Présentation de mon sac de randonnée pour les situations de loisirs. La randonnée est une bonne préparation aux éventuelles situations dégradées qui peuvent imposer une évacuation ou une délocalisation qui ne sera pas forcément motorisée.
Vous qui pensez savoir ce qu’était une route « dangereuse » après vos vacances en Corse ou en Haute-Savoie, regardez plutôt les suivantes. Un cauchemar pour la sécurité routière locale. Vérifiez juste vos freins une dernière fois avant de vous lancer. Et gardez bien votre droite.
Haute de 6 200 mètres cette masse de granit, est l’un des sommets les plus difficiles et les plus meurtriers au monde. Ceux qui ont fait le choix de vivre dans cette Amérique des trappeurs et de la ruée vers l’or ont un caractère bien trempé et solitaire. Au pied du McKinley, le parc naturel du Denali est une immense réserve naturelle de 23 700 km². Seuls les bus du parc y ont accès pour ne pas perturber la quarantaine d’espèces animales qui y vivent en liberté.
Piolet à la main, un alpiniste chemine sur une crête étroite qui mène à un sommet enneigé. De part et d’autre, une pente glacée plonge vers l’abîme. « Les dirigeants extraordinaires ne se contentent pas de diriger », proclame le slogan. Nous ne sommes pas dans les Alpes ou dans l’Himalaya, mais dans l’hebdomadaire britannique The Economist : la société IE fait la promotion de son diplôme « Leadership positif et stratégie ».
L’imaginaire collectif associe volontiers ascension et dépassement de soi, grandes épopées alpines et héroïsme. Sans doute parce que les alpinistes ont longtemps cherché à donner cette image d’eux-mêmes : « Seul celui qui pratique le grand alpinisme peut en connaître et la grandeur et la rigueur », écrivait en 1973 René Desmaison. Ce guide de légende ne concevait pas sa passion comme un simple sport, mais comme un « idéal dont la vie était l’enjeu ». D’où, peut-être, la propension du monde de l’entreprise à s’emparer de l’image de ces héros aux yeux rivés sur les sommets.
Dès 1948, pourtant, certains contestent cette vision des choses. La revue Tourisme et travail, proche de la Confédération générale du travail (CGT), dénonce l’élitisme d’une pratique qui « crève de l’individualisme forcené de la plupart de ses pratiquants. Ils vous disent “pureté des cimes”, “solitude”, “loin d’en bas”, “là-haut, seul dans la lumière”, ou bien encore : “plus près de Dieu”. Mais au fond, ils veulent rester entre eux ». Dans Alpinisme et compétition, qu’il publie l’année suivante, le « bleausard » (grimpeur qui s’entraîne dans la forêt de Fontainebleau) Pierre Allain défend l’escalade comme discipline autonome : « Ce n’est pas uniquement en vue de courses en montagne que nous allons à Bleau et que nous y grimpons, c’est même surtout parce que nous en faisons un jeu qui nous passionne en lui-même. »
La Fédération sportive et gymnique du travail (FSGT) — proche du Parti communiste — crée en 1953 une « spécialité montagne » pour « rabaisser l’alpinisme au rang d’un sport comme les autres » et, ce (…) Lire la suite sur Monde Diplomatique …
C’est pas sorcier, le magazine de la découverte et de la science. Fred, Jamy et Sabine nous offrent un petit panorama des techniques qui nous permettent aujourd’hui de nous élancer sur les pistes, tout schuss et sans soucis ! Sabine et Fred nous font découvrir les joies des nouvelles techniques de glisse et nous mettent en garde contre leurs petits désagréments. L’arrivée des skis paraboliques – beaucoup plus directionnels que les skis droits – a révolutionné la manière de skier des champions comme des débutants. Mais attention, une chute ou une collision ça peut faire très mal ! Et à ce petit jeu là, l’entorse du genou est reine. Mais du ski, au surf, les blessures ne sont pas les mêmes…
Jamy nous explique par quelle magie les skis paraboliques nous permettent d’effectuer des courbes presque aussi belles que celles des champions, mais aussi comment fonctionnent et se règlent les fixations pour éviter les jambes cassées et les entorses du genou…
Bouchra Baibanou est une femme obstinée, elle qui est à deux doigts de réaliser son rêve le plus cher, celui de devenir la première femme marocaine et arabe à atteindre les sept sommets les plus culminants au monde. Architecte de profession, cette férue d’alpinisme et de randonnées en grande nature s’est lancée un pari fou en 2011, après avoir découvert le projet intitulé «Messner» (qui consiste à escalader le sommet le plus culminant de chaque continent). Ainsi, elle s’est vue embarquée dans une aventure extravagante et grandiose, qui l’a menée vers le Kilimandjaro en Afrique (5.895 m, avec son époux pour le baptême de feu), au Mont Blanc (4 810 m, le sommet le plus élevé en Europe de l’Ouest), ensuite l’Elbrouz en Russie (5.642 m, le plus élevé en Europe) et l’Aconcagua (6.960 m, le plus haut sommet de l’Amérique latine qu’elle a réussi en deux temps). Aujourd’hui, Bouchra est à 8.850 mètres (hauteur de l’Everest) de l’extase, car elle vient de vaincre l’avant-dernier sommet de la liste : le McKinley ou Denali (6.194 m en Alaska, États-Unis), sommet le plus haut du continent nord-américain. Elle fait à présent partie des 32% d’aventuriers ayant tenté et réussi l’escalade de ce sommet.
