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Un chasseur survit à l’attaque d’un grizzly et aux balles de son sauveteur

oursUn chasseur canadien se remet d’une séance de chasse éprouvante au cours de laquelle il a été attaqué par un grizzly et blessé par balle par son compagnon d’infortune qui tentait de le sauver.

L’incident s’est déroulé dimanche matin près de la vallée Flathead en Colombie-Britannique (Ouest), « où vit au moins un grizzly tous les quinze kilomètres carrés », selon l’office de tourisme local.

Les deux chasseurs se trouvaient dans une zone boisée de la région lorsqu’ils ont rencontré un grizzly mâle, qui aurait aussitôt chargé l’un de ses visiteurs.

« L’autre chasseur présent a ouvert le feu tuant l’ours et blessant du même coup son compagnon », a indiqué lundi à l’AFP, David Karn, porte-parole du ministère de l’Environnement de la Colombie-Britannique.

Le chasseur, âgé de 56 ans, souffre également de lacérations importantes subies lors de l’attaque. « Il a été héliporté jusqu’à l’hôpital le plus proche dimanche matin où son état est jugé stable », a précisé le porte-parole.

Les agents locaux de conservation de la faune ont ouvert une enquête bien qu’ils estiment que le grizzly est seul responsable de l’attaque.

Source: Yahoo News

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Comment on a interdit aux enfants de marcher

enfant randonneeLes jeunes enfants ne se déplacent presque plus à pied. Une tendance inquiétante qui en dit long sur la tristesse de nos rues.

Choisissez, au hasard, un film qui montre une sortie d’école primaire. Si l’extrait est tourné dans les années 1950 ou 1960 – nous avons fait le test avec Mon Oncle ou la Guerre des boutons – alors vous verrez la majorité des enfants quitter l’école à pied. Mais plus le film est récent, plus la probabilité que l’écolier reparte en voiture est grande. Si vous n’avez pas envie de fouiller votre cinémathèque, jetez donc un œil dans la rue : la quasi-totalité des écoliers ne sont plus piétons mais passagers.

Les – trop rares – études consacrées au sujet confirment que les enfants marchent de moins en moins. Une enquête menée en Languedoc-Roussillon en 2008 et publiée par le CGDD (Commissariat général au développement durable) estimait que « 70% de tous les déplacements des enfants de 6 à 14 ans sont effectués en voiture ». Une autre enquête publiée par le Certu (Centre d’études sur les réseaux, les transports, l’urbanisme et les constructions publiques) en 2007 sur les trajets vers l’école primaire à Lille et à Lyon montrait que, même dans les grandes métropoles, les enfants vont de plus en plus souvent et majoritairement à l’école en voiture-passager (voir schéma ci-dessous) :

De plus en plus d’obstacles

Pourquoi marchent-ils si peu ? Parce qu’on leur interdit ! Le médecin britannique William Bird l’a montré en suivant une famille, la famille Thomas, qui vit et marche depuis quatre générations dans la même ville de Sheffield, dans le nord de l’Angleterre. En 2007, il a publié une carte sur laquelle on peut voir le rayon des déplacements autorisés à l’âge de 8 ans se réduire au fil des quatre générations.

En 2007, le jeune Ed Thomas avait le droit, à huit ans, d’aller seul au bout de sa rue à moins de 300 mètres de sa maison, sa mère Vicky avait, en 1979, le droit d’aller seule à la piscine à 800 mètres de chez elle, son grand-père Jack pouvait, en 1950, aller au bois à plus d’1,5 km de chez lui et enfin son arrière-grand-père George en 1919 était autorisé à aller pêcher à près de 10 km de chez lui.

« Les jeunes enfants n’ont bien sûr pas l’interdiction de marcher, mais ils font face à beaucoup d’interdictions dans la rue. Ils ont tous des limites spatiales à ne pas franchir autour de leur logement. Ça peut être un arbre ou une maison qui a été désignée par les parents. C’est souvent très restreint. En général, avant le CM2, les enfants n’ont pas le droit de traverser leur rue », décrypte l’anthropologue et urbaniste Pascale Legué qui a mené plusieurs enquêtes sur ce sujet en France depuis le début des années 1990, notamment en accompagnant les jeunes enfants dans leurs déplacements.

