Par La Rando

Veolia s’occupera de la zone franche Jebel Ali à Dubaï (Jafza)

Etihad ESCO, en partenariat avec National Bonds Corporation, confie à Enova – coentreprise de Majid Al Futtaim et Veolia – le plus grand projet de rénovation énergétique des Emirats Arabes Unis et du Moyen-Orient. Objectif d’ici 6 ans : réduire de 31% les consommations d’électricité et d’eau de la zone franche Jebel Ali à Dubaï (Jafza). Lire la suite « Veolia s’occupera de la zone franche Jebel Ali à Dubaï (Jafza) »

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Zones franches de Dubaï

Dr. Mohammed Al Zarooni, vice-président et directeur général de Dubai Silicon Oasis Authority (DSOA) et directeur général de Dubai Airport Free Zone, a donné un aperçu sur le concept fondamental et le développement futur des zones franches de Dubaï aux délégués participant à la 15e Conférence Amérique latine à Ponce, Porto Rico, qui s’est déroulée du 23-25 oOctobre.
S’adressant à un auditoire d’élite dont les membres de l’Association nationale des zones franches et l’Association des zones franches des Amériques, Dr Al Zarooni a souligné le succès du concept de la zone franche de Dubaï et sa contribution au PIB de Dubaï.
Dr. Al Zarooni a déclaré : «Les 22 zones franches de Dubaï ont joué un rôle important au cours des trois dernières décennies dans la stimulation de trafic portuaire, contribuant 75 pour cent au total des exportations de l’émirat de Dubaï. Ces zones franches ont également permis d’attirer plus de 19.000 entreprises qui offrent des emplois à plus de 226.000 employés. » Il a souligné que les zones franches globalement jouent un grand rôle dans la croissance économique mondiale pour soutenir et faciliter l’investissement étranger, la promotion du commerce international et les exportations, la création d’emplois et l’économie nationale.
«Selon les statistiques, il y avait en 1975 un total de 665 zones franches dans le monde entier, et aujourd’hui, le monde compte plus de 3.500 zones franches qui offrent près de 60 millions d’emplois. L’augmentation du nombre reflète le succès des zones franches dans le monde, » affirme Dr Al Zarooni.
Dr Zarooni a en outre parlé de l’ascension fulgurante de l’émirat en tant que puissance économique du 21ème siècle et de plaque tournante commerciale de premier plan au Moyen-Orient. « Dubaï a beaucoup à offrir à l’économie mondiale grâce à son infrastructure stratégique et une offre de services de haute qualité pour les investisseurs à travers l’adoption de la technologie à haut débit et des procédures propice aux affaires.»
La Conférence latino-américaine a permis d’examiner les tendances du marché et les pratiques commerciales internationales des zones franches, réitérant l’importance de développer des outils concrets à la croissance et de la nécessité d’établir des relations commerciales durables pour favoriser la croissance économique des pays qui cherchent à mettre en place des zones franches. – Agence de Presse des Emirats, WAM

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Créer sa boîte aux Emirats arabes unis

Zones franches, infrastructures internationales… Les Emirats arabes unis attirent les entreprises européennes. Mais ce mouvement stratégique à un coût : 70.000 euros minimum pour une entreprise située hors zone franche. Avec une nouvelle zone franche industrielle adossée à un port de conteneurs en eau profonde flambant neuf, un terminal aéroportuaire en construction qui devrait tripler la capacité actuelle à 30 millions de passagers en 2017, des chantiers immobiliers alimentés dans 4 ans en énergie nucléaire, et bientôt le deuxième plus grand mall du Moyen-Orient, Abu Dhabi a engagé sa diversification. Nouvelle zone franche financière d’ici fin 2013! Capitale d’une fédération de sept Emirats, dont celui de Dubaï, cet ville émirat, qui couvre 87 % du territoire et vit de son pétrole, ouvre d’ici à la fin de l’année une autre zone franche, financière cette fois. « Toutes les zones franches de Dubaï – il y en a une trentaine – ont eu du succès, même pendant la crise », affirme Sébastien Henin, gestionnaire de portefeuille à la banque The National Investor d’Abu Dhabi. « Abu Dhabi veut se lancer sur ce créneau et s’ouvrir aux PME mais la différence, c’est que beaucoup de choses sont encore à l’état de projet ». Lire la suite sur LesEchos.fr