Par La Rando

Kuwait Investment Authority au Maroc

Le Kuwait Investment Authority est un fonds souverain koweïtien gérant les excédents budgétaires de l’État koweïtien, liés principalement aux exportations d’hydrocarbures. Créé en 1953 il demeure aujourd’hui parmi les 10 plus grands fonds souverains au monde.

‘‘Partout dans les 6 pays du Conseil de coopération du Golfe ‘CCG’, il existe une croyance objective que le Maroc est désormais une puissance économique unique au Maghreb tourné  vers l’Afrique’’.

Ainsi a déclaré Waleed Al Fehaid, ‘Senior investment manager’ au Kuwait Investment Authority (KIA).

Cité par le site du média international spécialisé, The Banker, dans une tribune signée par le chroniqueur moyen-orient du site, James King et intitulée, ‘Morocco offers oasis of calm in north Africa ’, Al Fehaid a expliqué que le Maroc a entamé l’effort de sa qualification en tant que économie émergente dés 2001, aidé pour cela par sa stabilité politique, la puissance de ses fondements économiques et la pertinence de ses réformes.

‘‘A partir de 2001 il y a eu une amélioration significative et visible de l’environnement économique au royaume qui a abouti aujourd’hui à transformer le Maroc en un véritable marché émergent’’ a indiqué le Senior Manager du KIA.

Ce dernier a ajouté que les stratégies de croissance et les politiques volontaires mises en place par les gouvernements marocains cette dernière décade, ainsi que l’ouverture de l’économie marocaine vers les marchés africains, ont amélioré considérablement les relations d’investissements du pays et accru fortement sa capacité d’attirer les IDE.


IDE: Le changement stratégique

Par ailleurs, The Banker a considéré que cet intérêt des pays du CCG pour le Maroc est loin d’être un pur hasard. Le média a souligné qu’un changement de classe stratégique est en train de s’opérer au royaume concernant les IDE.

En effet, nombreux analystes marocains et étrangers, cités par le site, expliquent que désormais, le Maroc assoit qualitativement et quantitativement, pour la réussite de son projet de décollage économique, ses partenariats stratégiques avec les investisseurs du Golfe : ‘‘Il s’agit d’un changement notable pour un pays qui a toujours recherché ses partenariats d’investissement en Europe’’ commente James King.

Ce dernier conclut en assurant que la relation d’investissement approfondie entre le Maroc et le CCG est doublée d’une alliance militaire dont l’objectif à long terme est de promouvoir la sécurité et la stabilité dans le Golfe et dans la région toute entière.

Source: lemag.ma
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Course d’endurance: Le prince de Dubaï remporte l’épreuve

Hamdane ben Mohammed Al Maktoum et son cheval « Yamamah », courant pour les Emirats arabes unis, ont remporté la course d’endurance, à Sartilly, à 18 h 10, après 160 kilomètres.

Il était favori. Il a gagné. Hamdane ben Mohammed Al Maktoum et son cheval « Yamamah », courant pour les Emirats arabes unis, ont remporté la course d’endurance en individuels, à Sartilly, jeudi à 18 h 10, après 160 kilomètres.

« Laiza de Jalima » et sa cavalière Marijke Visser, pour les Pays-Bas, s’emparent de la deuxième place. Abdulrahman Saad A.S. Al Sulaiteen, sur « Koheilan Kincso », pour le Qatar complète le podium.

Le premier concurrent français est 8e, il s’agit de Jean-Philippe Frances, sur « Secret de mon Cœur ».

