Il est bien-sûr préférable de consulter un médecin/pédiatre francophone mais ce n’est pas toujours possible. Alors, pas de panique! Avec un peu de préparation, c’est moins difficile qu’on ne le pense. Tout d’abord, préparez ce que vous voulez dire (écrivez-le si besoin) ainsi que les antécédents familiaux. Vous connaissez les questions que posent en général les médecins francophones, essayez de les traduire en anglais. Quelques exemples : – Avez-vous une assurance: do you have health insurance ? – Prenez-vous des medicaments: are you taking medication? – Avez-vous eu des operations: have you ever had any operations? – Etes-vous allergique à quelque chose: are you allergic to anything? – Quel est votre problème: what is going on/ what is wrong/ what is your problem/ why are you here? Vous allez répondre: – Je tousse/ mon enfant tousse: I am coughing/my child is coughing – Mon enfant est malade: my child feels sick – J’ai la tête qui tourne : my head is spinning – Mon enfant a : my child has – …de la fièvre : a fever – … mal à la gorge : a sore throat – … mal au ventre: a stomach ache – … un rhume : a cold – … mal à l’oreille : earache – …un bouton : a rash/spot – … la diarrhée : diarrhoea – … une douleur : a pain Vocabulaire complémentaire : – Vomir : to vomit/to throw up – Indigestion : indigestion – Démangeaison : itch – Gratter : to scratch – Frissons : shivers/chills – Mal aux dents : toothache – Malaise : faintness – Point de suture : stitch – Végétations : adenoids – Vaccin : vaccine/injection – Repos : rest – Ordonnance : prescription – 37 degrés Celsius correspond a 98,6 degres Farenheit – 40 degrés Celsius correspond a 101 degres Farenheit Quelques maladies : – Grippe : flu – Varicelle : chickenpox – Pneumonie : pneumonia – Oreillons : mumps – Rougeole : measles – Rubéole : rubella – Otite : otitis/ ear infection La posologie : – Prenez 6 gouttes trois fois par jour avant les repas : take 6 drops three times a day before meals – Cuillère a cafe : teaspoon – Cachet/comprime : tablet – Pilule : pill N’hésitez pas a faire répéter si vous n’avez pas compris ou si vous n’êtes pas sur d’avoir bien compris, c’est important.
Des produits simples naturels et peu onéreux pour réaliser de véritables soins de beauté tranquillement à la maison ! Prendre soin de sa peau et de ses dents est la chose la plus importante dans cette société. Cela est valable aussi bien pour la santé. Se sentir bien dans sa peau est essentiel pour l’esprit. Dans cet article, nous allons vous donner quelques conseils pour avoir un beau visage et de belles dents. Lire la suite « Soins de beauté au naturel : Spécial visage »
Les beaux jours arrivent ! Quelles sont les nouvelles tendances ? Les must-have incontournables ? Comment les porter ? Inspirons-nous des créations vues dans les défilés printemps-été 2009 pour mettre une touche de glamour dans notre garde-robe. Bienvenue sur la planète mode !
Si la conjoncture économique n’est pas des plus fameuses , cela n’empêche en rien les fashionistas de revêtir des atours ultra shiny. Sequins, lurex, lamé, tissus métallisés et fils d’or ont ainsi littéralement illuminés les collections printemps/été 2009… Une veste, un top ou encore un accessoire (sac, chaussures, bijoux …) apportera une touche métallique à vos basiques le jour, et une robe glitter éclairera vos soirées. Il faudra plus que jamais oser et ne pas hésiter à arborer les couleurs de l’or et de l’argent.
Teint de peau
On mise sur le Chic et le Sensuel : les tons chair, couleur de peau, mais aussi l’ivoire et les déclinaisons de beige. Chic et intemporel, on adopte sans hésiter la couleur sable. Attention à choisir de jolies matières, légères, pour éviter le style « mémère ». De la tenue de camouflage aux couleurs maquillage, il n’y a qu’un pas. Franchi il y a quelques années par John Galliano chez Dior, qui relançait dans la foulée le fameux teint nude, le pas devient tendance de fond. Et de fond de teint car c’est une avalanche de beiges et de couleurs seconde peau qui nous attend en 2009.
