Loup y es-tu ? En tout cas, à Muhlbach-sur-Munster (Haut-Rhin), un habitant l’a vu. Au petit matin, en pleine rue, à quelques mètres de sa voiture, planté devant ses phares. A peine le temps de le voir, à peine le temps de le croire et l’animal a sauté sur un talus «à une vitesse phénoménale», raconte l’homme aux «Dernières Nouvelles d’Alsace».
Et comme pour dissiper les doutes : «Je suis chasseur, je différencie un loup d’un chien».
Un autre chasseur chevronné, Raymond Blaise, président du Groupement d’intérêt cynégétique (GIC) du Hohneck, dit en avoir vu un il y a trois ans, à Sondernach, une commune voisine. Il est convaincu que le loup a été «parachuté» dans le massif : «On ne nous fera jamais croire qu’il est revenu tout seul».
Interrogé par le quotidien régional, l’office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) botte en touche. Mais la carte interactive mise en ligne par l’établissement public est très instructive. Si le loup est bien implanté dans les Alpes et de manière plus localisée dans les Pyrénées, il serait de retour depuis deux ans en Lozère et dans le Haut-Rhin, selon les observations de l’ONCFS. Il était quasiment absent des Vosges en 2011, toujours selon le portail cartographique. Lire la suite sur LeParisien.fr…
Une nouvelle phase de la bataille pour les territoires en Arctique vient de commencer. Le Canada prétend avoir des droits sur une partie du territoire arctique de Russie – la dorsale Lomonossov, alors que les chercheurs ont démontré que cette dorsale est un prolongement du plateau continental de la Russie. Le Canada a également l’intention d’inclure le pôle Nord revendiqué par la Russie et le Danemark. Un document sur ces prétentions concernant les frontières du plateau continental arctique sera bientôt envoyé à la Commission des Nations Unies sur le droit de la mer. Lire la suite « Arctique russe ou canadien ? »
Avec un monde de plus en plus « moderne », tout va très vite ! On pollue de plus en plus, saviez-vous que la pollution atmosphérique tue 5,5 millions de personnes par an dans le monde !!!! Vous l’aurez compris, il est important d’adopter une vie plus écoresponsable pour que l’être humain puisse continuer à vivre sur terre. Faire des efforts est important, même si les autres n’en font pas, c’est toujours mieux que de ne rien faire ! Tous nos gestes climat sont importants ! L’écologie c’est aussi des petits gestes simples et quotidiens.
Depuis quelques années, une nouvelle réalité de réfugiés a fait son apparition : les réfugiés climatiques sinon également appelés réfugiés écologiques, écoréfugiés ou réfugiés environnementaux. La notion de « réfugié climatique » est alors utilisée pour décrire des personnes victimes d’un sinistre environnemental qui se voient obligées de quitter leur lieu de résidence afin d’assurer leur survie.
A l’automne 2013, la Nouvelle-Zélande a refusé d’accueillir un habitant des îles Kiribati (océan Pacifique) comme réfugié climatique. Ce dernier a alors défendu le fait que son pays est régulièrement submergé par l’océan. Cependant, en droit international le statut de réfugié climatique n’a pas d’existence propre.
En effet, la notion de « réfugié » décrite dans la convention de Genève de 1951 ne prend pas en compte le cas de « sinistres environnementaux ». D’après cette convention, un réfugié décrit toute personne qui, « craignant d’être persécutée du fait de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques, se trouve hors du pays dont elle a la nationalité et qui ne peut ou, du fait de cette crainte, ne veut se réclamer de la protection de ce pays ». Or, cet habitant des îles Kiribati est parti de lui-même et son cas n’entre donc pas dans les critères exposés par la convention de Genève.
Actuellement, plusieurs régions sont menacées par des dégradations dites « progressives». La communauté internationale a déjà constaté plusieurs territoires en danger : inondations au Bangladesh et dans le delta du Nil, submersion d’archipels comme les îles Tuvalu et Kiribati, fonte du permafrost (sol minéral gelé) des terres des Inuits d’Amérique du Nord, du Canada et du Groenland, etc. L’Organisation Internationale des Migrations a recensé à ce jour plus de 20 millions de réfugiés climatiques dans le monde. Ce nombre comprenant les victimes de dégradations lentes mais également soudaines (tsunami, ouragan, irruption volcanique, etc.).
