Par Randonnée

Quand randonnée rime avec vacances !

randonnee vacanceLa randonnée est votre passion, emmenez-la en vacances ! Derrière ce slogan facile se cachent de nombreuses possibilités de continuer votre programme de randonnée, sans pour autant partir bien loin. Car la France regorge de destinations idéales pour cela.
Dès lors que l’on parle de vacances, les esprits sont facilement conditionnés pour penser systématiquement à quelques clichés : plages, mer, sable chaud, cocotiers et farniente ! Pourtant, il ne faut pas toujours aller bien loin pour retrouver ces plaisirs, ou d’autres que l’on ignore et qui sont tout aussi bons.
L’Hexagone a de quoi plaire à tout le monde et il y en a pour tous les goûts. Là où certains chercheront la montagne, ils la trouveront. Là où d’autres chercheront la mer ou l’océan avec l’horizon à perte de vue, ils trouveront aussi. Comble du bonheur, mer et montagne entremêlées peuvent aussi s’offrir au touriste qui parcourt la France. Surtout, dans tous les cas de figure il n’est pas compliqué d’y inclure un peu de randonnée quotidienne.
Vous l’aurez compris, la France est un pays qui peut déjà largement répondre à vos attentes sans vous ruiner en matière de budget. Et avec les nombreuses solutions d’hébergement qui peuvent être proposées, du camping à l’ancienne à l’hôtel luxueux, vous pourrez aussi garder un œil sur votre quotidien avec un réseau internet de plus en plus développé et accessible. De quoi aussi prendre le temps de veiller à la gestion de votre compte de jeu en ligne via Unibet!
Les destinations de choix ne manquent pas en France, et il faut savoir les sélectionner pour s’assurer de passer des vacances réussies et inoubliables, et surtout qui apportent toute la détente et le dépaysement espérés.
La liste des lieux incontournables n’est pas non plus évidente à dresser tant ils sont nombreux, et celle qui suit n’est bien sûr pas du tout exhaustive. Mais on serait tout de même tenté d’évoquer ici la pittoresque Normandie, la pétillante Bretagne, la douceur de l’Aquitaine, mais aussi et encore la beauté fruité des Pyrénées-Atlantiques. En passant par les sommets inégalables des Alpes avec leurs traditions montagnardes, on abordera l’inévitable Cote d’Azur, perçue par certains comme le simple Graal du touriste en France !

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Randonnée à Taipei (Mont de l’éléphant)

randonnee tapei trekkingLe mont de l’éléphant est une très belle montagne de Taipei, offrant un panorama de la ville à vous couper le souffle, ainsi que du paysage de montagnes qui l’entoure. C’est une des activités principales pour chaque randonneur qui se rend à Tapei. Les sentiers de randonnée qui mènent à la plateforme sont asphaltés, mais tout de même abrupts et donc difficiles par endroits. Il vous faudra environ une heure environ pour faire l’aller-retour du bas du mont à la plateforme. Bien entendu, rien ne vous empêche de prendre tout votre temps et de profiter des magnifiques paysages qui s’offriront à vous. voici la vidéo.

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Randonnée Mont Cook (Nouvelle Zélande)

mont cook nouvelle zelande randoRandonnée de 3h pour rejoindre le Lac qui fait face au glacier du Mont Cook! Un paysage surprenant avec les nombreux petits icebergs qui se sont décrochés du glacier. L’Aoraki/mont Cook est le point culminant de la Nouvelle-Zélande. Il fait partie des Alpes du Sud et culmine à 3 724 mètres d’altitude, au-dessus du glacier Tasman. Il se situe dans le parc national Aoraki/Mount Cook. Son nom combine depuis 1998 celui de la légende māori et celui rendant hommage à James Cook. Le sommet est gravi pour la première fois en 1894 par Tom Fyfe, George Graham et Jack Clarke. Découvrez cette petite randonnée en Nouvelle Zélande.

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Pourquoi la faim, pourquoi la soif ?

Pourquoi il y a dans le monde tant d’inégalités concernant la nourriture et l’eau. Un écart incroyable entre les pays industrialisés, les sociétés de consommation et les pays qui crèvent de faim et de soif. Un documentaire aborde le sujet et s’interroge sur la manière dont les ressources naturelles sont gérées.

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Mardi dernier sur Arte était diffusé le documentaire Pourquoi la faim, pourquoi la soif ? Un sujet traité par un journaliste de la chaîne allemande ZDF, Claus Kerber. Dans ce documentaire, il souhaite démontrer que les ressources mondiales à disposition pourraient être attribuées à tout le monde. Ainsi, personne ne pourrait mourir ni de faim ni de soif.

