Choisissez le bon mouchoir Bannissez celui en tissu, c’est un nid à microbes. Optez plutôt pour des mouchoirs jetables, ils sont doux et résistants. En revanche, évitez essuie-tout et papier toilette, plus costauds mais plus irritants. Ensuite c’est une question d’épaisseur. Les mouchoirs en boîte distributrice sont plus fins que ceux en étui. Les deux peuvent être recouverts de lotion adoucissante. Hydratez la peau tout autour du nez Attention, les frottements entraînent une vasodilatation des vaisseaux et le nez devient rouge ! Massez le dessous des narines avec une crème épaisse et grasse.
Faites ce test et vous saurez ! QUESTION N°1 : Une femme est dite ménopausée lorsqu’elle n’a pas eu ses règles depuis un an : Vrai/ faux QUESTION N°2 : La ménopause est un phénomène naturel qui touche les femmes aux alentours de 50 ans : Vrai/ faux QUESTION N°3 : La ménopause s’accompagne souvent de bouffées de chaleur : Vrai/ faux QUESTION N°4 : La plupart des femmes atteignent le sommet de leur capacité reproductrice vers 35 ans : Vrai/ faux QUESTION N°5 : La proportion des jumeaux et des triplés augmente à l’approche de la ménopause : Vrai/faux QUESTION N°6 : La progestérone et les oestrogènes sont les principales hormones sexuelles féminines : Vrai/faux QUESTION N°7 : A l’approche de la ménopause, le cycle menstruel devient irrégulier et les menstruations durent de moins en moins longtemps : Vrai/faux QUESTION N°8 : A la ménopause, on peut observer une diminution de volume des seins et des organes génitaux : Vrai/faux QUESTION N°9 : La ménopause n’a pas de conséquence sur les rapports sexuels : Vrai/faux QUESTION N°10 : La ménopause peut entraîner une augmentation de la fréquence des infections vaginales : Vrai/faux QUESTION N°11 : La ménopause peut être associée à des troubles de l’humeur : Vrai/faux QUESTION N°12 : La ménopause peut augmenter le risque de fracture osseuse : Vrai/faux QUESTION N°13 : Les problèmes liés à la ménopause sont inévitables : Vrai/faux QUESTION n°14 : On peut prévenir la fragilité osseuse lié à la ménopause : Vrai/faux QUESTION N°15 : Il n’y a pas d’équivalent de la ménopause chez l’homme : Vrai/faux RÉPONSE N°1 Bonne réponse : Vrai La ménopause correspond à un arrêt de l’ovulation et de la menstruation à cause d’une diminution, puis d’un arrêt de la fonction des ovaires. Lors de la grossesse, la femme n’a pas non plus ses règles ou menstruations. Mais cela ne dure alors que 9 mois (un peu plus si la femme allaite), et la cause en est bien différente : il s’agit alors d’un mécanisme actif empêchant l’ovulation, afin d’éviter que plusieurs grossesses ne se déroulent en même temps. RÉPONSE N°2 Bonne réponse : Vrai La ménopause se manifeste en général chez la femme entre 45 et 55 ans. A partir de cet âge, la fonction ovarienne de la femme est trop réduite pour pouvoir assurer les mécanismes régulant ovulation et menstruation. RÉPONSE N°3 Bonne réponse : Vrai Les bouffées de chaleur sont un des signes classiques de la ménopause causées par l’augmentation importante de calibre des vaisseaux sanguins de la peau. Désagréables, elles sont accompagnées de sueurs abondantes. RÉPONSE N°4 Bonne réponse : Faux L’apogée des capacités de reproduction de la femme est atteinte vers 20 ans. Par la suite, la fonction ovarienne diminue graduellement. RÉPONSE N°5 : Bonne réponse : Vrai A l’approche de la ménopause, la diminution de la production d’oestrogènes par les ovaires entraîne un déclin de la régulation hormonale ; certains cycles ovariens ne produisent pas d’ovules tandis que d’autres en donnent deux à quatre. Dans ce cas, si plusieurs ovules sont fécondés, la femme sera enceinte de jumeaux ou de triplés. RÉPONSE N°6 : Bonne réponse : Vrai La progestérone et les oestrogènes sont les principales hormones sexuelles de la femme et sont produites par les ovaires. Elles jouent un rôle dans l’apparition des caractères sexuels féminins et dans la régulation des menstruations et de l’ovulation. La ménopause correspond à l’arrêt de leur production. RÉPONSE N°7 : Bonne réponse : Vrai Les irrégularités de cycle et la diminution de l’intervalle de temps séparant deux menstruations, à l’approche de la ménopause, s’expliquent par la diminution du contrôle hormonal régulant la fonction ovarienne. RÉPONSE N°8 : Bonne réponse : Vrai En effet, les organes sont privés de la stimulation habituellement exercée par