Une épreuve plus exténuante que ses précédentes
La dernière expédition effectuée par Bouchra était bien plus exigeante que ses précédentes, comme nous l’explique la vaillante aventurière : «Il y avait constamment des tempêtes de neige et il faisait toujours froid, on s’est habitué à -15 °C, la température baisse jusqu’à -20 °C ou -30 °C le soir». Aussi, Bouchra devait-pour la première fois depuis qu’elle a commencé ses défis-transporter ses bagages elle-même : «Au départ, on utilisait des slides jusqu’à atteindre les 4.000 mètres, mais ensuite il fallait tout transporter en sac à dos jusqu’au camp supérieur, niché à 5.200 m. Sachant que cette zone est critique et dangereuse, on devait aussi supporter le fait de marcher avec un lourd sac à dos de 25 kg sur une pente de 55° en s’aidant par des lignes fixes et après sur une crête très étroite. Le vent s’invite aussi pour élargir l’éventail des dangers parsemant la montée». Bref, une vrai partie d’horreur pour le commun des mortels et des heures de dur labeur pour les alpinistes les plus aguerris. Après s’être délectée de la vue sublime, perchée sur le sommet, Bouchra devait redescendre, un autre calvaire : «On a dû traîner le pied pendant deux jours de tempête de neige, la descente était très difficile. Cela nous a pris 14 heures pour enfin accéder au camp de base».
Au pied de l’Everest
Au-delà de revêtir des airs de supplice, le périple de Bouchra était aussi une occasion de découvrir un paysage et un climat à part entière, avec ses facettes les plus belles : «On se sent vraiment minuscule devant cette montagne majestueuse et la succession entre jour et nuit est assez particulière là-bas : il faisait jour pendant presque l’intégralité du temps, le coucher de soleil n’ayant lieu qu’à 23 h 30 parfois. Pas besoin de lampe frontale donc», et les moins commodes : «Un jour j’ai oublié mon dentifrice et mon écran dehors et je me suis retrouvée avec deux blocs de glace inutilisables». À la question de savoir quand est-ce qu’elle s’attaquera au plat de résistance, le Toit du monde (l’Everest), Bouchra paraît sceptique, mais sans une once de découragement : «Il faudrait d’abord que je réussisse à trouver des sponsors, mais je compte cravacher pour le faire l’année prochaine». En effet, Bouchra a perdu le soutien de l’un de ses deux partenaires, ce qui n’est pas de bon augure avant une expédition au Tibet, car il faudrait prévoir une somme avoisinant
le million de dirhams. On ne peut qu’espérer que ce porte-étendard de la femme marocaine puisse arriver à ses fins, aussi extrêmes soient-elles.
– See more at: http://www.lematin.ma/journal/2014/alpinisme_bouchra-baibanou-dompte-le-mckinley–en-attendant-l-everest/206141.html#sthash.zXsrmXr2.dpuf
Nous insistons sur la nécessité de savoir se servir d’une carte et d’une boussole en tant que randonneur. C’est pour cela que La rando du Coeur a testé pour vous la boussole à plaquette avec loupe Recta DT 420. Elle offre des repères phosphorescents, une déclinaison réglable, un clinomètre et une aiguille globale. Rappelons qu’une boussole est un instrument de navigation Lire la suite « Test Boussole Recta DT 420 »
Le Kronplatz, le domaine skiable n°1 du Tyrol du sud mais c’est aussi un rendez-vous incontournable des spécialistes du Freeride. Le Kronplatz Furcia Trail 2014en vidéo comme si vous y étiez!
Dans des bus assez anciens, certains randonneurs affrontent les routes étroites et dangereuses de l’Himalaya. Mick Fowler, un alpiniste britannique renommé et son équipe ont gravi pour la première fois le sommet vierge du Kishtwar Kailash qui culmine à 6451 mètres. Avant de pouvoir gravir ce mont, ils ont dû prendre la dangereuse route qui relie Killar à Gulabargh en Inde, le tout surplombant un précipice de 600 mètres. La vidéo!
C’est une randonnée qui vous fera voyager au Moyen-Âge. Situé sur une colline, dominant la région de Colmar et la route vers Munster, le château du Hohlandsbourg est devenu l’une des ruines les plus intéressantes à découvrir autour de Colmar. Ce château fut fondé au XIIIe siècle, le château du Hohlandsbourg tombe quasiment dans l’oubli 500 ans plus tard. Aujourd’hui en partie restauré, ce monument historique de Wintzenheim vaut vraiment le détour. Le Hohlandsbourg offre un magnifique panorama à 360° sur la plaine d’Alsace et le massif vosgien. Avec ses 100 mètres de longueur et ses 60 mètres de largeur, c’est le château fort le plus vaste d’Alsace. Quant au château du Pflixbourg est situé dans la commune de Wintzenheim, à proximité de Colmar, Haut-Rhin. Du haut de ses 454 mètres d’altitude, il domine l’entrée de la Vallée de Munster. Un petit passage à la Roche du Corbeau, avec une vue extraordinaire également. Découvrez les photos de cette randonnée qui nous fait remonter le temps.