La faute à la voiture

Depuis quand ces interdits se sont-ils multipliés ? La chercheuse cite les travaux de l’historien Philippe Ariès, qui montrent que l’enfant a commencé peu à peu à perdre son rôle social dans la ville au XIXe siècle [1]. Mais, précise-t-elle, c’est au milieu du XXe siècle que démarre « l’abandon de la rue par les enfants ». « L’enfant qui court ou qui joue dans les rues a disparu de nos imaginaires sur la ville, sa place est maintenant dans des espaces réservés, les parcs, les aires de jeux ou au bas des immeubles », note la chercheuse. La faute, selon elle, principalement à la voiture et aux urbanistes qui « ont conçu la ville pour les adultes motorisés ». Le jeune enfant étant moins capable d’interpréter et de réagir face à la vitesse d’une voiture, on lui a tout simplement retiré son droit de cité, comme le montrent les schémas ci-dessous :

[2]

Mylène Coulais, 56 ans, dont la famille vit depuis 4 générations à Chauray, dans la grande périphérie de Niort (Deux-Sèvres), a bien voulu se pencher pour nous sur l’histoire de la marche dans sa famille. « Ma grand-mère est née en 1916. Quand elle était toute jeune enfant, elle allait au lavoir à pied à 500 mètres de chez elle, et un peu plus tard à pied dans le village d’à côté à 5 ou 6 kilomètres de là. Mes parents n’allaient pas si loin à pied mais ils allaient seuls à l’école, en rejoignant les autres enfants sur le trajet. Moi aussi j’y allais seule et je rentrais à pied le midi, ça faisait beaucoup de marche », se souvient-elle.

« Quand ma fille Emilie a été en âge d’aller à l’école, celle-ci avait changé de place parce que le village avait beaucoup grossi. Quand j’étais petite on était 500 habitants dans le village, maintenant on est 5000 dont beaucoup de gens qui travaillent à Niort. La municipalité a aussi mis en place un réseau de bus gratuit pour l’école donc mes enfants y sont allés en bus ou en voiture. Mais, même en dehors du trajet pour l’école, c’est vrai que les enfants ont arrêté de marcher. Avant on allait au sport à pied maintenant on les y conduit. On les laissait aller faire des courses à l’épicerie mais maintenant ça ne se ferait plus, d’ailleurs il n’y a plus d’épicerie, on va au supermarché. Par contre on a commencé à créer un réseau Pédibus pour que les parents accompagnent les enfants à l’école à pied. »

Quel rapport au monde pour les enfants ?

Ces changements ont des conséquences importantes pour les enfants. Déjà, on constate qu’ils sont moins endurants qu’il y a 30 ans : leurs capacités physiques ont régressé de 2% par décennie. Or les spécialistes en conviennent : une pratique prolongée et quotidienne de la marche pourrait suffire à enrayer ce déclin.

L’architecte Sabine Chardonnet-Darmaillacq s’inquiète également : « Quelle est la représentation de ce que c’est qu’être dehors et de ce qu’est la rue quand on a nous a interdit d’y marcher toute notre enfance ? C’est le rapport au monde des enfants qui est transformé. » Pour leur rendre le droit de marcher, l’urbaniste Thierry Paquot propose d’interdire la circulation des voitures autour des écoles 15 minutes avant et après l’entrée et la sortie des élèves.

L’urbaniste Pascale Legué propose également de repenser le devant des écoles : ces endroits où « on a mis des barrières pour éloigner les enfants de l’endroit prévu pour se garer ». Elle cite, sans la nommer, l’exemple d’une commune de Vendée qui a envisagé un temps de transformer la large aire devant ses deux écoles mitoyennes en un espace totalement piéton. Elle y a renoncé, face à l’opposition parentale. « L’espace devant les écoles pourrait devenir un espace d’échange et de jeu, on pourrait aussi implanter des jardins et en faire un lieu de vie pour toutes les générations. Au lieu de ça on pense tout pour la voiture et on cantonne ensuite chacun dans ses espaces réservés », déplore-t-elle. Les pas perdus des jeunes enfants sont décidément un très beau miroir de nos villes.

Merci à Eric Chtourbine (RR&A), Léa Marzloff (Chronos) et Danièle Vulliet (Cerema) pour leur aide dans la réalisation de cet article.

Source: terraeco.net

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Randonnée mont Whitney en Californie (USA)

mont WhitneyLes États unis sont une destination qui fascine de nombreux randonneurs et aventuriers aussi bien pour les attraits touristiques, culturels, historiques que pour le business. Bref, un paradis pour tous ceux qui aiment les grands espaces et les paysages colorés. 
Le saviez-vous ? Les USA comptent environ 59 parcs nationaux dans tout le pays. Des lieux uniques avec des espaces naturels préservés, des paysages magnifiques. Beaucoup de randonneurs sont attirés par ces grands espaces. Lire la suite « Randonnée mont Whitney en Californie (USA) »

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Des orques s’attaquent à un requin (vidéo)

orque-requinDes images montrent, pour ce qu’il semblerait être la première fois, un groupe d’orques attaquant un requin-tigre avant d’en faire leur repas. Poussé vers la surface et paniqué, le requin tente de s’abriter sous un bateau mais, peine perdue, les orques le paralysent en le mettant sur le dos pour le manger.

