Presqu’à la frontière chinoise, aux confins des montagnes de Sapa, les villages et rizières du Nord du Vietnam offrent un paysage enchanteur qui n’a d’égal que la gentillesse de ses habitants. Issus de minorités ethniques, fiers de leurs traditions, ses héritiers d’une autre époque entendent conserver un mode de vie qui leur est propre… Sapa, une ancienne station d’altitude fondée par les militaires et missionnaires catholiques français au début du 20ème siècle, est situé à 1500 mètres d’altitude, sur un affluent du Fleuve Rouge. Point de départ pour les excursions et trekkings de la région, Sapa offre un bel aperçu de la diversité ethnique de la région, abritant elle-même 30 minorités différentes.
Rizières en terrasses, forêts de bambou et cascades naturelles
Village construit face à un lac, sur les flancs de colline, on y trouve à proximité le Mont Fansipan qui, du haut de ses 3143 mètres, est le point culminant du Vietnam. Accessible à pied, le chemin qui mène à la montagne est une magnifique route sinueuse où se succèdent les rizières en terrasse. Depuis Sapa toujours, visitez la cascade de Thac Ba, chute d’eau sauvage où il est même possible de se baigner. Ne manquez pas de flâner dans le marché, populaire dans tout le pays pour ses petites babioles colorées !
Dans les montagnes brumeuses recouvertes de forêt tropicale, partez à l’assaut de la vallée de Muong Hoa et de ses nombreux petits villages pittoresques. Il s’agit d’un trekking de niveau avancé, dans la jungle humide et dense, en suivant des petits passages improvisés qui alternent montées et descentes. Une nature d’une splendeur rare, berceau des croyances animistes des ethnies des montagnes. Sur les plateaux, les rizières en terrasses, forêts de bambous et cascades naturelles se révèlent, avant de replonger dans l’épaisse jungle. Lire la suite sur Latribune.fr…
Au moyen d’une convention tripartite entre les écoles primaires de Guîtres, le comité départemental de la randonnée pédestre et les Randonneurs en Pays Gabaye, ces derniers se sont engagés depuis plusieurs années à aider à l’encadrement des élèves du primaire lors de différentes sorties organisées dans le cadre de leurs activités scolaires.
De ce fait, le comité départemental de la randonnée pédestre a cette année alloué la somme de 200 euros à l’association des Randonneurs en Pays Gabaye. C’est la cinquième année consécutive que les Randonneurs perçoivent cette subvention. Lire la suite sur Sudouest…
Une nouvelle phase de la bataille pour les territoires en Arctique vient de commencer. Le Canada prétend avoir des droits sur une partie du territoire arctique de Russie – la dorsale Lomonossov, alors que les chercheurs ont démontré que cette dorsale est un prolongement du plateau continental de la Russie. Le Canada a également l’intention d’inclure le pôle Nord revendiqué par la Russie et le Danemark. Un document sur ces prétentions concernant les frontières du plateau continental arctique sera bientôt envoyé à la Commission des Nations Unies sur le droit de la mer. Lire la suite « Arctique russe ou canadien ? »
Avec un monde de plus en plus « moderne », tout va très vite ! On pollue de plus en plus, saviez-vous que la pollution atmosphérique tue 5,5 millions de personnes par an dans le monde !!!! Vous l’aurez compris, il est important d’adopter une vie plus écoresponsable pour que l’être humain puisse continuer à vivre sur terre. Faire des efforts est important, même si les autres n’en font pas, c’est toujours mieux que de ne rien faire ! Tous nos gestes climat sont importants ! L’écologie c’est aussi des petits gestes simples et quotidiens.
Depuis quelques années, une nouvelle réalité de réfugiés a fait son apparition : les réfugiés climatiques sinon également appelés réfugiés écologiques, écoréfugiés ou réfugiés environnementaux. La notion de « réfugié climatique » est alors utilisée pour décrire des personnes victimes d’un sinistre environnemental qui se voient obligées de quitter leur lieu de résidence afin d’assurer leur survie.
A l’automne 2013, la Nouvelle-Zélande a refusé d’accueillir un habitant des îles Kiribati (océan Pacifique) comme réfugié climatique. Ce dernier a alors défendu le fait que son pays est régulièrement submergé par l’océan. Cependant, en droit international le statut de réfugié climatique n’a pas d’existence propre.
