Par La Rando

Culture Emulsion présente Emilie SIMON pour un concert à Dubai

Dubai, UAE – CULTURE EMULSION est heureux de présenter “Emilie SIMON “ en concert, à Centrepoint Theatre, DUCTAC – Mall of the Emirates les 18 et 19 Février 2015 à 20h30, pour la première fois à Dubai.

Dans le cadre de sa tournée internationale, après la sortie de son 6ème album “MUE”, Emilie SIMON nous fait le plaisir d’accepter notre invitation pour deux dates à DUBAI.

Vivant à New York, Paris devient son inspiration, au point d’en écrire des morceaux. Le romantisme de Paris, sa poésie, sa richesse artistique, sa grandeur, sont tout ce qu’elle nous transmet dans son album.

Elle fête également par cette tournée les 10 ans de la Bande Originale de la Marche de l’Empereur qui lui a valu en 2006 la Victoire de la Musique pour le Meilleur Album de musique originale de cinéma ou de télévision de l’année et une nomination aux Césars 2006 pour la Meilleure Bande Originale.
EVENEMENT : 18 & 19 FEVRIER 2015

Lieu : Centrepoint Theatre – DUCTAC – Mall of the Emirates DUBAI

Tickets : 295 AED – Sièges numérotés

Point de vente : à partir de Mercredi 04 février 2015

– Box Office du DUCTAC – Mall of the Emirates 04 341 4777
www.ductac.org
www.timeouttickets.com
www.tixbox.com

CULTURE EMULSION, émulsionneur de culture francophone dans la région du Golfe, est une société basée à Dubai. Cécile HERMAN et Stéphane BRISMONTIER, ses deux co-fondateurs, ont mis leur expérience et leur enthousiasme en commun pour enrichir la scène artistique et culturelle locale en se focalisant sur la langue francaise.

Après,

Leurs productions locales :

Ils se sont aimés – Janvier 2014
Le Prénom – Juin 2014, second saison en Décémbre 2014

Leurs productions importées de France :

THEATRAL SUSPECTS – Mars 2014 –
Premier spectacle de théâtre d’improvisation présenté à Dubai en Français
SHEHERAZADE & la 1002ème nuit – Décembre 2014
Premier spectacle enfant présenté à Dubai au DUCTAC en Français
LE CLAN DES DIVORCEES – Janvier 2015
Première pièce de boulevard présentée à Dubai au DUCTAC en Français

L’équipe de CULTURE EMULSION est heureuse d’ouvrir la scène musicale aux jeunes artistes francophones en accueillant Emilie SIMON en première invitée .

www.culture-emulsion.com
contact@culture-emulsion.com
Cécile HERMAN : + 971.50.50.80.783
Stéphane BRISMONTIER : +971.50.90.58.401
Facebook: culture emulsion
Instagram: culture_emulsion

DISCOGRAPHIE

2003 : Émilie Simon
2005 : La Marche de l’empereur
2006 : Végétal
2007 : À l’Olympia
2009 : The Big Machine
2011 : Franky Knight
2014 : Mue

DISTINCTIONS

Victoires de la musique
2004 : Album de musiques électroniques / groove / dance de l’année pour l’album Émilie Simon
2006 : Album de musique originale de cinéma ou de télévision de l’année pour La Marche de l’empereur
2007 : Album de musiques électroniques / groove / dance de l’année pour l’album Végétal

Grand Prix SACEM
2011 : Grand Prix des musiques électroniques – Grands Prix Sacem pour l’album Franky Knight

Nominations
au Prix Constantin en 2003 : pour l’album Émilie Simon
au César en 2006 : pour la bande originale La Marche de l’empereur
aux Victoires de la musique en 2013 : pour l’album Franky Knight

Fims et documentaires
2005 : Bande originale du documentaire La Marche de l’empereur.
2011 : Son album Franky Knight est la bande originale du film La Délicatesse.
2012 : Emilie Simon participe au documentaire de Jérémie Carboni : Musique(s) électronique(s).
2014 : Elle réalise le clip du single Menteur extrait de l’album Mue.

