Petit guide des basiques de mode ou comment acheter malin pendant les soldes ou une virée shopping : Chapitre 3 Les jupes
Avant d’écumer les soldes ou d’arpenter les galeries marchandes, un petit tour d’horizon de notre dressing s’impose … Qu’est-ce qui me manque ? Que dois-je remplacer ? Quels sont les incontournables ? Les erreurs à ne pas faire ? Réponse en 6 chapitres !
Les indispensables
– La jupe trapèze : parce qu’elle va à tout le monde – Le grand jupon : parce qu’il est versatile et très facile à porter – La jupe en soie : parce qu’il n’y a pas plus glamour – La jupe en jean : parce qu’on la met du matin au soir
Et si il reste encore de la place dans le placard …
– La jupe imprimée : pour exprimer sa personnalité – La jupe en tweed : un classique qui a du chic – La jupe en cuir : plus facile à porter qu’on ne croit – La minijupe : si j’ai les jambes qui vont avec
Attention aux pièges
– Le port de la jupe nécessite de se regarder objectivement dans la glace en se disant : «Est-ce que j’ai vraiment envie de montrer mes jambes ?» L’erreur consisterait à répondre : «Ok, je vois bien que mes genoux sont gras et mes chevilles épaisses, mais j’assume et je m’en vais mouler tout ça dans une minijupe stretch.» Assumer consiste plutôt à prendre conscience de mon défaut et à tout faire pour le dissimuler, afin que les autres me prennent pour une déesse ! – Pas question pour autant de m’interdire la jupe. La minijupe et la jupe droite nécessitent d’avoir des jambes parfaites. Mais tous les autres modèles peuvent faire des merveilles avec des bottes ou un collant opaque noir (bannir les couleurs et les imprimés). L’été, une jupe trapèze et des sandales à semelle compensée peuvent avoir suffisamment de volume et de poids pour faire paraître mes jambes plus fines, par contraste. – Il y a une longueur qui ne va à personne : celle qui tombe à mi-mollet, là où celui-ci est le plus épais. Toujours s’arrêter aux alentours du genou, ou alors descendre jusqu’aux chevilles. Point de salut entre les deux ! – Une inquiétude très fréquente chez celles qui rechignent à mettre des jupes : paraître apprêtée. C’est dommage, parce qu’il y a mille et une manières de ne pas avoir l’air en route pour la soirée des Oscars. Exemple : avec des bottes cavalières et un gros pull col roulé, même une jupe en mousseline peut devenir totalement relax ; ou bien avec une chemise blanche qui pend, un caban et une grande écharpe tricotée, même une jupe droite peut paraître week-end. – Les jupes droites ne supportent pas les chaussures plates. A moins d’être très très grande, des ballerines ou des bottes plates risquent de me ratatiner. Tout l’inverse des minis, alliées traditionnelles du plat, mais qui, si la coupe est évasée, supportent aussi les Stilettos. Les grandes jupes fluides peuvent tout admettre – le haut évidemment le plus spectaculaire, mais idéal pour se faire remarquer en soirée !