Il est important de noter que les migrations se font surtout à l’intérieur des pays concernés par ces sinistres environnementaux. Il faut cependant prévoir que de prochains déplacements se fassent entre pays voisins, voire sur un même continent. Aussi, le droit international se doit de repenser à une jurisprudence adaptée à cette nouvelle forme de migration. Dans un futur proche, ce qui semble le plus plausible est la création d’accords régionaux ou bilatéraux non loin des pays concernés par ces sinistres. L’ONU avait d’ailleurs défini, dès 2011, un indice mondial d’exposition humaine évaluant la vulnérabilité de l’homme face aux catastrophes naturelles. Les Maldives, avait également alerté le monde en organisant une réunion ministère sous l’eau en 2009 après l’échec de Copenhague.
Nous rentrons donc dans une phase à la fois intéressante et difficile. Intéressante car il y a une vraie prise de conscience de la gravité de la situation et difficile car les décideurs exécutifs, économiques et surtout législatifs ont du mal à prendre les mesures à la hauteur des enjeux. Des régions entières du monde vont devenir inhospitalières et leurs populations vont devoir se déplacer provoquant des tensions géopolitiques. Espérons qu’au XXIème siècle, le climat et l’environnement apparaissent plus comme des facteurs de paix, que de guerre.
Ces Animaux formidables qui nous donnent des leçons de vie … A nous de l’observer et de le respecter tel qu’il le mérite. Après avoir chassé et tué une femelle babouin, un léopard découvre qu’un bébé babouin est agrippé au cadavre de sa proie. Alors qu’il aurait pu profiter de la faiblesse du bébé babouin pour le dévorer, le léopard adopte une attitude totalement différente et pour le moins inattendue.
Les fourmis (famille des formicidés ou Formicidae) sont des insectes sociaux formant des colonies, appelées fourmilières, parfois extrêmement complexes, contenant de quelques dizaines à plusieurs millions d’individus. Certaines espèces forment des « colonies de colonies » ou supercolonies à plusieurs centaines de millions d’individus. Les fourmis sont classées dans l’ordre des hyménoptères, comme les guêpes et les abeilles. Aujourd’hui on compte environ 8.000 espèces de fourmis dans le monde.
Savez-vous que chez les fourmis on trouve :
L’invention de l’agriculture et de l’élevage
Une répartition des tâches non imposées car les 2/3 de la fourmilière ne fait rien et est quand même nourrie.
La transmission de pensées-émotions par phéromones (chimiquement).
Une démocratie et non un pouvoir de la Reine qui se contente de pondre.
La possibilités de se fendre la gueule en léchant certaines chenilles qui sont hallucinogènes.
La création d’Empires et batailles intra-spécifiques tout comme chez l’homme.
Comment s’en procurer
Pour faire un achat fourmis, rien de plus simple. La fourmi, un insecte que l’on peut élever chez soi en toute simplicité. C’est aussi l’animal préféré des enfants qui souhaitent en apprendre plus sur ce bel animal. L’élevage des fourmis n’a jamais été aussi simple et décoratif de nos jours. Il vous faudra un terrarium à la maison, rajoutez de la terre et du sable en guise de substrat.
Cycle de la vie
Les habitudes grégaires des fourmis ont entraîné le développement d’un système de castes, selon lequel les individus sont responsables de tâches spécialisées au sein de la communauté. Il y a : des ouvrières (femelles stériles) ; mâles fertiles; et les reines (femelles fertiles). Les fourmis ouvrières construisent et étendent le nid, s’occupent des formes larvaires et se nourrissent de nourriture, ce qui en fait des ravageurs. Les reines n’exécutent aucune de ces tâches, mais restent presque exclusivement dans le nid. L’accouplement entre les individus sexuels a lieu sur l’aile. Ces essaims spectaculaires impliquent un grand nombre de fourmis.
Les essaims réels ne persistent que pendant 2-3 heures. Après l’accouplement, les mâles périssent mais les femelles perdent leurs ailes et creusent une cellule dans le sol où elles hivernent.