les oestrogènes, qui ne sont plus sécrétés à la ménopause. Cela explique l’atrophie de ces organes. RÉPONSE N°9 : Bonne réponse : Faux Après la ménopause, le vagin s’assèche, ce qui peut entraîner des rapports sexuels douloureux (surtout si ils sont rares). RÉPONSE N°10 : Bonne réponse : Vrai La sécheresse accrue du vagin est liée à une diminution des sécrétions vaginales habituelles. Or, ces sécrétions sont normalement acides, et elles protègent alors le vagin contre les infections. C’est donc la perte de l’acidité vaginale qui est en partie responsable de l’augmentation de fréquence des infections vaginales chez la femme ménopausée. RÉPONSE N°11 : Bonne réponse : Vrai L’arrêt de la sécrétion d’oestrogènes à la ménopause peut en effet provoquer des changements de l’humeur : irritabilité, voire dépression pour certaines femmes. RÉPONSE N°12 : Bonne réponse : Vrai L’arrêt de la sécrétion d’oestrogènes à la ménopause entraîne une perte importante de masse osseuse, rendant les os plus fragiles. Ce phénomène naturel s’appelle ostéoporose. RÉPONSE N°13 : . Bonne réponse : Faux Il existe des traitements hormonaux de substitution à base d’oestrogène et de progestérone, remplaçant ainsi les hormones naturellement sécrétées avant la ménopause. Avec ce traitement, la femme continue à avoir des cycles menstruels, les troubles du climatère (bouffé de chaleur, sécheresse vaginale…) et les risques de complications osseuses sont diminués. Mais différentes études ont confirmé une augmentation du risque de cancer du sein et d’accidents cardiovasculaires. De fait, ces traitements sont désormais prescrits uniquement en cas de troubles du climatère handicapants après information de la patiente et pendant une durée la plus courte possible. RÉPONSE N°14 ; Bonne réponse : Vrai La pratique régulière d’une activité sportive, la consommation d’une quantité importante de calcium (produits laitiers) et d’eau, pendant le jeune âge et le reste de la vie, provoquent une augmentation de la masse osseuse. Celle-ci retarde alors l’apparition de la fragilité osseuse (ostéoporose). Différentes options médicamenteuses permettent également de prévenir l’apparition de l’ostéoporose ou la récidive de fracture ostéoporotique. RÉPONSE N°15 : Bonne réponse : Vrai Les hommes en bonne santé peuvent devenir père même après l’âge de 80 ans. Cependant, chez l’homme âgé, la période de latence après l’orgasme est plus longue et la vitesse de déplacement de spermatozoïdes diminue considérablement, ce qui réduit la fertilité.
L’aspirine est efficace contre la douleur et la fièvre VRAI. Elle est en effet indiquée dans les céphalées, les états grippaux, les douleurs musculaires ou dentaires, et autres maux du quotidien. Mais elle a aussi une action antiinflammatoire. A ce titre, elle calme les algies rhumatismales. Plus on en prend, plus sa puissance d’action s’accroît VRAl ET FAUX. L’aspirine est utilisée à des doses différentes selon les maux que l’on cherche à apaiser. Contre la fièvre et la douleur, la posologie maximale est de 3 g par jour pour un adulte (2 g pour les personnes âgées), en espaçant les prises de quatre heures au moins. Au-delà de 3,5 g, elle soulage les rhumatismes en réduisant l’inflammation des articulations. Chez les enfants, le paracétamol est préférable à l’aspirine VRAI ET FAUX. Les deux molécules sont aussi efficaces l’une que l’autre contre la fièvre et la douleur. Elles ne se prescrivent aux enfants que sous la forme pédiatrique. Mais l’aspirine est déconseillée chez le jeune enfant atteint d’une maladie virale. Dans ce cas, le paracétamol est préférable. Dosé en fonction du poids, celui-ci doit être donné à raison de 80 mg par kilo de poids et par jour pour les enfants pesant moins de 37 kg. Quant à l’aspirine, la posologie ne doit pas dépasser 50 mg par kilo de poids et par jour. On l’utilise aussi contre l’infarctus du myocarde VRAI. De nombreuses études ont en effet établi que l’aspirine fluidifie le sang et empêche la formation de caillots obstruant la circulation sanguine, à l’origine d’accidents cardio-vasculaires. Elle est donc prescrite au long cours aux personnes qui ont subi un premier infarctus, afin de diminuer les risques de récidive et d’accident vasculaire cérébral. Mais, dans cette indication, I’aspirine doit être prise à faible dose : de 160 à 300 mg par jour, ce qui réduit de 25 % le risque de récidive.