Parce qu’on n’a pas toujours 20 ans …
– Le mini-kilt court est réservé aux teens. C’est sans appel pour les autres ! Et le kilt long ? A part pour se déguiser en caricature bécebège le jour du carnaval, ou se faire un trip ado rebelle en le portant sur un pantalon, on ne voit pas. – A 20 ans, la jupe droite en lainage risque fort de me transformer en secrétaire rabougrie. C’est le moment ou jamais d’expérimenter et d’être fun, donc je choisis des modèles plus rigolos ! Trente ans plus tard, ladite jupe droite en lainage devient au contraire un de mes basiques. Alors que je peux mettre au feu tout ce qui ne sera pas suffisamment construit et me fera passer pour une belle des champs périmée – les jupes de gitane, par exemple. – La minijupe n’est pas une question de décennie, mais bel et bien de morphologie. La règle est simple : si il reste un espace entre mes deux jambes lorsque je les serre l’une contre l’autre, alors à moi les bouts de tissus extra-small ! Quel que soit mon âge. En revanche, la manière de porter la minijupe diffère un peu selon que je suis plus proche des 20 ans (pas de problème pour y associer tongs et top à bretelles) ou des 40 (mieux vaut faire une croix sur la mini en plein été, et la ressortir l’hiver avec des collants opaques et des bottes). – La jupe en tweed n’est pas réservée à nos grand-mères. Loin de là. Les plus jeunes peuvent lui associer une veste en jean et une casquette gavroche, par exemple. Les autres doivent miser sur deux mots clés qui évitent de se vieillir de dix ans : séduction et féminité ! C’est à dire qu’on ne va pas y accoler un gros pull en laine, mais qu’on va sortir notre plus joli top en soie, ou notre maille la plus proche du corps. – Pareil pour les imprimés qui pourraient a priori nous rendre prêtes pour la maison de retraite : grosses pivoines, rayures orange-marron. Je n’associe jamais ces pièces avec des basiques ; au contraire, je fais tout pour leur donner du style : 20 ans et des brouettes, j’opte pour des détails rock n’ roll; 40 ans et des poussières, je joue la carte du glamour.
Placard ou poubelle ?
Poubelle La coupe évasée me va à ravir … … mais si je respire le bouton saute ! La jupe droite, c’est élégant … … mais je fais du 40, et j’ai cru que ce serait plus sexy en 36. La matière est à tomber … … elle le serait encore plus si cette tâche voulait bien partir. Cette mini est sexy … … mais on voit ma culotte dès que je m’assois. Mes enfants adorent cet imprimé … … c’est pas eux qui se coltinent ces éléphants et ces girafes ! Placard La longueur me fait mamie … … et si on coupait 5 cm d’ourlet ? Elle est transparente … … je vais illico m’acheter un jupon. Je l’ai trouvé chez ma grand-mère … … formidable, du vintage ! L’effet porte-feuille s’ouvre au vent … … une épingle fantaisie ou une jolie broche, et c’est réglé. Je n’ai pas les chaussures qui vont avec … … ça tombe bien, c’est bientôt mon anniversaire.
– La microrobe qui m’arrive à peine en dessous des fesses et révèle la moitié de mon buste est à proscrire, définitivement. En revanche, dénicher une robe courte à manches longues se révélera une aubaine. Elle n’a même pas besoin d’être moulante, elle peut être en jersey ou en coton souple. Quoiqu’il en soit, elle me suivra partout, pour cocounner à la maison ou pour sortir le soir. J’ai un faible pour les robes bustier ? Ok, mais la jupe doit descendre au moins au genou. Et avant de quitter mon chez moi, je lève les bras dans tous les sens pour vérifier qu’elle ne me trahira pas lorsque je lèverai mon verre pour un toast ou que je m’éclaterai sur la piste de danse. – Attention aux trips historiques. La robe ligne Empire (resserrée sous la poitrine, l’effet en dessous étant celui d’une très longue jupe droite) est plus compliquée que l’on ne croit : elle peut être totalement déplacée sur une fille un peu voluptueuse, et elle risque aussi de noyer les plus minces. Une robe années 1920, fluide, à bretelles, ne soulignant aucune forme ? Je ressemble à un sac. Et une robe fifties, avec sa grosse jupe ballon ? Je suis une montgolfière prête à décoller !
– Une astuce pour permettre aux jambes lourdes de porter quand même une robe : la mettre par-dessus un pantalon. Enfin, plus facile à dire qu’a faire. Car la robe doit être fluide (pas question qu’elle me moule et révèle les détails du pantalon), mais structurée (sous peine de passer pour une pauvresse qui porte tous ses vêtements sur elle). Et moi, je ne dois pas être ni trop maigre (on ne verra que mes deux couches de fringues) ni trop grosse (l’accumulation ne fera qu’ajouter en épaisseur).
