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L'Algérie expulse la fille de Kadhafi vers Oman

Aïcha Kadhafi, colérique ? L’Algérie, qui avait accepté d’accueillir la fille de l’ex-chef libyen mort en octobre 2011, a décidé de la renvoyer, rapporte le « Daily Mail ». Après avoir vécu plus d’un an dans une résidence d’Etat, la Libyenne de 37 ans serait au Sultanat d’Oman, ajoute « The Telegraph ».
« Elle avait fini par rendre l’Algérie responsable de ses problèmes, et elle avait commencé à déclencher des incendies dans la maison », témoigne une source du gouvernement algérien dans les colonnes du quotidien britannique. « Les étagères de la bibliothèque prenaient régulièrement feu lorsqu’elle s’attaquait au personnel armé qui était chargé d’assurer sa sécurité », ajoute cette même source. Lire la suite sur Sene Web

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Le Premier ministre algérien au Qatar

La visite du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, à Doha a été ponctuée, hier, de la conclusion d’importants accords d’investissement, dont celui portant réalisation d’un complexe sidérurgique à Bellara (Jijel) d’un montant de 2 milliards de dollars.

L’Algérie et le Qatar viennent de signer 4 accords d’investissement dans les domaines de l’industrie, de l’énergie et des mines. La conclusion de ces accords a été annoncée, hier, à l’occasion de la visite de travail officielle effectuée par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, à Doha (Qatar). «Cette visite de travail de M. Sellal au Qatar a été ainsi ponctuée par la signature de plusieurs accords de nature à renforcer la coopération économique entre les deux pays», rapporte l’APS en citant l’entourage de la délégation algérienne. Le premier accord porte sur la réalisation d’un complexe sidérurgique à Bellara, dans la wilaya de Jijel.
Annoncé depuis plusieurs mois, ce projet d’une capacité de production à terme de 5 millions de tonnes/an devra enfin se concrétiser. Ce complexe devra être réceptionné en 2017. L’investissement coûtera 2 milliards de dollars dans une première phase et permettra de produire 2 millions de tonnes d’acier par an. Une production qui va, selon les termes du contrat signé, s’élever progressivement pour atteindre les 5 millions de tonnes. Regroupés en société mixte, le capital du futur complexe sera détenu à 51% par l’entreprise Sider et le Fonds national de l’investissement (FNI), et à 49% par Qatar International, une joint-venture entre Qatar Steel et Qatar Mining.
Ce projet devrait générer quelque 2000 emplois et augmenter la production nationale de produits sidérurgiques, d’autant que les importations de ce produit stratégique pour l’économie algérienne sont annuellement d’environ 10 milliards de dollars, soit 20% du montant global des achats à l’international de l’Algérie. Les deux pays ont également confirmé leurs intentions de créer des projets de partenariat dans le domaine de l’énergie. Trois accords ont été ainsi signés. L’un porte sur l’acquisition de deux méthaniers de transport de GNL d’une capacité de 117 000 m3 chacun avec un coût global de 450 millions de dollars. La SNTM-Hyproc, filiale de Sonatrach, représente la partie algérienne, alors que le Qatar est représenté par les sociétés Qatar Petroleum et Qatar Gas. En vertu de cet accord, l’Algérie exploitera le premier méthanier pour une durée de 20 ans. Le second navire fait encore l’objet de concertations entre les deux parties.
Les deux pays veulent aussi asseoir un partenariat dans la pétrochimie. Dans ce sens, un second accord portant sur la réalisation de deux usines d’engrais a été conclu.
La première usine fabriquera l’acide phosphorique à Oued Kebrit (Souk Ahras) et la seconde qui sera implantée à Hadjar Essed produira de l’ammonium. Le projet algéro-qatari de Oued Kebrit porte sur la réalisation d’un complexe d’engrais phosphatés et azotés. L’Algérie est représentée dans cet accord par les filiales Menal et Asmidal, relevant du groupe Sonatrach. Le Qatar et la Norvège représentent le partenaire étranger. Les deux usines dont le coût de réalisation s’élève à 3,5 milliards de dollars fourniront, dès leur entrée en service (prévue en 2017), plus de 1200 emplois directs. Le troisième et dernier accord porte sur la réalisation d’une unité d’ammoniaque pour la production d’acide nitrique, de nitrate d’ammonium et d’engrais azoté d’un coût global de 2 milliards de dollars.
L’accord a été signé par la filiale Asmidal (pour l’Algérie) et le groupe norvégien Yara. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, qui a été reçu, hier, par le prince héritier de l’Etat du Qatar, Cheikh Tamim Ben Hamad Al Thani, est chargé aussi de représenter le président Bouteflika au 24e sommet de la Ligue arabe qui se tiendra, aujourd’hui et demain, à Doha.
APS, Madjid Makedhi