Expression animale
Succombez au charme prédateur du python. C’est un must ce printemps, qui pourrait vous faire paraître échappée d’un zoo si vous en portiez de pied en cap. Adoptez plutôt le python par petites touches : un bracelet, un sac à main, une ceinture, des chaussures ou alors une veste. En conclusion, ce qu’il faut savoir sur le python, c’est qu’il n’y a qu’un pas entre l’alibi « mode » et l’effet « pouffe». Donc ça se porte façon « rock-chic », le teint pâle et la dégaine androgynesupercool, sinon on laisse tomber. Parez vous de plumes dans un style indien. Parmi les nombreuses tendances de la saison, le look indien fait son grand show ! Plumes et tuniques indiennes seront à adopter si vous voulez être dans la tendance ethnique du moment. Ce look fera de vous une femme unique, à la mode et terriblement chic. Les couleurs à adopter pour ce look ? Le beige, le blanc et le bleu. Cette tendance n’est pas flashy. La tendance indienne joue plutôt avec les imprimés géométriques et les matières naturelles. Le lin, le coton sont donc à l’honneur pour célébrer le retour des indiennes en ville. Les accessoires ne seront pas à négliger si vous voulez être à la pointe de la tendance indienne. Les cheveux se pareront de plumes discrètes mais présentes, ou de petites perles en bois. Bien évidemment les long colliers ethniques et les larges bracelets seront à adopter de toute urgence. Le bois sera alors votre bijou fétiche. Discret et naturel, il soulignera votre allure d’indienne des villes. Les détails à retenir : énormément de franges sur les chaussures, les sacs et même les gilets ou les robes), des bijoux plumes (boucles d’oreilles, sautoirs et dream-catcher), des broderies de perles indiennes (blanc, turquoise, rouge, marron), du cuir et du daim dans des tons naturels, fin bandeaux en travers du front, tuniques…
Graphique Black & White
Le célèbre duo revient en force sur les podiums pour notre plus grand plaisir : le noir et blanc, toujours aussi féminin et chic dans un esprit graphique et très couture. Craquez pour des ensembles comme le tailleur pantalon blanc avec un top noir ou la robe noire avec une grosse ceinture blanche. Une grande tendance de l’été est de jouer les contrastes en noir et blanc avec des imprimés forts le plus souvent géométriques. La règle d’or de ce look : toujours alterner le noir et le blanc.
Zeste d’orange
Les podiums de l’hiver nous ont prouvé l’engouement pour la couleur vitamine C. L’acte 2 se jouera cette saison printemps/été 2009 dans une version plus sanguine que citrouille. Autre bonne nouvelle : l’image ringarde du sous-pull orange 70s disparaît définitivement au profit de silhouettes hyperallurées, fluides, nerveuses ou arty. En un mot, modernes. La tendance mode que l’on portera sera donc : le orange éclatant. Cette couleur a la qualité de dynamiser votre style. On peut aussi la porter en touches avec du sable (autre couleur tendance) ou du noir.
Combinaison gagnante
Loin de la combi années 80 en coton basique, on vogue pour l’été 2009 entre la combi ultra chic en satin et la combi so sexy en passant par les imprimés seventies… Comment porte-t-on la combinaison version 2009 ? On n’hésite pas à l’associer à des talons vertigineux et une pochette de couleur flashy si la combi est noire, dorée si la combi est colorée. On pensait en avoir fini avec les combinaisons d’aviateur et autres panoplies de mécano. Raté ! Voici qu’elles redébarquent avec, en renfort, un régiment de jumpsuits et de combipantalons, parfois asymétriques. Difficile de savoir si la rue sera séduite par ce vêtement hybride, pas toujours flatteur pour la silhouette. Mais la tendance étant là, à vous de l’adapter.
Troublante légèreté
Après la grosse maille de l’hiver, il semble que nos amis les créateurs aient eu envie d’extrême légèreté… La mousseline s’est donc imposé et avec elle un certain manque d’opacité… On devine, on voit parfois … Évidemment, pas question pour nous de jouer les audacieuses en adoptant la tendance au mot : le bon réflexe mode : jouer la transparence et les superpositions. On retient le top, la robe et le chemisier, les pièces les plus faciles à porter. Pour le premier, on mise sur l’esprit vieille lingerie qu’on détourne et qu’on n’hésite pas à additionner. Pour le chemisier, déjà plus sophistiqué, on choisira par exemple un modèle un poil strict et rétro (avec plastron, volants, manches gigot…) qu’on porte un peu blousant, rentré dans une jupe taille haute ou un short court et des spartiates. Enfin rayon robe, on s’oriente vers un modèle à volants, qui multiplie les étages de voile ou de tulle et suggère sans jamais vraiment montrer. Peut-être pour adoucir l’aspect potentiellement pouffirisant de l’impudeur, on mise sur des couleurs chics et sages (blanc, pastel) et au soir, on réserve le noir, plus sexy. Le transparent d’accord mais l’attentat à la pudeur, no way. On garde notre dignité et on opte pour un look sophistiqué et bien pensé : là, l’accumulation de couches est de mise (un peu transparent + un peu transparent = plus vraiment transparent) et les basiques entrent en action. On pense : caraco ton sur ton, lingerie seconde peau et même leggins pour les plus farouches. La transparence – en tout cas cet été – se porte ample et vaporeuse. On l’aime aérienne, flottante dans le vent et surtout pas moulante.