Source: ouest-france.fr

Par La Rando

Etihad et ses Airbus A380 et Boeing 787-9 Dreamliner

Selon The National , Etihad Airways commencera l’exploitation de son Airbus A380 et Boeing 787-9 Dreamliner en décembre de cette année. Etihad déploiera ainsi l’A380 pour ses trois vols quotidiens sur Londres, tandis que Sydney sera la deuxième ville à être desservie par l’A380. Pendant ce temps, le Boeing 787-9 sera utilisé sur six voies, y compris Düsseldorf, Doha, Washington DC, Mumbai, Brisbane et Moscou.
Le transporteur a développé encore davantage les voyages de luxe cette année par l’introduction d’une suite d’hôtel avec un maître d’hôtel Savoy en vol. L’expérience est offerte sur les appareils 787 Dreamliner,  Airbus A380 et Boeing.
«Nos premiers vols AirbusA380 et Boeing 787-9 Dreamliner ont été mis en vente près de quatre mois en avance et la demande dépasse nos attentes, » déclare CEO James Hogan,

Sur les routes à forte demande comme Londres et Sydney, l’A380offrirades sièges supplémentaires et répondra à la demande avec une capacité accrue, en particulier dans les classes affaires et première. Le Boeing 787-9 sera utilisé pour lancer des vols vers des nouvelles destinations, d’ajouter de la capacité sur les marchés existants et de remplacer progressivement les avions existants et moins efficaces,” ajoute M. Hogan

Par La Rando

Dubai Time-lapse 2014

Dubai Time-lapse 201, c’est Dubai comme vous ne l’avez jamais vu auparavant. Une vidéo de toute beauté qui vous fera voyager aux Emirats arabes unis en vitesse accélérée. Découvrez cette magnifique vidéo qui fera rêver plus d’un.

Par La Rando

Le Qatar est devenu un acteur diplomatique incontournable

A Gaza, un cessez-le-feu illimité a été signé, mardi 26 août, mettant fin à un conflit dévastateur de 50 jours. Cet accord a été rendu notamment possible par le Qatar. Nabil Ennasri, auteur de « L’énigme du Qatar », explique comment le pays est revenu sur la scène diplomatique de la médiation.

Un cessez-le-feu « illimité » vient d’être signé à Gaza. Après 50 jours de bombardements, les armes se sont tues à la suite d’un épisode particulièrement sanglant du côté palestinien. Salué par toutes les factions palestiniennes comme une « victoire », cet accord a été paraphé grâce aux efforts diplomatiques de deux Etats qui ont joué un rôle central dans les tractations de ces dernières semaines : l’Egypte et le Qatar.

 

Le Qatar, omniprésent sur le front diplomatique

 

Il faut dire que l’émirat gazier n’a pas ménagé ses efforts pour arriver à un compromis. Cet activisme s’explique d’abord par une volonté de remettre la cause palestinienne au coeur de l’action diplomatique du pays.

 

Cette recentralisation trouve sa source dans l’accession au pouvoir du nouvel émir, le Cheikh Tamim ben Hamad Al Thani. Lors de son allocution au moment de son intronisation le 26 juin 2013, la Palestine avait été la seule cause expressément mentionnée.

 

Malgré le fait que le monde arabe était plongé dans une phase de bouleversement historique, ni la Syrie, la Tunisie, l’Egypte ou même la Libye n’avaient été visées par le nouveau souverain. Ce dernier fixait le cap de son mandat en matière de politique étrangère et considérait la cause palestinienne comme le dossier prioritaire.

 

Avec un peu de recul, on s’aperçoit aujourd’hui que cette nouvelle trajectoire marque à la fois une forme de rupture avec l’activisme de l’émir précédent (dont l’interventionnisme avait été décrié de Tunis à Damas) et explique également les raisons d’une omniprésence qatarie dans les ballets diplomatiques de ces dernières semaines.

 

Deux axes dans la diplomatie qatarie à Gaza  

 

Cette remise en scelle du dossier palestinien s’est articulée autour de deux axes :

 

1. Il y a eu d’abord la volonté de Doha de solidifier le front palestinien en contribuant à réconcilier les deux grands partis, le Hamas et le Fatah.

 

Fort de son expérience en la matière (un accord de réconciliation interpalestinien avait déjà été signé à Doha en février 2012), l’émirat n’a pas lésiné sur les moyens en accueillant à de multiples reprises les plus hauts responsables des deux camps. Cette posture s’est vue facilitée par le fait que Doha héberge le Hamas et lui fournit appui politique et soutien financier.

