Par La Rando

Réunion de pays membres de l’OPEP à Qatar

DOHA, Qatar – Douze pays ont accepté de participer le mois prochain à une rencontre pour discuter d’un éventuel gel de la production de pétrole, a fait savoir jeudi le ministre du Pétrole du Qatar. Le Qatar avait annoncé plus tôt ce mois-ci qu’il accueillerait le 17 avril des pays membres de l’OPEP ou non pour discuter de la question. Les discussions visent à renflouer le cours du brut, qui est passé de 100 $ US le baril en 2014 à environ 40 $ US ces jours-ci. Lire la suite « Réunion de pays membres de l’OPEP à Qatar »

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Les pays membres de l’Opep vont se réunir à Doha

Le secrétaire général de l’Opep Abdallah el-Badri a indiqué que 15 ou 16 pays participeraient le 17 avril aux discussions sur un gel de la production à Doha. Tous les pays membres de l’Opep ont été invités à une rencontre à Doha, la capitale du Qatar, consacrée au gel de la production de pétrole, annonce l’agence Bloomberg. Lire la suite « Les pays membres de l’Opep vont se réunir à Doha »

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L’Arabie saoudite, premier exportateur mondial de pétrole

L’Arabie saoudite, premier exportateur mondial de brut, juge le marché pétrolier «dans la meilleure situation possible» et ne voit pas de raison d’abaisser le plafond de production de l’OPEP, a déclaré lundi le ministre saoudien du Pétrole Ali Al-Nouaïmi. «Le marché est dans la meilleure situation possible. La demande est excellente, la croissance économique s’améliore», a déclaré à des journalistes M. Nouaïmi à son arrivée à Vienne pour la 164e réunion de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) mercredi.

«Pourquoi voulez-vous que l’Arabie saoudite abaisse quoi que ce soit?», a-t-il demandé, en réponse aux journalistes qui l’interrogeaient sur la possibilité de réduire le plafond collectif de production du cartel, fixé à 30 millions de barils par jour (mbj) depuis décembre 2011.

La possible augmentation des exportations iraniennes de brut n’est pas une raison nécessaire pour baisser le plafond puisque «la demande est là», a-t-il ajouté.

L’Iran et les grandes puissances ont conclu le 24 novembre à Genève un accord temporaire sur le programme nucléaire controversé de Téhéran, qui a permis la suspension de sanctions, mais pas celles sur les exportations pétrolières du pays.

À court terme, les exportations iraniennes pourraient légèrement augmenter vers l’Asie, en raison de la levée de l’interdiction d’assurer les livraisons iraniennes pour les assureurs européens, estiment les experts.

À moyen terme, si l’ensemble des sanctions était levé, l’Iran pourrait fournir rapidement un million de barils par jour supplémentaires, selon des estimations d’analystes.

Les sanctions ont fait chuter les exportations iraniennes de brut de 2,5 mbj en 2011 à 1,1 mbj pendant les neuf premiers mois de l’année 2013, selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE).

M. Nouaïmi a également estimé que le prix du brut était actuellement «idéal». «Le prix est décidé par le marché. Nous sommes satisfaits quel que soit (le prix) que le marché détermine», a-t-il ajouté.

L’OPEP prévoit que la demande mondiale de brut progresse légèrement l’année prochaine, pour s’établir à 90,82 mbj, contre 89,78 mbj en 2013.

Mais la demande pour son brut devrait diminuer d’un peu plus de 300 000 barils, estime le cartel.

Plus pessimiste, l’AIE envisage une demande en baisse de 900 000 barils par jour pour le pétrole de l’OPEP en 2014 par rapport à 2013.

Le cartel fondé en 1960, qui compte actuellement douze États du Moyen-Orient, d’Afrique et d’Amérique latine, pompe environ un tiers de la production mondiale de brut.

Source: Lapresse.ca