Trip tribal
Femmes sauvages fatales réjouissez vous, les boubous et autres tissus tropicaux ainsi que les formes façon djellaba refont leur apparition dans la tendance, mais attention ils se portent ultra glam façon James Bond Girl. Les broderies, perles, et autres détails précieux sont de sortie ! Le métissage ethnique, en mode aussi, on aime, car cette tendance s’inspire de contrées lointaines. La mode nous fait alors voyager au cœur des influences ethniques, tribales et orientales. Pour les addicts de motifs hippies, de couleurs sud-américaines, de broderies indiennes ou encore de notes orientales. Dans le style métissage, parmi les sarouels, robes longues et tuniques ethniques, vous trouverez des accessoires en cuir ou en raphia avec de nombreux détails tantôt bruts ou raffinés.
Pantalons
Sarouel et pantalon de harem Coupe ample et tissu léger, le sarouel et le pantalon de harem sont confortables et parfaits pour l’été, la plage et les grosses chaleurs. Le pantalon de harem est la version longue du sarouel, pour les plus frileuses il couvre entièrement la jambe et se resserre à la cheville. Option n°1, le pantalon dit «harem» : Vu sur les podiums, un peu moins dans les collections de prêt-à-consommer, il est très ample, monté sur une ceinture large et resserré autour des chevilles sur une hauteur allant de 1 à 20 cm – comme dans Aladin, oui. On le porte avec des sandales et un marcel décontracté, la cheville haute plutôt que retombant sur le pied (mode vs baba) et par exemple, dans un mélange de coton/soie, pour un effet pur, chic, fluide et léger. Option n°2, le sarouel : Les choses se corsent… S’il lui ressemble, le sarouel paraît beaucoup moins «facile» que le pantalon harem, en cause la hauteur de sa fourche qui nous fait une silhouette pour le moins… déroutante. Il a pourtant un effet relativement allongeant (du buste oui) et porté avec des talons hauts (gladiator, escarpins ou boots peep toe), c’est l’un des looks phare de l’été. On le choisi en jersey ou coton, faisant de jolis drapés et porté avec du court en haut, pour éviter de déséquilibrer la silhouette. Le sarouel sera sophistiqué ou ne sera pas (en clair, évitons les converses à talon, les sweats zippés motif étoiles fluos, les t-shirt « don’t touch » et l’abondance de bijoux inappropriés : chaîne de taille, bague de pied, bracelet à la cheville et ras de cou) au profit de tops en soie blousant, coupes glamour et petite veste militaire ou perfecto. Jean bleach et boyfriendLe jean bleach Mais attention le jean bleach est presque blanc, tellement délavé qu’il en est usé. Surtout pas de jean à moitié bleach au centre et marine au bord, le jean 2009 est uniforme et très pâle. Il peut se porter en version baggy, slim ou short. Quoi qu’il en soit il vous faudra votre pièce bleach pour passer l’été. Un seul mot d’ordre : l’aspect Destroy. Le denim est passé à l’acide : il est éclairci à la javel dans des effets de taches régulières (aspect nuageux) ou ultra washé (aspect presque blanc ou «bleach»). Si on n’est pas fan des blanchiments aux produits ménagers, on peut opter pour l’autre aspect destroy du moment : les déchirures, les trous, les fils qui pendent. L’un et l’autre étant (c’est un must) combinable dans un jean délavé ET déchiré, de préférence droit et à porter avec une petite veste d’homme et des boots à talons hauts. Le jean boyfriend Le «boyfriend», c’est quoi ? En gros, c’est le jean de notre mec (ou pour les célibs, du frangin ou du meilleur pote). Il est (trop) grand, défraîchi, délavé, destroy, voire troué ! La bonne idée : fouiller dans les placards de la famille… C’est sûr, on en trouvera un ! La touche finale : Il faut le retrousser, c’est la règle ! La vraie nouveauté qu’il faudra se procurer, c’est le boypant : une coupe de garçon, qui tombe sur les hanches et qu’on porte cassant, esprit baggy, ou rouloté, comme Katie.
