Par La Rando

Immobilier Espagne: ces Algériens qui investissent

Les Algériens ont acquis pas moins de 2000 biens immobiliers en Espagne en l’espace de deux années. Cela fait d’eux l’une des communautés étrangères qui investit le plus dans ce secteur. C’est ce qu’a révélé, ce mercredi, le quotidien arabophone «Echourouk» qui s’appuie sur un document de l’entreprise spécialisée en immobilier «Quick Telecom», qui effectue périodiquement des études sur le marché en Espagne. Ainsi, pour les années 2012 et 2013, les Algériens ont été nombreux (près de 2000) à acquérir un logement, une villa ou un autre type de bien immobilier sur la terre

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Algérie: Le prix de l’immobilier

Les prix de l’immobilier flambent à Alger et dans toutes les grandes villes du nord du pays. A la Fédération nationale des agences immobilières (FNAI), on évoque une moyenne de prix de 140.000 DA le m2 pour les grandes villes du pays.

Déraisonnables, les seuils de prix atteints sont la conséquence d’une conjugaison de facteurs : déficit structurel de l’offre de logement, multiplication des intermédiaires, recyclage des sur liquidités du marché informel et dysfonctionnement du dispositif de contrôle fiscal.

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Par La Rando

Délai des impayés aux entreprises en Algérie

“On ne peut pas concevoir des cahiers des charges ‘standard’ à tous les types de projets de construction”, a affirmé l’intervenant, avant de dénoncer la complicité à occulter les malveillances, délibérées ou involontaires, instituée à tous les niveaux. La décision d’impartir un délai d’un mois aux maîtres d’ouvrages et aux entreprises de réalisation des projets de développement a été prise mercredi passé par le wali, lors de la réunion qu’il a convoquée dans le but de s’enquérir des préoccupations des entrepreneurs et des organismes techniques concernés par l’exécution des programmes de développement de la wilaya.  Des préoccupations dont les plus importantes ont été mises en exergue par l’intervention du représentant de l’association des entrepreneurs de la wilaya. Ainsi, aura-t-on noté, une grande défaillance réside dans l’élaboration des cahiers des charges.
Souvent, pour ne pas dire toujours, ces documents de base ne mentionnent pas les détails dans le descriptif des travaux à exécuter. Une défaillance dont la conséquence se traduit par l’improvisation de tâches, de moyens ou de matériaux, demandés à la dernière minute à l’organisme réalisateur. “On ne peut pas concevoir des cahiers des charges ‘standard’ à tous les types de projets de construction”, a affirmé l’intervenant, avant de dénoncer la complicité à occulter les malveillances, délibérées ou involontaires, instituées à tous les niveaux.

Sur le même ton, il dénoncera les “casseurs de prix’’ qui, en quête d’argent facile, usent du subterfuge du bradage des offres, rien que pour arracher les marchés pour lesquels ils ne tarderont pas à “implorer’’ des réévaluations afin qu’ils puissent s’en sortir financièrement. À défaut de cahier des charges concis et précis dès le départ, la corporation se plaint du nombre exagéré de modifications introduites, parfois improvisées, au cours de la mise en œuvre des travaux de construction. Dans son intervention, le wali a rappelé que “l’administration n’est pas une épicerie et, par conséquent, elle n’a pas vocation à dégager des économies sur les enveloppes financières que l’État lui a accordées pour le développement”. Ainsi a-t-il interpellé lesdits “casseurs de prix’’ à user de prix en vigueur sur le marché. “Pour un projet de cent milliards, ne me soumissionnez pas à 60 ou  70 milliards, car à ces cours bon marché, c’est au détriment de la qualité que vous pensez réaliser le projet. Mais ne me demandez pas 150 milliards non plus !’’, avait-il souligné en substance.  Autre préoccupation soulevée par la corporation, le règlement, toujours différé de plusieurs mois, voire des années, des avenants.  Un retard préjudiciable, en raison duquel un entrepreneur, harcelé chaque fin de semaine par ses employés, aurait contracté un AVC (accident vasculaire cérébral) dont il ne s’est pas remis depuis plus de deux ans.

Source: Liberte Algerie

Par La Rando

Compétition régionale des jeunes entrepreneurs en Algérie

Après le succès de 2012 le programme Injaz El Djazair revient cette année avec le même défi. Celui de se classer premier pour la seconde année consécutive à la compétition régionale des jeunes entrepreneurs qui se déroulera le 3 décembre prochain au Koweit. En cette occasion, une conférence de presse a été organisée le mercredi 27 novembre à l’hôtel Hilton (Alger), en présence des membres du conseil d’administration d’Injaz El Djazair, et son nouveau partenaire BOEING, représenté par Bernard J.Dunn, directeur régional pour l’Afrique du Nord et la Turquie.