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Alors pourquoi une partie du monde ne dispose pas de ses ressources ? Pourquoi les inégalités face à la nourriture et à l’eau sont toujours aussi nombreuses ? Le journaliste veut donc prouver que la gestion des ressources de la Terre ne se fait pas correctement.

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Au travers de ce documentaire en deux parties, la première consacrée à la faim et la seconde à la soif, Claus Kerber et la réalisatrice Angela Andersen, parcourent le monde pour rencontrer les populations touchées par ce manque de nourriture et d’eau. Une situation de crise pour des pays qui souffrent alors que d’autre pays ont tout et gaspillent même certaines ressources.

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Un documentaire qui interroge le monde sur sa capacité à mieux gérer les ressources disponibles. Des projets existent pour améliorer la situation actuelle mais une meilleure gestion semble être la solution la plus efficace pour remédier à la pénurie de nourriture et d’eau.

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Des images qui montrent la réalité dans toute sa douleur et son implacable sévérité. Pourquoi certains devraient mourir de faim ou de soif alors que d’autres jettent de la nourriture et gaspillent de l’eau.

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Voir ou revoir le documentaire : la faim et la soif dans le monde

 


Source:  tuxboard

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Elle était informaticienne, elle élève des brebis

Après des années à concevoir des sites web, Karine Andreï se lance dans l’agriculture avec un petit troupeau de brebis. Face à une société qu’elle conteste, elle choisit un lieu retiré du Puy-de-Dôme et un mode d’élevage alternatif. Un appel à financement participatif est lancé sur internet.

À 950 mètres d’altitude, à deux pas du Sancy, le maire de Cros, appuyant la demande de sa communauté de commune d’installer un jeune agriculteur sur des terres en friche, voit arriver, au printemps dernier, un petit troupeau de dix brebis écossaises.

Karine Andreï, 28 ans et une détermination de fer, tente ici sa deuxième installation, aidée par son compagnon, technicien forestier indépendant. Ici, ni ferme, ni bergerie. Seuls quelques abris peuvent servir à protéger les animaux de la rudesse de l’hiver.

À la rentrée, trente nouvelles Scottish Black Face doivent rejoindre le cheptel. En attendant, peut-être, quelques vaches Highland Cattle. La jeune agricultrice recourt à une méthode originale pour compenser l’absence temporaire de subventions: début juillet, elle publie un appel à financement participatif sur la plateforme spécialisée Ulule.com.
L’appel à la solidarité fonctionne. L’objectif de 3.500 euros pour l’achat des trente brebis est rapidement dépassé, et Karine Andreï vise désormais les 4.500 euros, le 8 septembre au plus tard, pour l’achat de sa première Highland.

L’objectif est de disposer, dans cinq ans, de cent cinquante brebis, toutes de la race Scottish Black Face, et de quelques vaches Highland. La viande d’agneau sera vendue directement au consommateur, sur commande. Les premiers colis doivent être livrés mi-2015.

De la photo à l’agriculture

Les terres « ne sont plus exploitées depuis au moins quarante ou cinquante ans », explique Karine Andreï. « La végétation a poussé, et le terrain en est au dernier stade avant la forêt: il y a beaucoup de fougères, des bouleaux. » Peu d’herbe, d’où la nécessité de races assez rustiques.

Autre inconvénient, ce type de terrains n’est pas éligible aux subventions européennes. Cerise sur le gâteau, ils sont classés sous régime forestier, ce qui n’autorise leur location qu’avec des baux d’un an, très précaires, et qui bloquent la possibilité de bénéficier de la dotation jeune agriculteur (DJA).

« J’attends que la municipalité sorte les terrains de ce régime », s’impatiente Karine Andreï, qui pourrait alors signer un bail de neuf ans. En attendant, elle cherche des terres privées, qui lui permettraient de voir plus loin, de disposer de terrains peut-être plus favorables, et d’obtenir les précieuses aides.

« Les subventions représentent 50 % des revenus dans l’élevage ovin ; il va falloir que j’en trouve. » Pour le moment, l’exploitation fonctionne grâce aux quelques économies du couple et à l’argent issu de la vente de leur précédente maison, dans l’Hérault.

Au départ, cette habitante de toujours de la campagne ne pensait pas à devenir agricultrice. Son rêve : la photographie de nature. Un stage chez un photographe lui fait prendre conscience du peu de débouchés dans cette voie. À cette occasion, elle réalise son premier site web, puis profite de l’opportunité pour se former en autodidacte, avec l’aide d’un ami.