L’origine de la fête de la Saint-Valentin est assez mal connue. Il semblerait qu’elle remonte à l’Antiquité. Saint-Valentin était un prêtre vivant sous le règne de l’Empereur Claude II (IIIème S. apr-JC). A cette époque, Rome était engagée dans des campagnes militaires sanglantes et impopulaires. Claude II, surnommé Claude le Cruel, ayant des difficultés à recruter des soldats pour rejoindre ses légions, décida d’interdire le mariage pensant que la raison pour laquelle les romains refusaient de combattre était leur attachement à leurs femmes et foyers respectifs. Malgré les ordres de l’Empereur, Saint-Valentin continua pourtant de célébrer des mariages. Lorsque Claude II apprit l’existence de ces mariages secrets, il fit emprisonner Valentin. C’est pendant son séjour en prison que Valentin fit la connaissance de la fille de son geôlier, une jeune fille aveugle à qui, dit-on, il redonna la vue et adressa une lettre, avant d’être décapité, signé « Ton Valentin « . Une autre origine de la Saint-Valentin, remonte au Moyen-Age. On dit en effet qu’à cette époque une croyance se répandit en France et en Angleterre selon laquelle la saison des amours chez les oiseaux débutait le 14 février et que, prenant exemple sur eux, les hommes trouvèrent ce jour propice à la déclaration amoureuse. C’est ainsi que depuis, à la Saint Valentin, chaque Valentin cherche sa Valentine pour mieux roucouler au printemps.
Quelques adresses de restaurants romantiques sur Dubai pour fêter la Saint Valentin
Bahri Bar – Mina A’ Salam – Madinat Jumeirah, Jumeirah, Dubai – Tel : 04 366 6730 – Heures d’ouvertures : Samedi au jeudi 13h00 a 3h00 et vendredi 16h00 a 3h00 – Prix :50 – 200 Dhs Le Classique (Spécialités françaises) – Emirates Golf Club – Sheikh Zayed Road, Dubai – Tel : 04 380 2222 – Heures d’ouvertures : 12h00 a 15h et 19h00 a 22h30 tous les jours – Prix : 350 – 500 Dhs Medzo (Spécialités italiennes) – Wafi Pyramids – Oud Metha, Dubai – Tel : 04 324 0000 – Heures d’ouvertures :12h30 a 15h et 19h30 a 23h30 tous les jours – Prix : 350 – 500 Dhs The Dhow (Spécialités de la mer) – Le Meridien Mina Seyahi Beach Resort & Marina – Dubai Marina, Dubai – Tel : 04 399 3333 – Heures d’ouvertures : 17h00 – 01h00 tous les jours – Prix : 350 – 500 Dhs White Orchid (Spécialités asiatiques) – Jebel Ali Hotel – Jebel Ali, Dubai – Tel : 04 804 8604 – Heures d’ouvertures : Lundi au samedi 19h00 – 23h00 – Prix : 350 – 500 Dhs
Savourez cette tendre viande, pour une recette de 4 personnes. Les ingrédients:60grammes de pignons 2 oignons 4 carottes 4 gousses d’ail 1 bâton de cannelle 1 piment sec 4 souris d’agneau Huile d’olive 50 grammes de raisins secs blonds 1 brin de thym 1 orange 1 grenade Feuilles de coriandre Tout d’abord, faites griller les 60grammes de pignons dans une poêle à sec,mettez-les ensuite de côté. Emincez 2 oignons, pelez et taillez 4 carottes en dés. Epluchez 4 gousses d’ail.Concassez 1 bâton de cannelle.Hachez grossièrement 1 piment sec et retirez les graines. Prenez une cocotte, à feu vif, faites colorer de tous côtés les 4 souris d’agneau dans deux cuillères à soupe d’huile d’olive . Ajoutez 50 grammes de raisins secs blonds, l’ail, lacanelle, lepiment, les oignons, les carottes et 1 brun de thym. Salez et poivrez .Mouillez avec le jus d’une orange et 15cl d’eau. Couvrez la cocotte et mijotez 2h00 à feu très doux. Avant de servir, ajoutez les pignons et les graines d’une grenade, puis parsemez de feuilles de coriandre. Vous n’avez plus qu’à accompagner le tout par de la semoule.