BIOGRAPHIE
Emilie Simon
– Mue –

Depuis son premier album éponyme en 2003, Emilie Simon a fait un long voyage. De retour de New York, où elle avait le plus longuement posé ses bagages, elle retrouve la France avec un sixième album inspiré par l’effervescence romanesque d’un Paris sublimé. Une véritable Mue pour cette artiste singulière sur la carte pop française, qui rompt ainsi avec l’alchimie électronique ayant fait sa marque, au profit cette fois d’une approche sonore plus organique. La mise en retrait des machines est ainsi ce que l’on remarque en priorité à l’écoute de ces dix chansons où flamboient au premier plan un orchestre à corde, des cuivres et de multiples trouvailles acoustiques qui en accentuent le côté épique, romantique et, osons le mot, féminin. Pourtant, pour donner corps à cette odyssée sensuelle et majestueuse, Emilie a su s’entourer d’hommes, comme le jeune et ingénieux Français Tahiti Boy, le vétéran anglais Ian Caple (Bashung, Tindersticks) et enfin l’Américain David Kahne (Lana Del Rey, Strokes, Regina Spektor). Les cordes ont été enregistrées à Londres par Sally Herbert, incontournable tisseuse de songes à l’œuvre sur de nombreux albums pop anglais (Bat For Lashes, Pete Doherty). Quant aux cuivres, on les doit à un autre maître britannique du genre, Gary Barnacle (Costello, Clash, Bowie ou Pet Shop Boys). Mixé par Chris Cody (TV On The Radio), « Mue » s’annonce donc comme l’un des disques français les plus ambitieux de ces dernières années sans pourtant qu’Emilie s’en ressorte étouffée par un tel prestigieux entourage. Au contraire, son écriture déliée et imagée, ses compositions spacieuses et charmeuses, l’énergie scintillante de sa voix n’auront jamais autant été mises en valeur. D’emblée, elle pose le décor avec Paris j’ai pris perpète, déclaration d’amour sur un mode féerique à cette ville où furent écrits les textes de l’album.
L’euphorie quasi funky de Menteur et ses guitares très Chic agit ensuite comme un baume irradiant, les inflexions afro-cubaines de A l’encre de mon être rencontrent la magie des gamelans balinais dans un tourbillon à donner le vertige, avant l’apaisement d’une folk-song de clair de lune (The Eye of the moon) et le réveil en fanfare de Quand vient le jour. Une moitié d’album et déjà Emilie Simon a brouillé toutes les pistes où l’on pensait la trouver, presque méconnaissable et pourtant parfaitement elle-même, preuve que la Mue est réussie. Une ballade romanesque au piano (Les étoiles de Paris) avant que des trombes de cordes envahissent Des larmes, chanson hollywoodienne aussi profonde qu’une vallée, et l’album se poursuit dans le même élan, entre l’intimité des rêves de jeunes filles et leur transcription en cinémascope. Avec Le Diamant et Perdue dans tes bras, diptyque sous influence de l’Orient lointain, Emilie se mue en héroïne des films d’aventure et joue des modulations de son chant avec l’évident plaisir d’une comédienne capable d’endosser tous les rôles. C’est encore à cheval sur un piano qu’elle redescend doucement sur terre avec Les Amoureux de minuit, chanson-confession bouleversante et comme brûlée de l’intérieur par un orgue bluesy. Des carillons enchanteurs du départ à la mélancolie des lendemains d’extase qui nous prend en écharpe à la sortie, on se rend compte qu’Emilie Simon s’est transformée avec cet album en narratrice hors pair, jouant moins sur les ellipses d’écriture et les trucages sonores pour parvenir à bâtir son récit et lui offrir la plus somptueuse des enveloppes musicales. Avec son précédent album, Emilie Simon accomplissait la délicate prouesse de faire coïncider un travail de commande (la musique du film La Délicatesse) à travers des chansons parmi les plus intimes de son répertoire. Le cœur léger et des ailes retrouvées auront conduit naturellement Emilie à cette Mue spectaculaire. Plus mûre mais toujours mutine, ingénieuse et ingénue à la fois, elle a accompli une Mue dont il faudrait être de pierre pour ne pas ressortir ému.