– L’âge rendant le haut du bras un peu flagada, je ne porte mes robes sans manches qu’avec un gilet ou une veste. Le thermomètre frise les quarante degrés ? Une robe à petites manches flottantes est l’idéal ! J’évite les manches ballon, qui accentuent le volume «à l’entrée» et compriment la chair «à la sortie». – Je suis quinquagénaire … mais certains imprimés risquent de me faire passer pour une septuagénaire. Lesquels ? Ceux qui sont justement l’apanage des très vieilles dames : pot-pourri de petites fleurs, gros carreaux rouges et gris, tweed marronnasse … Il n’y a que sur une toute jeune fille qu’une robe dans un de ces tissus peut paraître drôle et décalée. 
– 2 Le pantalon noir dans lequel j’oublie tous mes complexes Rien de mieux que le chic troublant de ce basique volé aux vestimentaire masculin, que je peux à ma guise rendre sensuel (avec une blouse un rien transparente), sérieux (avec une veste à rayures), branché (avec un T-shirt imprimé ou un débardeur); A choisir de préférence taille basse et dans une matière de qualité (exit l’acrylique qui brille ou le 100 % stretch qui souligne le moindre défaut). – 3 Une jupe en denim Une coupe trapèze, un denim ni trop mou ni trop rigide, une toile brute plutôt que délavée : les trois astuces pour être sûre que la jupe en jean flatte n’importe quelle morphologie et s’adapte au look le plus décontracté ou le plus pointu.
– 4 Une petite robe noire Un achat encore plus rentable qu’une SICAV. Avec un simple changement d’accessoire (hop ! Un sac à main vernis ! Hop ! Une besace en vachette ! Hop ! Un collier de perles !), elle s’adapte à toutes les occasions et peut être recyclée mille fois. – 5 Une robe à bretelles que je porte été comme hiver L’idéal, c’est une coupe un peu nuisette et une matière fluide. Les possibilités, elles sont infinies, puisque je peux la porter avec des tongs ou des bottes, sur un jean ou sur un collant opaque, sous une veste ou sous un cardigan, voire enfilée sur un débardeur ou glissée sous un trench.
– 6 Une chemise blanche A éviter les jours où je risque les tâches (on oublie de l’enfiler pour aller au jardin avec son bout de chou). Sinon, elle va avec tout, s’adapte à toutes les situations, va à tout le monde – bref, une armoire sans chemise blanche, c’est comme une tartine sans confiture : absurde. – 7 Un haut à bretelles en soie A essayer d’urgence pour révéler la Catherine Zeta-Jones torride qui sommeille en chacune. Il est très mignon avec une jupe ou un pantalon cigarette, mais la meilleure tactique reste encore de se la jouer mine de rien, en l’associant à un jean et un grand pull V qui viendra négligemment glisser le long de l’épaule et révéler les bretelles de mon caraco.
