Ces réseaux féminins qui font bouger le business

Les clubs 100 % femmes se multiplient depuis 5 ans. Objectif ? Doper leur carrière et améliorer leur organisation de travail. Women’s forum, Financi’Elles, Ladies First… Depuis 5 ans, le nombre de cercles 100% réservés aux femmes explosent. Ils peuvent être liés à une profession, comme le club des femmes parlementaires ou des femmes juristes. Mais on les retrouve aussi au sein de grandes entreprises, comme à la SNCF, chez Orange, Axa ou Coca Cola. Sans oublier les réseaux des écoles, sur le modèle de «Grandes écoles au féminin» (GEF).

Ces groupes peuvent aussi s’articuler autour d’un thème. Ainsi Forces Femmes, créé par Françoise Holder (groupe Holder), se focalise sur le retour à l’emploi des femmes de plus de 45 ans… Avec un taux de réussite de 30%! Les Pionnières de Frédérique Clavel (Mix For Value) ou Génération femmes d’influence de Patricia Chapelotte (Albera Conseil) regroupent des femmes entrepreneurs. Vox Femina, fondé par l’avocate Valérie Tandeau de Marsac (Jeantet associés), vise encore à donner la parole aux femmes expertes dans les médias…

Aussi divers et multiples soient-ils, ces réseaux ont tous en commun de vouloir «booster» la carrière des femmes qui, à l’heure de la parité, continuent de se heurter au «plafond de verre». Arrivées à un certain niveau de responsabilités, elles ne progressent plus, les postes supérieurs étant trustés par les hommes. Et ce, même si la loi impose un quota de 40 % de femmes dans les conseils d’administration des sociétés cotées d’ici à 2017. Quant aux salaires des femmes cadres, ils restent encore, à poste égal, inférieurs de 8,5 % à ceux des hommes.

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