Ma passion pour le patinage remonte à bien longtemps. Née en France, à Lyon, j’ai commencée ma carrière de patineuse des l’âge de 5 ans. Championne lyonnaise cadet, juniors et puis seniors j’ai poursuivi mes études en parallèle avec les entrainements. Pour devenir professeur j’ai obtenu les deux médailles d’argent libres et imposées nécessaires afin d’en obtenir le diplôme national. J’ai poursuivi l’enseignement en tant que professeur en Suisse à Meyrin dans la même patinoire de la légendaire « Denise Biellmann » la fameuse « pirouette ». Le pas suivant vers l’Italie pour créer ma propre école de patinage à Novara (au sud de Turin), à comble mes expériences multiples et les résultats obtenus par mes élèves m’ont apportée de grandes satisfactions. Les stages professionnels à l’étranger, et les collaborations avec mes collègues internationaux m’ont aidé à évoluer et à aimer toujours plus ce sport spectacle si difficile mais o combien magnifique et envoutant. C’est en fondant une famille que j’ai du abandonner momentanément ce sport et suivre mon compagnon dans les émirats. Aujourd’hui je retrouve avec vous toute cette passion en vous proposant mes conseils et mon expérience pour vous guidez dans l’achat de chaussures de patinage et de lames adaptées aux exigences de chacun pour correspondre a votre niveau de patinage. Oui, car choisir des patins ce n’est pas comme acheter une simple paire de baskets, il faut connaitre la dureté exacte pour chaque niveau de patinage et avoir les lames adéquates qui sont évidemment a la base de votre soutien sur la glace. Grace a mes connaissances et a des partenaires de pointe tels que Bohner a Innsbruck, un grand expert de l’affutage et du montage des lames, nous pouvons vous proposez trois marques mondialement connues. Leur arrivée est une première dans les émirats et je serai à votre disposition pour un conseil personnel afin de tenter de répondre à toutes vos exigences… Eva Son E-Mail: eva (at) eva-on-ice.com Son site internet: EVA-ON-ICE
Qu’est-ce que la chandeleur ? Fêtée chaque année le 2 février, 40 ème jour après Noël, la Chandeleur ou plutôt « chandelle » tire son origine du latin Festa Candelarum ou fête des chandelles d’après une coutume constituant à allumer des cierges à minuit en symbole de purification. Pourquoi mange-t-on des crêpes a la Chandeleur ? Aujourd’hui, on connaît surtout la Chandeleur car c’est le jour des crêpes. On raconte que le pape Gélase Ier faisait distribuer des crêpes aux pèlerins qui arrivaient à Rome. On dit aussi que les crêpes, par leur forme ronde et dorée, rappellent le disque solaire, évoquant le retour du printemps après l’hiver sombre et froid. Une fête riche en traditions Il existe encore de nos jours toute une symbolique liée à la confection des crêpes. Il est ainsi recommandé de faire sauter les crêpes de la main droite en tenant une pièce d’or dans la main gauche afin de connaître la prospérité pendant toute l’année.
Recette de Pâte à crêpes vanillée
Ingrédients : – 250 grammes de farine – 1 cuillère à soupe de sucre semoule – 2 sachets de sucre vanillé – 1 pincée de sel – 1/2 litre de lait – 3 œufs – 3 cuillères à soupe d’huile Mélanger la farine avec le sucre semoule, le sucre vanillé et le sel. Faire un puits au centre et incorporer 1/4 de litre de lait puis les trois œufs préalablement battus à la fourchette dans un bol, et l’huile. Bien mélanger, puis ajouter à nouveau 1/4 de litre de lait. La pâte à crêpe est prête!
Avant d’écumer les soldes ou d’arpenter les galeries marchandes, un petit tour d’horizon de notre dressing s’impose … Qu’est-ce qui me manque ? Que dois-je remplacer ? Quels sont les incontournables ? Les erreurs à ne pas faire ? Réponse en 6 chapitres !
– Le tee-shirt à manches courtes ou à manches longues : multi-usages – Le marcel : un come-back branché – Le pull col en V : il va à tout le monde – Le Caraco en soie : irrésistible l’été, sous un pull ou une veste l’hiver – La chemise blanche : une mine de possibles – Le twin-set : à porter avec ou sans le gilet
Et si il reste encore de la place dans le placard …
– Le pull col roulé : surtout si je suis plutôt mince – Le cache-cœur : qui réchauffe avec un brin de romantisme – Le gros pull irlandais : pour la touche cosy – Le chemisier à lavallières : so chic – Tous les autres qui me plaisent et vont me permettre de changer de silhouette sans avoir à renouveler tout mon placard : la blouse folklorique, la tunique ethnique, la marinière, le chemisier victorien, le sweat-shirt, le gilet acidulé …
Attention aux pièges
– Le soutien-gorge mal adapté : soit parce qu’il est rembourré et que ça fait complètement artificiel sous un top fin, soit parce qu’il est blanc et qu’on ne voit que ça sous le T-shirt. La solution ? Le naturel, avec un bonnet d’une taille à peu près réaliste et une couleur chair qui se fond sur la peau. – Les T-shirts rétrécis, les brassières ou les mini-gilets ne vont qu’aux filles ultra-menues, et menacent les «normales» de pouffe attitude. J’évite donc de m’habiller au rayon ados ou de vouloir absolument rentrer dans un 36. Et je montre mon nombril avec parcimonie ! – A l’inverse, j’évite de cacher mes rondeurs dans un grand pull informe : ça ne fera qu’accentuer l’effet Bibendum. Dans le même ordre d’idée, les grosses poitrines doivent fuir les cols ras du cou et les cols roulés qui ne font qu’ajouter en volume. Vive les cols en V et les cardigans pour tout le monde ! – Attention au top bouffant (par exemple, une blouse roumaine) porté avec une jupe ample ou un pantalon large. Même la brindille passerait pour une grosse fermière ! Il faut contre-balancer les proportions : un haut ample avec un bas ajusté, ou l’inverse. – Les T-shirts cintrés sont rarement à rentrer dans la jupe ou le pantalon : à moins d’étrangler la taille dans une grosse ceinture, ils risquent d’ajouter de l’épaisseur. En revanche, pas question de laisser pendouiller un chemisier trop long. La chemise blanche est plus facile à manier : dedans, dehors, nouée sur le creux du ventre, elle se prête à toutes les interprétations.