– 8 Des T-shirts ajustés à manches courtes et longues pour enfiler sur une jupe ou sur un jean sans y penser Toute femme a le droit, un matin, de refuser de réfléchir à son look. Ce n’est pas de la paresse, mais plutôt un droit constitutionnel fashion. C’est ce matin-là qu’il est bon d’avoir, en haut de sa pile de tops, le bon T-shirt, celui qui tombe bien, qui n’est pas décoré du logo d’une marque d’alcool et qui ne remonte pas au-dessus du nombril. Ce T-shirt peut sauver la vie tant de fois qu’il faudrait l’épouser. – 9 Une pile de marcels pour l’été, que je recycle l’hiver sous un gilet Encore un vêtement que les filles ont bien fait de piquer aux hommes. Avec une jupe gitane, il faut des merveilles, tout comme un pantalon smoking ou un tailleur jupe. Ce qui fait tout son charme, c’est cet air garçon manqué qu’il ne manque pas d’ajouter à ma tenue, un peu comme si, soudain, j’étais la réincarnation de Greta Garbo. Ce serait franchement idiot de se passer de lui …
– 10 Un pull en V cintré qui me fait un super-décolleté Parce que le col roulé, ça peut gratter les plus sensibles ou accentuer des épaules de déménageur. Parce que tout le monde n’est pas à son avantage avec le col rond, ce faux ami fashion. Et parce que tout simplement, il n’y arien de mieux pour valoriser une poitrine (si elle est petite, à moi le chic androgyne ; si elle est plantureuse, j’en aurai l’air que plus sensuelle). Et puis c’est tout. – 11 Un twin-set dans une couleur acidulée pour me donner une touche de peps A la manière du shampoing 2-en-1, le twin-set peut me faire gagner dix minutes de prise de tête chaque matin. Je porte le cardigan + le gilet = je suis prête pour le boulot, il suffit d’ajouter un pantalon noir et des talons. C’est le week-end = je porte le gilet seul à même la peau, un peu déboutonné en haut, avec un jean et des ballerines. Et surtout, j’oublie le noir passe-partout ou le gris bécébégé et je craque pour une teinte de sorbet estival.
– 12 Une veste d’homme à porter sur un top le jour (et sans rien d’autre le soir) S’il n’y en a pas déjà une dans mon placard, il est temps d’appeler les urgences de la mode et de remédier à cet oubli, là, maintenant, tout de suite. Parce que le jour où j’ai l’entretien d’embauche de ma vie, ou le soir où je voudrai être renversante sans me fouler, je me mordrai les doigts qu’elle ne m’attende pas bien gentiment sur un cintre. – 13 Une veste en denim Non, pas la veste de mon adolescence que j’avais décorée au tipex. Ni celle oubliée par mon ex dans le panier de linge sale. Mais plutôt celle qui copinera sans problème avec ma jupe trapèze en tweed ou mon pantalon évasé à revers. Compris ?
– 14 Un trench-coat Parce que se draper dans un sac poubelle les jours de pluie est nettement moins glamour que de se glisser négligemment dans ce classique des classiques, dont l’aura indémodable évoque irrésistiblement les séductrices des films noirs. Et cela, même si je choisis de l’associer avec mon vieux jean et mes baskets pour aller chercher les croissants du dimanche matin.
– 16 Un ensemble soutien-gorge/culotte couleur chair, qui ne se voit pas, même sous un T-shirt blanc Toutes les enseignes, même les moins chères, proposent désormais ces merveilles. Il n’y a donc vraiment plus d’excuse valable au soutien-gorge bleu marine qui fait coucou sous mon chemisier ivoire ou à la ligne de culotte qui vient ruiner l’effet de mon sublime pantalon coupe droite.
– 18 Un foulard en soie que je porte autour du cou, dans les cheveux ou en ceinture Evidemment, pas n’importe quel foulard : plus il est long, fin et avec un joli motif (le noir tout simple marche aussi très bien), mieux c’est. Avec le carré de soie de ma grand-mère, j’aurai plus de mal à faire mon effet quand je veux le nouer à la taille de ma tunique made in India. Mais je peux toujours essayer, on ne sait jamais. – 19 Une ceinture un peu funky pour donner une touche rock n’ roll à n’importe quelle tenue Là, c’est le moment de se lâcher. Donc d’oser ce qui en total-look serait dur à digérer, mais qui sur un petit accessoire de rien peut devenir irrésistible. Alors, pourquoi pas le lamé argent, le faux croco, le cuir vernis clouté, la vachette vieillie tressée, les chaînons dorés ethniques ? Voire, si je n’aime vraiment que les bons vieux classiques, le ceinturon «pirate» en cuir noir ?