En effet, la notion de « réfugié » décrite dans la convention de Genève de 1951 ne prend pas en compte le cas de « sinistres environnementaux ». D’après cette convention, un réfugié décrit toute personne qui, « craignant d’être persécutée du fait de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques, se trouve hors du pays dont elle a la nationalité et qui ne peut ou, du fait de cette crainte, ne veut se réclamer de la protection de ce pays ». Or, cet habitant des îles Kiribati est parti de lui-même et son cas n’entre donc pas dans les critères exposés par la convention de Genève.
Actuellement, plusieurs régions sont menacées par des dégradations dites « progressives». La communauté internationale a déjà constaté plusieurs territoires en danger : inondations au Bangladesh et dans le delta du Nil, submersion d’archipels comme les îles Tuvalu et Kiribati, fonte du permafrost (sol minéral gelé) des terres des Inuits d’Amérique du Nord, du Canada et du Groenland, etc. L’Organisation Internationale des Migrations a recensé à ce jour plus de 20 millions de réfugiés climatiques dans le monde. Ce nombre comprenant les victimes de dégradations lentes mais également soudaines (tsunami, ouragan, irruption volcanique, etc.).
Il est important de noter que les migrations se font surtout à l’intérieur des pays concernés par ces sinistres environnementaux. Il faut cependant prévoir que de prochains déplacements se fassent entre pays voisins, voire sur un même continent. Aussi, le droit international se doit de repenser à une jurisprudence adaptée à cette nouvelle forme de migration. Dans un futur proche, ce qui semble le plus plausible est la création d’accords régionaux ou bilatéraux non loin des pays concernés par ces sinistres. L’ONU avait d’ailleurs défini, dès 2011, un indice mondial d’exposition humaine évaluant la vulnérabilité de l’homme face aux catastrophes naturelles. Les Maldives, avait également alerté le monde en organisant une réunion ministère sous l’eau en 2009 après l’échec de Copenhague.
Nous rentrons donc dans une phase à la fois intéressante et difficile. Intéressante car il y a une vraie prise de conscience de la gravité de la situation et difficile car les décideurs exécutifs, économiques et surtout législatifs ont du mal à prendre les mesures à la hauteur des enjeux. Des régions entières du monde vont devenir inhospitalières et leurs populations vont devoir se déplacer provoquant des tensions géopolitiques. Espérons qu’au XXIème siècle, le climat et l’environnement apparaissent plus comme des facteurs de paix, que de guerre.
Vivre sans huile de palme, c’est possible ! Adrien Gontier nous le prouve, qui a fait l’expérience de n’utiliser aucun produit contenant de l’huile de palme pendant un an. Décryptage et mode d’emploi pour apprendre à s’en passer complétement et comprendre les enjeux qui se cachent derrière ce produit.
L’huile de palme vous en avez entendu parler, c’est certain. Il y a plus de deux ans, mes amis ne savaient pas ce que c’était et en consommaient sans le savoir. Que l’on puisse par notre consommation cautionner sans le savoir des faits qui nous posent des problèmes éthiques, c’est fâcheux. C’est ce qui m’a poussé à passer un an sans huile de palme.
Un sacerdoce coûteux ? Non une riche année jubilatoire ! Si vous pensez que vous ne consommez pas d’huile de palme, vous vous trompez très certainement, si vous pensez que s’en passer est compliqué, vous vous trompez aussi.
Documentaire Reportage Palme Une Huile Qui Fait Tache
Un produit qui peut se cacher partout
Commençons par le début. L’huile de palme est une graisse semi-solide très appréciée des industriels pour de nombreuses raisons techniques et financières. Remplaçant les graisses solides, elle est présente dans les biscuits salés et sucrés, les apéritifs, les pâtes à tartes, les margarines. Résistante à la cuisson elle se retrouve dans des produits frits mais donne aussi du fondant dans les chocolats fourrés par exemple.
Oui, l’huile de palme vous ne l’utilisez que rarement vous-même, mais elle se retrouve largement dans des produits transformés. Elle se cache même parfois dans des produits surprenants comme dans des faux fromages sur des pizzas, dans des raisins secs, ou même comme agent troublant pour une boisson gazeuse à 0%. Eh oui. Mais alors, plus de chips, plus de bretzels ni de pizzas ? Non, c’est le premier point important. L’huile de palme se trouve dans beaucoup de produits, mais beaucoup d’autres n’en contiennent pas.