Parce qu’on n’a pas toujours 20 ans …
– Passé 18 ans, non au T-shirts à messages vulgaires ou bébêtes ! Si message il y a, celui-ci doit être un minimum féminin ou glamour. Et au-delà des premières rides, mieux vaut miser sur le fait que c’est mon expérience et ma maturité qui parlent – pas mon T-shirt ! – On n’a pas tous les jours 20 ans : A cet âge, on a droit à toutes les expériences. Même les erreurs peuvent donner des résultats étonnants ! Donc, on oublie les basiques (qui seront de précieux alliés, mais plus tard) et on ose les chemisiers déstructurés, les T-shirts rock n’ roll et autres hauts effilochés. – Les tops sans manches sont à bannir au-delà d’un certain âge : quand le haut de bras devient moins ferme – pas flatteur pour l’égo, mais mieux vaut que ce soit moi qui en prenne conscience plutôt le reste de la planète. Les remèdes sont légion : les manches trois- quart, le twin-set, la veste ou le châle par-dessus … – De même, j’évite le décolleté profond si celui-ci n’est pas parfait ou alors je glisse un joli foulard dedans. Sinon, un col en V pas trop plongeant me suffit.
Placard ou poubelle ?
Poubelle Je l’adore … … mais les tâches de sueur sous les bras ne veulent pas partir. Je l’ai mis plein de fois … … c’est pour ça qu’il bouloche ? Il est confortable … … on pourrait en glisser trois comme moi dedans. La couleur est originale … … c’est sûrement pour ça qu’elle ne me va pas. Il est sexy … … il n’est pas trop petit ? C’est de la pure laine vierge … … aïe, aïe, aïe, qu’est-ce qu’il gratte ! Placard Il est démodé … … toutes les modes reviennent un jour ou l’autre. Il est transparent … … et le débardeur en dessous, j’y ai pensé ? J’en ai plein d’autres … … génial, je vais pouvoir tester des tas de superpositions. Les cols ras du cou, c’est niet … … un coup de ciseaux, et c’est un col en V. Un top à paillettes ? Je ne sors jamais … … et alors ? Pas la peine de passer sa vie en boîte pour briller de mille feux. Ma copine vient d’acheter le même … … c’est elle qu’il faut mettre à la poubelle !
Avant d’écumer les soldes ou d’arpenter les galeries marchandes, un petit tour d’horizon de notre dressing s’impose … Qu’est-ce qui me manque ? Que dois-je remplacer ? Quels sont les incontournables ? Les erreurs à ne pas faire ? Réponse en 6 chapitres !
– Le pantalon noir : qu’il soit large ou cigarette, incontournable ! – Le treillis : devenu un basique – Le pantalon en tweed : pour changer un peu – Le pantalon large : avec ou sans revers, toujours flatteur – Le jean : essentiel intemporel dont la coupe doit être adaptée à notre morphologie
Et si il reste encore de la place dans le placard …
– Le pantalon à rayures banquier :surtout pétillant l’été, dans un tissu léger – Le pantalon velours milleraies : se porte comme un jean – Le pantalon de smoking : totalement mésestimé – Le pantacourt : à manier avec précaution cependant
Attention aux pièges
– Le plus répandu : les contours de la culotte qui se voit sous un pantalon moulant ! Recours obligatoire : le string qui ne fait pas de marques. Et si j’ai horreur de ça, je me rabats sur des pantalons avec moins de stretch, mais toujours bien ajustés sur le derrière. Ou alors je pars en quête d’une culotte à coutures plates invisibles. – Il y a des pantalons auxquels il faut tout bonnement interdire l’accès à son placard : le caleçon long (ou leggins) qui n’est beau que sur une silhouette de mannequin et fait passer n’importe quelle autre fille pour un petit tonneau ; le fuseau qui a eu son heure de gloire dans les années 1980 alors qu’il transforme la jambe en un cône pas très appétissant ; et le pantalon à pinces qui nous fait des grosses fesses à toutes sans exception. – Pas de soucis pour l’uni. Mais je réfléchis à deux fois quant aux imprimés : Faciles, les rayures banquier, même rouges sur fond écru, elles peuvent être charmantes. Pour les carreaux, j’essaie d’imaginer ma grand-mère avec : si je trouve que ça lui va bien … alors je passe mon chemin. Car même en les associant à un top ultra-glamour, ça me rajoutera toujours dix ans. Il y a un cas pour lequel je n’hésite pas : les inscriptions sur les fesses, c’est in-ter-dit ! – Taille haute ou taille basse ? Vaste débat. La taille haute fait, au mieux, vieillot, et au pire, boudiné, sur la plupart des filles. Seules les très grandes et très minces en réchappent. La taille basse a l’avantage de couper en deux le derrière et de le faire paraître moins volumineux. Mais un petit bourrelet qui dépasse, et c’est raté. La solution ? Le cas par cas. Prévoir du temps en cabine pour essayer tous les modèles ! – Une erreur de jugement ultra-fréquente : acheter un pantalon en prévision des cinq kilos que l’on a prévu de perdre. Non ! Je choisis un pantalon pour être fabuleuse maintenant, pas dans trois mois. Car qui sait si je vais maigrir plutôt du ventre, des hanches ou des cuisses ? Et puis qui sait si je ne suis pas sublime avec mes courbes, à condition de choisir le modèles qui les mettra en valeur ?