Injaz El Djazair, présidé par Sofiane Chaib, a organisé des compétitions nationales pour primer les meilleurs projets réalisés par des étudiants dans le cadre d’une formation organisée par cet organisme.

Injaz El Djazair s’est rapprochée de douze écoles et universités algériennes, (ESI, EPAU, ENP, ENST, HEC, ENSH, ENSSMAL, INELEC, USTHB, UST Oran, MBD M’Sila), et « abordé » 660 étudiants. Quatre prix ont été décernés ce mercredi. Le premier, à l’instar de l’année dernière avec « Algreenia », est revenu à des polytechniciens. Il s’agit de « Assurair », une entreprise de production et de commercialisation de détecteurs intelligents de gaz dangereux.

« Assurair » est composée de quatre étudiants de l’école nationale de polytechnique, Allouche Lotfi et Ben Abdellah Khoudja Sami, tous deux en 4ème année (spécialité en génie industrielle), Boushaba Abdelouahab et Djema Walid, 5ème année (spécialité automatique). Ce dernier, chargé de la communication de l’entreprise, a expliqué, à « Liberté », le choix du projet « nous fabriquons et commercialisons des détecteurs intelligents de gaz toxiques CO, monoxyde de carbone, qui est dangereux par ses caractéristiques, et en plus il est très méconnu des algériens, et c’est lui qui cause le plus de décès ».

 

Leur projet, qui est d’ailleurs d’actualité, consiste à détecter et donner d’une manière instantanée le taux de monoxyde de carbone dans la maison « Il permet de signaler s’il y a un dépassement de la limite donnée par les normes européennes, c’est-à-dire qui représentent un certain risque sur la santé de la personne », indique Abdelouahab Boushaba, chargé des études de marché.

Finalisé au bout d’environ trois mois de travail, avec l’aide d’un coach de la société Schlumberger, le premier produit est « enfin opérationnel », affirment les « néo-entrepreneurs ».

Le projet est innovateur selon les membres d’«Assurair», en se basant sur la norme européenne, car « cette norme elle spécifie l’effet d’une certaine quantité d’eau sur la santé humaine, et de là on définie des limites à ne pas dépasser. Nous avons intégré quelques nouveautés qui permettent un diagnostic précoce des défauts et des problèmes avant qu’ils ne se produisent. C’est tout un service qui va tout au long de l’utilisation du produit, et c’est aussi un moyen de rester en contact avec le consommateur, et pour cela nous avons créé des logiciels », explique Walid Djema. Pour leur choix, ils ont ajouté qu’il n’existait pas encore de normes algériennes.

« Assurair », équipe lauréate de la seconde Compétition Annuelle des Jeunes Entrepreneurs 2013, représentera ainsi l’Algérie à la compétition régionale qui se tiendra le 3 décembre prochain au Koweit, pour, pourquoi pas, rééditer le coup de « Algreenia ».

Source: Liberte Algerie

Par La Rando

Emirates augmente le tourisme international en Algérie

Dans quelques semaines, la société de transports Emirates Airlines va célébrer un an de présence sur le marché algérien. Une occasion de dresser le bilan et de prévoir l’avenir. Depuis son lancement au mois de mars 2013, Emirates a transporté plus de 73,000 passagers entre Dubaï et Alger « propulsant ainsi le tourisme international entre l’Algérie et plusieurs destinations au Moyen-Orient, en Asie Subcontinentale, en Extrême Orient et en Asie Australe », a indiqué la compagnie dans un bilan préliminaire.

Cette performance atteinte en quelques mois n’est pas le fruit du hasard. Selon Adil Al Ghaith, vice-président des opérations commerciales pour l’Afrique du Nord et de l’Ouest, qui s’est exprimé récemment à Dubaï, «Nous offrons à nos passagers le plus haut niveau de confort sur les nouveaux appareils assurant le trajet en partance et à destination d’Alger. Les nouvelles fonctionnalités des Airbus A340-500 incluent en particulier des suites en Première classe et des systèmes de divertissement ultra modernes disponibles dans toutes les classes».

La compagnie, qui a démarré avec un vol hebdomadaire, est passée à deux vols par semaine. En plus de multiples dessertes et correspondances offertes au voyageur algérien, la compagnie émiratie est connue par ses options et offres de luxe. « Les passagers de toutes les classes profiteront du système de divertissement  ICE récompensé à maintes reprises. Une centaine de chaines de divertissement à la demande offrant plus de 120 films internationaux, plus de 60 programmes de télévision, des jeux vidéo, 400 canaux musicaux pour tous les goûts. L’expérience au vol inclut également des menus exclusifs servis par un personnel Emirates originaire de 130 destinations comprenant l’Algérie », explique la compagnie dans un communiqué.

