Par La Rando

Fiançailles entre un prince marocain et une princesse des Emirats arabes unis

Un projet de fiançailles entre un grand prince de la famille royale marocaine et l’une des petites filles du défunt Cheikh Zaïd Ibn Sultan Al-Nahyan, était au centre des discussions dans certains milieux émiratis, lors de la visite privée effectuée par le Roi Mohammed VI aux Emirats Arabes Unis en avril dernier.

Selon l’information rapportée par l’hebdomadaire Al Ousboue, ces rumeurs auraient enflé, principalement quand le prince Moulay Rachid avait rejoint le Roi Mohammed VI aux Emirats Arabes Unis.

Le prince Moulay Rachid avait été accueilli en grande pompe par la famille princière émiratie lors de son arrivée à Abou Dhabi, indique la même source.

Le frère du monarque marocain qui fêtera son 43e anniversaire le 20 juin prochain, est l’un des plus célèbres princes célibataires au monde.

Au Maroc, des rumeurs annoncent souvent ses fiançailles à une fille du peuple ou encore à la fille d’une famille proche du sérail. Célibataire endurci, le prince Moulay Rachid est l’homme des relations publiques du palais, qu’il représente aux quatre coins du monde.

source: Bladi.net

Par La Rando

Une princesse saoudienne, mauvaise payeuse en France

Saisis mi-mars par la justice française, des biens de la fantasque princesse saoudienne Maha al-Sudaïri seront bientôt vendus aux enchères à Paris. Objectif : tenter de rembourser ses nombreux créanciers. Un épilogue dans l’affaire de la plus mauvaise payeuse des boutiques de luxe parisiennes ?
Il était une fois une princesse qui (on n’est jamais parfait) oubliait souvent de régler ses achats. L’histoire de Maha al-Sudaïri n’a donc rien à voir avec un conte de fée mais tout avec un compte d’apothicaire – ou de joailler. Car la cliente « en or » préfèrait laisser derrière elle des ardoises… très salées.
Quand elle débarque à Paris, la troisième épouse répudiée du défunt prince héritier d’Arabie Saoudite, Nayef ben Abdelaziz al-Saoud, a l’habitude de ne pas lésiner sur les moyens. Lors de son dernier passage dans la capitale française, entre le 22 décembre 2011 et le 17 juin 2012, Al-Sudaïri pose ainsi ses valises au palace Shangri-La, dans le 16e arrondissement de Paris. Pendant six mois, la quinquagénaire mène une vraie vie de nabab : un étage de 41 chambres à elle seule, entourée d’une suite composée d’une soixantaine de personnes, tout à ses petits soins.
Seulement voilà, quelques jours avant la fin de son séjour, le 31 mai 2012, sur la pointe de pieds, la princesse tente de quitter le lieu sans payer sa note qui s’élève – tout de même – à 6 millions d’euros. Mais elle est vite démasquée par le personnel de l’hôtel. Un émissaire de l’ambassade saoudien est alors dépêché sur place pour calmer le jeu, avant qu’un des fils de la princesse ne règle la facture. L’incident est clos.

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