Parce qu’on n’a pas toujours 20 ans …
– Une fois soufflé la bougie de mon trentième anniversaire, je renonce définitivement au treillis plein de poches, de zips et de patchs. L’arrêt du baggy ultra-taille basse n’est pas loin non plus, et d’une manière générale de tout ce qui est le privilège des vrais «djeun’s». – Arrivée à la cinquantaine, plus le pantalon est simple, mieux c’est : des lignes fluides pas trop moulantes, des belles matières, des teintes en sourdine, avec en haut une blouse à lavallières ou un chemisier en mousseline. Pour un peu plus de fantaisie, j’essaie le pantalon de marin : sa jambe large est là pour flatter ma silhouette, tandis que ses boutons personnalisent mon style. – Et je n’ai pas de complexe à aller m’acheter … une gaine. Pourquoi seules nos grands-mères auraient-elles le droit de profiter de son effet lifting pour le corps ? Avec, je peux porter des pantalons droits sans avoir à rentrer le ventre ! – Ce qui risque en revanche de me faire passer illico dans le camp «mémère» : le tailleur trop trop strict, genre pied-de-poule des pieds à la tête. La solution ? : Dissocier le bas du haut (par exemple, remplacer la veste par un twin-set ou un chemisier seul) pour un coup de jeune immédiat. – Quelque soit l’âge, le pantacourt peut donner des allures de petite fille attardée. A 20 ans, je peux encore m’amuser à lui associer ballerines et marinière façon Audrey Hepburn : candide, mais pas neuneu. A 50 ans, mieux vaut oser les mules à talons et le haut de chemisier déboutonné, façon Marilyn. Dans tous les cas, j’évite de lui associer le rose layette, les fleufleurs ou les T-shirts Hello Kitty !
Placard ou poubelle ?
Poubelle Je si bien dedans … … bonjour le popotin XXL. Celui-là me fait des fesses d’enfer … … dommage qu’il lui manque 5 cm de jambe. J’ai besoin d’un pantalon noir … … pas s’il me boudine les hanches. Un treillis pour le week-end … … en jaune fluo, c’est moche même le dimanche. J’aime les rayures façon banquier … … mais pas des bandes façon Bozo-le-clown ! Placard Je le traine depuis 10 ans … … et alors, s’il me va ? Il fait trop relax … … pas si je le «glamourise» un peu. Il me tombe sur les hanches … … et si je le ceinturais d’une bande de soie ? Il n’a pas de poches, ce n’est pas pratique … … je mets mon mini-sac en bandoulière. La fermeture Éclair est cassée … … hop, chez le couturier !
Avant d’écumer les soldes ou d’arpenter les galeries marchandes, un petit tour d’horizon de notre dressing s’impose … Qu’est-ce qui me manque ? Que dois-je remplacer ? Quels sont les incontournables ? Les erreurs à ne pas faire ? Réponse en 6 chapitres !