E. W.

Source: Focus Algerie

Par La Rando

Investissement étranger en Algérie 2013-2014

Les statistiques sur l’investissement, et particulièrement l’investissement étranger, en Algérie communiquées régulièrement par l’ANDI ont pris un cours nettement triomphaliste depuis près de 18 mois.

Le directeur général de l’ANDI, Abdelkrim Mansouri vient de récidiver en annonçant hier que  le montant des investissements directs étrangers (IDE) enregistré par l’Algérie au cours du premier semestre 2013 a atteint le montant record  de 2,280 milliards d’euros, soit cinq fois plus que pour l’ensemble de l’année 2012. Au total, 31 projets ont été inscrits durant les six premiers mois de 2013 contre 17 en 2012. A peine inscrits ,ces projets ont déjà  permis la création de 7.385 emplois, a précisé ce responsable au cours d’une conférence de presse sur les IDE animée avec le délégué général du réseau Anima (Associations des agences d’investissement de la Méditerranée), Emmanuel Noutary.

Des bilans fortement critiqués

Notons que de nombreux spécialistes critiquent fortement la méthodologie adoptée par l’Andi en soulignant qu’il s’agit seulement, ce que M.Mansouri omet régulièrement de préciser, d’ « intentions d’investissement » ce qui explique le décalage constaté ces dernières années entre les investissements effectivement réalisés et les annonces de cette agence .

Selon les prévisions de l’ANDI, les IDE atteindront 3 milliards d’euros en 2013, en raison notamment de la mise en oeuvre effective de “l’ambition industrielle, du lancement en 2014 des programmes de développement des entreprises publiques en partenariat avec les entreprises étrangères dans diverses secteurs industriels, et de la poursuite du processus de facilitation et de simplification de l’acte d’investir, notamment par des mesures d’encouragement prévues dans la loi de Finances pour 2014″, a fait savoir M. Mansouri.

“L’Algérie reçoit de plus en plus de projets d’investissements très conséquents par leur taille et leurs montants”, a encore ajouté le DG de l’ANDI, soulignant que ces résultats sont le reflet des conditions d’attractivité réunies par l’Algérie, notamment la stabilité politique et institutionnelle, la stabilité et la solidité du cadre macro-économique, le renforcement des infrastructures de base ainsi que les aides publiques conséquentes accordées par le gouvernement comme le financement, les exonérations fiscales, douanières.

AFP et APS

Par La Rando

Entre le Maroc et l’Algérie, les affaires se portent bien

Le Maroc serait l’une des principales source en produits alimentaires des Algériens, d’après le quotidien algérien Al Khabar, selon lequel Alger en a importé pour plus de 33 millions de dollars de Rabat à fin septembre dernier. Comme quoi le business n’a pas de frontières. Les exportations marocaines vers l’Algérie concernent principalement les produits alimentaires et des matières premières. Le voisin de l’est a également importé pour près de 30 millions de dollars d’équipements agricoles et industriels du Maroc, contre 19,5 millions au cours de la même période en 2012, poursuit Al Khabar.

Par rapport aux produits de consommation non alimentaires, les exportations de l’Algérie vers le Maroc s’élèvent à seulement 523.000 dollars, alors que le Maroc en a exporté pour 12 millions de dollars au cours de la même période.

Les exportations algériennes d’hydrocarbures vers le Maroc ont marqué une légère baisse de 2,87% au cours des neuf premiers mois de l’année, passant de 704,98 millions de dollars à fin septembre 2012, à 684,75 millions de dollars à fin septembre 2013.

Au cours de la même période, le Maroc a importé d’Algérie l’équivalent de 1,4 million de dollars de produits alimentaires industrialisés. Une grande partie de ces produits entre par voie de contrebande au Royaume, donc non comptabilisée par les chiffres fournis par les services douaniers algériens.

Même si la fermeture des frontières entre les deux pays plombe l’économie régionale et entrave la construction du Grand Maghreb Arabe depuis bientôt 20 ans, le Maroc est pourtant le premier client arabe de l’Algérie, d’après un rapport du Centre national algérien des statistiques des douanes.

Les importations marocaines en produits algériens s’élevaient à plus de 1,7 milliard de dollars en 2012.

Source: Bladi.net

Par La Rando

Les opportunités d’investissement en Algérie

Les opportunités d’investissement en Algérie, la législation algérienne en la matière et les atouts offerts par le marché algérien ont été présentés, mercredi à Rome, par Réda Hamiani, le chef d’une délégation des opérateurs algériens participant à un forum d’affaires avec leurs homologues italiens.Au cours de cette rencontre qui a eu lieu au siège de la Confindustria (patronat italien), a également, évoqué les grandes lignes du plan quinquennal 2010/2014 doté de 286 milliards de dollars dont une bonne partie consacrée aux projets structurants, a précisé à l’APS, une source proche de la délégation algérienne. Lire la suite « Les opportunités d’investissement en Algérie »