Par La Rando

Prix Unesco-Sharjah aux Emirats

Le Prix Unesco-Sharjah pour la culture arabe 2013 a été décerné jeudi soir à Paris à l’intellectuel et universitaire algérien Mustapha Chérif, lors dune cérémonie présidée par la directrice générale de l’Unesco, Irina Bokova.
L’essayiste et ancien ministre algérien a été déclaré en mars dernier lauréat du Prix Unesco-Sharjah pour la culture arabe pour ses « contributions, trente ans durant, à la promotion de la culture arabo-musulmane et au dialogue interculturel ».
Dans une allocution prononcée devant un parterre composé essentiellement de personnalités diplomatiques, dintellectuels et de représentants de médias arabes et occidentaux, Mme Bokova a rendu un vibrant hommage au lauréat algérien qui, a-t-elle affirmé, a « toujours œuvré où la culture d’ouverture se faisant ressentir ».
« L’intellectuel Mustapha Chérif a hautement contribué, à travers des ouvrages dont les titres parlent d’eux-mêmes, à la compréhension du monde arabo-musulman. J’en suis profondément reconnaissante », a indiqué la directrice générale de l’Unesco. Lire la suite sur Libe.ma

Par La Rando

Prix Sharjah pour la culture arabe aux Emirats arabes unis

Les Marocains Yassine Abou Alhaytham et Mohcine Al Wakili ont remporté, respectivement, le premier prix du concours de la nouvelle et du roman dans le cadre du Prix Sharjah pour la culture arabe, dont les résultats ont été annoncés mercredi.
Le nouvelliste Abou Alhaytham s’est vu attribuer son prix pour sa collection « En marge du récit », les deuxième et troisième prix ayant été enlevés par l’Irakien Houssine Mohamed Charif et le Syrien Hassan Mohamed Dib al Awad.
Dans la catégorie du roman, le Marocain Mohcine Al Wakili a remporté le 1er prix pour son roman « Les vents d’août ». L’Egyptien Mohamed Taher Ali Manaa s’est vu attribuer le 2ème prix pour son roman « La terre des incantations », tandis que le 3ème prix a été partagé par le Mauritanien, Mohamed Fadel Ibrahim, auteur de « Teranga », et la Koweïtienne Bassima Ali al Anzi pour son oeuvre « Soulier noir sur le trottoir ».
Plus de 280 écrivains de plusieurs pays arabes ont participé à ce concours, qui comportait les catégories poésie, nouvelle, du roman, théâtre, littérature de l’enfant et critique littéraire.
 
MAP