Souvent cachée dans les produits alimentaires sous la mention ‘huile végétale’, il suffit de demander gentiment aux industriels s’il s’agit d’huile de palme ou non. Courriel ou téléphone, ça se passe en général très bien.
Deuxième point important, ne partons pas avec un a priori : une même marque peut proposer des produits avec huile de palme et d’autres sans. Quel que soit le prix ou la gamme (bio ou non), il n’y a que la liste d’ingrédients et les précisions éventuelles qui comptent. Lire la suite sur reporterre.net…
Djanet ( en arabe : جانت) est une oasis de ville dans le sud Algérien . Elle est située dans la province d’Illizi. Elle est habitée par l’ Ajjer Kel (Kel Azjar) Une tribu de touareg. Elle est la capitale du district de Djanet . L’aéroport de Djanet est situé à environ 50 kilomètres du centre-ville. La région de Djanet est habitée depuis l’époque du néolithique.Difficile d’imaginer cette zone n’était pas désertique auparavant. La flore et la faune étaient luxuriantes comme le montre les nombreuses peintures rupestres du Tassili tout autour de Djanet. Djanet a été fondée au Moyen Âge par les Touaregs. L’ Empire ottoman , qui avait une autorité nominale sur le Fezzan région, ont renforcé leur présence dans la région au début du 20e siècle en réaction à la colonisation de l’Afrique par les Européens. Dans ces photos, vous y verrait la fête de la Sebeiba. C’est une fête touarègue de Djanet (la plus connue à ce jour).
Ces Animaux formidables qui nous donnent des leçons de vie … A nous de l’observer et de le respecter tel qu’il le mérite. Après avoir chassé et tué une femelle babouin, un léopard découvre qu’un bébé babouin est agrippé au cadavre de sa proie. Alors qu’il aurait pu profiter de la faiblesse du bébé babouin pour le dévorer, le léopard adopte une attitude totalement différente et pour le moins inattendue.
Nador (en berbère: ⴻⵏⵏⴰⴹⵓⵔ Enaḍor) est une grande ville du nord-est du Maroc. Située dans la région du Rif, dans la région administrative de l’Oriental, jouxtant la lagune de Nador. Nador est située à 120 km d’Alhoceima (ouest) et 70km de l’Algérie (est). Nador et sa banlieue représentent la plus grande zone économique du nord-est marocain. La langue parlée en grande majorité est la langue amazighe (dite Tamazight n Arif, rifiya ou zenatiya). Découvrez les photos de cette ville du Rif au nord du Maroc.
Montevideo est la capitale, le principal port et la plus grande ville d’Uruguay et est aussi celle du département de Montevideo. C’est la métropole capitale la plus australe du globe. Montevideo possède une rade superbe, l’une des plus importantes des Amériques. Elle se trouve dans la partie sud du pays et est bordée par le Rio de la Plata. La ville avait 1 325 968 habitants en 2004, et son aire métropolitaine en comportait alors 1 668 335, soit presque la moitié de la population du pays. La ville possède également de superbes plages, telles que Pocitos, Buceo, Malvín, Playa de los Ingleses, Playa Verde, Punta Gorda et Carrasco. Montevideo accueille le siège du Mercosur et celui de l’ALADI. Montevideo est considérée comme la ville d’Amérique latine où la qualité de vie est la plus élevée, et fait partie des 30 villes les plus sûres du monde. Montevideo est le siège d’un archevêché.
Manama est la capitale de Bahreïn, située dans le nord de l’île de Bahreïn, dans le golfe Persique. La plus grande ville du pays a une population d’environ 150 000 habitants, soit le quart de la population entière de Bahreïn. Manama est située dans le nord-est de Bahreïn, sur une petite péninsule, au terrain plat et aride, comme dans le reste du pays. Manama est une ville à l’américaine, par et pour l’automobile. Les promenades piétonnes sont incongrues, ou réservées à des zones très limitées, entre lesquelles le transport se fait en voiture, même pour des sauts de puce. Le système de taxis est très efficace, même si la circulation en ville est régulièrement perturbée par les zones de travaux, et les embouteillages qui en résultent. Découvrez les photos.