 

L’asile donné à son chef Khaled Mechaal rendait donc de fait incontournable Doha, capitale dans laquelle de nombreuses personnalités politiques de premier plan (dont Ban Ki Moon) se devaient de faire un arrêt pour espérer arracher un compromis.

 

Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si l’accord de cessez-le-feu intervient quelques jours à peine après la rencontre tripartite entre l’émir du Qatar, Khaled Mechaal et Mahmoud Abbas à Doha.

 

2. La diplomatie du Qatar s’est aussi distinguée par son soutien constant à la résistance du peuple palestinien.

 

Rappelant que le Hamas avait le droit de se défendre à une agression injuste, Doha a été l’une des rares capitales de la région à apporter un soutien affiché aux opérations des factions palestiniennes.

 

Sans compter la couverture d’Al Jazeera qui a constamment fait état des exactions israéliennes, cette légitimation a pris la couleur d’un soutien diplomatique mais également humanitaire. Par l’intermédiaire de ses puissantes ONG (dont la Qatar Charity et le Croissant rouge qatari), l’émirat a déjà débloqué des dizaines de millions de dollars pour faire face aux premières urgences. De même, nul doute qu’une partie des 6 milliards de dollars nécessaires à la reconstruction de Gaza va être apportée par les caisses de l’émirat.

 

Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que le Qatar apporte son concours financier à une terre arabe ayant subi des destructions de l’armée israélienne. En 2006, après la guerre au Sud-Liban, c’est Doha qui avait dépensé des centaines de millions de dollars dans la reconstruction des territoires dévastés. Quelques temps plus tard, ces largesses financières avaient permis à l’émir Hamad de faire une tournée triomphale dans le sud du pays dont les autoroutes avaient été parsemées de pancartes « Merci, Qatar ».

 

Nul doute que, s’agissant de Gaza, Doha souhaitera prochainement capitaliser sur le terrain symbolique ce soutien diplomatique et financier.

 

Le Qatar, bientôt « Etat ennemi » d’Israël ? 

 

Mais le revers de cet activisme est aussi à souligner et il est à prévoir une détérioration profonde des relations entre le Qatar et Israël.

 

En effet, l’Etat hébreu semble ne plus supporter cette propension de Doha à soutenir les forces qu’il considère comme « terroristes ». Tout au long des 50 jours de guerre, les plus hauts dignitaires israéliens ont repris en coeur le même discours en fustigeant l’appui du Qatar au « terrorisme ». Cette aversion a même pris la forme d’une demande explicite du ministre israélien des Affaires étrangères d’interdire la diffusion de la chaîne Al Jazeera.

 

Dorénavant, le ton se fait plus menaçant : des députés du Likoud étudient un projet de loi destiné à considérer le Qatar comme « Etat ennemi » et un centre d’études israélien souhaite « punir » l’émirat en orchestrant une campagne mondiale de dénigrement de l’image du Qatar afin de lui retirer le Mondial 2022. Alors qu’à la fin des années 1990, les deux capitales entretenaient des relations quasi-officielles, rarement les relations entre Tel Aviv et Doha n’auront été aussi glaciales.

 

Cette tension diplomatique avec Tel Aviv est aussi à mettre en perspective avec deux autres éléments du fait politique régional. D’abord, il y a la proximité de plus en plus forte entre le Qatar et la Turquie qui, dès le début de l’opération israélienne, se sont unis pour exprimer une même solidarité avec Gaza notamment lors de la visite de l’émir auprès du premier ministre turc à Ankara à la mi-juillet. Cette rencontre a symbolisé cette entente au plus haut niveau qui permettait à Doha de contrer son isolement régional par un pacte de sécurité avec l’un des Etats les plus en vue de la scène moyen-orientale.

