Par La Rando

Le coronavirus en Arabie saoudite toujours présent

Le ministère saoudien de la Santé a annoncé samedi la mort à Ryad d’une personne atteinte du coronavirus MERS, portant à 56 le nombre de décès dus à la maladie dans le royaume. Sur son site internet, le ministère précise qu’il s’agit d’un Saoudien de 73 ans, qui souffrait de maladies chroniques.
Le ministère ajoute avoir enregistré trois autres nouveaux cas du coronavirus MERS à Ryad: deux ressortissantes étrangères employées dans le secteur de la santé, qui ont été en contact avec des patients contaminés par le virus, et un Saoudien de 53 ans, souffrant de maladies chroniques, est aux soins intensifs.
Le royaume, premier foyer du coronavirus MERS et pays le plus touché, a enregistré au total 136 cas, dont 56 mortels, depuis l’apparition de la maladie il y a plus d’un an, selon le ministère.
Sur son site internet, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) indique samedi que 165 cas de contamination par le virus avaient été confirmés en laboratoire à travers le monde, dont 71 mortels.
Le coronavirus MERS appartient à la famille du virus responsable du Syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), qui avait fait près de 800 morts dans le monde en 2003.

et Leparisien

Par La Rando

Coronavirus en Arabie Saoudite

Deux nouvelles personnes sont décédées en Arabie saoudite, portant à sept les victimes du Coronavirus proche du SRAS en une semaine dans le royaume, a annoncé le ministère de la Santé dans la nuit de dimanche à lundi.
Les deux personnes sont décédées dans la province orientale où une troisième personne atteinte du virus est dans « un état stable » à l’hôpital, a précisé le ministère dans un communiqué reproduit par l’agence officielle SPA.
Leur mort porte à 18 le nombre de personnes décédées dans le monde après avoir contracté ce virus, détecté pour la première fois à la mi-2012, dont 11 en Arabie saoudite.
Le ministère a assuré que les autorités avaient pris « toutes les mesures préventives » pour empêcher la propagation de ce virus et ajouté qu’il n’y avait pas « de raison de s’inquiéter ». Lire la suite sur LeParisien