Les requins-tigres auraient-ils trouvé plus fort qu’eux ? Il semblerait, en tout cas, que les orques ne soient pas à prendre à la légère lorsqu’il s’agit de dénicher un repas. Cette attaque brutale, filmée pour la première fois, sur un requin-tigre révèle sans difficulté les capacités prédatrices des orques.

Si l’on connaissait déjà l’habilité des cétacés pour chasser et piéger leur proie, la scène immortalisée capturée près des côtes de l’île Cocos, au Costa Rica, par un groupe de plongeurs et de biologistes marins, est d’une violence inattendue.

 

source: yahoo.com

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Disparition des espèces sauvages de la terre

lion-afrique-savaneLa planète est malade, et sa guérison semble de plus en plus incertaine. La pression exercée par l’humanité sur les écosystèmes est telle qu’il nous faut chaque année l’équivalent d’une Terre et demie pour satisfaire nos besoins en ressources naturelles, tandis que le déclin de la biodiversité est sans précédent. Ce sont les conclusions alarmantes du Fonds pour la nature (WWF), dans la dixième édition de son rapport Planète Vivante, le bilan de santé le plus complet de la Terre.

Ce rapport bisannuel, réalisé avec la société savante Zoological Society of London et les ONG Global Footprint Network et Water Footprint Network, et présenté à l’Unesco mardi 30 septembre, se fonde sur trois indicateurs. Le premier, l’indice planète vivante (IPV), mesure l’évolution de la biodiversité à partir du suivi de 10 380 populations (groupes d’animaux sur un territoire) appartenant à 3 038 espèces vertébrées de mammifères, oiseaux, reptiles, amphibiens et poissons.

DÉCLIN MASSIF DES ESPÈCES SAUVAGES

Résultat : les effectifs de ces espèces sauvages ont décliné de 52 % entre 1970 et 2010. Autrement dit, la taille de ces populations a fondu de moitié en moins de deux générations, ce qui représente un recul beaucoup plus marqué que celui précédemment estimé (– 28 %). Dans le détail, les espèces d’eau douce sont les plus durement touchées avec une chute de 76 % entre 1970 et 2010, contre un déclin de 39 % pour les espèces marines et les espèces terrestres.

« Nous avons enrichi notre base de données d’un millier de populations, mais surtout, nous avons changé de méthodologie, explique Christophe Roturier, directeur scientifique du WWF France. Nous avions auparavant surreprésenté dans notre indice les espèces de mammifères et d’oiseaux par rapport aux reptiles, amphibiens et poissons. Nous avons donc pondéré chaque espèce par rapport à sa réelle importance dans les écosystèmes. »

Si ce déclin touche l’ensemble du globe, les pertes les plus (…)

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Orages et inondations : que faire pour rester en sécurité ?

vosges-pluieLa vigilance rouge, niveau d’alerte météorologique le plus élevé, a été déclenché lundi 29 septembre dans l’Hérault pour des risques d’orages et d’inondations.

Ce niveau d’alerte est déclenché quand des dégâts « très importants sont à craindre » sur les habitations, parcs, cultures, plantations et massifs forestiers en cas d’orages, ainsi que « des crues torrentielles de ruisseaux », avec risque de coupures d’électricité, et conditions de circulation très difficiles. Quelles sont les consignes de sécurité ?

Rester à la maison

Météo France conseille d’abord de rester chez soi ou d’éviter tout déplacement dans le département concerné, et notamment en montagne en cas d’orage.

Chez soi, il faut éviter d’utiliser le téléphone et les appareils électriques, ranger ou fixer les objets sensibles aux effets du vent ou susceptibles d’être endommagés, et signaler tout départ de feu.

Si le domicile se situe en zone inondable, même rarement touchée par les crues, il est recommandé de prendre les précautions nécessaires à la sauvegarde des biens, de faire une réserve d’eau potable et de prévoir des éclairages de secours.

S’arrêter quand on est en voiture

En cas de déplacement indispensable, une série de consignes sont à respecter. Face au risque d’inondations, Météo France recommande ainsi de ne s’engager « en aucun cas » sur une voie immergée et de signaler son départ ou sa destination à ses proches. Aux conducteurs, il est conseillé de se stopper en lieu sûr.