 

Ensuite, il ne faut pas nier une forme de concurrence entre la diplomatie qatarie et celle de son homologue égyptienne. Autant la séquence estivale dans la région a mis en exergue le dynamisme du Qatar, autant l’Egypte (dont on pensait qu’elle resterait engluée dans ses affaires intérieures) a retrouvé sa place d’acteur incontournable dans l’équation stratégique régionale.

 

Malgré la répression contre les Frères musulmans dont le Hamas fait partie, Le Caire a pu tirer son épingle du jeu en assurant une forme de parrainage de l’accord survenu mardi. Et parmi les pays qui ont été remerciés par Mahmoud Abbas lors de son allocution pour annoncer le cessez-le-feu, se trouvaient l’Egypte et le Qatar.

 

Le retour de la diplomatie de la médiation ? 

 

Il faut enfin replacer toute cette effervescence dans un cadre régional plus vaste. La fin des combats à Gaza coïncide avec la libération de l’otage américain Peter Theo Curtis détenu pendant deux ans en Syrie et pour laquelle le Qatar a joué un rôle important.

 

Cette velléité de revenir sur le devant de la scène internationale sous un jour plus attractif est une tendance que l’on retrouve, là aussi, depuis l’avènement au pouvoir du nouvel émir. Sur l’affaire de libération des otages, le Qatar était déjà à la manoeuvre dans plusieurs affaires afin de faciliter leur libération.

 

Qu’il s’agisse des religieuses chrétiennes de Maaloula, des pilotes turcs ou des pèlerins chiites, c’est souvent Doha qui a joué de son influence et de ses relations pour parvenir à des issues.

 

Nul doute que cette propension à vouloir apparaître comme un acteur ouvrant à davantage de stabilité va être de plus en plus mise en avant et ce, afin de contrer la mauvaise presse dont l’émirat pâtit auprès des opinions occidentales.

 

Dans un contexte régional explosif avec l’avancée de l’Etat islamique en Irak et la descente aux enfers du chaos syrien, le Qatar semble vouloir clarifier ses prises de position diplomatiques.

 

Dans un univers mondialisé où l’image d’un pays peut jouer un rôle crucial dans la défense de ses intérêts économiques, on peut penser que cette réorientation de l’activité diplomatique vise aussi à donner des gages à l’opinion mondiale dans la perspective du Mondial 2022 que l’émirat souhaite accueillir dans les meilleures dispositions.

Source: leplus.nouvelobs.com

Par La Rando

Visite panoramique de Dubai

Petite balade à Dubai en voiture. Dans cette vidéo vous verrez quelques endroits incontournables à voir sur Dubai. La ville de Dubaï connaît une importante expansion démographique depuis quelques années et la visiter prend pas mal de temps. Découvrez cette vidéo .

Par La Rando

Vous travaillez de nuit à Dubai ?

Marie-Anne Gautier, médecin du travail à l’INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité pour la prévention des maladies professionnelles et des accidents du travail) explique quels sont les méfaits du travail de nuit sur la santé…

Selon une étude de la Dares publiée jeudi, 15,4 % des salariés français travaillaient la nuit en 2012. Un travail qui «comporte davantage de facteurs de pénibilité physique et de contraintes de vigilance», selon la Dares.

20 minutes fait le point sur les risques pour la santé du travail nocturne avec Marie-Anne Gautier, médecin du travail et experte médicale chargée des horaires atypiques et du travail de nuit à l’INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité pour la prévention des maladies professionnelles et des accidents du travail).

Quels sont les effets à court terme du travail de nuit sur la santé des salariés?

Tout d’abord, il y a peu d’effets néfastes pour ceux qui travaillent occasionnellement de nuit. En revanche, travailler régulièrement de nuit peut nuire à la santé. Ces salariés sont par exemple souvent sujets à des troubles du sommeil. En effet, le sommeil diurne est de moins bonne qualité que le sommeil nocturne, car il est morcelé et perturbé par la lumière. Ce qui conduit à une diminution du temps de sommeil hebdomadaire chez ces salariés. D’où des risques de somnolence accrus pour eux et donc d’accidents (par exemple de la route). Par ailleurs, ils se plaignent souvent de problèmes digestifs, qui peuvent être dus au moindre temps passé pour leurs repas ou encore à leur moins bonne qualité.