– La jupe trapèze : parce qu’elle va à tout le monde – Le grand jupon : parce qu’il est versatile et très facile à porter – La jupe en soie : parce qu’il n’y a pas plus glamour – La jupe en jean : parce qu’on la met du matin au soir
Et si il reste encore de la place dans le placard …
– La jupe imprimée : pour exprimer sa personnalité – La jupe en tweed : un classique qui a du chic – La jupe en cuir : plus facile à porter qu’on ne croit – La minijupe : si j’ai les jambes qui vont avec
Attention aux pièges
– Le port de la jupe nécessite de se regarder objectivement dans la glace en se disant : «Est-ce que j’ai vraiment envie de montrer mes jambes ?» L’erreur consisterait à répondre : «Ok, je vois bien que mes genoux sont gras et mes chevilles épaisses, mais j’assume et je m’en vais mouler tout ça dans une minijupe stretch.» Assumer consiste plutôt à prendre conscience de mon défaut et à tout faire pour le dissimuler, afin que les autres me prennent pour une déesse ! – Pas question pour autant de m’interdire la jupe. La minijupe et la jupe droite nécessitent d’avoir des jambes parfaites. Mais tous les autres modèles peuvent faire des merveilles avec des bottes ou un collant opaque noir (bannir les couleurs et les imprimés). L’été, une jupe trapèze et des sandales à semelle compensée peuvent avoir suffisamment de volume et de poids pour faire paraître mes jambes plus fines, par contraste. – Il y a une longueur qui ne va à personne : celle qui tombe à mi-mollet, là où celui-ci est le plus épais. Toujours s’arrêter aux alentours du genou, ou alors descendre jusqu’aux chevilles. Point de salut entre les deux ! – Une inquiétude très fréquente chez celles qui rechignent à mettre des jupes : paraître apprêtée. C’est dommage, parce qu’il y a mille et une manières de ne pas avoir l’air en route pour la soirée des Oscars. Exemple : avec des bottes cavalières et un gros pull col roulé, même une jupe en mousseline peut devenir totalement relax ; ou bien avec une chemise blanche qui pend, un caban et une grande écharpe tricotée, même une jupe droite peut paraître week-end. – Les jupes droites ne supportent pas les chaussures plates. A moins d’être très très grande, des ballerines ou des bottes plates risquent de me ratatiner. Tout l’inverse des minis, alliées traditionnelles du plat, mais qui, si la coupe est évasée, supportent aussi les Stilettos. Les grandes jupes fluides peuvent tout admettre – le haut évidemment le plus spectaculaire, mais idéal pour se faire remarquer en soirée !
Parce qu’on n’a pas toujours 20 ans …
– Le mini-kilt court est réservé aux teens. C’est sans appel pour les autres ! Et le kilt long ? A part pour se déguiser en caricature bécebège le jour du carnaval, ou se faire un trip ado rebelle en le portant sur un pantalon, on ne voit pas. – A 20 ans, la jupe droite en lainage risque fort de me transformer en secrétaire rabougrie. C’est le moment ou jamais d’expérimenter et d’être fun, donc je choisis des modèles plus rigolos ! Trente ans plus tard, ladite jupe droite en lainage devient au contraire un de mes basiques. Alors que je peux mettre au feu tout ce qui ne sera pas suffisamment construit et me fera passer pour une belle des champs périmée – les jupes de gitane, par exemple. – La minijupe n’est pas une question de décennie, mais bel et bien de morphologie. La règle est simple : si il reste un espace entre mes deux jambes lorsque je les serre l’une contre l’autre, alors à moi les bouts de tissus extra-small ! Quel que soit mon âge. En revanche, la manière de porter la minijupe diffère un peu selon que je suis plus proche des 20 ans (pas de problème pour y associer tongs et top à bretelles) ou des 40 (mieux vaut faire une croix sur la mini en plein été, et la ressortir l’hiver avec des collants opaques et des bottes). – La jupe en tweed n’est pas réservée à nos grand-mères. Loin de là. Les plus jeunes peuvent lui associer une veste en jean et une casquette gavroche, par exemple. Les autres doivent miser sur deux mots clés qui évitent de se vieillir de dix ans : séduction et féminité ! C’est à dire qu’on ne va pas y accoler un gros pull en laine, mais qu’on va sortir notre plus joli top en soie, ou notre maille la plus proche du corps. – Pareil pour les imprimés qui pourraient a priori nous rendre prêtes pour la maison de retraite : grosses pivoines, rayures orange-marron. Je n’associe jamais ces pièces avec des basiques ; au contraire, je fais tout pour leur donner du style : 20 ans et des brouettes, j’opte pour des détails rock n’ roll; 40 ans et des poussières, je joue la carte du glamour.
Placard ou poubelle ?
Poubelle La coupe évasée me va à ravir … … mais si je respire le bouton saute ! La jupe droite, c’est élégant … … mais je fais du 40, et j’ai cru que ce serait plus sexy en 36. La matière est à tomber … … elle le serait encore plus si cette tâche voulait bien partir. Cette mini est sexy … … mais on voit ma culotte dès que je m’assois. Mes enfants adorent cet imprimé … … c’est pas eux qui se coltinent ces éléphants et ces girafes ! Placard La longueur me fait mamie … … et si on coupait 5 cm d’ourlet ? Elle est transparente … … je vais illico m’acheter un jupon. Je l’ai trouvé chez ma grand-mère … … formidable, du vintage ! L’effet porte-feuille s’ouvre au vent … … une épingle fantaisie ou une jolie broche, et c’est réglé. Je n’ai pas les chaussures qui vont avec … … ça tombe bien, c’est bientôt mon anniversaire.