– 20 Des lunettes de soleil de star, façon Jackie O Plus la monture sera noire et me mangera le visage, mieux ce sera. C’est à ce prix que j’aurai l’air d’une vraie star, même quand je ferai du pédalo en Bretagne. – 21 Une paire de gants colorés Oui, oui, c’est sûr, une paire de gants en laine noire, ça passe partout. Mais ai-je vraiment envie de passer de partout ? Ne préfère-je pas créer une micro émeute quand j’arriverai le lundi matin au bureau avec mes gants cerise qui tranchent sur le gris de mon caban ?
– 22 Un sac cabas pour tout fourrer quand je suis pressée Dans l’absolu, c’est fantastique d’être une fashionista qui change de sac matin, midi et soir. Dans la vraie vie, c’est surtout super d’avoir trouvé le bon sac, suffisamment grand et léger pour pouvoir y glisser vingt agendas, quatre magazines, six dossiers, une bouteille d’eau, un collant de rechange … et qui cohabite pourtant très bien avec mes stilletos et ma veste à rayures. – 23 Un mini-sac pour le soir A glisser dans le grand cabas sus-mentionné, pour le soir où je dois enchaîner journée remplie et dîner glamour.
– 26 Une belle montre Si je n’aime pas les bijoux, elle peut être le moyen de m’essayer aux accessoires sans rompre avec mon style minimaliste. Et si je manque de moyens, je peux toujours suggérer à mes amis, à ma famille, à mes voisins, bref, à tout le monde, que ça ferait un bien meilleur cadeau pour mon prochain anniversaire qu’un robot-mixeur.
– 28 Une paire d’escarpins noirs à talons C’est certainement bête, mais parfois il n’y a rien qui fasse vraiment autant d’effet que quelques centimètres de talons. Ça n’a pas d’explication totalement logique. C’est plutôt une loi de la nature à ne pas ignorer. C’est donc une bonne idée si j’ai une paire d’escarpins classiques à portée de main, les meilleurs amis de la robe habillée ou du pantalon de smoking. – 29 Une paire de tongs Parce que, aussi, j’ai le droit de vouloir ignorer l’effet que produisent quelques centimètres de talons. Et de préférer me délecter du confort indubitable d’une jolie paire de tongs (qu’elle soit en plastique, en cuir ou en corde, peu importe) et de son talent inné pour aller avec une jupe corolle, un paréo ou même un jean.
– 30 Une paire de bottes cavalières à porter sous une jupe ou pour rentrer dans son jean Les meilleures amies des paresseuses. Pourquoi ? Parce que rien ne les démode, rien ne les surpasse et que rien ne va aussi bien avec un jupon romantique ou un jean skinny. Avec elles, le fashion faux pas est quasiment impossible.
Elle a pris le poste de gestionnaire principal de la Direction des Systèmes d’Information à l’Autorité Portuaire de Dubaï (DPA), le plus grand port du Moyen-Orient, et a travaillé à ce poste pendant sept ans. Lubna a remporté plusieurs prix avant de devenir Ministre de l’Economie aux UAE. Elle a également occupée différents postes: _ Conseil d’administration de Dubai Chamber of Commerce & Industry _ Conseil d’administration de Dubai University College _ Conseil d’administration électronique et de Total Quality Management College, Dubai _ Conseil d’administration pour Thunderbird School of Global Management, Glendale, Arizona, Etats-Unis _ Conseil d’administration de l’Université Zayed _ Conseil d’administration de la Dubai Autism Center _ Conseil d’administration de Simsari.com _ Conseil d’administration pour l’US-National arabe Chambre de commerce.
Elle a remporté notamment: * Dubai Quality Group — for Support to Leadership, Quality, and Change, 2000 * ITP Best Personal Achievement Award, 2000 * Datamatix IT Woman of the Year 2001 * Business. Com Personal Contribution Award, 2001 * Datamatix Outstanding Contribution, 2002 * Commonwealth of Kentucky Honorary title — Kentucky Colonel, 2003 * World Summit Award for Tejari.com, 2003 Rappelons que Lubna, a passé quelques temps en France. Elle fait partie des 100 femmes les plus influentes dans le monde, selon le classement « Forbes ».
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