Et quels sont les effets à long terme?

De nombreuses études épidémiologiques montrent que le travail nocturne augmente chez certains sujets les risques de maladies cardiovasculaires, notamment en raison d’une mauvaise hygiène de vie. Car les personnes travaillant la nuit ont tendance à moins bien manger, donc à prendre du poids, à fumer davantage et à moins faire d’activité physique. Ce rythme serait aussi à l’origine de l’apparition de cancer du sein, de la prostate ou du colon. Enfin, il peut affecter certaines grossesses: retards de croissance du fœtus, augmentation des risques de fausses couches et de prématurité.

L’équilibre psychologique peut-il aussi être affecté?

Oui, car la fatigue qui se cumule peut engendrer une certaine anxiété, tout comme le fait d’avoir une moindre vie sociale. Certains supportent mal aussi d’être privés de la lumière du jour. Au final, cela peut entraîner dans certains cas des dépressions.

Quels sont les salariés les plus vulnérables face à ces risques?

Sans conteste ceux qui travaillent en horaires postés, c’est à dire ceux dont les horaires changent sans cesse et qui travaillent un coup le matin, un coup le soir. Leur organisme est tout le temps obligé de s’adapter, ce qui provoque une certaine usure.

Mais tous les salariés travaillant de nuit ne le vivent pas mal et choisissent quand même de travailler de nuit car cela présente certains avantages …

Ceux qui ont choisi de travailler à ces horaires et qui s’en retirent des bénéfices (salaire majoré, moindre stress de la part des supérieurs, possibilité de s’occuper des enfants la journée…) supportent bien mieux les contraintes.

Comment les entreprises peuvent-elles parvenir à concilier leur désir de rentabilité tout en préservant la santé de leurs salariés qui travaillent la nuit?

La loi oblige les entreprises à mettre en place les mesures nécessaires  pour protéger la santé de leurs salariés.  Avant la mise en place d’une organisation du travail avec des horaires de nuit, il leur est conseillé d’en mesurer les avantages et les inconvénients et de prévoir des dispositions qui minimisent les impacts négatifs sur la santé. Des discussions peuvent avoir lieu lors des Chsct (comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail) qui sont des instances qui représentent les salariés. A l’INRS, nous conseillons les organisations avec des  plannings les plus réguliers possibles, et en particulier une équipe de nuit permanente (des salariés qui travaillent toujours la nuit). Il est recommandé également d’organiser les rotations en sens horaire (matin, après midi, nuit), de repousser au maximum l’horaire de prise de poste du matin (à partir de 6 heures), et de privilégier les rotations intermédiaires (changement d’horaire tous les 2 à 5 jours). Une pause d’au moins 20 minutes pour permettre au salarié un moment de repos permet de prévenir la somnolence et un environnement lumineux avec de la lumière forte en début de nuit et moins vive au petit matin aide l’organisme à s’adapter à ce rythme. Enfin, il faut assurer un suivi médical régulier de ces salariés et s’assurer qu’ils tolèrent toujours bien ses horaires.

Propos recueillis par Delphine Bancaud
Source: 20minutes.fr
Par La Rando

Les Français vont moins au restaurant

(Relaxnews) – Avec la crise, les Français vont moins au restaurant mais n’hésitent pas à mettre le prix pour se payer une bonne table de temps en temps, révèle une étude Gira Conseil, à l’occasion de l’opération Tous au restaurant, qui se déroulera fin septembre.

En une année (entre 2013 et 2014), les Français ont été moins nombreux à fréquenter les tables gastronomiques. 42,7% disent y aller moins souvent, à cause de la crise, contre 31% un an plus tôt. Mais pour eux le prix n’est plus un frein. Ils ne sont que 30% désormais à estimer que l’aspect tarif peut les dissuader de pousser la porte d’un grand restaurant, contre plus d’un sur deux (54%) un an plus tôt.