Aujourd’hui, la photo reste son principal loisir, et la conception de sites un moyen d’améliorer l’ordinaire. L’intérêt pour l’élevage est venu petit à petit, au contact d’amis éleveurs. Tout comme la conscience politique. Sa référence : Pierre Rabhi.

« J’ai été à une de ses conférences, il y a quelques années, à Vigan, dans le Gard, et j’ai beaucoup aimé la simplicité de cet homme », dit-elle. « Comme s’il parvenait à mettre des mots sur ce que je pensais. » L’affaire de la viande de cheval vendue comme du bœuf, en 2013, renforce aussi ses convictions et l’envie de faire de l’élevage autrement.

Plein air et vente directe

Elle choisit, en 2012-2013, de suivre une formation à distance, avec le Centre national de promotion rurale (CNPR). Il s’agit de son premier retour aux études depuis le bac. Plusieurs stages dans la commune de Saint-Maurice-Navacelles, dans l’Hérault, et un an d’études lui permettent de décrocher le précieux sésame : un bac pro agricole.

Elle tente d’ailleurs la reprise de l’exploitation de l’un de ses tuteurs, en 2013, mais échoue et arrête après cinq mois. En cause, des divergences de vues avec l’ancien éleveur. En plein Larzac, « le lieu était plus fait pour le tourisme que pour l’élevage », ajoute-t-elle.

Décidée à réaliser son projet, Karine Andreï, après « beaucoup de recherches et pas mal de faux espoirs », finit par arriver sur le territoire de la petite commune de Cros. Le mode d’élevage choisi découle naturellement de ses convictions: ce sera du plein air intégral, avec un petit troupeau.

« Ce type d’élevage, il y en a vraiment besoin », plaide-t-elle. Une manière de revendiquer que son initiative n’est pas qu’une question de réussite individuelle, mais bien de celle d’un projet de société.

Des méthodes douces pour préparer les terres

Karine explique diverses techniques qu’elle va utiliser pour débroussailler le terrain :

Le rouleau rouge (ci-dessus) est le rouleau brise fougères que nous allons utiliser pour essayer d’éradiquer les fougères sur les terrains en friches. C’est une méthode qui vient du Royaume Uni, qui consiste à écraser les fougères plutôt que les couper. Cela les épuise et petit à petit elles disparaissent. Cette méthode a été utilisée surtout par les collectivités (parcs régionaux notamment) mais en est juste au stade d’expérimentation.

L’idée c’est d’utiliser cette solution douce plutôt que ce qui se fait dans le secteur : produits phyto, écobuage, qui sont très nocifs pour le sol. En théorie avec deux passages du rouleau par an, on devrait arriver à éradiquer la fougère en maximum cinq ans. Il faut bien entendu faire pâturer entre temps.

Le petit engin orange est un débroussailleur forestier, très léger il ne tasse pas le sol et permet d’aller dans des zones non mécanisables. Les broussailles sont broyées par l’engin et laissées au sol afin de l’enrichir. On laisse des bosquets et des zones de friches, le but n’étant pas de faire un terrain de golf, seulement de laisser passer la lumière au sol pour avoir un peu d’herbe.

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La fin de l’ours polaire (Reportage)

ours-russieL’ours polaire est sur la sellette depuis plusieurs années déjà. Dernièrement, dans la foulée des changements climatiques, les États-Unis l’ont déclaré «espèce menacée». Certains écologistes l’estime en danger de disparition, alors que d’autres, dont certains scientifiques, se demandent si la situation est-elle bel et bien grave. Une équipe de Découverte fait le point sur ce sujet controversé.

Par Randonnée

Randonnée d’un ours noir aux États-Unis

ours noir randonneeLes photos ont-elles été fatales ? La police du New Jersey vient de rendre publiques les six photos d’un ours noir prises par un groupe de randonneurs en septembre dernier lorsqu’ils se sont aperçus qu’ils étaient suivis par l’animal.

Cinq de ces clichés ont été pris par Darsh Pattel, un jeune homme de 22 ans, qui a été retrouvé mort, tué par l’ours. Selon le récit de ses amis, l’animal de 130 kg se serait approché de plus en plus près et les cinq randonneurs se seraient mis à courir lorsqu’il n’était plus qu’à une trentaine de mètres, se séparant pour lui échapper.