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Le Qatar finance un projet en Algérie

Le Qatar disposé à financer la réalisation d’un projet sanitaire en Algérie. Le Qatar s’est déclaré lundi disposé à financer sous forme de don un projet sanitaire en Algérie, la nature du projet devant être déterminée par les autorités sanitaires algériennes. L’annonce a été faite lors d’une audience accordée par le ministre de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière, M. Abdelaziz Ziari, à l’ambassadeur Qatari à Alger, indique un communiqué du ministère de la Santé. Lors de l’entretien, l’ambassadeur du Qatar à Alger, M. Abdallah Nacer Abdellah Al Hamidi, a remis « les documents du don octroyé par l’Emir de l’Etat du Qatar au profit des structures sanitaires de la wilaya d’El Bayadh ».
Le don comprend notamment un scanner et des ambulances tout terrain, précise la même source. Les deux parties ont réaffirmé à cette occasion « leur volonté de relancer la coopération bilatérale dans le domaine de la santé sur de nouvelles bases », ajoute le communiqué.
Source: Algérie Presse Service
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Algérie: 4ème puissance économique arabe

Selon l’institut internationale des Finances. L’Algérie s’est classée comme 4e plus grande économie arabe, selon l’Institut international des finances(IIF) basé à Washington (USA).En effet avec un produit intérieur brut (PIB) de 197 milliards de dollars, elle vient juste derrière l’Egypte avec  257 milliards de dollars de PIB. En haut du tableau du rapport établi par l’IIF, en première place arrive l’Arabie Saoudite avec 640 milliards de dollars suivie des Emirats arabes unis en seconde position avec 375 milliards de dollars. Le Qatar  avec 182 milliards de dollars et le Koweït avec environ $ 178 milliards se classent respectivement à la 5e et 6e place, toujours selon l’IIF.Alors que le Qatar et le Koweït restent les premier et deuxième pays  riches arabes suivis des Emirats arabes unis.
Source.

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Emirates Airlines en Algérie

Emirates Airlines a confirmé l’importance de sa nouvelle liaison directe entre Dubaï et Alger. Adel Al Redha, vice-président exécutif de l’ingénierie et des opérations d’Emirates Airlines, a tenu à remercier les autorités algériennes pour lui avoir fourni toutes les facilités nécessaires et faire en sorte que ce lancement soit une réussite totale.
«Nous sommes certains que ce vol quotidien apportera un plus à l’économie algérienne en facilitant la libre circulation des approvisionnements et des exportations vers les marchés traditionnels de l’Algérie et qu’il ouvrira de nouveaux marchés aux produits algériens et qu’il permettra d’attirer davantage de touristes et d’investisseurs», a déclaré Adel Al Redha lors d’une conférence de presse organisée par Emirates Airlines hier à Alger.
Dès avant-hier, Alger est devenue ainsi la 130e destination du réseau d’Emirates Airlines, l’une des compagnies aériennes qui enregistre la croissance la plus rapide au monde, et la 22e destination en Afrique. Emirates Airlines avait organisé la veille au Sheraton Club des Pins une grande soirée pour célébrer son nouveau vol. Plus de 300 personnes parmi lesquelles des responsables de l’aviation civile et des professionnels du tourisme et du voyage.
La soirée fut animée par des artistes algériens comme BB Blues, Mohamed Rouane et la chanteuse Amel Wahby. Le vol Emirates EK 757 quittera chaque jour Dubaï à 8h45 et atterrira à l’aéroport international Houari-Boumediene à Alger à 13h30. Le vol de retour, quant à lui décollera d’Alger à 15h35 pour atteindre l’aéroport international de Dubaï à 00h55.
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El Watan: L'Algérie et son partenariat avec le Qatar