Depuis la création en 2001 de la carte de vigilance de Météo France, la vigilance rouge pour pluies diluviennes a été déclenchée à quelques rares reprises, notamment dans le Gard et l’Hérault. En janvier 2009, l’organisme avait déclenché la vigilance rouge dans le Sud-Ouest, pour la première fois pour une tempête.

Source: nouvelobs.com

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Accident de randonnée au Mont Ontake (Japon)

Mont OntakePlus de trente personnes ont été retrouvées en état d' »arrêt cardiaque », dimanche, près du volcan Ontake au Japon, entré en éruption la veille. L’armée a été appelée en renfort pour fouiller les pentes du volcan, très fréquentées par les randonneurs.

Plus de 30 randonneurs ont été retrouvés par des secouristes en état « d’arrêt cardiaque », dimanche 28 septembre, au lendemain de l’éruption d’un volcan, dans le centre du Japon, a annoncé la police. Il s’agit du Mont Ontake, situé entre les préfectures de Nagano et Gifu, qui culmine à 3 067 mètres.

« Nous avons confirmation que plus de 30 personnes ont été retrouvées en état d’arrêt cardiaque près du sommet », a déclaré à l’AFP un porte-parole de la police de la préfecture de Nagano, sans autre précision.

Au Japon, les secouristes parlent d' »arrêt cardiaque » pour désigner des victimes qui ne présentent plus aucun signe vital, en attendant que les médecins puissent délivrer des certificats de décès.

Plusieurs dizaines de personnes ont par ailleurs été blessées, par des rochers ou du fait de l’inhalation de poussières.

Environ 550 soldats, policiers et pompiers participent aux opérations de secours pour venir en aide à des dizaines de randonneurs bloqués par le volcan.

Premier réveil aussi violent du Mont Ontake depuis 35 ans

Près de 300 randonneurs approchaient du sommet lorsque le volcan Ontake s’est réveillé samedi à la mi-journée, projetant aux alentours des nuages de cendres, de pierres et de vapeur.

La plupart ont fui mais plusieurs dizaines – entre 45 et 49 personnes selon les estimations des autorités locales – n’ont pas pu redescendre et ont passé la nuit dans des refuges.

Cet épisode rarissime, le premier important depuis 35 ans pour ce volcan, a surpris près de 300 marcheurs et touristes en ce début d’automne particulièrement favorable à la randonnée.

france24.com Avec AFP

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Rando en Autriche

randonnee autricheRandonnée en Autriche dans le Tyrol. Le Tyrol (Tirol) est un Land autrichien (Bundesland) dont la capitale est Innsbruck.

Cette province correspond à la partie septentrionale et orientale du Tyrol « historique », divisé depuis 1918 entre l’Autriche et l’Italie. Le Land, situé à l’Ouest de l’Autriche, est composée de deux régions distinctes séparées par le Land de Salzbourg (notamment par le district de Zell am See) :

  • le Tyrol du Nord, avec Innsbruck comme ville principale ;
  • le Tyrol oriental formé du district de Lienz avec Lienz comme ville principale.
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Il Etait Une Forêt (documentaire)

deforestation-foretPour la première fois, une forêt tropicale va naître sous nos yeux. De la première pousse à l’épanouissement des arbres géants, de la canopée en passant par le développement des liens cachés entre plantes et animaux, ce ne sont pas moins de sept siècles qui vont s’écouler sous nos yeux. Depuis des années, Luc Jacquet filme la nature, pour émouvoir et émerveiller les spectateurs à travers des histoires uniques et passionnantes. Sa rencontre avec le botaniste Francis Hallé a donné naissance à ce film patrimonial sur les ultimes grandes forêts primaires des tropiques, au confluent de la transmission, de la poésie et de la magie visuelle. « Il était une forêt » offre une plongée exceptionnelle dans ce monde sauvage resté dans son état originel, en parfait équilibre, où chaque organisme – du plus petit au plus grand – connecté à tous les autres, joue un rôle essentiel.

Par Randonnée

Le territoire des ours aux Carpates (documentaire)

ours-randoneeTrois-cents kilos de muscles et des griffes de 10 cm de long… Dans les Carpates, les ours sont partout. A la périphérie de la ville de Brasov, 275.000 habitants, ils seraient plus de 6.000 spécimens.

On les croise jusque dans les rues où ils viennent fouiller les poubelles. Parfois ils s’attaquent à l’homme. Reportage sur l’invasion de ces plantigrades en Roumanie et ses conséquences.

Beau reportage qui montre qu’une certaine cohabitation est possible pour peu qu’on veuille bien s’en donner la peine. A la fin, la remise en liberté d’oursons après une période de « ré-ensauvagement » est exemplaire!