L’animal se serait approché jusqu’à cinq mètres. Darsh Patel aurait alors perdu une chaussure et ses amis disent l’avoir vu pour la dernière fois en train d’escalader une formation rocheuse. Quelques heures plus tard, les secours ont retrouvé le corps du malheureux, et abattu l’ours qui se trouvait dans les parages.

L’autopsie de l’animal a permis de retrouver des tissus humains dans son œsophage et son estomac, ainsi que sous ses griffes. Le téléphone du jeune homme a été retrouvé plus tard à proximité, avec des traces de dents. Les clichés publiés montrent l’ours derrière un tronc d’arbre, alors qu’il était en train d’approcher le groupe. Selon la police, ce sont ces photos qui auraient pu attirer l’attention de l’animal.

Les photos avant l’attaque…

parapente
Par Randonnée

Rando et parapente dans les Dolomites

Comment faire du parapente ?

Quand vous êtes à la recherche de sensations fortes, il est vrai que vous n’hésitez pas à pratiquer des activités extrêmes. Ainsi, cette fois-ci, vous avez envie de tester le parapente. En effet, vous savez que ce type d’activité est proposé dans les Dolomites. Pour autant, il est possible que vous n’habitiez pas près de ce lieu et que vous deviez trouver une zone près de chez vous. Si vous avez envie de faire monter l’adrénaline et avoir l’impression de voler, vous pouvez réserver en ligne parmi tous les vols proches de chez soi. Lire la suite « Rando et parapente dans les Dolomites »

Par Randonnée

Taxe « cabane de jardin »

cabane jardinSi vous vous apprêtez à construire un espace de plus de 5 m² sur votre terrain, cette taxe vous concerne. Que devez-vous déclarer ? Comment est-elle calculée ?

Elle est appelée taxe « cabane de jardin » mais son nom officiel est « taxe d’aménagement ». Cette taxe doit être payée lorsque vous construisez un espace de plus de 5m² sur votre terrain : une maison, un garage, une grange et même votre abri de jardin (y compris en préfabriqué). Pour être taxé, cet espace doit dépasser 1,80 mètre de hauteur sous plafond. Les escaliers ne comptent pas.

Sur les forums internet, les témoignages de contribuables surpris se multiplient. Très peu ont été informés de l’existence de cette taxe, entrée en vigueur en 2012.

« Nous avons construit une maison, avec sous-sol, de 265 m². Quelques mois plus tard, nous recevions une lettre nous reclamant 6200€ pour la taxe d’aménagement. A réitérer l’année suivante, soit plus de 12 400 euros en tout ! », raconte Nicolas Maillet, habitant de Marthod, en Haute-Savoie.
Comment est-elle calculée ?

La taxe est reversée au département (conseil général) et à la commune. Ce sont ces deux collectivités qui en fixent les taux, votés chaque année en conseil municipal et en conseil général, avant le 30 novembre. Ils sont compris entre 1% et 5% pour la commune et entre 1% et 2,5% pour le département.

Mais 1% ou 5% de quoi ? D’un tarif forfaitaire national au mètre carré. En 2014, il s’élève à 712 €.

A savoir : les 100 premiers mètres carrés bénéficient d’un abattement fiscal de 50%. Le tarif à utiliser pour le calcul est donc de 356€ (712€ divisés par deux) pour les 100 premiers mètres carrés. Au-delà, vous appliquez le tarif plein, sauf si votre commune a voté une exception (rapprochez-vous d’elle pour en être informé).

Le mode de calcul est donc: la surface que vous construisez multiplié par la valeur forfaitaire (712€ ou 356€) multiplié par les taux du département et de la ville.
Comment les services publics savent-ils que vous devez la payer ?

Pour moins de 20 mètres carrés, vous avez l’obligation de faire une déclaration préalable à la mairie (même pour l’abri de jardin). Au-delà de 20 mètres carrés, le permis de construire est obligatoire et l’autorisation est également demandée à la mairie. Si vous ne faites pas ces déclarations, l’amende encourue est de 80% du forfait national par mètre carré (au lieu des 1% à 5%).

Elle n’est à payer qu’une fois. Si la somme dépasse 1500€, elle vous sera demandée sur deux ans. Il est possible d’obtenir un échéancier pour lisser cette dépense. Attention cependant, tout retard de paiement peut être sanctionné, avec une majoration de 10%. Soyez le plus précis dans vos déclarations en mairie, notamment si votre espace ne dépasse pas les 1,80 mètre sous plafond, afin qu’on ne vous réclame pas cette taxe par erreur.

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