Entretien réalisé avec le Journal algérien El Watan paru le 14 janvier 2012. L’Algérie vient de signer 8 accords de coopération et partenariat avec le Qatar. Ce dernier n’étant pas une puissance économique ou industrielle mondiale en-dehors du secteur gazier, quel est l’intérêt pour l’Algérie, qui elle dispose d’une importante manne financière ?

Le Qatar comme l’Algérie est à la recherche d’une diversification de son économie à travers des investissements à l’étranger dans des pays qui offrent suffisamment d’opportunités et de stabilité dans ce contexte de crise économique et de remous politiques dans les pays arabes. Or, si vous prenez la carte des pays arabes aujourd’hui, il est difficile de trouver un pays qui conjugue stabilité politique relative et perspectives économiques prometteuses. L’Algérie est dans cette situation. Par ailleurs, le Qatar possède d’importantes réserves gazières et l’Algérie est un important acteur sur ce marché. Face à la concurrence mondiale sur ce secteur, notamment de la Russie ou de l’Iran, il est stratégique de faire des alliances. C’est donc un intérêt commun que se noue ce partenariat.
-Le Qatar joue un rôle de plus en plus important sur la scène économique et diplomatique mondiale. Qu’est-ce qui lui confère aujourd’hui cette importance ?
Le Qatar s’est engagé depuis la prise du pouvoir du Cheikh Hamed en 1995 dans une politique d’influence stratégique, du Soft Power, celle de l’utilisation de l’image à des fins d’agenda politique. Il est certainement aujourd’hui l’Etat qui fait le meilleur usage de cette diplomatie du rayonnement, du prestige et de l’implication tous azimuts. On est dans une stratégie élaborée qui a été vulgarisée dans le Qatar National Vision 2030 et qui doit faire du pays l’un des moteurs à la fois du monde arabe, voire de la scène internationale à cet horizon.
Le Qatar est assis sur une réserve de gaz exceptionnelle (3e réserve mondiale), il exporte quasiment un million de barils/jour de pétrole et il a donc des perspectives de croissance impressionnantes. Il a un réservoir financier qui lui donne les moyens de ses ambitions, lesquelles consistent à rayonner le plus possible.
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Médicaments anticancéreux en Algérie

Une unité spécialisée dans la fabrication de médicaments anticancéreux sera réalisée prochainement au niveau du pôle de recherche de Sidi Abdallah (ouest d’Alger) par le groupe Saidal, a annoncé lundi son PDG, Boumediene Derkaoui.Le groupe pharmaceutique compte élargir son activité à la fabrication de médicaments anticancéreux et les études de réalisation de cette unité d’oncologie seront finalisées en juin 2013, a précisé M. Derkaoui lors d’une conférence-débat, au forum du quotidien Liberté. Lire la suite « Médicaments anticancéreux en Algérie »

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Bilan économique et social 2012 en Algérie

