans cesse dans la surenchère punitive.