Les œufs sont pondus à la fin du printemps et les larves blanches sans pattes éclosent 3 à 4 semaines plus tard. Les larves se nourrissent des sécrétions des glandes salivaires de la reine jusqu’à ce qu’elles soient complètement développées, quand elles se nymphosent, formant les « œufs de fourmis » bien connus. De ces pupes émergent la première couvée de fourmis ouvrières. Ces ouvrières prennent en charge les tâches de recherche de nourriture et s’occupent des couvées suivantes. Les formes sexuelles ne sont produites que plus tard. Le cycle complet dure environ 2 mois. Dans des conditions favorables, un nid peut persister plusieurs années.
La construction d’un gigantesque aéroport international entre Cuzco – ancienne capitale de l’empire inca – et le Machu Picchu menace l’écosystème de la région et le fameux site archéologique.
« On s’y est opposé au départ, maintenant nous sommes fatigués », concède Alicia, une habitante de Chinchero. Le débat sur le futur aéroport dure depuis plus de trente ans. Une éternité. Maintes fois enterré pour des raisons de faisabilité, il est aujourd’hui en passe d’être réalisé. Les terrains ont été achetés par l’Etat et un appel d’offres lancé pour savoir qui exploitera les lieux durant les quarante prochaines années. Une vingtaine d’entreprises nationales et étrangères participent au concours. Trois sont françaises (1).
L’emplacement choisi est la plaine de Chinchero – sur la route qui relie Cuzco au Machu Picchu. Perchée à 3700 mètres d’altitude, au cœur des Andes, la plaine est embrassée par une couronne de montagnes sacrées, les Apus, vénérées par les Incas en leur temps. En amont, la ville du même nom, joyau d’architecture incaïque et coloniale, domine le site. Les communautés autochtones alentour conservent jusqu’à aujourd’hui leurs traditions anciennes de plusieurs siècles, vivant de la culture de la pomme de terre et d’un haut degré de maîtrise des tissages.
Moins de 50 kilomètres à vol d’oiseau sépareront l’aéroport de Chinchero du Machu Picchu
Cet écosystème risque de vaciller face à l’arrivée des pelleteuses et la construction d’un aéroport avec ses 350 hectares, son flot de boutiques de luxe, de parkings, d’hôtels et de restaurants. Aussi vaste que celui de Lima, la capitale, il est prévu pour fonctionner 24heures/24 et 7jours/7 pour remplacer à terme l’actuelle infrastructure à Cuzco située au cœur de la ville. Car l’équipement d’aujourd’hui est jugé trop petit, inadapté et dangereux. Aussi le nouvel aéroport doit-il surtout permettre aux touristes de débarquer directement dans la cité andine, sans être obligés de transiter par la capitale (lointaine de 45minutes en avion). Si le calendrier est respecté, les travaux débuteront en 2014 et le nouvel aéroport sera opérationnel en 2018.
Voici une série de photos, les 22 merveilles de la nature qui méritent d’être vus au moins une fois dans sa vie. Faire partager la beauté de la nature et donner envie de la protéger, de voyager, de venir la découvrir. Tel est l’objectif de cette photorama. Découvrez dans cette galerie les plus belles photos de la nature. Attention les yeux !
Le commerce des espèces menacées. ‘Le dessous des cartes’ étudie le cas du thon rouge et celui de la baleine, et s’intéresse aux moyens d’action de la CITES – Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore menacées d’extinction – et surtout, à ses limites.
Thilafushi, en divehi ތިލަފުށި, est une île artificielle des Maldives située à 6,85 km à l’ouest de Malé, la capitale du pays, entre les atolls de Giraavaru et Gulhifalhu. En 1992, le gouvernement ne sachant plus comment gérer une quantité toujours grandissante d’ordures, avait décidé de faire acheminer à Thilafushi les déchets des îles voisines. Depuis l’île-poubelle de 7 kilomètres de long sur 200 mètres de large, emmagasine 330 tonnes de déchets par jour (chaque touriste visitant l’archipel, en produit a lui seul 3,5 kg par jour), et du coup celle-ci croît de 1 m2 par jour.
Réalisée par 56 photographes répartis dans 49 villes, cette vidéo en time-lapse utilise plus de 200.000 photos pour montrer le plus incroyable aspect de la Chine. Beauté naturelle se décline au pluriel en Chine : rizières en terrasses, montagnes vertigineuses ou désert infini, la nature vous dévoile ici ses plus beaux atours. Découvrez cette magnifique vidéo.