Et pour cause, les sondés sont plus nombreux à penser qu’un restaurant peut proposer une cuisine gastronomique pour une note comprise entre 36€ et 50€ (47% vs 43%).

D’ailleurs, ils sont également plus nombreux à opter pour la restauration haut de gamme à l’heure du déjeuner (15,3%, +3 points).

Les consommateurs sont aussi des clients avertis et connectés. 46% se renseignent sur Internet avant de faire un choix contre seulement 23% qui interrogent leur entourage. 43% (en majorité des femmes) utilisent leur smartphone au restaurant, pour faire des photos (58%) ou pour le géolocaliser ou partager avec leurs proches (47%).

De plus, 61,5% n’hésitent pas à commenter leurs expériences culinaires. Aussi, 40% optent pour Tripadvisor, 24% se tournent vers Facebook contre 22% sur le site de La Fourchette.

Le marché de la restauration gastronomique a progressé de 4,5% entre 2012 et 2013, sur les tickets moyens à plus de 31€, révèle cette étude.

Cette étude a été menée en amont de l’opération « Tous au restaurant », qui reviendra pour sa 5e édition, du 22 au 28 septembre. L’événement permettra au plus grand nombre de découvrir de belles tables en France, mais aussi dans quelques pays européens, en ne payant qu’un menu sur deux.

L’étude a été menée du 12 avril au 5 mai 2014 auprès d’un échantillon de 450 personnes de plus
de 15 ans, représentatif de la population française.

Source: larep.fr

Par La Rando

Mamans à Dubai: concilier vie pro et vie perso

Alors que le travail exige toujours plus de productivité, de disponibilité, et d’autres mots en « té », la vie personnelle apporte aussi son lot de contraintes entre fournitures scolaires, vie de couple chaotique et parents malades (dans un ordre non nestorien). C’est en me demandant « comment font les autres pour tout concilier? » que j’ai créé il y a 7 ans le blog et le réseau Maman travaille. Pour Les 200 astuces de Maman travaille, je suis allée à la rencontre de pros, des gens qui concilient vie pro intense et vie perso épanouissante et qui m’ont livré leurs astuces… En voici certaines.

1/ Assumer, oui. Positiver de force, non.

Pour la psychothérapeute Isabelle Constant, on peut assumer avec sérénité et bonne humeur nos choix. En revanche, il est vain de se forcer à positiver. « Je ne vois pas comment on peut se forcer à sourire le jour du retour au travail, si l’on avait envie de rester chez soi avec son bébé. En revanche, on peut être honnête avec soi-même et se souvenir des raisons qui nous ont poussé à prendre cette décision. Et l’assumer ! »

2/ Entreprendre un bilan de compétences

Spécialiste de la gestion de carrières au féminin et cofondatrice de Happy Families, Garance Yverneau suggère à toutes les personnes rencontrant des difficultés de conciliation vie pro/vie perso d’entamer un bilan de compétences pour y voir plus clair dans leurs aspirations. « Il peut être pris en charge financièrement, dans le cadre du droit à la formation continue. »

3/ Se concentrer sur son propre bonheur

Dans les avions, on demande aux adultes de placer le masque à oxygène sur eux avant de le placer sur leurs enfants. La logique est imparable: si l’adulte ne peut pas respirer, il ne peut pas aider l’enfant à respirer! « C’est la même chose dans la vie » affirme Marianne Dorell, rédactrice en chef du magazine Parole de Mamans. « Mon propre bonheur est la clé de tout. C’est un pédiatre qui m’a fait prendre conscience de cela, je lui demandais si je devais donner des carottes ou des choux-fleurs à mon fils et lui m’a fixé en me demandant: Sinon, ça va, vous? »