Une fois n’est pas coutume. Cette fois  pour introduire le sujet sur le bilan annuel économique et social 2012, rompons un l’instant avec la sinistrose, en commençant par deux bonnes nouvelles. Le FMI a classé l’Algérie pays le moins endetté des vingt pays du Moyen Orient et Afrique du Nord (MENA) dans son rapport 2012 sur les perspectives économiques de la région  MENA. Ce n’est pas rien quand on sait que les productions d’hydrocarbures des pays du Golfe sont autrement plus importantes que la nôtre (4 à 10 fois) et leur population plus modeste pour les uns (Arabie Saoudite) et négligeables pour d’autres (Qatar). Deuxième chiffre encourageant : l’Algérie boucle l’année 2012 en étant dans le top 20 du classement FIFA des nations en foot- ball. Mais c’est tout ; car le reste de nos classements internationaux (corruption, climat des affaires) est médiocre hormis l’indice du développement humain (IDH) pour lequel l’Algérie est positionnée  au milieu du tableau (96e sur 187 pays). Tout l’intérêt d’un  bilan annuel est de savoir si  l’action datée des pouvoirs publics et des partenaires sociaux a été de nature à inverser les tendances négatives mesurées notamment par les classements internationaux ou à l’inverse en  a consolidé le trend.
Revue de quelques faits saillants
D’abord un dernier mot sur la sphère monétaire et financière. Le bon classement en matière de dette extérieure que j’ai donné doit être relativisé par un autre indicateur. Il s’agit de l’augmentation de la dette intérieure qui est passée de 20% du PIB en 2009 à 25,7% en 2010 (source : CIA World fact book du 1er janvier 2011). Il sera intéressant de voir les chiffes de 2011 et 2012 surtout lorsqu’ils seront corrélés à ceux de l’évolution préoccupante de l’inflation en 2012. Affaire à suivre d’autant que la Banque d’Algérie, par la voix de son gouverneur, nous promet le recul de cette dernière en 2013. Dans la sphère réelle, les résultats ont encore été contrastés cette année. Si les secteurs du BTPH et de l’agriculture ont renoué avec une croissance significative, bien qu’encore moyenne, l’industrie reste dans les eaux basses avec moins de 5% de contribution au PIB et moins de 1% de croissance sectorielle annuelle. En comparaison, les taxes sur les importations avaient déjà mieux fait en 2010 avec une contribution au PIB de  6,1%. Quant au secteur des hydrocarbures, bien qu’il maintienne le niveau de sa contribution au financement du développement économique et social, il continue de  tirer néanmoins  vers le bas la croissance globale du pays. Des actions de redressement pour ces deux secteurs ont été initiées dès le deuxième semestre 2012. Pour le secteur des hydrocarbures, le projet d’amendement de la loi sur les hydrocarbures a été introduit au Parlement. Son objectif est de stimuler l’investissement international qui a pris du retard dans la recherche et la production d’hydrocarbures conventionnels et de mettre en place un  cadre plus incitatif pour la production d’hydrocarbures non conventionnels.
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Algérie: réunion ministérielle du Conseil arabe économique et social

Le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, a pris part à Ryadh aux travaux de la réunion ministérielle du Conseil arabe économique et social consacrée à la préparation du sommet arabe économique et social prévu dans la capitale saoudienne, a indiqué dimanche un communiqué du ministère du commerce.L’ordre du jour des travaux de cette rencontre a porté sur le suivi des décisions des deux précédents sommets tenus à Koweït et à Charm El-Cheikh en 2009 et 2011, ainsi que sur l’examen des moyens de relancer l’investissement dans les pays arabes (projet de la Convention unifiée sur les investissements des capitaux arabes dans les pays arabes). Lire la suite « Algérie: réunion ministérielle du Conseil arabe économique et social »

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Or en Algérie

La monnaie rapport social traduisant le rapport confiance Etat/citoyens est un signe permettant les échanges ne créant pas de richesses. Au contraire, la thésaurisation et la spéculation dans les valeurs refuges comme l’or, certaines devises ou certaines matières premières sont nocives à toute économie. Selon les statistiques du FMI de 2009, l’Algérie disposait, courant 2009, de 173,6 tonnes d’or avec une valeur en termes de lingots de 6,07 milliards de dollars, soit 4,3% des réserves Lire la suite « Or en Algérie »