4/ Abuser des clés 3G

Jessica Cymerman, auteure du blog Serial Mother et co fondatrice de l’agence de baby-sittings online, lance: « Avec 3 enfants, ce qui me permet de durer, c’est de partir à la campagne dès que possible avec un ordinateur et une clé 3G. » Michèle Fitoussi, ex éditorialiste au magazine ELLE et créatrice du Paris des femmes, raconte aussi: « Quand on m’a demandé ce que je voulais, je n’ai pas réclamé de promotion ou de poste de manager: j’ai dit que je voulais travailler de chez moi. C’est ce qui m’a permis d’élever mes enfants et de me lancer dans tant de projets différents, en même temps! »

5/ Prendre soin l’un de l’autre dans le couple

Formatrice RH et écrivain, mère de 5 enfants, Marie Lafragette, 31 ans, explique: « Chaque soir, quand mon mari rentre du travail un peu après moi, il prend le relais à 100% et se défonce pour les enfants: bains, devoirs, dîners des enfants, il gère tout. Pendant ce temps, je prépare notre dîner à nous – un plat maison, le plus souvent – et nous savourons notre soirée en amoureux. » Cette routine instaure un climat bienveillant, où l’on prévient les besoins de l’autre. Valable que l’on ait des enfants ou pas, dans un couple hétéro ou homo.

6/ Prioriser sans culpabiliser

La coprésidente du groupe EELV à l’Assemblée Nationale, Barbara Pompili, mère d’une fille de 10 ans en garde alternée, estime que la culpabilité ne résout rien et retire du plaisir à ce que l’on fait. « Je me consacre à 100% au moment présent. Il faut revoir l’organisation des horaires de travail. Mais quand je suis en séance ou en cérémonie protocolaire, je ne pense pas au cours de danse de ma fille. »

7/ Se sécuriser financièrement et socialement

Les pauses sont de plus en plus fréquentes dans les carrières. Simone de Beauvoir expliquait qu’une femme doit « gagner de quoi vivre et de quoi faire vivre ses enfants. » Néanmoins, avec 350.000 places en crèches manquantes et des congés parentaux pris à 98% par les mères, les parcours professionnels des femmes sont de plus en plus précaires. Avec des conséquences sur leur retraite ou leur reprise d’activité professionnelle… Consciente de cet état de fait, Marine, du blog Une Chambre à moi, a décidé d’organiser sa situation de mère au foyer. « Nous considérons que l’argent gagné par mon mari est l’argent du couple » explique-t-elle. « Nous sommes allés voir notre banque et avons pris des mesures pour mettre de l’argent de côté pour moi, ma retraite, que je ne me retrouve pas démunie. »

8/ Se passer du feu vert des autres

Chacun a une idée très précise de ce que vous devriez faire, « faukon », « yaka »… Pour les éviter, Selma, fondatrice du site Apollinepoint, recommande de se passer de l’avis de tous avant de prendre une décision que l’on estime bonne pour soi. « Osez. Maintenant. Ici. Des portes s’ouvriront que vous n’imaginez même pas… »

 

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Par La Rando

Barrada aux Emirats arabes unis

Auteur d’une très belle performance avec Getafe pendant deux saisons, Abdelaziz Barrada a rejoint les Emirats Arabes Unis lors du dernier mercato estival. Actuellement à Marseille, le Marocain explique pourquoi il est allé jouer une saison aux EAU.

«Je sortais de deux saisons pleines Getafe. Ensuite, mon président a refusé pas mal d’offres, parce qu’à cette époque, il demandait beaucoup d’argent. Je me suis donc dit pourquoi ne pas découvrir autre chose aux Emirats, une nouvelle culture notamment. Et je ne vais pas mentir : l’offre était très belle. Les Emirats ce n’est pas la Liga ou la Ligue 1, c’est sûr. Aujourd’hui, je suis revenu pour bosser. Il ne faut faire attention à mes stats de la saison passée. J’étais aux Emirats, pas en Liga. Mais cette expérience est un plus pour moi, avec une bonne saison. Mais je suis très heureux revenir Europe, surtout à l’OM.»

Source: africatopsports.com